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il fallait voté marine bienfait pour leurs gueules !!!!
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"Les fourches et bâtons ne sont pas encore interdits, ……pour l’instant."
Tu ne crois pas si bien dire !
Beaucoup ont rapporté : baïonnettes, épées du moyen âge, sabres, arbalètes, arcs et lance-pierres (Si ! Si ! J'vous jure !) !!!
Pourtant il ne faut pas oublier que la seule catégorie de population désarmée a souvent été les esclaves !
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c''est ton opinion
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Tout à fait représentatif des fatigués Avec des idées débiles, 46 millions de salariés en France et 1 million de chahuteurs dans la rue le compte n’y est pas ! La réforme se fera!
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Bonsoir,
Les mensonges continuent, comme dab .............................
Bonne soirée à tous
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" Quels fusils ?
Il y a qqs mois, (08/12/2022) une loi obligeait à re-déclarer (*) les armes à feu, quelle qu’en soit leur état, et à déposer en gendarmerie celles dont on n’avait pas l’usage."
@mcm, tu as raison sur le fond, mais je pense qu'une partie non négligeable de détenteurs d'armes ne l'on pas fait.
Soit par ignorance, soit délibérement.
Qui vivra, verra
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glanglois
« « Bon nous allons devoir sortir les fusils , le connard de L'Elysée ne comprend rien .. » »
Quels fusils ?
Il y a qqs mois, (08/12/2022) une loi obligeait à re-déclarer (*) les armes à feu, quelle qu’en soit leur état, et à déposer en gendarmerie celles dont on n’avait pas l’usage.
Source : https://www.google.com/search?client=firefox-b-d&q=d%C3%A9claration+armes+%C3%A0+feu+2022
Nos z’élites-cons savaient ce qu’ils préparaient pour meubler ce quinquénat, et craignent une révolution.
Les fourches et bâtons ne sont pas encore interdits, ……pour l’instant.
(*) cette déclaration était déjà obligatoire depuis….1792 ?
Sont concernés : les armes de chasse, de tir sportif, de défense personnelle (forces de l'ordre, militaires, convoyeurs de fonds, etc...), celles qui décorent les cheminées anciennes, celles trouvées incidemment dans votre grenier……
pour l’instant, les outils de jardinage ne sont pas soumis à déclaration en Préfecture.
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"J'écoute et je comprends ce que vous avez à me dire... Mais je n'en tiendrai pas compte..."
C'est tout l'art de la démocratie... Faire croire au peuple que c'est lui qui a le pouvoir... Alors qu'il n'en a aucun...
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Face à une mobilisation record contre la réforme des retraites, et en attendant deux nouvelles journées d'action, le gouvernement dit "entendre" et "comprendre" la colère des Français, sans renoncer au report de l'âge de départ à 64 ans qui cristallise le mécontentement.
"Hier (mardi) c’était la plus grande manifestation (depuis 30 ans), 1995 compris!", a salué sur RTL le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, en première ligne de la contestation.
Les manifestations ont réuni mardi plus de 1,27 million de personnes selon le ministère de l'Intérieur (plus de 2,5 millions selon les syndicats), soit davantage que la première mobilisation du 19 janvier, et que le record historique de 2010.
Dans la foulée, les huit principaux syndicats français ont annoncé deux nouvelles journées, mardi 7 et samedi 11. "On accentue cette mobilisation" et "on donne la possibilité (...) à des gens qui ne peuvent pas toujours manifester en semaine de venir exprimer leur mécontentement", a expliqué M. Berger.
Ces journées d'action coïncideront avec le mouvement social chez les raffineurs, appelés à cesser le travail pour 72 heures à partir du 6 février. La CGT Cheminots et SUD-Rail ont proposé une grève les 7 et 8 février, avant éventuellement un mouvement reconductible dès la mi-février. A la RATP, l'intersyndicale a également appelé à la grève les 7 et 11 février.
"J'appelle le gouvernement à arrêter d'être droits dans vos bottes, discutons et entendez que cette mesure d'âge, elle n'est pas du tout acceptée, elle est rejetée", a intimé M. Berger.
Philippe Martinez (CGT) a, lui, mis en garde contre un durcissement du mouvement et des grèves reconductibles: si le gouvernement continue à "minimiser le mécontentement, il va falloir passer à la vitesse supérieure", a-t-il dit, accusant l'exécutif de "jouer le bras de fer".
- "Humilité, concentration" -
A l'issue du Conseil des ministres, le porte-parole du gouvernement Olivier Véran a fait part du constat qu'il y avait eu "un peu plus de manifestants" et "un peu moins de grévistes" que le 19. "On regarde cela avec humilité, concentration", a-t-il ajouté, tout en assurant garder le "cap de préserver la souveraineté de notre pays".
Dans l'entourage du chef de l'Etat, on souligne que la mobilisation a été "suivie à la hauteur de ce qui avait été annoncé", ajoutant, alors qu'Emmanuel Macron reste en retrait, qu'il "a beaucoup parlé" en amont de la réforme.
Plusieurs membres du gouvernement ont adopté mercredi un ton conciliant mais ferme. Le ministre délégué aux Comptes publics Gabriel Attal a fait part de son "respect" pour les Français qui prennent "une journée pour faire valoir leurs convictions". Une manière de corriger le tir, après avoir appelé la veille les syndicats à se mobiliser "en respectant les Français qui travaillent".
"Il y a des inquiétudes, il y a des doutes, évidemment qu'on les écoute", a-t-il dit, comme en écho à la Première ministre, qui avait affirmé mardi soir entendre les "interrogations" et les "doutes" suscités par la réforme.
Pour autant, Mme Borne a elle aussi assuré ne pas vouloir dévier de son "cap", quelques jours après avoir affirmé que les 64 ans n'étaient "pas négociables".
La Première ministre a reçu mercredi matin le président des Républicains Eric Ciotti et le chef de file des députés LR Olivier Marleix "pour poursuivre les discussions", selon l'entourage du premier, alors que l'attention est désormais tournée vers le Parlement, où le projet est examiné depuis lundi en commission des Affaires sociales.
L'examen en commission s'achèvera mercredi à 20H00, les députés n'ayant aucune chance de venir à bout des milliers d'amendements en discussion. Ils pourraient ne pas même parvenir à examiner l'article 7 qui porte sur le report de l'âge légal à 64 ans.
Olivier Véran a regretté mercredi la "volonté d'obstruction parlementaire" de "certains groupes d'opposition".
Quoi qu'il en soit, c'est le projet de loi initial qui sera au menu dans l'hémicycle à partir de lundi prochain, et pour deux semaines.
Côté syndical, la numéro deux de la CFDT Marylise Léon a affirmé sur Franceinfo que "l’idée, ce n’est pas de bloquer le pays, c’est de bloquer ce projet de réforme et donc de peser notamment sur le débat parlementaire", et "faire en sorte que les 64 ans soient supprimés du texte".
© 2023 AFP
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