Zone euro: la croissance s'accélère en juillet selon Markit.
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quand on a une locomotive qui part à contre sens, combien de temps continuera-t-elle à pouvoir financer les wagons qui poussent derrière ? pour mémoire on vient de s'en prendre un de plus
çà marche à contre sens cette construction de cette Europe
les européens ne cessent de le dire, mais on continue à aller dans le mur à pleine vitesse
le déraillement se rapproche avec 2 locomotives qui vont pas dans le même sens !
le retournement est-il là finalement ???
pas MDR
çà marche à contre sens cette construction de cette Europe
les européens ne cessent de le dire, mais on continue à aller dans le mur à pleine vitesse
le déraillement se rapproche avec 2 locomotives qui vont pas dans le même sens !
le retournement est-il là finalement ???
pas MDR
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Le FMI a revu ses prévisions de croissance, notamment celle de l'Europe qui en moyenne devrait croître de 1.1% contre 3.4% pour le PIB mondial, soit une révision en baisse de 0.3.
Cette année, l'Europe restera à la traîne
Cette année, l'Europe restera à la traîne
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Tant que la FRANCE sera au service de ses fonctionnaires qui accaparent tous les pouvoirs et se moquent des principes démocratiques , elle restera en queue du peloton européen
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Des signes de reprise mais pas suffisants pour avoir un impact sur l'emploi.
Euro-area manufacturers reported further growth of production, new orders and new exports, according to today’s report. Yet, performance across the 18-nation region diverges.
Factory activity strengthened in Germany and contracted at the fastest pace this year in France. A measure for services signaled expansion at the fastest pace in three year in Europe’s largest economy, and the first month of growth since April in its neighboring country.
While France’s economy “is stagnating at best,” Germany’s “is growing at a robust 0.7 to 0.8 percent pace at the start of the third quarter,” said Chris Williamson, chief economist at Markit, who predicts the euro-area economy grew 0.4 percent in the second quarter, following a 0.2 percent expansion in the three months through March.
“Business activity picked up again in July to suggest that the economy is growing at one of the strongest rates we have seen in the past three years,” he said. At the same time, “growth is not fast enough to encourage firms to take on staff in sufficiently large numbers to have a meaningful impact on unemployment.”
Joblessness held at 11.6 percent in May, close to a record high. The ECB predicts the rate will drop to an average of 11 percent in 2016, while it sees growth accelerating to 1.8 percent from 1 percent this year.
Euro-area manufacturers reported further growth of production, new orders and new exports, according to today’s report. Yet, performance across the 18-nation region diverges.
Factory activity strengthened in Germany and contracted at the fastest pace this year in France. A measure for services signaled expansion at the fastest pace in three year in Europe’s largest economy, and the first month of growth since April in its neighboring country.
While France’s economy “is stagnating at best,” Germany’s “is growing at a robust 0.7 to 0.8 percent pace at the start of the third quarter,” said Chris Williamson, chief economist at Markit, who predicts the euro-area economy grew 0.4 percent in the second quarter, following a 0.2 percent expansion in the three months through March.
“Business activity picked up again in July to suggest that the economy is growing at one of the strongest rates we have seen in the past three years,” he said. At the same time, “growth is not fast enough to encourage firms to take on staff in sufficiently large numbers to have a meaningful impact on unemployment.”
Joblessness held at 11.6 percent in May, close to a record high. The ECB predicts the rate will drop to an average of 11 percent in 2016, while it sees growth accelerating to 1.8 percent from 1 percent this year.
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Les entreprises françaises font état d'une baisse de l'activité pour le troisième mois consécutif, alors que les Allemandes signalent la plus forte croissance de l'activité depuis avril.
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la France serait-elle le maillon faible ? une locomotive qui recule ?
Les entreprises françaises font état d'une baisse de l'activité pour le troisième mois consécutif, alors que les Allemandes signalent la plus forte croissance de l'activité depuis avril.
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la France serait-elle le maillon faible ? une locomotive qui recule ?
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La FRANCE reste le mauvais élève.
Mais si nous avons un ou une commissaire à l'économie pour l'Europe nous pourrons leur faire appliquer nos méthodes qui nous ont menées au succès que le monde entier nous envie.
Candidats cités : MOSCOVICI "génial" ministre des finances du premier gouvernement HOLLANDE
GUIGOU , certes assez riche ? SIGNE DE REUSSITE ECONOMIQUE pour entrer dans un gouvernement HOLLANDE , personne d'une très grande intelligence si l'on juge par ses diplômes dont l'ENA mais qui a été utilisée par son parti dans bien des postes très différents qui lui ont vraisemblblement interdit d'en connaître à fond un seul : "dicton qui trop embresse mal étreint" et c'est vraiement dommage.
Mais si nous avons un ou une commissaire à l'économie pour l'Europe nous pourrons leur faire appliquer nos méthodes qui nous ont menées au succès que le monde entier nous envie.
Candidats cités : MOSCOVICI "génial" ministre des finances du premier gouvernement HOLLANDE
GUIGOU , certes assez riche ? SIGNE DE REUSSITE ECONOMIQUE pour entrer dans un gouvernement HOLLANDE , personne d'une très grande intelligence si l'on juge par ses diplômes dont l'ENA mais qui a été utilisée par son parti dans bien des postes très différents qui lui ont vraisemblblement interdit d'en connaître à fond un seul : "dicton qui trop embresse mal étreint" et c'est vraiement dommage.
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(CercleFinance.com) - Selon l'estimation 'flash' de l'indice PMI Markit, la croissance économique de l'Eurozone enregistre un rebond en juillet, se redressant de 52,8 en juin (plus bas de six mois) à 54.
L'indice de juillet égale ainsi le plus haut de près de trois ans observé en avril et dépasse les moyennes enregistrées au cours des deux premiers trimestres de l'année.
De nombreuses entreprises signalent un rebond de leur activité au cours du mois, après qu'un nombre inhabituel de jours fériés et que les répercussions d'un hiver peu rigoureux aient freiné la croissance de celle-ci au cours des mois précédents.
Les entreprises françaises font état d'une baisse de l'activité pour le troisième mois consécutif, alors que les Allemandes signalent la plus forte croissance de l'activité depuis avril.
Dans les autres pays, l'activité enregistre sa plus forte expansion mensuelle depuis août 2007 et le volume des nouvelles commandes affiche sa plus forte hausse depuis sept ans.
'Même si la croissance s'intensifie, la hausse du PIB reste modeste, les données PMI de juillet suggérant un taux d'expansion trimestriel de l'ordre de 0,4%', note Chris Williamson, chief economist à Markit.
'Les tensions géopolitiques, et notamment les craintes quant aux conséquences économiques qui pourraient découler de l'aggravation de la situation en Ukraine, expliquent en partie la faiblesse de la croissance', explique-t-il.
Copyright © 2014 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
L'indice de juillet égale ainsi le plus haut de près de trois ans observé en avril et dépasse les moyennes enregistrées au cours des deux premiers trimestres de l'année.
De nombreuses entreprises signalent un rebond de leur activité au cours du mois, après qu'un nombre inhabituel de jours fériés et que les répercussions d'un hiver peu rigoureux aient freiné la croissance de celle-ci au cours des mois précédents.
Les entreprises françaises font état d'une baisse de l'activité pour le troisième mois consécutif, alors que les Allemandes signalent la plus forte croissance de l'activité depuis avril.
Dans les autres pays, l'activité enregistre sa plus forte expansion mensuelle depuis août 2007 et le volume des nouvelles commandes affiche sa plus forte hausse depuis sept ans.
'Même si la croissance s'intensifie, la hausse du PIB reste modeste, les données PMI de juillet suggérant un taux d'expansion trimestriel de l'ordre de 0,4%', note Chris Williamson, chief economist à Markit.
'Les tensions géopolitiques, et notamment les craintes quant aux conséquences économiques qui pourraient découler de l'aggravation de la situation en Ukraine, expliquent en partie la faiblesse de la croissance', explique-t-il.
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