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Toi tu te cherches des ennuis avec sos rascisme...
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Ne jouons pas les étonnés ni les offusqués. Voilà 50 ans que TOUS les gouvernements qui se succèdent (DROITE - GAUCHE - GAUCHE/DROITE - DROITE/GAUCHE - MACRONISME) promettent la Lune et instillent dans nos oreilles, qui le reçoivent complaisamment, le message de la facilité. « Tous ont le droit à tout » c’est le slogan officiel.
Primes à ceci, primes à cela, aides à tout va, budgets de l’Etat insincères et baisses d’impôts.
Il n’y a que les crétins ou les demeurés qui pensaient et qui pensent encore que cela peut durer toujours.
Le pain blanc beaucoup le trouvait trop fade. J’espère qu’ils aimeront mieux le noir qui nous arrive droit dessus.
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Qu'on inscrive dans la constitution cette obligation pour limiter les incapables et irresponsables !!!
Ben allons, et puis quoi encore...
L'IVG dans la Constitution, c'est bien plus important, ça c'est sérieux !!
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fipuaa
« « tu ne comprends pas la mission qu'on leur a confiée, sinon tu dirait d'eux qu'ils sont excellents » »
Tout fait OK avec toi.
Réfléchissez sur cet extrait de l’article ci-dessous.
« « Macron, qui a reçu en fin de journée son ministre de l'Economie, ainsi que ceux chargés des collectivités locales et des affaires sociales, Christophe Béchu et Catherine Vautrin. L'occasion de remettre sur la table certaines pistes déjà avancées par l'exécutif, notamment pour freiner les dépenses d'assurance chômage et de santé. » »
Ce qui se traduit par : «les prochaines réformes sont : la réduction des indemnités ET de la durée d’indemnisation du chômage, la réduction du taux de remboursement des médicaments et actes médicaux ET de la durée d’indemnisation des arrêts maladie ou jours de carence. (pour le privé)
Ce que je dénonce depuis plusieurs années macronniennes.
Le transfert des indemnités Congés payés , allocations diverses , etc ..vers le privé n’est pas encore sorti au soleil.
Tout ceci est inscrit en toutes lettres dans les traités européens : harmonisation des niveaux de vie des états-membres.
Ce qui ne pourra se faire que par rabotage par le bas.
La politique BLM : déficit, dette dépassant l’entendement, inflation, entretenue par le Gvt, pourvoir d’achat en berne, …..va volontairement dans ce sens : paupérisation des citoyens .
Par contre, la chasse aux gros poissons des paradis fiscaux ,que des journalistes arrivent à débusquer mais que n’arrivent pas les ministères, les coupes drastiques à la tronçonneuse dans le train de vie de l’état (ministères, parlementaires…) , fauteuils dorés, les pratiques scandaleuses des hauts fonctionnaires, rien de tout cela n’est à l’ordre du jour.
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Des administration sous anesthésie générale depuis des décennies, la salle de réveil, inoccupé depuis, appelée Salle de Surveillance Post Interventionnelle. Du sommeil au réveil, et bien plus encore, les Conditions de travail lors d’exposition aux anesthésiques a pour conséquence, une tromperie de compétence.
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tu ne comprends pas la mission qu'on leur a confiée, sinon tu dirait d'eux qu'ils sont excellents
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Emmanuel Macron a enchaîné les réunions mercredi soir à l'Elysée sur le dérapage attendu du déficit public, qui menace la crédibilité de la France sur les marchés et nourrit un procès en "incompétence" budgétaire instruit par les oppositions.
L'Insee rendra son verdict le 26 mars, mais les chiffres ne sont pas bons et le gouvernement le sait: le déficit public 2023 sera "significativement" supérieur aux 4,9% du PIB prévus, a averti Bruno Le Maire. L'objectif d'un déficit ramené à 4,4% cette année apparaît hors de portée.
Selon le journal Les Echos, le gouvernement craint désormais un déficit public qui atteindrait 5,6% du PIB pour 2023. Le Figaro cite, lui, une source selon laquelle il atteindrait 5,5 % avec une marge d’erreur de 0,3 point.
Cette dérive des comptes s'est invitée à l'agenda d'Emmanuel Macron, qui a reçu en fin de journée son ministre de l'Economie, ainsi que ceux chargés des collectivités locales et des affaires sociales, Christophe Béchu et Catherine Vautrin. L'occasion de remettre sur la table certaines pistes déjà avancées par l'exécutif, notamment pour freiner les dépenses d'assurance chômage et de santé.
Le président a aussi convié mercredi à dîner les chefs des partis et groupes parlementaires qui composent sa majorité, pour tenter d'accorder les violons alors que des dissonances se font entendre. Leurs discussions se prolongeaient mercredi tard dans la soirée.
Un mois après avoir annoncé 10 milliards d'euros d'économies, Bruno Le Maire a de nouveau mis les pieds dans le plat dimanche, proposant de "remplacer l'Etat providence par l'Etat protecteur", car "la gratuité de tout, pour tous, tout le temps" est, selon lui, "intenable".
Initiative qui a agacé le chef de l'Etat: "Il devrait en parler à celui qui est ministre de l'Economie depuis sept ans", a raillé Emmanuel Macron, selon Le Canard enchaîné. Des propos confirmés à l'AFP par un familier du Palais.
Quelques députés plaident pour augmenter les impôts des "ultra-riches" ou des grandes entreprises, dont le chef du groupe MoDem Jean-Paul Mattei.
- "Résultats historiques" -
Mais pas question de toucher au levier fiscal, a rappelé mercredi Gabriel Attal. "Nous préférons augmenter la pression sur les fraudeurs plutôt qu'augmenter les impôts sur les Français", a déclaré le Premier ministre en présentant les "résultats historiques" du fisc, qui a recouvré plus de 15 milliards d'euros de fraude fiscale l'an dernier.
Mais pour les oppositions, le compte n'y est pas.
"Jamais on n'a eu des chiffres aussi épouvantables" en matière de déficit public, a affirmé sur France Inter la présidente des députés Rassemblement national, Marine Le Pen, fustigeant les "résultats pitoyables" et "l'incompétence de ce gouvernement dans le domaine financier".
Mêmes accusations à gauche du député La France insoumise Adrien Quatennens: "Ces gens-là sont de piètres économistes" qui "ont creusé le déficit et la dette pour faire des cadeaux toujours aux mêmes" et "n'ont pas à donner des leçons aux Français", a-t-il fustigé sur CNews et Europe 1.
Le président du parti des Républicains, Eric Ciotti, a dénoncé de son côté la "situation dramatique" des finances publiques françaises, assurant que le pays "emprunte le même chemin que la Grèce", dont l'économie s'est effondrée au début des années 2010.
"Les coups d'éclat dans les médias, c'est bien. Mais être en cohérence dans les débats à l'Assemblée nationale, c'est peut être mieux", a répondu la porte-parole du gouvernement Prisca Thevenot à l'issue du conseil des ministres, accusant LR de multiplier les "propositions" qui "vont dans un sens d'augmenter les dépenses de l'Etat".
L'exécutif, qui envisageait de présenter un budget rectificatif "à l'été", c'est-à-dire après les élections européennes du 9 juin, devra-t-il revoir son calendrier au risque d'un 49.3 et d'une censure?
A tout le moins, il faudra donner des gages avant le couperet des agences de notation: Fitch et Moody's le 26 avril, et surtout S&P le 31 mai, une semaine avant le scrutin.
gbh-lum-are-fff/hr/dch
© 2024 AFP
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