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Hollande dénonce le protectionnisme prôné par Trump

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moicmoi moicmoi
21/01/2017 18:50:48
6
A croire qu’il n’a pas encore compris qu’il est hors course.
Dorénavant, pour les quelques mois que nous devons encore le subir, il ne lui reste plus qu’à visiter la France, et à dire « bonjour, comment ça va ? il fait froid, hein ? » par-ci par- là, et s’abstenir de tout commentaire.
C'est plus fort que lui, il faut qu'il sème sa merde , qui va retomber sur son successeur.
Au lieu de critiquer les autres, il ferait mieux de méditer sur les dégâts qu’il a infligés à la France.

  
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SimonCh SimonCh
21/01/2017 18:22:22
3
Hollande a visité des usines textiles dans les Vosges. Ça devrait lui servir d'exemple quant aux conséquences du "non protectionnisme" ;)
  
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HD-MAICO HD-MAICO
21/01/2017 18:14:29
2
Le problème ce n'est pas Trump, mais les USA.
( Quoi que l'on en dise, ce sera comme Obama mais pas dans les même poches aux USA )
<p>

Ont leur a toujours dit Oui ! Et on va continuer !


Quand ont mets tous ces oeufs dans le même panier, si il tombe cela fait une belle omelette. </p>
  
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jipes jipes
21/01/2017 17:53:36
2
Encore un discours pour ne rien dire.
Qu'est-ce que la France a gagné durant son quinquennat ou plutôt qu'est-ce que la France a perdu ?
Il n'a rien à redire sur Donald Trump, ce qui devient de la pure ingérence dans les affaires d'un autre Etat et surtout de ne pas parler du Front National qui a actuellement des valeurs nettement supérieures aux siennes quant à l'avenir de la France.
  
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jipes jipes
21/01/2017 17:53:36
0

François Hollande visite une usine de textile à Gérardmer (Vosges), le 20 janvier 2017 (POOL/AFP/SEBASTIEN BOZON)

François Hollande a dénoncé vendredi à Gérardmer (Vosges) le protectionnisme économique prôné par "celui qui prête serment" à Washington, évoquant sans le nommer le président élu américain Donald Trump, son "possible collègue".

Fermer les frontières comme le recommandent certains, "dont celui qui prête serment" à Washington, qui voudrait "des taxes ou des droits" pour "empêcher un certain nombre de produits de venir aux Etats-Unis", reviendrait à remettre "en cause (le) travail", a mis en garde le chef de l'Etat au cours de la visite d'une entreprise textile.

Evoquant aussi "l'un de (s)es possibles collègues (...) qui va prêter serment aujourd'hui", François Hollande a rappelé que les négociations sur un traité de libre-échange entre les Etats-Unis et l'Union européenne étaient "pour l'instant suspendues, enfin, en tout cas, reportées".

"Pour la France, il n’était pas possible d'avoir des échange commerciaux, s'il n'y avait pas (une) reconnaissance" de l'origine de produits, qu'ils soient agricoles, industriels ou culturels", a-t-il souligné.

"Nous sommes dans une économie mondiale, ouverte et il n'est pas possible et souhaitable de vouloir s'isoler de l'économie mondiale", a encore plaidé François Hollande.

Qu'il y ait des règles qui évitent qu'il y ait des concurrences faussée, c'est tout à fait légitime" mais "nous ne devons pas imaginer la France fermée à l'égard du reste du monde", a-t-il poursuivi, évoquant cette fois à demi-mot le programme du Front national.

"Ca serait des pertes d'emplois, des pertes de compétences et des pertes considérables de développement pour notre économie", a-t-il encore fait valoir.

Le chef de l'Etat refermait à Gérardmer une mini-tournée de deux jours dans les Ardennes et les Vosges au cours de laquelle il a tenté de valoriser le bilan de la politique industrielle conduite depuis 2012.

© 2017 AFP

  
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