Jusqu'où peut on avoir confiance dans une méthode ?
Par Samuel Rondot
La plus grande différence entre le trading discrétionnaire et le trading
assisté par l’automatisme d’une méthode c’est la gestion des périodes de perte.
Sur les marchés il est logique de perdre. Certes c’est difficile à accepter, parfois plus à supporter mais il est impossible de ne pas perdre. En conséquence, la réussite du trading et parfois même la survie de son activité de trading passe par la maîtrise de ces périodes de perte.
Pour un discrétionnaire le plus difficile comme je l’ai déjà dit c’est de conserver suffisamment de lucidité pour analyser cette phase difficile et prendre les bonnes décisions. C’est d’ailleurs pour ça qu’on entend souvent dire par des professionnels ou des amateurs avertis qu’ils se sont fixés (ou qu’on a fixé pour eux) une perte maximum sur une certaine durée (jour, semaine, mois) et qu’après ca ils s’imposent une période sans trading pour retrouver leur lucidité et digérer cette phase compliquée.
Une méthode, c’est le cadre qui va nous permettre d’analyser la situation lors
des phases de perte. C’est le luxe d’essayer de comprendre la cause des pertes.
Nous savons que c’est arrivé, nous savons dans quel contexte. On sait que ca peut arriver à nouveau, que ça peut être plus fort, moins fort.
La seule chose qui compte c’est de s’assurer que ce qui se passe est logique par rapport à la méthode : si c’est logique cela fait partie du jeu et il faut l’accepter et ne pas perdre sa concentration.
Si ça ne l’est pas alors il faut sortir de la méthode.
Plus facile à écrire, conseiller aux autres que de ressentir…
Un bon système, ce n’est pas un système qui évite les pertes, c’est un système qui réussit à gagner quand il est à son avantage.
Sur les marchés il est logique de perdre. Certes c’est difficile à accepter, parfois plus à supporter mais il est impossible de ne pas perdre. En conséquence, la réussite du trading et parfois même la survie de son activité de trading passe par la maîtrise de ces périodes de perte.
Pour un discrétionnaire le plus difficile comme je l’ai déjà dit c’est de conserver suffisamment de lucidité pour analyser cette phase difficile et prendre les bonnes décisions. C’est d’ailleurs pour ça qu’on entend souvent dire par des professionnels ou des amateurs avertis qu’ils se sont fixés (ou qu’on a fixé pour eux) une perte maximum sur une certaine durée (jour, semaine, mois) et qu’après ca ils s’imposent une période sans trading pour retrouver leur lucidité et digérer cette phase compliquée.
Nous savons que c’est arrivé, nous savons dans quel contexte. On sait que ca peut arriver à nouveau, que ça peut être plus fort, moins fort.
La seule chose qui compte c’est de s’assurer que ce qui se passe est logique par rapport à la méthode : si c’est logique cela fait partie du jeu et il faut l’accepter et ne pas perdre sa concentration.
Si ça ne l’est pas alors il faut sortir de la méthode.
Plus facile à écrire, conseiller aux autres que de ressentir…
Un bon système, ce n’est pas un système qui évite les pertes, c’est un système qui réussit à gagner quand il est à son avantage.
| Les derniers articles de Samuel Rondot |
Suivez les marchés avec des outils de pros !