Avec Trump président, Wall Street devra confirmer son euphorie

a dubaisan / C'est normal ses raisonnements sont tirés par les cheveux .
Plus sérieusement : depuis une dizaine d'années les politiques passent leur temps à se tirer dans les pattes pour pouvoir prendre une part de plus en plus grosse du gateau , des ministres à perte de vie , des présidents de commissions bien rémunérés comme LANG : 10 000 euros par mois plus les frais bientôt centenaires ce qui a incite le peuple à un verdict / TOUS DES POURRIS ,DES INCAPABLES....
Ces braves politiques ne se sont pas rendu compte qu'ils se sont tirés une balle dans le pied car le peuple recherche une nouvelle forme de gestion du pays et la remise à la retraite des élus qui dorment aux réunions...quand ils sont là
Les partis qui présentent une nouveauté et une jeunesse , toute relative, sont bien accueillis car le peuple y voit un renouveau ; c'est peut-être ce qui a été un des plus fort atout de TRUMP en c'est en cela qu'il peut peser sur nos prochaines présidentielles ; combien savent qu'i la 70 ans.

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@ Dubaisan,


Toutes les fois que Donald Trump est apparu sur le grand écran, il avait la même coupe de cheveux.


http://tempsreel.nouvelobs.com/video/20160411.OBS8276/video-toutes-les-fois-ou-donald-trump-apparait-au-cinema.html

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Les contextes americains et francais, voire en partie europeens sont tres differents et ne peuvent etre analyses au moyen du meme prisme.
Par contre des decisions fortement teintees de nationalisme pdt les 3 premiers mois de Trump risquent d'avoir des effets economiques turbulents, importants sur l'Europe et la France en particulier.
Comment se positionneront alors les politiques et les francais? Je ne sais pas, mais ce ne sera pas forcement a la marge...pour ceux qui n'ont pas encore dirige.
Wait and see!

Message complété le 20/01/2017 09:51:44 par son auteur.

Par contre, un truc qui me laisse perplexe: Comment ce gars se coiffe t-il?? je n'ai pas encore compris. Ca doit faire partie du personnage!

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TRUMP ne pèsera pas directement sur les prochaines élections si il ne réussit pas dans ses deux premiers mois car le doute vers les "nouveautés" en matière de gestion des états s'est déjà levé / AUTRICHE et ITALIE n'ont pas massivement votés pour des "chevronnés " mais n'ont pas soutenus , comme prévu , les nouveaux .
Si TRUMP a des problèmes ceci jouera, à la marge certes, sur les nouveaux qui n'ont pas dirigés :MACRON LE PEN

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Une chose est certaine, ce n'est pas Monsieur Trump qui devra s'attirer les bonnes grâces des milieux d'affaires mais plutôt le contraire. N'ont-ils pas pour leur grande majorité préféré voir à la Maison Blanche Madame Clinton.


Quant à savoir s'il pèsera sur la présidentielle en France, je ne le pense pas. Les Américains ont fait leur choix et Monsieur Trump n'a rien d'un extrémiste. En France, il n'y a pas d'extrémistes sauf ceux que certains médias et hommes politiques, en mal de conserver leurs prérogatives, veulent vous faire accroire.

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TRUMP joue un peu trop au trompe la mort , à la cadence ou chute sa cote de popularité il ne tardera pas à infléchir certaines de ses positions , pour le moment je pense au mieux à une stabilité de la bourse US puis une baisse dans les mois qui viennent quand les réalités du terrain seront visibles .
Avec un PRESIDENT aussi imprévu l'on peut s'attendre à tout .
Pour le moment il se met progressivement à dos / LA CHINE LE MEXIQUE ET UNE PARTIE DE L'AMERIQUE DU SUD LES ETATS PETROLIERS L'EUROPE dont l'ALLEMAGNE et la FRANCE
De plus il lui faudra apprendre à connaître les BRTISH qui depuis des siècles sont maitres dans l'art de faire faire leur guerre par les autres , c'est beaucoup sans compter les problèmes intérieurs : sociaux , racismes car de ce côté il a soulevé le couvercle de PANDORE.

Du côté des français son action pèsera sur les présidentielles pour le score des extrémistes.

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Après avoir flambé dans la foulée de la victoire de Donald Trump, Wall Street va voir son euphorie confrontée à son installation à la Maison Blanche et l'application d'un programme économique aux contours encore flous.

Sitôt l'élection inattendue du candidat républicain le 8 novembre, la Bourse de New York s'est lancée dans une course aux records. Mercredi, à la clôture, le Dow Jones était à moins de 200 points du seuil symbolique des 20.000 points après avoir progressé de quelque 8% depuis le scrutin. L'indice élargi S&P 500, souvent considéré comme le plus représentatif, flirtait aussi avec ses niveaux records, en progression de 6% depuis début novembre.

Pourtant le pessimisme des analystes sur la performance annuelle du S&P 500, n'a jamais été aussi élevé depuis dix ans. Ils ne tablent que sur une maigre hausse de 5% en 2017, selon un consensus établi par le cabinet Bespoke Investment.

"Il y a une dichotomie étrange", écrit Nicholas Colas, de Convergex. "La Bourse bat des records, mais une incertitude considérable règne toujours sur ce qui explique fondamentalement un tel coup d'accélérateur des marchés."

D'autant plus que le consensus préélectoral voyait des marchés plus satisfaits d'une victoire de la démocrate Hillary Clinton que de son adversaire républicain.

Paradoxalement, les investisseurs comptent maintenant sur le programme "pro-croissance" de M. Trump, s'accompagnant d'importantes dépenses publiques, pour faire accélérer l'économie, et sur ses promesses de baisses d'impôts et de dérégulation pour soutenir l'activité des entreprises et la consommation.

Mais, depuis son élection, le futur président n'a pas donné beaucoup de détails sur les mesures prévues, en premier lieu sur leur financement, et certains analystes mettent en garde sur un marché qui prendrait ses désirs pour des réalités, tout en négligeant des aspects a priori plus inquiétants pour les milieux d'affaires comme le protectionnisme affiché par M. Trump.

"Cela fait deux mois que l'on vit dans un monde imaginaire basé sur l'idée de ce qu'il va faire", a prévenu Karl Haeling, de Landesbank Baden-Württemberg. "Une fois qu'il va se retrouver aux affaires, on va voir bondir le risque que tout ne se passe pas comme espéré."

- "Environnement sain" -

Dans une note publiée début janvier et largement commentée, la banque Morgan Stanley a évoqué l'idée de "vendre l'investiture" du 20 janvier après avoir "acheté l'élection" fin 2016.

"Après tout, qu'est-ce que l'on peut attendre comme nouveaux élements positifs et enthousiasmants dans les semaines qui suivront" l'entrée de Donald Trump à la Maison Blanche, se sont interrogés ses analystes.

C'est tout le problème évoqué par plusieurs observateurs: M. Trump a démontré sa capacité à agir à très court terme sur les marchés par de simples paroles - il a par exemple contribué à faire plonger le dollar en début de semaine en le jugeant "trop fort" - mais, quelles que soient les mesures économiques entreprises, elles mettront des mois, voire plus, à agir sur l'économie.

"Maintenant, les investisseurs doivent ajouter la patience aux espoirs", souligne Gregori Volokhine, de Meeschaert Financial Services. "La seule question, c'est jusqu'à quand va durer leur patience."

"Pour que les baisses d'impôts entrent dans les faits et qu'elles aient des retombées, ça ne sera pas dans les six mois", a-t-il ajouté, citant à cet appui des propos du directeur général de JPMorgan, Jamie Dimon.

Lors de la présentation des résultats trimestriels, qui ont pourtant largement profité de l'élection du républicain, M. Dimon s'est abstenu d'anticiper un "effet Trump" avant 2018, le temps que soient mises en oeuvre les réformes fiscales du futur président.

Reste que s'il est particulièrement difficile de parier sur l'avenir, certains analystes relativisent l'importance de M. Trump et estiment que la Bourse peut déjà baser sa hausse sur une économie actuellement plutôt solide aux Etats-Unis.

"Je pense que la Bourse va continuer à monter lors des deux prochains mois", a avancé Tom Cahill de Ventura Wealth Management. "Les statistiques américaines ont accéléré et je ne vois pas pourquoi ça ne continuerait pas. On est dans un environnement économique sain."

© 2017 AFP

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