Ah super.
Paiment par chèque ou en espèces ? et j'en prends 2 !
PS : il y a option cuisine Italienne ?
Paiment par chèque ou en espèces ? et j'en prends 2 !
PS : il y a option cuisine Italienne ?
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et il fait la cuisine également !
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Il passe l'aspirateur me demande ma femme ?
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Si à court terme, les perspectives de la Bourse de Paris sont indécises, elles ne remettent pas en cause le bull market amorcé au mois de mai 2009. C’est ce qu’indique actuellement le Sectogram®.
Rappelons que cet indicateur, mis au point par Jérôme Boumengel et décrit dans son remarquable livre Psychologie boursière et Prévision chartiste (pages 177, 178 et 179) mesure l’importance relative des secteurs en expansion selon une méthodologie unique et innovante.
Au-dessus de 50, le Sectogram® indique qu’il y a plus de secteurs en expansion qu’en contraction. Au-dessous de 50, les secteurs baissiers sont plus nombreux que les secteurs haussiers.
Avec actuellement un niveau de 57, le Sectogram® demeure toujours au-dessus de la ligne des 50 et ceci depuis le mois d’avril 2009. Certes, on est au-dessous des plus hauts de septembre 2009, mais l’important c’est qu’il y ait toujours plus de secteurs en hausse qu’en baisse.
En conséquence, je ne vois pas dans la correction qui sévit depuis quelques semaines, un signe dangereux qui prévigurerait un retournement du bull market amorcé en mars 2009.
Rappelons que cet indicateur, mis au point par Jérôme Boumengel et décrit dans son remarquable livre Psychologie boursière et Prévision chartiste (pages 177, 178 et 179) mesure l’importance relative des secteurs en expansion selon une méthodologie unique et innovante.
Au-dessus de 50, le Sectogram® indique qu’il y a plus de secteurs en expansion qu’en contraction. Au-dessous de 50, les secteurs baissiers sont plus nombreux que les secteurs haussiers.
Avec actuellement un niveau de 57, le Sectogram® demeure toujours au-dessus de la ligne des 50 et ceci depuis le mois d’avril 2009. Certes, on est au-dessous des plus hauts de septembre 2009, mais l’important c’est qu’il y ait toujours plus de secteurs en hausse qu’en baisse.
En conséquence, je ne vois pas dans la correction qui sévit depuis quelques semaines, un signe dangereux qui prévigurerait un retournement du bull market amorcé en mars 2009.
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