CAC40:corrige pour des raisons évidentes, remonte sans motif
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Merci pour cette ambivalence dans le propos : personne ne peut prévoir le cours des choses dans cette situation. Les hausses ne peuvent s'expliquer, les baisses sont excessives, et les stabilisations, à -0,12%, incomprehensibles !
Quel est le paramètre directeur de cette nouvelle économie ?
A mon sens, le CAC devrait être à sa juste valeur autour des 4000 ! Pourquoi/comment fait-on pour sous évaluer des sociétés qui savent rester profitables en plein marasme économique ???
Mystère !
Quel est le paramètre directeur de cette nouvelle économie ?
A mon sens, le CAC devrait être à sa juste valeur autour des 4000 ! Pourquoi/comment fait-on pour sous évaluer des sociétés qui savent rester profitables en plein marasme économique ???
Mystère !
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(CercleFinance.com) - Les acheteurs sont revenus à la charge en fin de séance pour des motifs qui échappent un peu à la logique la plus élémentaire car sur les 3 chiffres publiés aux Etats Unis cet après midi, pas un seul ne véhicule d'indications positives sur l'économie américaine.
La Bourse de Paris qui s'enfonçait dans le rouge en fin d'après-midi (le CAC40 perdait jusqu'à -1%) tandis que le Dow Jones reculait de -0,7% est pratiquement revenue à l'équiliber en tout fin de séance (-0,12% à 3.747Pts), ce qui apparaît une fois encore inespéré (après les 3% gagnés la veille sans davantage d'éléments d'actualité 'probants' pour expliquer l'une des 3 plus fortes hausses de l'année 2010.
Les dépenses et les revenus des ménages américains sont restées stables en juin, alors qu'ils avaient progressé de 0,1% et de 0,3% en mai respectivement. Les économistes ne prévoyaient qu'un ralentissement, avec des hausses de 0,1% pour les dépenses et de 0,2% pour les revenus.
Autre élément peu encourageant, les promesses de vente dans l'immobilier n'ont pas rebondi comme prévu, mais reculé au contraire de 2,6% après avoir plongé de 30% le mois précédent, sous l'effet de l'expiration du crédit d'impôt pour les primo-accédants.
Enfin, les commandes à l'industrie aux Etats-Unis ont baissé de 1,2% en juin, alors qu'une légère hausse de 0,5% était attendue. Il s'agit de la deuxième baisse consécutive après huit mois de progression.
Après l'ISM manufacturier 'moins mauvais que prévu' publié la veille, c'est un nouveau signe peu contestable d'essoufflement de la croissance outre Atlantique.
Mais peu importe, l'Euro poursuit son redressement (+0,5% à 1,3240$) et pour les commentateurs, c'est une preuve d'optimisme et d'appétit pour le risque de la part des investisseurs (pour quelle raison concrète ?).
Nul n'ose écrire qu'il pourrait s'agir d'un symptome de défiance vis à vis du billet vert car il ne faut surtout pas faire état de la moindre interprétation négative dans le climat psychologique actuel !
IL est presque interdit depuis hier de penser que tout ne va pas bien car prétendre l'inverse reviendrait à insinuer que la hausse est peut être de nature très artificielle.
Le CAC40 a bénéficié du soutien du secteur automobile: bien que les ventes aient chuté de -13% au mois de juillet en France, les bons résultats de BMW ont dopé le secteur et Renault (oublié la veille) a repris +3,4%, Peugeot +2,9% et Michelin +2,85%.
Suez Environnement s'adjuge 1,5% à 15,175 euros après avoir remporté un contrat de concession de 50 ans pour la distribution d'eau potable dans la deuxième ville de la plus grande île des Baléares, un contrat d'un montant de 980 millions d'euros.
En hausse de +1,5% à 3,95E, Dexia a surperformé le CAC40 et avec un gain de +0,55% à 55,8, BNP Paribas a échappé à la correction ce mardi, profitant toujours de ses résultats supérieurs aux attentes pour son deuxième trimestre, qui conduisent Nomura à réitérer sa recommandation 'achat'.
La Société Générale reculait en revanche de -2% et Credit Agricole de -0,85.
Sur le SBF 120, Arkema flambait de 5,5 salué pour ses résultats trimestriels qualifiés 'd'exceptionnels' et sa révision fortement à la hausse ses objectifs annuels, avec un Ebitda prévu au-dessus de 600 millions d'euros.
Du côté des baisses, PagesJaunes (-2%) essuie l'une des plus mauvaises performances de l'indice SBF 120 à la suite d'une dégradation de recommandation des analystes de HSBC.
De même, CNP Assurances s'inscrit en net repli de 3,4%, à la suite d'une dégradation de recommandation des analystes d'UBS, passés de 'achat' à 'neutre', avec un objectif réduit de 22 à 16,50 euros.
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La Bourse de Paris qui s'enfonçait dans le rouge en fin d'après-midi (le CAC40 perdait jusqu'à -1%) tandis que le Dow Jones reculait de -0,7% est pratiquement revenue à l'équiliber en tout fin de séance (-0,12% à 3.747Pts), ce qui apparaît une fois encore inespéré (après les 3% gagnés la veille sans davantage d'éléments d'actualité 'probants' pour expliquer l'une des 3 plus fortes hausses de l'année 2010.
Les dépenses et les revenus des ménages américains sont restées stables en juin, alors qu'ils avaient progressé de 0,1% et de 0,3% en mai respectivement. Les économistes ne prévoyaient qu'un ralentissement, avec des hausses de 0,1% pour les dépenses et de 0,2% pour les revenus.
Autre élément peu encourageant, les promesses de vente dans l'immobilier n'ont pas rebondi comme prévu, mais reculé au contraire de 2,6% après avoir plongé de 30% le mois précédent, sous l'effet de l'expiration du crédit d'impôt pour les primo-accédants.
Enfin, les commandes à l'industrie aux Etats-Unis ont baissé de 1,2% en juin, alors qu'une légère hausse de 0,5% était attendue. Il s'agit de la deuxième baisse consécutive après huit mois de progression.
Après l'ISM manufacturier 'moins mauvais que prévu' publié la veille, c'est un nouveau signe peu contestable d'essoufflement de la croissance outre Atlantique.
Mais peu importe, l'Euro poursuit son redressement (+0,5% à 1,3240$) et pour les commentateurs, c'est une preuve d'optimisme et d'appétit pour le risque de la part des investisseurs (pour quelle raison concrète ?).
Nul n'ose écrire qu'il pourrait s'agir d'un symptome de défiance vis à vis du billet vert car il ne faut surtout pas faire état de la moindre interprétation négative dans le climat psychologique actuel !
IL est presque interdit depuis hier de penser que tout ne va pas bien car prétendre l'inverse reviendrait à insinuer que la hausse est peut être de nature très artificielle.
Le CAC40 a bénéficié du soutien du secteur automobile: bien que les ventes aient chuté de -13% au mois de juillet en France, les bons résultats de BMW ont dopé le secteur et Renault (oublié la veille) a repris +3,4%, Peugeot +2,9% et Michelin +2,85%.
Suez Environnement s'adjuge 1,5% à 15,175 euros après avoir remporté un contrat de concession de 50 ans pour la distribution d'eau potable dans la deuxième ville de la plus grande île des Baléares, un contrat d'un montant de 980 millions d'euros.
En hausse de +1,5% à 3,95E, Dexia a surperformé le CAC40 et avec un gain de +0,55% à 55,8, BNP Paribas a échappé à la correction ce mardi, profitant toujours de ses résultats supérieurs aux attentes pour son deuxième trimestre, qui conduisent Nomura à réitérer sa recommandation 'achat'.
La Société Générale reculait en revanche de -2% et Credit Agricole de -0,85.
Sur le SBF 120, Arkema flambait de 5,5 salué pour ses résultats trimestriels qualifiés 'd'exceptionnels' et sa révision fortement à la hausse ses objectifs annuels, avec un Ebitda prévu au-dessus de 600 millions d'euros.
Du côté des baisses, PagesJaunes (-2%) essuie l'une des plus mauvaises performances de l'indice SBF 120 à la suite d'une dégradation de recommandation des analystes de HSBC.
De même, CNP Assurances s'inscrit en net repli de 3,4%, à la suite d'une dégradation de recommandation des analystes d'UBS, passés de 'achat' à 'neutre', avec un objectif réduit de 22 à 16,50 euros.
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