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Retraites: la réforme dans un faux plat, des séquelles sur tous les ba

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Fibopivots Fibopivots
19/02/2023 14:08:11
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Je crois avoir lu hier que même les échos / investir commence à dire que les français devraient se réveiller et agir là où ça rapporte,... Sur le luxe et en bourse.

  
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sergiobress sergiobress
18/02/2023 20:24:40
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Pourquoi faire une réforme avant ?

Et bien pour faire du spectacle, regarder donc la petite vidéo et vous comprendrez pourquoi les français vont de moins en moins voter :

https://twitter.com/LCP/status/1626720788870049792?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1626720788870049792%7Ctwgr%5E27cafbe916a6297ff64b6dc9811db4c83add65bc%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.lemonde.fr%2Fpolitique%2Flive%2F2023%2F02%2F17%2Freforme-des-retraites-en-direct-confusion-a-l-assemblee-apres-des-propos-d-olivier-dussopt-sur-les-carrieres-longues-lors-de-la-derniere-soiree-de-debats_6162201_823448.html

Même dans une classe d’ados c’est moins le bordel, il n’y a pas d’autres mots.

Et le monde entier regarde ses images, c’est beau 👎

Il est grand temps que cela change et vite.

Bon week-end à toutes et tous 😀

  
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papygaga papygaga
18/02/2023 19:33:36
3

Il faut être clair : Il n'y a pas de problème de financement avant 2027. Pourquoi faire une réforme avant ?


Tout simplement pour piquer le surplus et l'affecter à autre chose....Le gouvernement avait déjà tenté le coup avec la caisse de retraite des avocats qui était bien gérée.....

Le shérif de Notthingham va encore frapper. Piquer les cotisations qui reviennent aux salariés.


Paraît-il que l'excédent dégagé servirait à financer la transition écologique, secteur où les intervenants se gavent de subventions et de prix administrés fixés en leur faveur.

  
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papygaga papygaga
18/02/2023 19:33:30
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Des députés de la majorité et de droite chantent la Marseillaise à l'Assemblée nationale à l'issue des débats chahutés sur la réforme des retraites, le 18 février 2023 à Paris
Des députés de la majorité et de droite chantent la Marseillaise à l'Assemblée nationale à l'issue des débats chahutés sur la réforme des retraites, le 18 février 2023 à Paris (AFP/Ludovic MARIN)

Le tumulte va-t-il descendre d'un cran ? Au lendemain d'un passage électrique et confus à l'Assemblée, qui provoque encore samedi des répliques chez LR, la réforme des retraites rebondira dans 10 jours au Sénat, permettant à Emmanuel Macron de sortir du bois.

Après deux semaines d'enlisement au Palais-Bourbon, où seuls les deux premiers articles sur les 20 que compte le texte ont pu être entièrement examinés, la réforme attaque une sorte de faux plat qui épouse les vacances parlementaires et la pause, temporaire, dans la mobilisation sociale, avant la grande journée d'action du 7 mars.

Pas de trêve cependant chez Les Républicains, où la tension rampante depuis plusieurs semaines avec le N.2 Aurélien Pradié a trouvé un dénouement. Le patron de LR Eric Ciotti a prononcé l'éviction du député du Lot de son poste de vice-président, en jugeant que les "prises de positions répétées" de M. Pradié sur la réforme des retraites n'étaient "plus conformes avec les valeurs de cohérence, d'unité et de rassemblement qui doivent guider la droite républicaine".

Aurélien Pradié et Eric Ciotti à l'Assemblée nationale, le 14 février 2023
Aurélien Pradié et Eric Ciotti à l'Assemblée nationale, le 14 février 2023 (AFP/Archives/Ludovic MARIN)

Une façon d'officialiser la rupture avec la ligne intransigeante, notamment sur la prise en compte des carrières longues, portée par M. Pradié, qui menaçait de ne pas voter la réforme malgré l'accord conclu par son parti avec le gouvernement. M. Pradié, qui avait été applaudi vendredi dans l'hémicycle par des députés de la Nupes, a reçu samedi le soutien de plusieurs Insoumis, symbole d'une classe politique sens dessus dessous.

Les débats ont aussi laissé quelques traces au sein de l'alliance de gauche, qui s'est divisée jusque dans la dernière ligne droite sur la stratégie à adopter. Fallait-il retirer les milliers d'amendements, afin de pouvoir porter le fer sur l'article 7 qui acte le recul de l'âge de départ de 62 à 64, une option poussée par les syndicats et retenue notamment par les écologistes ? Ou s'y cramponner, quitte à ralentir les échanges, comme les Insoumis l'ont décidé.

"Nous avons eu des appréciations tactiques différentes. Mais nous avons été unis sur l'essentiel", a tenté de désamorcer sur Franceinfo la députée LFI Aurélie Trouvé, appelant à "resserrer les coudes dans les mobilisations à venir".

Samedi, chacun se rejetait aussi la faute du "fiasco" et de la "pagaille" des débats à l'Assemblée, achevés vendredi à minuit, avec en épilogue une motion de censure déposée par le Rassemblement national et rejetée à 3 heures du matin.

- Macron remet le contact -

"Ca jette un voile de mauvaise opinion sur l'Assemblée nationale", est convenu sur Franceinter le député Renaissance Eric Woerth, quand le RN Jean-Philippe Tanguy a déploré, sur France 2, que les Français n'aient "entendu que de la fureur, des insultes, de l'obstruction sans intérêt".

"En 9 jours c'est impossible d'examiner un tel texte", s'est pour sa part insurgée Aurélie Trouvé.

La Première ministre Elisabeth Borne  à l'Assemblée nationale à Paris, le 14 février 2023
La Première ministre Elisabeth Borne à l'Assemblée nationale à Paris, le 14 février 2023 (AFP/BERTRAND GUAY)

Faute de vote, la réforme est donc transmise en l'état au Sénat, modifiée par les quelques amendements votés ayant reçu un avis favorable du gouvernement. A la Chambre haute, dominée par une droite favorable au texte, les discussions devraient être plus policées.

"A partir du 2 mars, le Sénat devra donner une toute autre image de la démocratie parlementaire", a fait valoir le patron des sénateurs LR Bruno Retailleau.

En attendant, la semaine qui vient, tous les regards seront tournés vers Emmanuel Macron, qui va sortir de sa posture de retrait pour retourner au contact des Français. En honorant, samedi prochain, le traditionnel rendez-vous du Salon de l'agriculture à Paris, il sera forcément interpellé au milieu des stands sur le projet phare de son second quinquennat.

Le président français  Emmanuel Macron, le 19 janvier 2023 à Barcelone
Le président français Emmanuel Macron, le 19 janvier 2023 à Barcelone (AFP/Archives/Ludovic MARIN)

Depuis le début de l'année, le chef de l'Etat ne s'est que peu exposé, hormis quelques déplacements à l'étranger ou réunions très cadrées à l'Elysée, répondant uniquement à une poignée de questions de la presse sur les retraites.

Plusieurs figures et communiquants de l'exécutif ont justifié, ces dernières semaines, cette diète par la nécessité de se préserver, d'une part, mais aussi de préserver une réforme par nature impopulaire: selon un conseiller ministériel, "Macron a une personnalité qui agace les Français" et les sorties parfois provocatrices dont il a pu être coutumier par le passé pourraient ajouter des étincelles à un terrain déjà bien inflammable.

© 2023 AFP

  
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