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PEA, assurance-vie, PEL, le coup de massue surprise

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CRI74 CRI74
01/03/2015 00:43:36
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Moicmoi , les mesures préconisées vont en grande partie dans un bon sens qui ferait plaisir à la population, sans constituer une solution majeure bien que nécessaire .
L'économie de toutes les mesures mises bout à bout n'atteindrait pas le milliard .
On en cherche 2000 !
  
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moicmoi moicmoi
28/02/2015 22:12:50
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++..il n'y a pas d'autre solution qu'une nouvelle euthanasie des rentiers…++
Combien d’années d’études pour en arriver à cette conclusion ? Et le pire, c’est que les politiques seront d’accord avec leurs conneries.
Mais bien sûr que si, qu’il il y une autre voie. J’en vois même 2. (Mais, sans doute que comparé aux super-économistes de renom, je suis trop con pour avoir un avis sensé. )
1 : l’Etat réduit son train de vie. Par quel artifice ? Tout le monde le sait (sauf les politiciens):
• réduire considérablement le nombre de parasites (souvent appelés parlementaires). Supprimer TOUS leurs avantages, que ce soit au niveau salaire, retraite, avantages en nature, etc…..On casse tout !
• réduire considérablement le nombre de ministères, pour ne s’en tenir qu’aux ministères régaliens.
• réduire considérablement le nombre de fonctionnaires, et mieux payer ceux qui resteront. Les autres….. qu’ils créent donc des entreprises.
• réduire considérablement le nombre de « couches-planques et fauteuil dorés» (le fameux millefeuille)
• Revoir le financement des syndicats, partis politiques…Les rendre moins « sangsues » du contribuable, et les obliger à vivre de leurs cotisations. Cela évitera bien de rentes de situation, bien des abus.
• Aligner les régimes spéciaux sur le privé. Tout le monde pareil, selon le principe de ce qui est gravé sur le fronton de nos mairies.
• Les réceptions de chefs d’Etats étrangers ? Sans les mettre au régime « sandwich-sardines », on peut là aussi faire de sérieuses économies.
• Etc...etc…
2 : Rendre les dirigeants politiques responsables de leurs actes, sur leur patrimoine. Comme dans le privé, pour les dirigeants d’entreprises. Obligation de résultats. Mettre fin au : responsable mais pas coupable.
Voici donc 2 principes qui changeraient beaucoup de choses.
Et il y a sûrement d’autres pistes que je n’ai pas le temps d’explorer.
Il serait grand temps que l'on foute tout ce beau monde à la poubelle.
  
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rirto rirto
28/02/2015 21:30:34
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Pour guérir d'un excès de dettes, un endettement encore plus grand est une impasse. Des économistes cherchent d'autres solutions, qui passent par l'impôt ou le défaut. Dans les deux cas, l'épargnant est le perdant.

Un drogué peut-il lutter contre une overdose avec un shoot encore plus puissant ? Evidemment non. Un ivrogne contre le coma éthylique en ouvrant une nouvelle bouteille ? Pas plus. Une économie contre un excès de dettes en empruntant encore plus ? Sans doute pas… sauf que les gouvernants des pays avancés racontent aujourd'hui le contraire. Cinq ans après avoir connu une terrible crise de surendettement, le monde occidental serait aujourd'hui reparti sur la voie de la croissance avec une dette encore plus élevée (à l'exception notable de l'Allemagne). Le fardeau dépasse pourtant désormais deux années de PIB. La faute à la dette publique, bien sûr, mais aussi à la dette privée. Dans un pays comme la France, la dette des entreprises et des particuliers a augmenté de 30 points de PIB en une décennie - autant que celle de l'Etat.

Au risque de se répéter, il n'y a que quatre moyens de se débarrasser de ce satané excès de dette. Le premier est la croissance, qui donne des moyens supplémentaires pour honorer ses engagements. Mais elle est plombée, à la fois par le fardeau financier, les destructions de capital humain et physique provoquées par la crise et des gains de productivité amoindris. Le deuxième est l'inflation, qui érode la valeur réelle de la dette et de son service. Mais le surplomb de dette freine les prix et les banques ont trop besoin d'argent pour faire circuler les énormes quantités fabriquées par les banques centrales. Sans oublier le vieillissement de la population, qui induit une préférence accrue pour une stabilité des prix préservant l'épargne. Le troisième moyen est la rigueur. On se serre la ceinture pour rembourser. Mais, à trop serrer, on risque l'étouffement, comme l'a montré l'histoire de l'Europe ces trois dernières années. Reste alors… le défaut.

Au début de la crise, il relevait de l'impensable - et de l'impensé. Le défaut était certes dans le champ du possible pour un particulier ou une entreprise, mais pas pour un Etat développé. La sphère financière a mobilisé tous ses canaux d'influence - déclarations publiques de dirigeants, lobbying dans les coulisses, doctes analyses d'économistes - pour expliquer qu'un défaut public mettrait par terre tout le système bancaire, et qu'il était donc inconcevable. Que le contribuable paie ! Le contribuable a donc payé. Et, tout en affirmant l'impossibilité du défaut, les banques privées s'y sont préparées en se délestant des obligations venant d'Etats jugés fragiles, tombées d'une manière ou d'une autre dans le giron public (symétriquement, les Etats ont adopté de nouvelles réglementations contraignant les banquiers à conserver des montagnes d'obligations publiques dans leurs bilans).

Malgré tout, trois défauts d'Etat ont eu lieu. Après des négociations homériques, les investisseurs privés ont dû accepter de perdre plus de 100 milliards d'euros en Grèce. Ils ont subi une restructuration de la dette en Irlande, d'une telle complexité qu'elle a échappé à la plupart des observateurs. Et à Chypre, les détenteurs de comptes bancaires ont été proprement ratiboisés sur leurs encours au-delà de 100.000 euros. Le défaut est désormais dans le paysage. Il est même envisagé pour la première puissance financière du monde ! A vrai dire, rien de neuf sous le soleil. Keynes avait envisagé le défaut pour la France des années 1920, surendettée par la guerre, avant de préconiser finalement l'inflation. A l'époque, le salut vint de la croissance…

Un défaut d'Etat a toutefois deux coûts majeurs. D'abord, le failli ne trouve plus de prêteur, au moins pendant un certain temps. Ensuite, une faillite pourrait déclencher un effet domino dans un système bancaire trop enchevêtré pour être lisible. Du coup, les économistes cherchent d'autres solutions, d'autres façons de voir. Dans un article académique paru le mois dernier, signé notamment par le prix Nobel 2011 Thomas Sargent, des chercheurs de la New York University et de Princeton ont bâti un modèle où le niveau de la dette publique n'a parfois aucune importance. Tout dépend des inégalités de revenus et de détention de la dette publique. « Pendant les récessions accompagnées d'inégalités accrues, il est optimal d'accroître les impôts, les transferts et la dette publique », estiment ainsi les auteurs.

Les experts du FMI sont aussi en quête. Dans leur dernier « Moniteur des finances publiques » titré « Taxing Times », ils explorent systématiquement les hausses d'impôt envisageables pour ramener les pays développés vers des trajectoires budgétaires soutenables. Ils recommandent une hausse de la TVA, un impôt inventé par la France, qui pratique un taux moindre que nombre de ses voisins. Ils estiment aussi qu'il y a de la marge pour l'impôt sur les patrimoines et sur le revenu des plus aisés. La France a ici moins de champ, les 10 % les plus aisés payant 54 % des impôts sur le revenu et cotisations contre 35 % en moyenne dans les pays avancés. Le FMI envisage enfin, dans un petit encadré logé après la conclusion, une taxe exceptionnelle de 10 % sur le patrimoine privé des Européens (net d'emprunts). Dans un article publié en 2011 , deux consultants du BCG, David Rhodes et Daniel Stelter, envisageaient un prélèvement analogue, de 11 à 30 % selon les pays. Keynes, lui, avait évoqué en 1926 un prélèvement général sur le capital. Ici, l'impôt n'est plus très éloigné du défaut.voir aussi : http://www.choisirassurance.net/comparatif-assurance-deces.php Pour sortir vraiment de la crise de la dette, il n'y a pas d'autre solution qu'une nouvelle euthanasie des rentiers. Elle reste à venir.

Message complété le 30/05/2015 00:11:45 par son auteur.

Pour guérir d'un excès de dettes, un endettement encore plus grand est une impasse. Des économistes cherchent d'autres solutions, qui passent par l'impôt ou le défaut. Dans les deux cas, l'épargnant est le perdant.

Un drogué peut-il lutter contre une overdose avec un shoot encore plus puissant ? Evidemment non. Un ivrogne contre le coma éthylique en ouvrant une nouvelle bouteille ? Pas plus. Une économie contre un excès de dettes en empruntant encore plus ? Sans doute pas… sauf que les gouvernants des pays avancés racontent aujourd'hui le contraire. Cinq ans après avoir connu une terrible crise de surendettement, le monde occidental serait aujourd'hui reparti sur la voie de la croissance avec une dette encore plus élevée (à l'exception notable de l'Allemagne). Le fardeau dépasse pourtant désormais deux années de PIB. La faute à la dette publique, bien sûr, mais aussi à la dette privée. Dans un pays comme la France, la dette des entreprises et des particuliers a augmenté de 30 points de PIB en une décennie - autant que celle de l'Etat.

  
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Pedru Pedru
30/09/2013 19:10:04
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Une escroquerie , une de plus , qui peut avoir confiance dans le gouvernement Français ????
Dans quel pays démocratique peut on faire une chose pareil ?????
Aux US le gouvernement aurait 100 000 procès en quelques heures, en France l'escroquerie des politiques est.......banal
Pauvre France
  
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ray71 ray71
30/09/2013 09:39:19
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hou la .la...voila que maintenant la droite ( royaliste ) devient révolutionnaire on aura tout vu ...
pour être révolutionnaire il faut descendre dans la rue et accepter de prendre des gnons dans les dents mais c'est pas pour demain encore...

comme dit dans la chanson que j'aime beaucoup d' AUBERT (groupe téléphone )

"puisque les révolutions , se font maintenant a la maison , et que lorsque le monde implose ce n'est qu'une nouvelle émission "
"il temps a n'veau ,temps a n'veau de prendre le souffle nouveau , il est temps a n'veau de se jeter a l'eau , de se jeter a l'eau ...."
  
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Mikel44300 Mikel44300
30/09/2013 08:56:16
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Il reste aux Français leur bulletin de vote.
Nous allons nous exprimer!!! et chasser définitivement cette majorité à jamais.
  
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bugle83 bugle83
29/09/2013 15:40:49
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Il faut rouvrir la BASTILLE et aiguiser la GUILLOTINE.
La REVOLTE gronde citoyens et citoyennes
  
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bugle83 bugle83
29/09/2013 15:36:51
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quelle hypocrisie. N'importe comment tout ce que dit hollande il faut comprendre le contraire.
Pauvre France avec des anes comme ça au gouvernement.
ENA (école nationale des anes)
  
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blackcat29 blackcat29
29/09/2013 12:28:55
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Voilà une belle mesure qui ne peut que favoriser l'investissement et l'épargne dans notre pays.
Même si elle est déclarée anti-constitutionnelle; elle montre bien l'ignominie de ce gouvernement et de son président "normal". Il faut dire que le gâteau est tentant; le français est une bonne petite fourmi qui sait mettre de côté...
  
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domiq domiq
28/09/2013 20:00:03
0
foutre le camp de ce pays ou faire la révolution.Personnellement je préfère et de loin la deuxieme solution après tout ce pays qui est magnifique nous appartient a NOUS FRANCAIS
  
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côteouest côteouest
28/09/2013 19:36:11
0
OK Félicitation pour les inventeurs.
A virer au plus vite ........Bleu couleur d'avenir
  
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côteouest côteouest
28/09/2013 19:36:11
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OK Félicitation pour les inventeurs.
A virer au plus vite ........Bleu couleur d'avenir
  
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côteouest côteouest
28/09/2013 19:26:12
0
C'est OK a virer dans les plus bref délais
Bleu c'est une couleur qui a de l'avenir .
  
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AD09 AD09
28/09/2013 17:29:21
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il faut condamner ,en justice, de crime de lèse nation :

les ministres , les députés , le président qui promulguent cette loi


Message complété le 28/09/2013 20:10:36 par son auteur.

Crime de lèse-nation

Le crime de lèse-nation qualifie les desseins nuisibles à la nation. Le crime de lèse-nation remplaça sous la Révolution le crime de lèse-majesté.

Le 30 novembre 1789, on décréta de crime de lèse-nation : Charles-Eugène de Lorraine, Pierre Joseph Victor de Besenval, Charles Marie Auguste Joseph de Beaumont, comte d'Autichamp, Victor-François de Broglie (1718-1804), Charles Louis François de Paule de Barentin garde des Sceaux, Louis Pierre de Chastenet de Puységur ministre de la Guerre. Ils furent suspectés d'avoir eu l'intention de faire mitrailler la foule des émeutiers «paisiblement» employée à prendre la Bastille. Augeard, à l'origine d'un projet qui avait pour but l'enlèvement de Louis XVI de France afin de le mettre en sécurité à Metz, Thomas de Mahy de Favras qui projetait de recruter une armée pour faire fuir Louis XVI et l'emmener loin de Paris sous la protection de cette armée à Péronne, l'abbé Douglas et Régner qui avaient levé des personnes pour accompagner le souverain dans sa fuite, le chevalier de Reutlge qui aurait essayé d'empêcher les boulangers de faire leur pain, un nommé Deschamps, qui fut accusé de manigancer un complot dont le but était d'empêcher les fermiers de battre et de vendre leur grain, les auteurs et leurs complices qui tentèrent d'attenter à la vie du roi lors des Journées des 5 et 6 octobre 1789. Le délire de persécution provoqua une exécution, celle de Thomas de Mahy de Favras, le 29 février 1790

  
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doumin doumin
28/09/2013 15:07:41
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je ne vois pas comment cette mesure peut être déclarée constitutionnelle. Outre le fait qu'elle est rétroactive sur 16 ans (!!!), les intérêts du PEL sont assujettis à l'impôt sur le revenu depuis 2006, et on paye des impôts sur des intérêts qui ne seront jamais versés puisque ceux-ci vont être fortement réduits.
On espère que les membres de ce conseil ne soient pas encore complètement gaga.
  
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promachos promachos
28/09/2013 15:03:24
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L'état freine l'investissement dans économie réel dans les assurance vie et le pea . Les conséquences seront rapidement visible .moins investissement et moins emploi voila
Scandaleux de taxer les gens de manière rétroactive on fait les poches français !quelle bande escrocs!
Que le PS dégage et nous foutte la paix !!!!!
  
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polimu polimu
28/09/2013 13:15:36
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A part contre le mariage gay personne ne manifeste ,ils auraient tort de se gener et ce n est que le debut.
  
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Joel38 Joel38
28/09/2013 12:33:07
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Après le matraquage fiscal, le matraquage réroactif sur 14 ans, qui dit mieux? On croit rêver mais non, c'est juste le dernier délire en date de nos gouvernants dont l'incurie n'a d'égale que leur imagination débordante en matière de fiscalité.

J'espère que les parlementaires de l'opposition ne tarderont pas à saisir le conseil constitutionnel pour faire arrêter ce délire rétroactif.... Messieurs les députés de l'UMP, à vous de jouer.
  
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Joel38 Joel38
28/09/2013 12:33:07
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Le projet de loi de financement de la sécurité sociale, présenté la semaine dernière, a réservé une bien mauvaise surprise aux épargnants.


En effet, le gouvernement à modifié sensiblement la fiscalité de plusieurs produits d'épargne, comme le PEA, le PEL ou encore l'assurance-vie.


Ces derniers sont exonérés d'impôt sur le revenu sous certaines conditions de détention. Par contre, les épargnants payent les prélèvements sociaux sur les bénéfices. Néanmoins, la règle qui prévalait jusqu'à maintenant était d'appliquer le taux des prélèvements sociaux en fonction de la date d'antériorité des bénéfices.


Le taux de la CSG n'ayant cessé de flamber au cours de ces dernières années, elle touchait les revenus de ces produits de manière progressive. Ainsi, les gains réalisés entre 1990 et 1995 n'étaient pas assujettis aux prélèvements sociaux, à partir de 1997 la taxe était de 3,9 % puis progressivement elle montait jusqu'au taux actuel de 15,5 % en fonction de la date des gains réalisés sur ces différents produits d'épargne.


Désormais, la règle a bien changé et va pénaliser fortement ceux qui avait investi leur épargne à long terme. En effet, le gouvernement a proposé de supprimer la progressivité des prélèvements sociaux et d'assujettir l'ensemble des gains réalisés depuis 1997 au taux unique de 15,5 % !


Pour l'État, la mesure devrait rapporter environ 600 millions d'euros dès l'an prochain. Une mesure qui sort de nulle part et à laquelle personne ne s'attendait.


Les contribuables sont en outre totalement piégés puisque cette mesure s'applique depuis le 26 septembre c'est-à-dire le jour de son annonce. La communication du gouvernement laisse par ailleurs pantois, ce dernier indique qu'il a choisi cette voie pour une plus grande simplification... Peut-être faudra-t-il de remercier au passage de nous faciliter les calculs de prélèvements sociaux...

© www.abcbourse.com

  
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