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La Grèce : les chantiers ne manquent pas



moicmoi moicmoi
15/07/2015 09:12:29
1
++..Les créanciers ont salué ces décisions mais on en exige plus encore à l'Eurogroupe , du moins pour une minorité agissante au point de s'interroger sur la nationalité des extrémistes…++
Il est clair que le seul objectif des charognards est de mettre des fers au poignets et chevilles du petit Grec, un large ruban adhésif sur le bec, et de le faire défiler dans les rue d’Europe vêtu d’un simple slip qui ressemblera à un sac à patates.
Image d’Epinal très forte, mais symbolique des pratiques des salaucrates de Bruxelles.
Et de plus, ils ne sont pas du tout gênés de faire crever tout un peuple, et de l’enfoncer délibérément encore plus dans la merde. En nommant ce peuple comme étant seul responsable. Et en affirmant que les salaucrates de Bruxelles, et d’ailleurs, sont blancs comme neige, et purs comme des anges. Qu’ils sont les sauveurs du monde, alors qu’ils ne sont que des charognards . Encore que …… les charognards sont utiles dans la nature, alors que les salaucrates ?.....
Le message ? :. Vous, qui avez des idées de remettre en cause notre suprématie, voyez ce qui vous attend ! Voyez le sort qui vous est réservé !

  
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alexandre alexandre
15/07/2015 07:54:49
1
Enfin, pour une fois, le FMI ne cache pas la réalité et la gravité de la crise grecque en admettant que la dette grecque devra être fortement allégée
C'est aussi la condition exigée par le FMI à tout nouveau prêt
  
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prudence prudence
11/07/2015 18:06:41
2
Le problème c'est que la pression ça énerve les allemands plus que ça ne les calmes, ils sont très têtu.
  
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colet colet
11/07/2015 18:02:11
2
oh, çà met simplement la pression sur l’Allemagne
c'est juste un retour de bâton

  
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prudence prudence
11/07/2015 18:00:55
0
Comme quoi toute vérité n'est pas bonne à dire...
  
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alexandre alexandre
11/07/2015 17:41:17
1
Avec Yanis, l'expert en 'communications', les Grecs ont un homme qui aime bien jeter de l'huile sur le feu de peur qu'il ne s'éteigne trop vite .....



http://www.france24.com/fr/20150711-grece-yanis-varoufakis-guardian-allemagne-grexit-intimider-france-schauble-macron
  
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alexandre alexandre
10/07/2015 08:11:19
0
Bjr

<p>Espérons qu"il n'y aura pas d'autre financement additionnel. Et que Tsipras reussise à ramener la croissance dans son pays.
Que cete crise fasse réfléchir les politiques européens sur l'incapacité de certains technocrates et politiciens corrompus </p>


Dans cette crise les créanciers ont également leur part de responsabilité. Et elle est lourde car ils auraient dû se poser des questions sur le niveau de la dette grecque bien avant qu'elle ne représente plus de 180% du PIB.

  
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fipuaa fipuaa
10/07/2015 07:46:25
0
Salut Alexandre

c'est sans surprise
  
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alexandre alexandre
10/07/2015 07:44:23
0
Selon le NYT, la dernière demande de Tsipras d'un financement sur trois ans est en bonne voie d'être acceptée. Les Grecs ayant finalement accepté les conditions d'austérité posées par leurs créanciers.
Par ailleurs la restructuration de la dette serait également à l'ordre du jour et l'Allemagne ne s'y opposerait plus.



  
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colet colet
07/07/2015 15:23:33
2
alors pourquoi annuler la leur, et pas celle des nôtres ?
qui en plus risque de nous mettre les 2 pieds dedans
même le coq risquerait de ne plus chanter dans ce cas
  
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alexandre alexandre
07/07/2015 15:21:48
1
La dette de la Côte d'ivoire n'est pas comparable à celle de nos amis grecs qui se chiffre centaines de milliards

Message complété le 07/07/2015 15:22:20 par son auteur.

En centaines de milliards

  
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colet colet
07/07/2015 14:26:12
0
est ce que vous avez vu cela ?
info passée en petite ligne en bas d'écran ...
çà donne juste un aperçu
je me demande même comment cela est pris en Grèce !


http://fr.allafrica.com/stories/201507070435.html

Message complété le 07/07/2015 14:34:08 par son auteur.

et de par la France ... avec le sourire SVP
http://www.canalfrance.info/La-France-annule-la-dette-de-la-Cote-d-Ivoire-estimee-a-3-milliards-d-euros_a412.html
passé comme une lettre à la poste ... à vos frais
et maintenant on nous fait des convulsions grecques ?

  
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CRI74 CRI74
06/07/2015 23:08:17
1
On trouve quelques déclarations intéressantes ce soir (6/07)

<p>_ Le tandem Hollande Merkel parle d'une voix et laisse une porte ouverte à la Grèce sous couvert de propositions crédibles
_ Le FMI annonce à 22h qu'il souhaite aider la Grèce bien que les arriérés doivent être levés avant de pouvoir le faire
_ Les premières déclarations du nouveau ministre des finances optent pour une négociation sur des bases sérieuses
_ La BCE poursuit son soutient aux banques via l'ELA


Et ce qui n'est pas dit :
Grexit , puis Grechin ou Grerus , par exemple , en amical assistance des ex blocs communistes , vautours récupérateurs avisés des dépouilles européennes .
Feuilleton à suivre

</p>
  
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colet colet
06/07/2015 09:43:36
0
c'est la demande de Tsipras la semaine dernière
pas la proposition du FMI
qui a d'ailleurs été très critiqué la semaine passée
  
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alexandre alexandre
05/07/2015 09:23:08
2
Une proposition du FMI dont personne ne veut actuellement débattre. Elle suggère un allègement de 30% de la dette, un allongement de la période de remboursement porté à 40 ans et une période de non remboursement de 20 ans
Tsipras est preneur. .....
  
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moicmoi moicmoi
03/07/2015 17:35:31
3
++..C'est aussi un déni de la démocratie représentative: élu pour gouverner, Alexis Tsipras a conduit son pays dans l'impasse. Il prend en otage le peuple grec par un processus plébiscitaire….++
J’apprécie la définition du déni de démocratie.
Faut-il comprendre que pour ce sieur Jean-Marie Colombani, la démocratie c’est gouverner un pays sans s’occuper de ce que pense son peuple ?

  
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jipes jipes
03/07/2015 15:40:09
1
Navrant (à mon tour je n'en dirais pas plus).

Message complété le 03/07/2015 15:40:46 par son auteur.

ah oui, j'oubliais "lamentable".

  
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realnogains realnogains
03/07/2015 14:26:24
0
Rien de plus à ajouter tout est là

Alexis Tsipras et son parti Syriza ont montré leur vrai visage: celui d’un groupe de rupture, antisystème, anticapitaliste, et pour finir anti-européen, dont le modèle, s’il existe, doit être recherché du côté du Venezuela de feu Hugo Chavez. Un national-populisme avec comme moteur en lieu et place de la dénonciation du diable américain, une intense propagande anti-allemande faisant de la seule Angela Merkel la responsable de tous les maux de la Grèce. On comprend mieux désormais pourquoi, en quête d’un allié au lendemain des élections législatives qui l’ont porté au pouvoir, alors que des petits partis pro-européens étaient disponibles, Alexis Tsipras avait choisi «les Grecs indépendants», c’est-à-dire un mouvement authentiquement d’extrême-droite, antisémite et anti-européen.

La proposition de loi, par ailleurs juridiquement discutable, votée à la hâte pour organiser le référendum pour ou contre un accord avec l’Eurogroupe, a été approuvée par trois partis: Syriza, les Grecs indépendants et… Aube dorée, mouvement néo-nazi.
Chantage

Dans une première phase de la discussion avec les créanciers de la Grèce, le gouvernement d’Athènes avait paru s’installer dans une partie de poker menteur dont on pensait qu’elle ne durerait pas. Le chantage était le suivant: nous sommes un Lehman Brothers new look (cette banque d’affaires dont la faillite avait précipité la crise financière internationale en 2008) donc les Européens ne pourront pas, in fine, ne pas accepter d’effacer tout ou partie de notre dette. Pour l’obtenir, il nous suffira de faire quelques pas dans leur direction. Ce scénario avait paru se dessiner à l’approche d’une première date butoir, pour un remboursement au FMI le 30 juin. Puis, alors que tout le monde semblait convaincu de la possibilité d’un accord, Alexis Tsipras a levé le voile. Il organise un référendum pour ou contre un texte qui en fait n’existe pas puisqu’il n’a pas voulu d’un accord.

En outre, les propositions sur lesquelles il veut faire voter ne sont pas celles de la Commission ni celles des autres membres de l’Eurozone. Jean-Claude Juncker l’a expliqué: les propositions mises en avant dans le référendum ne sont pas celles qui ont été discutées à Bruxelles dans la dernière ligne droite. Exemple, Tsipras assure que l’Eurozone veut une fois de plus réduire les pensions de retraités alors qu’il s’agit en fait, pour que le système puisse perdurer, de repousser, comme partout ailleurs, l’âge de la retraite (aujourd’hui, l’âge de départ à la retraite à taux plein est de 60 ans).
Corruption et clientélisme

Deux arguments sont généralement énoncés en faveur de l’attitude grecque, outre bien sûr l’attrait idéologique de Syriza aussi bien auprès de l’extrême-gauche que de l’extrême-droite. En premier lieu, la dénonciation de l’austérité imposée de l’extérieur comme principale cause de la crise. En second lieu, la justification démocratique de l’appel au peuple par la voie du référendum.

Il faut rappeler que la crise grecque est avant tout la conséquence des dérives d’un système très largement corrompu et clientéliste

Il faut rappeler que la crise grecque est avant tout la conséquence des dérives d’un système à bout de souffle dont on sait qu’il est très largement corrompu et clientéliste. Et sans que jamais les deux grandes «institutions» que sont les armateurs et l’Eglise orthodoxe ne soient mises à contribution. Comme l’a confié récemment une ancienne ministre grecque de l’éducation: «j’ai officiellement fermé 500 classes… dont 300 étaient fictives et destinées uniquement à justifier des subventions européennes».

Avant la crise, la Grèce affichait des déficits abyssaux de 15% du PIB de la balance des paiements et de 15% du PIB de déficit budgétaire. L’austérité qui a suivi a en effet été très sévère, trop sans doute, et aurait gagné à être assortie d’un abandon d’une partie des créances car chacun sait la dette grecque insoutenable. Mais l’attitude de la nouvelle Commission européenne qui fait connaître en toute transparence ses propositions sont désormais a minima et appuyées par une attitude globalement bienveillante des chefs d’Etat et de gouvernement.
Fuite en avant

Quant à l’appel au peuple validé par François Hollande qui considère un peu vite que «c'est la démocratie», il est plutôt l’aveu de faiblesse d’un gouvernement incapable de décider autrement qu’à travers son carcan idéologique. C'est aussi un déni de la démocratie représentative: élu pour gouverner, Alexis Tsipras a conduit son pays dans l'impasse. Il prend en otage le peuple grec par un processus plébiscitaire qui condamne à une réponse univoque à une question posée sur un texte détourné. Incapable de négocier sérieusement avec ses créanciers, le pouvoir grec engage une fuite en avant que seul pourrait peut-être interrompre un vote pro-européen d’une majorité du peuple grec. Gageons que tout sera entrepris par Alexis Tsipras et ses amis pour qu’il n’en soit rien.

Alors que la situation donnait à la fin de 2014, avant les élections législatives, des signes d’amélioration (avec un retour de la croissance pour la première fois depuis sept ans), voici que l’économie grecque est de nouveau à l’arrêt. Les entreprises ne payent plus leurs fournisseurs, l’Etat non plus, et les banques sont au bord du dépôt de bilan. Quand à la plupart des ménages grecs, ils ne remboursent plus leurs crédits immobiliers puisque Syriza a annoncé qu’il empêcherait les saisies.

Dans ce contexte, la tâche des dirigeants européens est particulièrement difficile. Ils ne peuvent pas abandonner les Grecs à leur triste gouvernement. Ils méritent mieux que Tsipras et ses alliés. Comme ils n'avaient pas hier mérité les colonels.

Jean-Marie Colombani

@ plus Tsipras ( un bouffon qui sort tout droit de polytechnique ,chez nous le sport Favori c'est L'ENA )
  
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jipes jipes
03/07/2015 14:08:03
0

@ whatelse,


C'est normal, le Franc Suisse n'étant pas la monnaie officielle de la France au même titre que le US$. Par contre en ce qui concerne l'Euro il en irait tout autrement si la France en sortait.


@ CRI74


Quand la Grèce a adopté l'euro, la valeur d'entrée de sa monnaie a été établie en fonction du nouvel euro.
Si ce pays veut quitter l'euro, son nouveau drachme aura la même valeur dans la seconde qui suit sa mise en place que l'euro actuel. C'est après cela que le drachme sera attaqué sur le marché des changes. Cette nouvelle devise ne devrait pas perdre plus de 20 % à 25 %.
Mais comme les autres Etats européens et diverses banques ont des intérêts envers la Grèce, dans la mesure du possible ils interviendraient sur le marché des changes pour soutenir cette nouvelle devise dans le but de préserver leurs intérêts.
L'ensemble des créanciers de la Grèce ne seraient remboursés qu'en drachmes (hormis le FMI pour ses US$) et aux conditions du Gouvernement grec.
  
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colet colet
03/07/2015 14:01:58
1
ce serait du recyclage éco logis que ... tu proposes ?
pas certain que Flamby s'en retourne dans ce pays bas
  
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