Automobile: Le Maire tente de rassurer le secteur face à sa "révolutio

En gros, certains vivent dans leur petit monde.

Ce matin il a neigé dans le 66 !

Enfin à 2500 m !

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Analysons point par point le discours de nono la merde.

« « "L'Etat ne va pas vous laisser tout seuls!": le ministre de l'Économie Bruno Le Maire a tenté mardi de répondre aux inquiétudes de la filière automobile réunie à Paris, face à la "révolution" du tout électrique. » »

Ce que nono oublie, c’est que les dirigeants d’entreprises ne sont pas des cons qui gobent toutes les couleuvres qu’on leur présente. Ils ont une cervelle et le mode d’emploi qui va avec. Et ils ont des comptes à rendre sur leur gestion, EUX . Contrairement aux z’élites, et notamment à nono la merde qui a tout faux sur tous les points.

« Devant un parterre de dirigeants, constructeurs et équipementiers ..//.. de la Filière auto ..//.. a promis "d'accompagner la filière" face à la nécessité de "passer en quelques années du siècle thermique au siècle électrique". » »

Notez «Devant un parterre de dirigeants de la Filière auto ».
Mais foin de représentants de EDF, RTE, économistes, .
Juste de la com.
Pas un mot sur la production de suffisamment d’électricité? Pas un mot sur l’incapacité du réseau de distribution face à cette surcharge en intensité d’électricité? Pas un mot sur l’insuffisance des bornes de recharges ? Pas un mot sur le délai pour la capacité à satisfaire à la demande d’électricité ? Pas un mot sur ses propositions qui rendront nos entreprises compétitives ? Pas une précision sur l’assurance pérenne de la fourniture des matériaux spécifiques nécessaires à la fabrication (notamment les batteries) ? Pas un mot sur le très probable effondrement de la demande de véhicules (bicause baisse du pouvoir d’achat)?

« « Il a insisté sur les dispositifs étatiques qui permettront selon lui de conjuguer passage à l'électrique, réindustrialisation française et souveraineté économique: " » »

Les dispositifs étatiques ? Oui, mais jusqu’à quel point ? Et jusqu’à quand ? L’état est en quasi faillite.

La réindustrialisation française ? alors que depuis plusieurs années, tout est fait pour déshabillier les entreprises françaises, désertifier le tissu industriel. Alors que les charges sur les entreprises ne cessent de croitre ? Allant même jusqu’à voter une loi pour vendre à perte !

La souveraineté économique ? Depuis le traité d’Amsterdam signé par Chirac, les pays-membres ont abandonné la presque totalité de leur souveraineté. Bruxelles va nous dire : allez y, faites à votre guise ?
Le fameux Marché Européen de l’Electricité n’a rien à voir avec la souveraineté économique , peut-être ?

La Chine "pas irrattrapable" : La Chine a 10 ou 15 ans d’avance sur nous. Et elle dispose de tous les « matériaux » dans son sous-sol. Alors que la France est totalement tributaire de l’étranger.
Combien de temps faudra t’il à la France pour rattraper ce retard , d’autant plus que rien n’est envisagé pour rendre nos entreprises compétitives ?
Combien de temps faut t’il pour couler une entreprise, un secteur ?

« «"non seulement nous sommes en train de rattraper notre retard", mais "d'ici quinze ans", la France produira "les meilleures batteries", affirme-t-il. » »
Où en sera la technologie dans 15 ans ? La VE ne sera-t-elle plus qu’un vieux souvenir ?
Et les constructeurs auto n’auront t’ils pas changé leurs chaines de production ?

« « entend sécuriser l'approvisionnement en métaux rares nécessaires » »

Super. Mais il faut savoir que la France est aux ordres des U.S. Et que les U.S. ont pour ennemis économiques : la Russie , et la Chine. Et prochainement, l’inde qui aura elle aussi des prétentions de développement économiques.
Et la France de se couper, sur ordre, de ces marchés mondiaux. Et de certains approvisionnements stratégiques.

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Stop à la voiture électrique les chiffres viennent de tomber , la leucémie ( cancer du sang) a augmentée de 1800% dans le monde les batteries lithium mises directement en cause . des enfants , des mères de familles et des pères de familles sont morts pour avoir acheté une voiture électrique ou hybride rechargeable équipé de batterie lithium et oui si vous passez plus de 1 heure par jour dans ces véhicules votre durée de vie est limitée ( vous avez moins de deux de vie devant vous ) et nos gouvernants sont bien aux courants !!! sans jeu de mots .

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L'électro-pipeau, la nouvelle tendance à la mode chez les "Poly-tiques", acariens rampants de mauvaise augure.

A noter également que peu ont fait le conservatoire, du coup certains confondent naturellement croches et anicroches !

Tout est misé sur l'électro-pipeau qui doit être prêt pour 2030 / 2035 alors que le Premier EPR ne fonctionne toujours pas.

Par conséquent, on en est à essayer de réformer l'Autorité de Sûreté Nucléaire qui refuse toujours de donner son accord de mise en route de l'EPR de Flamanville.

Et donc "réformer l'Autorité de Sûreté Nucléaire" en abaissant les niveaux de sécurité et affaiblissant les portés décisionnelles...

Pitoyable et Lamentable.

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"L'Etat ne va pas vous laisser tout seuls!": le ministre de l'Économie Bruno Le Maire a tenté mardi de répondre aux inquiétudes de la filière automobile réunie à Paris, face à la "révolution" du tout électrique.

Devant un parterre de dirigeants, constructeurs et équipementiers réunis pour la troisième édition de la Journée de la Filière auto au Carrousel du Louvre à Paris, le ministre a promis "d'accompagner la filière" face à la nécessité de "passer en quelques années du siècle thermique au siècle électrique".

"Le rôle de l’État est d'être à vos côtés", a-t-il martelé, avant de rappeler son investissement financier: 1,5 milliard d'euros par an à partir de 2024 (contre 1,3 milliard l'année précédente) consacrés à l'électrification du parc, qui financeront bonus électriques, primes à la conversion, leasing social, etc.

Il a insisté sur les dispositifs étatiques qui permettront selon lui de conjuguer passage à l'électrique, réindustrialisation française et souveraineté économique: "Au 1er janvier 2024, toute la production de batteries électriques en France pourra bénéficier d'un crédit d'impôt", a-t-il promis, pour contrer une fabrication actuellement dominée par des groupes asiatiques.

Ces crédits d'impôts, promulgués mardi au Journal officiel dans le cadre de la nouvelle Loi Industrie verte, constituent aussi une contre-attaque face aux mesures prises par les États-Unis dans leur grand plan climat (IRA), qui accorde des subventions aux seuls véhicules électriques fabriqués en Amérique du Nord.

"Nous sommes les premiers (en Europe), à l'image de ce qui a été fait aux États-Unis avec l'IRA, à mettre en place un dispositif fiscal aussi avantageux pour la production industrielle de technologies nouvelles sur notre territoire", a vanté M. Le Maire.

- La Chine "pas irrattrapable" -

Ce discours intervient alors que l'industrie automobile française, qui délocalise depuis des années, a grandement souffert de la crise du Covid: la production de véhicules en France a diminué de près de 40% entre 2019 et 2020, et n'a pas retrouvé ses niveaux d'avant-pandémie (1,4 million en 2022, contre 2,2 millions en 2019).

Pour relancer la filière, constructeurs et gouvernement parient sur l'électrique, alors que les ventes de voitures thermiques seront interdites en Europe en 2035. Le gouvernement s'est fixé comme objectif une production annuelle de 2 millions de véhicules électrifiés en France d'ici 2030.

Mais en la matière, la France fait face à une double concurrence rude: celle des Etats-Unis et celle de la Chine, qui "a pris cinq ans d'avance" sur l'électrique, selon Bruno Le Maire, quand le secteur évoque plutôt "dix ans".

"Ce n'est pas irrattrapable, mais cela suppose de mettre les bouchées doubles", a tenté de rassurer le ministre. Concernant les batteries électriques par exemple, "non seulement nous sommes en train de rattraper notre retard", mais "d'ici quinze ans", la France produira "les meilleures batteries", affirme-t-il.

Pour ce faire, le ministre entend sécuriser l'approvisionnement en métaux rares nécessaires à leur construction, via la création d'un fonds "opérationnel au plus tard en 2024".

"Je souhaite qu'il représente au total 1,5 milliard d'euros pour sécuriser notre approvisionnement national en métaux, comme le nickel, le lithium, le cobalt, le graphite ou encore le titane", a-t-il précisé, ajoutant qu'un demi-milliard proviendra de l'Etat.

- "Pas magiques" -

Reste à voir si ces propos parviendront à rassurer un secteur inquiet depuis que "l'électrique n'est plus une option, mais notre horizon", selon les mots du président de la Plateforme automobile, Luc Chatel.

Juste avant l'intervention du ministre, ce dernier l'avait averti: "C'est donnant-donnant ! Vous nous demandez de changer de modèle, d'arrêter les moteurs thermiques où nous sommes leaders, (...) mais nous avons besoin d'un accompagnement pérenne".

Pour Vincent Charlet, économiste à la Fabrique de l'Industrie, un think tank pro-industrie, les aides annoncées sont "bienvenues" et même "astucieuses dans leur conception", mais ne seront "pas magiques".

Il se déclare "très sceptique" sur le fait que les crédits d’impôts accordés aux industriels des batteries puissent aider le secteur automobile lui-même.

"Le crédit d’impôt colmate tout juste la dernière brèche en date" dans un secteur en difficulté depuis plusieurs années, dit-il à l'AFP. A savoir l'afflux massif d'une "concurrence chinoise inattendue et non anticipée" depuis l'annonce de l'interdiction des ventes de véhicules thermiques en Europe en 2035.

Le gouvernement et le secteur doivent d'ici quelques jours signer un nouveau contrat de filière, qui prendra effet en 2027.

© 2023 AFP

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