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Considéré par certains comme le principal responsable de la Bérézina

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ticanis@sfr.fr ticanis@sfr.fr
11/04/2024 21:39:53
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Ok ! Mais alors que faire ?

  
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Alioche Alioche
11/04/2024 08:17:33
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Si tu veux des conclusions partisanes, totalement orientés ou futiles, tu fais appel à Médiapart ou Elise Lucet.

Leur objectif commun est de vendre du BUZZ et non pas la vérité.

70% des annonces de première page de Médiapart font l'objet d'un correctif, quelques semaines plus tard ou après avoir perdu un procès, en page 5 ou 6, en tout petit. Mais le papier est vendu, le fric et le mal sont fait.

Quant à la fameuse liste d'Elise Lucet, celle des comptes bancaires aux Caïman, c'était une liste périmée de plus de 20 ans, qu'elle a acheté fort cher. Elle nous a vendu ça comme un scoop. Cette liste contenait plus des 10 000 noms dont 200 français. Le fisc n'a pu retrouver que 12 personnes à recadrer, après avoir dû refaire toute l'enquête. Tout ça pour ça : de 10 000 à 12. Un scandale de désinformation cette femme.

  
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ticanis@sfr.fr ticanis@sfr.fr
10/04/2024 19:30:02
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Existe t'il un moyen de porter plainte contre lui ? La boite qui s'occupe de notre nucléaire !!!!! Et lui est nommé ailleurs, avec en passant un "petit délit d'initié". Il faut que Médiapart et ou Elise Lucet enquêtent. C'est ahurissant !!!!!!

  
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chatdoux chatdoux
10/04/2024 18:47:56
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Conclusion : il n'a pas le temps ou est incapable de faire son job : acheter des obus pour l'UKRAINE !

  
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LARVEDMOR LARVEDMOR
10/04/2024 18:35:55
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Déjà le 19 mars 2024 je disais que ce mec était une merde MAIS qui s'en mettait plein les poches . Que fait il à Bruxelles et qui l'a nommé, c'est une honte pour la France.

  
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blackleroc blackleroc
09/04/2024 11:35:59
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Lors de sa nomination à Bruxelles, Thierry Breton vend ses titres Atos au prix fort, autour de 65€ (elle en vaut 1,88€ aujourd'hui).

Jackpot : 40M€ brut.

Sans compter cette retraite chapeau qu'il demande à lisser chaque année dans le bilan financier et à toucher à l'issue de son mandat de commissaire, pour éviter les scandales. Elle est, selon Le Monde, gérée par Axa, pour un montant d'environ 14M€ brut.

Portrait de "l'Alain Delon du business"; qui "vit dans une bulle, avec son chauffeur, qui habite chez lui, ouvre les portes, tend les blazers. Il est abonné à une compagnie de jet, fait un saut dans son loft de New York, son Sénégal adoré (où il a racheté la maison de Léopold Sédar Senghor), un peu de farniente sur le yacht de Bernard Arnault".

https://t.co/mnpuCbBeKq

  
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blackleroc blackleroc
27/03/2024 13:12:04
2

Le groupe a encaissé une perte de 3,4 milliards d’euros en 2023 essentiellement due à des dépréciations comptables. Atos solde les coûteuses acquisitions de son ancien PDG, Thierry Breton.

Atos tire un trait sur son passé. Hier, le groupe de services informatiques a publié une perte historique de 3,4 milliards d’euros dont 2,5 milliards d’euros proviennent de dépréciations d’actifs. Dit autrement, Atos a revu en forte baisse la valeur de ses activités, notamment dans le cloud, le conseil ou la cybersécurité. Cette branche, baptisée "Eviden", accuse 2 milliards d’euros de perte de valeur au bilan du groupe. Ils résultent de la succession de rachats de société comme Syntel, Xerox, ou les activités informatiques de Siemens mené entre 2010 et 2018 par l’ancien PDG, Thierry Breton.

Selon ses comptes détaillés, près d’un milliard d’euros (970 millions) de ces pertes comptables sont enregistrés aux Etats-Unis où Atos est essentiellement présent par sa filiale Syntel. C’est le symbole des "années Breton". Cette société a été rachetée à la suite d’une OPA de 2,9 milliards d’euros fin 2018. "Syntel a été payé beaucoup trop cher", tranchent plusieurs cadres actuels du groupe. Un milliard d’euros de trop, reconnaît désormais le groupe dans ses comptes.


"C’était l’époque de la croissance à tout va", se remémore l’un de ces cadres.

A l’époque, c’est l’apogée d’Atos qui vient d’entrer au CAC et vaut 10 milliards d’euros en Bourse. Thierry Breton vient de réaliser trois grandes acquisitions: les activités informatiques de l’Allemand Siemens en 2010, celles de l’Américain Xerox, Bull en 2014 et Syntel quatre ans plus tard. L’autre milliard d’euros de perte comptable provient des activités en Europe de Siemens, et en Asie.

L’an passé, son successeur a, pour la première fois, pointé du doigt la responsabilité de Thierry Breton. "Le succès du cours de bourse d'Atos dans les années 2010 était en réalité le fruit d'une politique d'acquisitions et d'une forte croissance externe qui a été réalisée avec une sélectivité discutable ou insuffisante et de la signature de contrats dont la rémunération était trop faible au regard des coûts", avait déclaré Bertrand Meunier, président d’Atos entre 2019 et 2023, dans un entretien à La Tribune en septembre dernier.

L'ancien PDG joue sur les mots

Interrogé à plusieurs reprises, Thierry Breton a toujours balayé ces critiques d’un revers de main.


"Atos n’avait aucune dette quand j’ai quitté l’entreprise", a-t-il défendu devant l’Association des journalistes économiques et financiers (Ajef) le mois dernier.

En novembre 2019, Thierry Breton devient commissaire européen et quitte ses fonctions. Lundi dernier, il a même insisté: "l’entreprise avait un endettement net nul", a-t-il précisé sur France Info lundi dernier.

Mais à y regarder de près, l’ancien PDG joue sur les notions de dette "nette" et de dette "brute", celle-ci étant loin d’être inexistante. Fin 2019, elle atteignait 5,4 milliards d’euros. Mais cette année-là, Thierry Breton a réalisé 2,3 milliards d’euros de ventes d’actions de Worldline, la filiale de paiement d’Atos. De telle sorte que ce cash a permis de réduire la "dette nette" à -1,7 milliard d’euros (dette moins la trésorerie). Pourtant, un an plus tôt, Atos avait reconnu dans ses comptes que son "endettement net s’élevait à 2,9 milliards d’euros en raison du montant payé pour l’acquisition de Syntel".

Atos était un "LBO géant"

Les propos de l’ancien PDG d’Atos sont formellement exacts mais reflètent une situation exceptionnelle grâce à la vente des actions Worldline. Cette stratégie a d’ailleurs continué après son départ. Trois mois après, en février 2020, Atos a cédé pour 1,5 milliard d’euros de titres supplémentaires, ce qui n’a pas suffi à compenser toute la dette brute. Un an après le départ de Thierry Breton, la dette nette est passée à 3,16 milliards d’euros.

La même technique est appliquée: la croissance grâce à des acquisitions financées par endettement pour valoriser les actions Atos ou Worldline. Une sorte de "LBO géant" qui a profité à Thierry Breton. Lors de sa prise de fonction à la Commission européenne, il a été contraint de vendre ses 508.085 actions Atos qu’il détenait fin 2018 pour un peu plus de 40 millions d’euros, avant impôts avait-il précisé à l’époque. Son entourage ajoutant qu’il avait été taxé à hauteur de 62%. L’action du groupe qu’il dirigeait alors valait un peu plus de 70 euros contre 1,7 euro aujourd’hui.

Matthieu Pechberty

  
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funembule funembule
20/03/2024 17:31:26
1

Une grosse brelle,cela date pas d'aujourd'hui déjà en 1985 il a fait des erreurs monumentale qui dépasse la connerie, n'ayant aucune perspective sur l'avenir,ne voyant que le court terme de la rentabilité pour faire bien autour d'une table entouré de blaireaux

  
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blackleroc blackleroc
20/03/2024 13:51:14
0

Après une décennie sous Thierry Breton, marquée par des acquisitions effrénées, Atos a enregistré en 2021 une année sombre, entre chute de ses actions et baisse de sa rentabilité. On reproche à l’actuel commissaire européen d’avoir tenté une croissance externe sans que, réellement, l'ensemble de filiales acquises ne soient intégrées au groupe. A cela, s'ajoutent des retards dans le virage vers le cloud ainsi qu’un manque d'investissement dans la recherche, le développement et la formation.

  
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LARVEDMOR LARVEDMOR
19/03/2024 13:36:32
2

Entièrement d'accord. T Breton est commissaire européen donc intouchable ( comme poutine ). Et pourtant ce mec est une m....

  
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blackleroc blackleroc
19/03/2024 13:13:40
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alcatel de 100 à 1, atos kif kif

  
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minouchat minouchat
09/02/2024 08:26:24
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Ça me rappelle Alcatel, Thomson, à qui le tour ?

  
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Rollier1 Rollier1
08/02/2024 16:19:08
1

De 2009 à 2019, le cours d’Atos est passé de moins de 20 à plus de 60€.

Par contre, ensuite…😕

  
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Dubaisan Dubaisan
08/02/2024 14:57:35
0

Impunité totale pour T. Breton....comme pour Meunier...

Et certains défendent encore ce système....

  
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blackleroc blackleroc
08/02/2024 14:22:23
4

actuelle chez Atos, Thierry Breton (PDG du groupe de 2009 à 2019) s'est délesté de toutes ses actions pour la modeste somme de 45,7M€ (avant impôt). Mais ce n'est pas tout...

Une fois retiré de la vie active, Breton bénéficiera d'une retraite chapeau (régime complémentaire) d'un montant de 711 000€/an.

Atos a dû décaisser 20M€ d'un coup pour assurer cette magnifique rente à vie. (v/ Canard Enchainé)

  
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