Re:Brexit: 1.000 emplois devraient être déplacés de Londres à Paris, c

Comme depuis le début, encore une info conditionnelle pour faire le "buzz" afin d'essayer de renégocier au mieux pour les banques anglaises les permis et des autorisations d'intervenir sur le marché européen...


L'information concernant le Brexit est vérolé jusqu'à la moelle dans l'unique but d'agiter fortement de gros épouvantails afin de soutirer le maximum d'autorisations à la carte...


Un sujet tabou et totalement opaque dont personne ne parle réellement avec des chiffres, des données et de vraies infos...

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Première erreur de jugement chez un anti-brexit !

Message complété le 19/01/2017 13:39:34 par son auteur.

Ou coup d'épée dans l'eau (à vous de choisir)

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C'est quoi cette intox made in FN !!!!

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Goldman Sachs essaie de peser sur la politique européenne comme elle a voulu le faire lors de l'élection présidentielle américaine.
Erreur de jugement ou nouveau coup d'épée dans l'eau ?

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Question qui peut laisser songeur ?


Si la France devait à son tour quitter l'UE, assisterons-nous à un retour de masse vers Londres ?
De masse, c'est beaucoup dire !

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Il n'y a pas que les secteurs qui en racontent ....
ça fait plus de 6 mois que les financiers préparent l'exil sur le continent

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que chaque secteur raconte beaucoup de conneries en guise de menace pour in fine obtenir les meilleures conditions est bien normal et commercialement justifiable

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Et comme prévu cela s'amplifie :


Goldman Sachs Group pourrait diviser par deux ses effectifs londoniens après la décision du Royaume-Uni de quitter l'Union Européenne.
Selon les informations du 'Handelsblatt', la banque d'affaires américaine pourrait notamment déplacer 1.000 de ses employés vers Francfort, parmi lesquels des traders et des responsables de la conformité. Certaines personnes qui développent de nouveaux produits pourraient quant à elles rejoindre le siège de la société à New York tandis que des banquiers d'investissement iraient en Espagne et en France. Enfin, le personnel travaillant en back-office rejoindrait Varsovie. "Aucune décision n'a été prise et les chiffres mentionnés sont inexistants", a néanmoins déclaré à Bloomberg une porte-parole de l'entreprise, Nicole Mommsen

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A CRIT74;
La baisse de la livre , une chance pour les anglais alors que la baisse de l'EURO n'a vraiment pas été une chance pour nous avec une augmentation de nombre de pauvres.???
En 1980 sur les bases des critères de MAASTRICHT la dette de l'ETAT représentait 20.4% du PIB , fin 1995 après des dévaluations successives 52.6 , maintenant nous sommes à 98% , en hausse de près de 1% pour 2016 .
Le budget voté prévoit pour 2017 : une charge d'intérêts inférieure à 2016 avec une augmentation de la dette et à un moment ou tout le monde s'accorde pour une augmentation des taux ce qui signifiera des resserrements budgétaires et , en dehors d'une réussite actuellement imprévue de TRUMP qui accentuera encore plus la valeur du dollar, ce sera une baisse de l'EURO accompagnée par de l'inflation que devront supporter les déshérités en premier lieu.
Nous suivrons le même chemin que les anglais et alors la paupérisation ne diminuera que si des embauches massives permettent d'injecter de l'argent dans les circuits sociaux.

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Peut-être 1000 emplois , se réjouir ?
Combien viendront en fait de la CITY ?
Combien de travailleurs Français seront priés de rentrer chez eux ou partir ailleurs?
Avec l'abaissement de la LIVRE combien de résidents anglais rentreront chez eux ?
Que feront-nous des spécialistes qui opèrent à la CITY si beaucoup rentrent en Françe ?
Que l'EUROPE puisse , enfin , aller de l'avant avec cet électrochoc , bien , mais quel en sera le prix?
Le saut dans l'inconnu n'est jamais bon pour l'économie.

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dans un divorce çà coûte au début
après, c'est fait pour aller mieux ... normalement
pas de panique

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Les anglais l'ont compris ...dès le lendemain du vote et s'en mordent les doigts .
A moins qu'au final le parlement court le risque de dénier ce vote , pas d'échappatoire au Brexit dur , intervenant par ailleurs bien trop tard vis à vis des justifications qui l'ont porté

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Les droits de douane vont impacter l'export mais aussi l'import. Moins d'export=+de chômage et import plus cher = un coût de la vie beaucoup plus chère pour les bas salaires. Et qui va en pâtir ? Les bas salaires à qui on a fait miroiter que la sortie de l'UE allait leur donner du travail . En fait ils vont perdre sur les deux tableaux. Ils y aura plus de chômage et la vie sera plus chère. C'est pas ce qu'on appelle "se tirer une balle dans le pied" ?

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Pour le moment , la Grande Bretagne ne ressent qu'un effet positif du Brexit , la dévaluation de sa monnaie .
On passe maintenant à tout le reste dont à peu près rien n'est favorable aux anglais qui dégustent déjà par la progression des prix sur la vie courante (inflation au plus haut de plusieurs années fin 2016)
Ce n'est qu'un début
Entre les droits de douane qui vont lourdement impacter l' export , l'industrie et le chômage, la sortie forcée des financiers de la city pour la partie des flux européens gérés , rien que deux facteurs majeurs particulièrement néfastes à leur économie dors et déjà attendue en vif recul dès la phase de sortie de l'UE enclenchée (on n'y est pas encore)

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que du positif qu'ils disaient !

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Ça c'est le début.

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Le directeur général de HSBC, Stuart Gulliver, a confirmé dans une interview à Bloomberg Television qu'un millier d'emplois de son activité de banque d'investissement à Londres devraient être déplacés à Paris, avec la sortie du marché unique du Royaume-Uni.

Interrogé depuis la station de ski suisse de Davos en marge du forum des dirigeants du monde entier, M. Gulliver a expliqué que parmi les divers départements de la banque au Royaume-Uni, c'est son activité d'investissement sur les marchés mondiaux qui serait touchée par la sortie du marché unique confirmée mardi par la Première ministre Theresa May.

"Il y ce que nous appelons l'activité de banque mondiale et de marché, et c'est celle pour laquelle j'ai dit publiquement, il y a un moment déjà, qu'il y aurait un millier d'emplois qui sont couverts par la législation européenne et qui, dans le cadre de l'accès au marché unique, devraient probablement aller en France dans notre cas", a expliqué le patron de HSBC d'après une transcription de l'interview transmise mercredi.

Interrogé sur la possibilité pour HSBC de déplacer ces activités ailleurs dans l'Union européenne, par exemple à Dublin ou Lisbonne, M. Gulliver a été catégorique: "Nous avons acheté le Crédit Commercial de France en 2002, donc nous avons un service bancaire universel en France. Donc pour nous, c'est la France".

M. Gulliver a ajouté toutefois que la banque n'avait pas besoin de "se presser" pour le faire. La banque emploie près de 9.500 salariés en France.

Il a précisé que l'activité qui risque d'être déplacée concernait environ 20% des revenus de sa banque d'investissement basée au Royaume-Uni, ajoutant que les activités sur les marchés des changes, obligataires et action ne devraient pas être touchées.

Hormis ses activités sur les marchés, HSBC dispose au Royaume-Uni de deux autres entités, qu'il ne modifiera pas malgré le Brexit: son siège mondial, que HSBC a décidé de maintenir à Londres, et sa banque au détail chargée des clients spécifiquement britanniques.

M. Gulliver a par ailleurs été interrogé sur le fait de savoir si une victoire de Marine Le Pen à l'élection présidentielle en France pourrait le pousser à changer d'avis.

"Nous répondrions à cette question seulement si cela arrivait", a-t-il répondu, ajoutant que la banque verrait de façon "entièrement positive" une victoire de François Fillon ou d'Emmanuel Macron.

© 2017 AFP

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