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L'UE veut taxer les céréales russes pour "assécher" les revenus de Mos

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Rollier1 Rollier1
24/03/2024 10:46:04
0

😊

  
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fipuaa fipuaa
23/03/2024 18:21:50
0

ben avec ça dans le caleçon il devait faire des dégâts !!

  
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Dubaisan Dubaisan
23/03/2024 11:25:27
5

Regarde au minimum si ton paquet ne brille par dans le noir....

Sans rigoler, faut se méfier quand même,

Lu hier, qu'un chinois de retour des USA a été arrêté par les douanes de Dalian son slip ayant déclenché le portique de détection d'éléments radioactifs. Après analyse, les fibres des sous-vêtements qu'il avait acheté contenait de ..l'americium 241 bien au-delà des doses admissibles....

  
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voxpop voxpop
23/03/2024 10:23:18
3

Ca fait deux ans que je n'ais plus besoin d'allumer la lumiere. Tout s'explique, donc !?

  
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waine70 waine70
23/03/2024 08:02:20
4

Au moins il y aura qlq chose qui brille !!!


....




Bon ok. Je sors ....

  
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fipuaa fipuaa
23/03/2024 08:00:35
6

sois vigilent, tu te laisses aller là; fais gaffe qd même car bouffer cette shit c'est pas très bon pour la santé et puis si les céréales utilisées viennent d'Ukraine pas besoin de t'expliquer en quoi elles seront chargées! Regarde au minimum si ton paquet ne brille par dans le noir....

  
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voxpop voxpop
22/03/2024 21:03:27
3

Bof ! Moi, tant que j'ai mes cereales au p'tit dej, je m'en fout d'ou qu'elles viennent. Mon p'tit confort avant tout...

  
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fipuaa fipuaa
22/03/2024 20:53:35
5

créer la famine en Europe, c'est le plan il me semble, on va encore se marrer!

  
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jipes jipes
22/03/2024 20:26:12
4

L'Union Européenne veut taxer les céréales russes, c'est louable, mais elle achète tout de même russe, c'est inconséquent !

Elle achète russe car elle en a besoin de ces céréales.

  
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Dubaisan Dubaisan
22/03/2024 18:44:14
3

Roro la tronçonneuse est encore passé par là.....

  
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moicmoi moicmoi
22/03/2024 17:06:35
7

papygaga
« « L'U.E. n'en est pas à une connerie près.
Il ne restera plus qu'à acheter du grain ukrainien, dont les américains sont devenus propriétaires...
» »

Quoi de surprenant ? Toutes les décisions prises par l’ E.U. sont dictées par les ricains, qui, à la finale, encaissent les dividendes des guerres qu'ils déclenchent partout à travers le monde.

Ah...ils sont beaux, nos amis !

j'ajouterais que les ricains sont gros producteurs de céréales.

  
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papygaga papygaga
22/03/2024 16:23:35
6

L'U.E. n'en est pas à une connerie près.

Il ne restera plus qu'à acheter du grain ukrainien, dont les américains sont devenus propriétaires...

  
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gars d1 gars d1
22/03/2024 13:08:31
3

La Russie trouvera d'autres débouchés pour ses céréales…


Pour rappel :


" Les prix à l'exportation du blé russe ont légèrement augmenté au cours des deux dernières semaines de vacances


Le 08 janvier 2024


Les prix à l'exportation du blé russe ont légèrement augmenté au cours des deux dernières semaines de vacances, alors que l'activité du marché est restée faible, ont déclaré les analystes lundi.

Le prix du blé russe à 12,5 % de protéines prévu pour une livraison franco à bord (FOB) en février était de 244 dollars par tonne métrique, en hausse de 1 dollar par rapport au niveau d'il y a deux semaines, a rapporté la société de conseil agricole IKAR.

"Le niveau de la demande est relativement faible et le niveau de prix de notre offre reste élevé", a déclaré le directeur d'IKAR, Dmitry Rylko, notant que l'impact des fortes gelées en Russie centrale et dans la région de la Volga sur l'état des cultures d'hiver n'a pas encore été pris en compte par le marché.

Il n'y a pas eu d'augmentation significative du rythme des expéditions de céréales en provenance des ports de la mer Noire, qui avaient fortement chuté en raison du temps orageux, a ajouté M. Rylko.

Le prix de l'huile de tournesol à l'exportation est resté à 780 dollars la tonne FOB, soit le même niveau qu'il y a deux semaines, selon IKAR.

La société de conseil agricole Sovecon, dans ses prévisions pour la nouvelle année, a estimé les exportations de blé de la Russie en décembre à 3,7 millions de tonnes, contre 4,1 millions de tonnes il y a un an.

Le gouvernement russe a approuvé fin décembre des quotas d'exportation de céréales russes pour l'année prochaine, d'un total de 24 millions de tonnes, contre 25,5 millions de tonnes en 2023. Les quotas d'exportation pour le blé et le méteil, le seigle, l'orge et le maïs seront en vigueur du 15 février au 30 juin.

L'Union russe des exportateurs de céréales a déclaré que les exportations de céréales russes depuis le début de la campagne jusqu'à la mi-décembre ont atteint un niveau record, les estimant à 30,8 millions de tonnes (+33% par rapport à la campagne précédente), dont 23,7 millions de tonnes (+23%) de blé.

Selon les données de Sovcon à la fin du mois de décembre, les semis de céréales d'hiver ont été effectués sur 18,6 millions d'hectares, contre 17,7 millions d'hectares l'année dernière.

  
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gars d1 gars d1
22/03/2024 13:08:31
0
La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a proposé jeudi d'imposer des droits de douane sur les céréales venant de Russie, lors d'une conférence de presse le 21 mars 2024 à la suite d'un sommet de l'UE à Bruxelles
La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a proposé jeudi d'imposer des droits de douane sur les céréales venant de Russie, lors d'une conférence de presse le 21 mars 2024 à la suite d'un sommet de l'UE à Bruxelles (AFP/KENZO TRIBOUILLARD)

Bruxelles a proposé vendredi d'imposer des droits de douane "prohibitifs" sur les produits agricoles russes importés dans l'UE, qui en sont actuellement exemptés au grand dam des agriculteurs européens, en vue d'"assécher" des revenus permettant à Moscou de financer sa guerre en Ukraine.

"Ces importations ont augmenté considérablement en 2023. Ces droits de douane prohibitifs les rendront non viables sur le plan commercial", les empêchant de "déstabiliser" le marché européen, a indiqué le commissaire chargé du Commerce Valdis Dombrovskis.

"Cela contribuera à mettre un terme à l'exportation vers l'UE de céréales ukrainiennes volées (...) et à assécher une source importante de revenus permettant (à Moscou) de financer sa guerre d'agression" contre l'Ukraine, a-t-il souligné.

Les produits agricoles du Bélarus, proche allié de Moscou, seront aussi visés.

En revanche, ces droits élevés ne concerneront pas le transit via l'UE de céréales et autres produits agricoles à destination de pays tiers, en Afrique ou au Moyen-Orient, afin de "préserver la sécurité alimentaire mondiale".

Et les engrais ne sont pas ciblés.

Le Kremlin a aussitôt critiqué la proposition, estimant que "les consommateurs européens souffriront" si elle s'applique.

La Russie a exporté 4,2 millions de tonnes de céréales, oléagineux et produits dérivés vers l'UE en 2023, pour une valeur d'1,3 milliard d'euros. Pour les seules céréales, l'UE a importé 1,5 million de tonnes l'an dernier, contre 960.000 en 2022, sur fond d'envolée de la production russe la saison dernière.

Les importations de céréales russes, très inférieures aux volumes venant d'Ukraine, constituent une infime partie (environ 1%) du marché européen.

- "Suffisamment élevés" -

En vertu des règles de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), la plupart des produits agricoles russes, notamment les céréales (maïs, tournesol, blé de qualité...), sont jusqu'à présent exemptés de droits de douane dans l'UE.

Dans les différents trains de sanctions adoptées contre Moscou depuis 2022, les Européens avaient pris soin de ne cibler ni le secteur agricole, ni les engrais. Ils redoutaient de déstabiliser les échanges et de fragiliser la sécurité alimentaire de pays d'Asie et d'Afrique dépendant de l'agriculture russe.

"Les nouveaux tarifs sont conçus pour être suffisamment élevés pour décourager les importations. Ils passeront soit à 95 euros par tonne", notamment pour les céréales, "soit à un droit de 50%" pour d'autres produits (huiles, légumes...), selon un responsable européen.

En outre, Bruxelles compte activer une clause d'exception pour faire en sorte que Russie et Bélarus n'aient "plus accès aux quotas céréaliers de l'OMC accordés par l'UE, qui offrent un meilleur traitement tarifaire", ajoute-t-il.

Un champ de blé à Karpenkovo, dans le sud-ouest de la Russie, non loin de la frontière ukrainienne, le 12 juillet 2020
Un champ de blé à Karpenkovo, dans le sud-ouest de la Russie, non loin de la frontière ukrainienne, le 12 juillet 2020 (AFP/Archives/Kirill KUDRYAVTSEV)

Cette proposition, qui intervient sur fond de colère des agriculteurs en Europe, devra être entérinée par une majorité qualifiée d'Etats membres (15 pays représentant 65% de la population de l'UE), sans requérir l'aval des eurodéputés.

Un processus plus aisé et rapide que l'adoption d'un embargo total, qui nécessiterait l'unanimité des Vingt-Sept.

-"Obligation morale"-

Un agriculteur dans un champ de l'exploitation Tchiorny Khleb (Pain noir), le 7 juin 2022 à Khotmanovo, en Russie
Un agriculteur dans un champ de l'exploitation Tchiorny Khleb ("Pain noir"), le 7 juin 2022 à Khotmanovo, en Russie (AFP/Yuri KADOBNOV)

La situation actuelle indignait Kiev: "Nous constatons que, malheureusement, l'accès de la Russie au marché agricole européen reste illimité", a déploré jeudi le président ukrainien Volodymyr Zelensky, s'adressant par visioconférence aux dirigeants européens réunis en sommet à Bruxelles.

A l'heure où des agriculteurs polonais mécontents bloquent la frontière avec l'Ukraine, "c'est injuste", avait-il dénoncé.

L'UE se prépare par ailleurs à plafonner les importations de volailles, oeufs, sucre, maïs et avoine ukrainiens, exemptées de droits de douane depuis 2022.

De leur côté, la République tchèque, la Pologne et les trois Etats baltes réclament une interdiction complète des importations de céréales de Russie et du Bélarus, une "obligation morale" selon eux.

Le mois dernier, la Lettonie a déjà interdit l'importation de produits alimentaires de Russie et du Bélarus.

De leur côté, les céréaliers européens, notamment en France, s'inquiètent de voir la Russie tirer vers le bas les prix mondiaux et bousculer les équilibres des échanges, d'autant que la production agricole russe a fortement bondi l'an dernier.

Encouragé par les difficultés de Kiev à livrer ses céréales et oléagineux à ses marchés traditionnels, Moscou a lancé depuis deux ans une vaste offensive commerciale en Afrique et au Moyen-Orient, notamment via des dons ou livraisons subventionnées très médiatisées.

© 2024 AFP

  
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