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francleon,
Mais non, on n'y croit pas, mais comme la France est peuplée de 80% de bacheliers, ayant eu leur bac en l'an 2000, eux y croient. Français, dormez tranquille, Macron veille sur nous.
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Oui si on fait rentrer les taxes dans la croissance.
En nous comparant aux USA la ligne fondamentale est la sécurité sociale d'état ou soutenue par l'état en UE, et plus de soutien d'état aux USA quand TRP aura fini de défaire la Sécu instituée par Obama, mais une assurance privée (autrefois lourdement soutenue par les grandes entreprises, mais plus du tout maintenant, la dernière grande entreprise ayant viré de bord est GM en 1998-99). La deuxième ligne est la taxation lourde du pétrole en UE et beaucoup plus légère aux USA.
Mais l'UE est plus développée pour les taxes dans tous les domaines, alors que les USA se reposent sur des initiatives, d'un groupe de professionnels ou de citoyens, ou d' hommes d'affaires y trouvant de la rentabilité; et c'est cette dernière solution qui est la plus répandue maintenant.
Alors soyons sincère collons les taxes là ou les américains considèrent le chiffre d'affaire de" l'industrie du soutien à la personne" comme dirait une femme politique qui parlait du "care".
Et là je crois qu'on va même en France gagner le prix de l'innovation.
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La croissance française s'élèverait à 0,4% au quatrième trimestre, selon une première estimation de la Banque de France dévoilée lundi, un rythme identique à celui du troisième trimestre.
En octobre, l'industrie a connu un ralentissement principalement imputable au secteur automobile mais "les services continuent de croître rapidement" et "le bâtiment progresse nettement", selon la Banque centrale, dont l'enquête est très suivie par les marchés financiers.
Au contraire de l'automobile qui souffre du contrecoup de l'entrée en vigueur d'une nouvelle norme antipollution européenne, "la fabrication de produits électriques, informatiques, électroniques et optiques progresse en revanche fortement", constate l'institut d'émission.
Dans les services "les activités de publicité, d’information et de conseil sont très dynamiques", tandis que "l'intérim marque une pause".
La croissance de l'économie française a connu un trou d'air au deuxième trimestre, tombant à 0,2%, avant de rebondir à 0,4% au troisième trimestre.
Pour l'ensemble de l'année, la croissance escomptée par l'Insee ainsi que par le FMI est de 1,6%, contre 1,7% projeté par le gouvernement.
Un niveau qui reste quoi qu'il en soit en deçà de celui de 2017, lorsque le PIB français avait progressé de 2,2% en données brutes (2,3% en données corrigées des jours ouvrés).
© 2018 AFP
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