la théorie de professionnelle trading est simple, mais est-ce que les "traders" ont le cœur pour ça?
Peut-être que je devrais vous inviter à Seychelles. J'ai toujours rêvé d'y aller
Peut-être que je devrais vous inviter à Seychelles. J'ai toujours rêvé d'y aller
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Find out how great traders have managed the markets puzzles every writer !
You can beggin your research by "Snowball" : it describes Warren Buffet's life with a large part on his private life.
It could be a way to build your book...
Nowadays, a small group of traders has been succeeding for a long time on the markets, they're well-known as "Turtle Trader" with Mr Ed Seykota as leader of them.
Besides, "Following Traders" are famous in the US because they make a lot of money outside Bulge Braket firms and famous hedge funds. They are alone against the market and it's working ! There is a book in French : "Le Trading Directionnel" by Michael Covel, which points at techniques of these people and all the way of thinking.
So, I reckon it's the best book ever written on trading.
You can beggin your research by "Snowball" : it describes Warren Buffet's life with a large part on his private life.
It could be a way to build your book...
Nowadays, a small group of traders has been succeeding for a long time on the markets, they're well-known as "Turtle Trader" with Mr Ed Seykota as leader of them.
Besides, "Following Traders" are famous in the US because they make a lot of money outside Bulge Braket firms and famous hedge funds. They are alone against the market and it's working ! There is a book in French : "Le Trading Directionnel" by Michael Covel, which points at techniques of these people and all the way of thinking.
So, I reckon it's the best book ever written on trading.
Message complété le 20/02/2010 21:20:11 par son auteur.
And for yathching close to Seychelle Islands...please shut up 'cause I have 15 feet of snow in Pennsylvania !!
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Hi Milklen
I am interested in people such as
Charles Schwab
Arthur Cutten
Richard Whitney
Albert Fall
Jesse Livermore
Leon Fraser
Ivan Kruegger
George Soros ... etc.
People who left a fingerprint in the world of Stock Markets.
Jesse Livermore committed suicide
Arthur Cutten died broke
I am trying to make my own book about the ones who were known once as greatest traders.
I am also keening to know what sort of strategies they used to trade with. Of course that part would be the most difficult part because no one is going tell you his secret, that if they are still alive.
I am interested in people such as
Charles Schwab
Arthur Cutten
Richard Whitney
Albert Fall
Jesse Livermore
Leon Fraser
Ivan Kruegger
George Soros ... etc.
People who left a fingerprint in the world of Stock Markets.
Jesse Livermore committed suicide
Arthur Cutten died broke
I am trying to make my own book about the ones who were known once as greatest traders.
I am also keening to know what sort of strategies they used to trade with. Of course that part would be the most difficult part because no one is going tell you his secret, that if they are still alive.
Message complété le 20/02/2010 20:44:28 par son auteur.
I think that George Soros made great money by going short-selling at the right time but not from the hedge funds industry itself . ( I am not 100% sure )
But, what really happened on the Black Wednesday of London? The day when the bank of England was hit in the currency market .... This part really needs to be studied in depth. How did George Soros planned it all 
Jessy Livermore went short in 1929 when the USA market crashed making millions of dollars when everyone else was losing.
Imagine if you went short when CAC40 was 6000 points and you didn't buy to cover except at the 2600 points ! Most probably you be now enjoying your yacht at the Seychelles Islands
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If you are interesting in Pound short-selling by Soros in 1992, you should read the following book :
"Hedge fund Story" by Steven Drobny ; great achievement relative to hedge fund industry because the author interviewed several hedge funders, one of them talks about Soros's famous £ selling ^^
"Hedge fund Story" by Steven Drobny ; great achievement relative to hedge fund industry because the author interviewed several hedge funders, one of them talks about Soros's famous £ selling ^^
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Sorry for the translation time ! If you prefer I could translate into the American next posts :)
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cela m'a pris deux heures pour traduire votre message.
Vous ne sonne pas comme un trader classique, mais peut-être un gérant ou directeur d'une certaine compagnie financière.
C'est clair que vous avez une très bonne vue de la machine financière pourrie de l'intérieur
Vous ne sonne pas comme un trader classique, mais peut-être un gérant ou directeur d'une certaine compagnie financière.
C'est clair que vous avez une très bonne vue de la machine financière pourrie de l'intérieur
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Ce brave Soros ne pèse même plus 1/10 de ce qu'il était au fait de sa gloire en 1992. Quant aux banques asiatiques de 1997, elles étaient empêtrés dans le recyclage massif des capitaux occidentaux qui affluaient alors en Asie du Sud-Est.
Des hôtels furent construit massivement (symbole typique de l'investissement improductif ; cf le Mexique actuellement), dès que les capitaux ont pris la fuite, ces banques se sont retrouvés avec des spreads de crédit complètment dingue et personne pour les financer.
Or comme en Asie banque=état, ben ce sont rapidement les états qui furent en danger de cessation de paiement sur leur dette souveraine.
Soros n'a eu qu'à se servir en shortant pépère le bath, won, ringgit...
Tout ceci rappelle la situation délicate de nos PIGS (Portugal-Irlande-Greece-Spain). Si l'Europe laisse la Grèce dans son bourbier, elle fixe des règles de façon cruelle et laisse la Grèce aux Soros modernes (SAC Partners, Caxton etc ) ainsi que le Portugal par suite logique.
Si le FMI intervient (comme les British peuvent en rêver), l'Europe monétaire est humiliée.
Si l'Europe intervient...soit elle le fait rigoureusement et ca peut passer. Soit elle fait intervenir le savant mélange technocrate made in Bruxelles avec une pagaille de consultant de la Deutshe Bank et de Lazard qui ne feront rien de mieux que de prendre de plantureuses commissions (et ils auront bien raison :)
Pour les banque de Wall Street le problème a été "résolu" facilement par Paulson, Geithner & Cie. Appel massif aux collègues du Golfe Persique : ils ont de l'argent car nous sommes leur premier client. Le Koweit, Abu Dhabi, le Qatar et les Saoudiens possèdent environ 25% de finance US.
Puis on élargit les souplesses des banques au niveau juridique : GS et MS sont devenues de bêtes holding financières qui peuvent faire appel aux fonds publics en cas de pépin. Pour te dire la plus grande banque d'affaire officielle actuellement c'est Lazard !
Pour les autres, elles ont fusionner avec d'immondes masses de médiocrité : Merrill Lynch avec Bank of America (la honte absolue) et Bear Stearns avec le conglomérat informe JPMorgan Chase Manhattan Bank & Co.
Toutes les assurances sont sous perfusion puisque leur seul métier rentable était l'émission de CDS, or avec la chute de Lehman, ces CDS se sont révélés une bien mauvaise affaire pour AIG qui paye avec l'argent public l'assurance que Goldman avait pris sur la dette de Lehman.
Les fonds de PE sont stérilisés et gèrent actuellement les saisies des maisons dans le MidWest...2 ans avant ils étaient les flamboyants qui offraient $150 000 en welcome bonus aux jeunes de Princeton/Wharton ; désormais ils rackettent les fermiers.
Les seuls qui font encore un peu de business sont dans le Connecticut, Massachusetts et un peu en Floride : beaucoup de hedge funds sont là-bas et ceux qui n'ont pas fait faillite affichent des levés de fonds record en 2010, preuve que l'argent public est partis directement chez ces messieurs.
Oui la crise actuelle est grave : elle touche l'épi-centre de la finance mondiale et si à Wall Street le monde s'étonne des levées incroyables d'argent par les hedge funds, cette industrie ne pèse que $ 3 000 milliards soit même pas 1% des actifs gérés aux US.
C'est l'arbre qui cache la foret et selon moins 2010 sera misérable d'un point de vue financier ET économique.
Des hôtels furent construit massivement (symbole typique de l'investissement improductif ; cf le Mexique actuellement), dès que les capitaux ont pris la fuite, ces banques se sont retrouvés avec des spreads de crédit complètment dingue et personne pour les financer.
Or comme en Asie banque=état, ben ce sont rapidement les états qui furent en danger de cessation de paiement sur leur dette souveraine.
Soros n'a eu qu'à se servir en shortant pépère le bath, won, ringgit...
Tout ceci rappelle la situation délicate de nos PIGS (Portugal-Irlande-Greece-Spain). Si l'Europe laisse la Grèce dans son bourbier, elle fixe des règles de façon cruelle et laisse la Grèce aux Soros modernes (SAC Partners, Caxton etc ) ainsi que le Portugal par suite logique.
Si le FMI intervient (comme les British peuvent en rêver), l'Europe monétaire est humiliée.
Si l'Europe intervient...soit elle le fait rigoureusement et ca peut passer. Soit elle fait intervenir le savant mélange technocrate made in Bruxelles avec une pagaille de consultant de la Deutshe Bank et de Lazard qui ne feront rien de mieux que de prendre de plantureuses commissions (et ils auront bien raison :)
Pour les banque de Wall Street le problème a été "résolu" facilement par Paulson, Geithner & Cie. Appel massif aux collègues du Golfe Persique : ils ont de l'argent car nous sommes leur premier client. Le Koweit, Abu Dhabi, le Qatar et les Saoudiens possèdent environ 25% de finance US.
Puis on élargit les souplesses des banques au niveau juridique : GS et MS sont devenues de bêtes holding financières qui peuvent faire appel aux fonds publics en cas de pépin. Pour te dire la plus grande banque d'affaire officielle actuellement c'est Lazard !
Pour les autres, elles ont fusionner avec d'immondes masses de médiocrité : Merrill Lynch avec Bank of America (la honte absolue) et Bear Stearns avec le conglomérat informe JPMorgan Chase Manhattan Bank & Co.
Toutes les assurances sont sous perfusion puisque leur seul métier rentable était l'émission de CDS, or avec la chute de Lehman, ces CDS se sont révélés une bien mauvaise affaire pour AIG qui paye avec l'argent public l'assurance que Goldman avait pris sur la dette de Lehman.
Les fonds de PE sont stérilisés et gèrent actuellement les saisies des maisons dans le MidWest...2 ans avant ils étaient les flamboyants qui offraient $150 000 en welcome bonus aux jeunes de Princeton/Wharton ; désormais ils rackettent les fermiers.
Les seuls qui font encore un peu de business sont dans le Connecticut, Massachusetts et un peu en Floride : beaucoup de hedge funds sont là-bas et ceux qui n'ont pas fait faillite affichent des levés de fonds record en 2010, preuve que l'argent public est partis directement chez ces messieurs.
Oui la crise actuelle est grave : elle touche l'épi-centre de la finance mondiale et si à Wall Street le monde s'étonne des levées incroyables d'argent par les hedge funds, cette industrie ne pèse que $ 3 000 milliards soit même pas 1% des actifs gérés aux US.
C'est l'arbre qui cache la foret et selon moins 2010 sera misérable d'un point de vue financier ET économique.
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C'est un bon article
http://fr.wikipedia.org/wiki/Crise_%C3%A9conomique_asiatique
Amplification de la crise fin 1997 [modifier]
Après les Tigres, la crise s’étend aux Dragons (Hong Kong, Corée du Sud), le won perd 50 % face au dollar au mois de novembre. Fin 1997, 12 pays émergents sont touchés (Tigres, Dragons, Brésil, Argentine, Inde). On observe une accalmie début 1998, puis un redémarrage. L’Indonésie s’enfonce sous Suharto qui augmente le déficit budgétaire (32 %) pendant la politique d’austérité du FMI (aide de 40 milliards de dollars). La crise devient politique et Suharto doit démissionner.
Au printemps, la crise passe de la sphère financière, qui a détruit en quelques mois un total de 600 milliards de dollars[5], à la sphère de l’économie réelle. L’effondrement monétaire et financier réduit considérablement le pouvoir d’achat des populations qui n’ont plus accès au crédit (manque de liquidités des banques, taux d’intérêts élevés).
Durant l’été, la contagion internationale se confirme, le risque est systémique, et aboutit au krach russe : le rouble se déprécie fortement, la hausse des prix à la consommation pourtant maitrisés en 1997 (11 %) explose à 80 % l’année suivante. La crise est aussi politique et le remboursement de la dette externe du pays se fait par l’émission de GKO (bons du Trésor russe), dont le service occupe par la suite 35 % des dépenses budgétaires. L’État russe se met en cessation de paiement en 1998.
Les économies asiatiques alimentant fortement la demande mondiale en biens d’équipements mais aussi en matières premières (hydrocarbures), la crise de 1997 provoque une baisse de la demande mondiale et donc une chute du cours des matières premières et des hydrocarbures. La crise devient mondiale. Si les bourses du monde entier subissent le contrecoup de la crise, il n’est pas pour autant évident qu’elle ait eu un impact sur l’économie réelle des grandes puissances industrielles. La chute des exportations est certes touchée par la diminution des importations asiatiques, le commerce international ne croît que de 3,8 % entre 1997 et 1998 (10 % sur l’année précédente), mais ce ralentissement est de courte durée. Avant tout, les grandes puissances industrielles se sont appuyées sur leur demande interne et un pays comme la France a enregistré un taux de croissance de 3,2 % en 1998. En outre, la dévaluation des monnaies asiatiques entraine la dépréciation des actifs de ces pays, et offre donc des opportunités de rachats d’entreprises pour les puissances industrielles à monnaie forte. Alors que le monde occidental craignait un déferlement des exportations asiatiques sur leurs marchés (du fait de la dévaluation des monnaies de la zone, les exportations asiatiques gagnaient en compétitivité), c’est le contraire qui s’est produit, les exportations des dragons et tigres n’augmentant guère, du fait de la faiblesse de l’investissement due à l’assèchement des liquidités disponibles dans ces pays (« credit crunch » dû à la fuite des capitaux), ne permettant pas une hausse de la production. L’impact de la crise asiatique sur le monde demeure donc tout relatif.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Crise_%C3%A9conomique_asiatique
Amplification de la crise fin 1997 [modifier]
Après les Tigres, la crise s’étend aux Dragons (Hong Kong, Corée du Sud), le won perd 50 % face au dollar au mois de novembre. Fin 1997, 12 pays émergents sont touchés (Tigres, Dragons, Brésil, Argentine, Inde). On observe une accalmie début 1998, puis un redémarrage. L’Indonésie s’enfonce sous Suharto qui augmente le déficit budgétaire (32 %) pendant la politique d’austérité du FMI (aide de 40 milliards de dollars). La crise devient politique et Suharto doit démissionner.
Au printemps, la crise passe de la sphère financière, qui a détruit en quelques mois un total de 600 milliards de dollars[5], à la sphère de l’économie réelle. L’effondrement monétaire et financier réduit considérablement le pouvoir d’achat des populations qui n’ont plus accès au crédit (manque de liquidités des banques, taux d’intérêts élevés).
Durant l’été, la contagion internationale se confirme, le risque est systémique, et aboutit au krach russe : le rouble se déprécie fortement, la hausse des prix à la consommation pourtant maitrisés en 1997 (11 %) explose à 80 % l’année suivante. La crise est aussi politique et le remboursement de la dette externe du pays se fait par l’émission de GKO (bons du Trésor russe), dont le service occupe par la suite 35 % des dépenses budgétaires. L’État russe se met en cessation de paiement en 1998.
Les économies asiatiques alimentant fortement la demande mondiale en biens d’équipements mais aussi en matières premières (hydrocarbures), la crise de 1997 provoque une baisse de la demande mondiale et donc une chute du cours des matières premières et des hydrocarbures. La crise devient mondiale. Si les bourses du monde entier subissent le contrecoup de la crise, il n’est pas pour autant évident qu’elle ait eu un impact sur l’économie réelle des grandes puissances industrielles. La chute des exportations est certes touchée par la diminution des importations asiatiques, le commerce international ne croît que de 3,8 % entre 1997 et 1998 (10 % sur l’année précédente), mais ce ralentissement est de courte durée. Avant tout, les grandes puissances industrielles se sont appuyées sur leur demande interne et un pays comme la France a enregistré un taux de croissance de 3,2 % en 1998. En outre, la dévaluation des monnaies asiatiques entraine la dépréciation des actifs de ces pays, et offre donc des opportunités de rachats d’entreprises pour les puissances industrielles à monnaie forte. Alors que le monde occidental craignait un déferlement des exportations asiatiques sur leurs marchés (du fait de la dévaluation des monnaies de la zone, les exportations asiatiques gagnaient en compétitivité), c’est le contraire qui s’est produit, les exportations des dragons et tigres n’augmentant guère, du fait de la faiblesse de l’investissement due à l’assèchement des liquidités disponibles dans ces pays (« credit crunch » dû à la fuite des capitaux), ne permettant pas une hausse de la production. L’impact de la crise asiatique sur le monde demeure donc tout relatif.
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Oui on en a besoin pour mettre fin a la manipulation des marchés par government sachs
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Avons-nous besoin d'un autre George Soros? Avons-nous besoin d'un autre mercredi noir - le jour où la Banque d'Angleterre a été frappé sur le marché des devises? Quelqu'un se souvient de la crise des marchés asiatiques en 1995-97 et leurs banques tombaient en panne?
2008 et la chute des banques américaines.
C'est toujours le problème des banques ou est-il toujours un autre Geroge Soros derrière les rideaux?
http://fr.wikipedia.org/wiki/George_Soros
2008 et la chute des banques américaines.
C'est toujours le problème des banques ou est-il toujours un autre Geroge Soros derrière les rideaux?
http://fr.wikipedia.org/wiki/George_Soros
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Suivez les marchés avec des outils de pros !