Et ou sont les serveuses ???
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Deauville, c’est la base de télétravail ?
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Les serveurs sont à Paris, méfiance
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J’ai appris avec soulagement que la fusée chinoise ne tomberait pas le au nord des Pyrénées.
ABC Bourse, basé à Deauville, ne risque donc rien.
OUF !!!
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Rollier1
« « Depuis que les Gaulois ont disparu, » »
Comment ça , les Gaulois ont disparu ?…..
Je proteste énergiquement ….et même très fort!
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St@rix,
Désolé, mais ce n'est pas de l'info, c'est juste de la manipulation d'opinion notoire assaisonnée du bashing habituel de la part des USA, que le clan occidental reprend avec délectation.
Message complété le 07/05/2021 13:08:15 par son auteur.
Ma remarque s'adressait surtout a Syjo
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Depuis que les Gaulois ont disparu, on n’a plus peur que le ciel nous tombe sur la tête 😊
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@ Dubaisan
aucune critique simple info
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Pour info,
la Nasa, Space X, Ariane et tous les autres font exactement pareils.
Mais du moment que ca vient de Chine, il est de bon ton de critiquer....
Message complété le 07/05/2021 13:01:17 par son auteur.
Et de toute facons, les USA ne sont pas foutus de detruire cet etage de fusee et s'ils par bonheur ils y arrivaient ,ils ne feraient qu'eparpiller des morceaux plus petits sur une surface beaucoup plus grande. Se ramasser un morceau d'1kg a la vitesse moyenne de 3333.3 m/s, ca laisse des marques pour la vie!
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un peu juste jouer dans la cour des grands !
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si elle nous tombe sur la tronche on est mal .
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Les États-Unis ne prévoient pas de détruire la fusée chinoise hors de contrôle
Une fusée chinoise est entrée en orbite incontrôlée après le lancement du premier élément de sa station spatiale. Tout en espérant qu'elle tombera "là où elle ne fera de mal à personne", Washington a annoncé ne pas avoir prévu de détruire l'engin.
Écrit par 6medias
Publié le 07/05/2021 à 0h01
Washington a décidé de ne pas attaquer la fusée de Pékin. Le chef du Pentagone, Lloyd Austin, a assuré jeudi 6 mai ne pas prévoir de détruire la fusée chinoise qui doit effectuer ce week-end une rentrée incontrôlée dans l'atmosphère. Il a cependant critiqué à demi-mot Pékin pour avoir perdu la maîtrise de son engin.
"Selon les dernières estimations que j'ai vues, c'est prévu pour le 8 ou le 9" mai, a indiqué le ministre américain de la Défense au cours d'une conférence de presse.
"À ce stade, nous n'avons pas prévu de détruire la fusée", a-t-il ajouté. "Nous espérons qu'elle tombera à un endroit où elle ne fera de mal à personne, dans l'océan ou un endroit comme ça, nous l'espérons".
La Chine a lancé la semaine dernière le premier des trois éléments de sa station spatiale, la "CSS", qui a été propulsé par une fusée Longue-Marche 5B. C'est le corps de cette fusée qui doit atterrir dans les prochains jours, et personne ne sait où.
Après la séparation du module spatial, le lanceur s'est mis à tourner en orbite autour de la planète selon une trajectoire irrégulière, perdant lentement de l'altitude, ce qui rend toute prédiction sur son point d'entrée dans l'atmosphère, et donc son point de chute, quasiment impossible.
Ce n'est pas une première pour Pékin
Il est possible qu'elle se désintègre à l'entrée dans l'atmosphère, ne laissant que des débris limités s'écraser. Et si elle reste entière, la planète étant composée à 70% d'eau, il y a de fortes chances que la fusée s'abîme en mer, mais sans certitude donc. Elle pourrait ainsi s'écraser sur une zone habitée ou sur un navire.
Sans citer nommément les autorités chinoises, M. Austin a laissé entendre que le lancement de la fusée chinoise n'avait pas été planifié avec suffisamment de soin.
"Cela témoigne du fait que, pour ceux d'entre nous qui opérons dans l'espace, il y a - ou il devrait y avoir - une obligation d'opérer de façon sécurisée et réfléchie et de prendre tout ceci en considération en planifiant des opérations", a-t-il ajouté.
Ce n'est pas la première fois que la Chine perd le contrôle d'un vaisseau spatial lors du retour sur terre. En avril 2018, un laboratoire spatial Tiangong-1 s'était désintégré à la rentrée dans l'atmosphère, deux ans après qu'il eut cessé de fonctionner. Les autorités chinoises avaient nié que le laboratoire avait échappé à leur contrôle.
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