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immoralité de la bourse



oyster oyster
16/12/2010 18:34:03
0
pour toucher les axes de votre sujet, vous avez trois angles de vision au min: ce que dit la religion, la politique, la conscience.

en ce qui concerne la religion, vous pouvez meme exposer le point de vue des athés.

la politique encourage la spéculation dans les périodes roses, par contre elle freine le jeu par des taxes en périodes de bulles de tulipes.

reste à disserter sur l'opinion de chacun, dans ce cas vous pouvez faire un sondage.

dans ce dernier cas si vous vous orientez vers une boite de sondage, il faut que vous sachiez que le contrat que vous signez avec la boite donne un pousse à l'action de la boite vers le positif.

dans le cas inverse, vous faites le sondage vous meme, vous avez à imprimer le rapport avec un papier acheté d'une autre société et ainsi vous donniez le gateau à l'action de la société de ram.

bonne rime avec la ram.
  
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Antoine Antoine
13/12/2010 18:43:16
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Fils de ..... tu as raison ,j'en connais un qui est reste sans défense

Les bisounours!!!! là, tu m'en bouches un coin, je croyais que c'était les envahisseurs que D Vincent avait rencontrés.

PS je ne pense plus.... j'ai passé l'age

Message complété le 13/12/2010 18:47:25 par son auteur.

Claude pas de soucis pour elle .Je te parie que uniquement pour emm... Pinault son ennemi intime ( Arnault) va l'embaucher

  
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maxibonz maxibonz
13/12/2010 17:30:20
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"Etre le fils de" n'a pas réussi dernièrement à
http://www.abcbourse.com/marches/ppr-claude-chirac-quitte-la-tete-du-pole-communication-_195361_PPp



Les bisounours, ils ont du tosma qui déchire vegra le donf du slip.
Le flash crash, c'était eux.
Les subprimes, c'était eux.
La bulle internet, c'était eux.
La save-and-loan crisis, c'était eux.
Les chocs pétroliers, c'était eux.
Les emprunts russes, c'était eux.
La seconde guerre mondiale, c'était eux.
La crise de 29, c'était eux.
La grande depression de 1873, c'était eux.
Même la compagnie des Indes, c'était eux.

Ils ont des super-ordinateurs monstrueux, avec ils font la pluie et le beau temps sur les marchés.
Ils ont un oscillateur, le %B, qui te prédit exactement les cours 50 ans à l'avance. Mais ils s'en tamponnent car ils font des crises quand ça leur chante de toute façon...

Ils dirigent aussi la CIA, le KGB et même Al Qaeda.
Alors fais gaffe à ce que tu écris, et même à ce que tu crois (ils lisent dans les pensées)...
  
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moisankarl moisankarl
13/12/2010 17:03:19
0
Mais pourtant dans les bisous n'ours ??? Je croyais que...
  
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Antoine Antoine
13/12/2010 16:01:35
0
"connais-tu un outil supérieur à la bourse " Des tas dont un qui marche bien
" être le fils de "


  
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maxibonz maxibonz
13/12/2010 15:13:04
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D'accord, Antoine, je vois ce que tu veux dire.
Pour le côté Gandhi, je préfère être du bon côté du canon, simple question de confort.
Mais si on ramène cette problématique à la question initiale, connais-tu un outil supérieur à la bourse? (pour trouver des capitaux, entre autres)



Il reste la notion de moralité, qui est un ensemble de règles orales (contrairement à la loi, écrite).
Bref, un concept particulièrement relatif reposant sur une vision manichéenne du monde, car différent d'une nation, d'une époque et d'un individu à l'autre.

Message complété le 13/12/2010 15:33:31 par son auteur.

Bref, un concept particulièrement relatif reposant sur une vision manichéenne du monde, différent d'une nation, d'une époque et d'un individu à l'autre.

Je corrige le "car" en trop.

  
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albert albert
13/12/2010 14:57:53
0
Bonjour Pauline 35,

Immoralité de la bourse :

voici quelques pistes de recherches. Tu trouveras de la matière sur le http://www.
Il ne faut pas oublier de présenter l’exposé sous forme de plan structuré

Définition de la bourse : c’est un lieu d’échange, rencontre de l’offre et de la demande (marché)

O > D prix en baisse
O < D prix en hausse
O = D prix stable

C’est la loi du marché...
Le libéralisme repose sur la loi du marché : physiocrates du 18ème siècle, selon lesquels il faut « laisser faire les hommes, laisser passer les marchandises...pour eux, la meilleure façon de maximiser la richesse est de laisser chacun agir, l’équilibre doit s’établir naturellement.

C’est le principe de la libre concurrence qui est à l’origine des inégalités sociale, économiques... les opposants au libéralisme sont favorable à l’intervention d’un organisme régulateur (moralisateur).

Sur la bourse :

Notion de spéculation financière : l’appât du gain fait naître des transactions ( vente à découvert, création de produit structurés-dits « toxiques » par les banques) sans relations avec la réalité économique, c’est ainsi que naissent les bulles qui se terminent généralement en crash boursiers, ayant des conséquences catastrophiques pour l’économie mondiale.
Exemples : crise de 1929, nouvelle économie, subprimes...

Histoire : En France il y a une tradition de méfiance à l’égard de l’argent « Au Moyen Âge, l'Eglise enseignait qu'aucun chrétien ne doit se faire marchand et les marchands sont mal vus. Cette interdiction se fonde sur des versets bibliques qui dénoncent le prêt à intérêt... Cette interdiction fut intégrée au droit laïc sous CHARLEMAGNE et perdura pendant tout le Moyen Âge.... Il résulte des éléments précédents qu'au moyen-âge, les usuriers étaient souvent des étrangers ou des non chrétiens, essentiellement les juifs, car on admettait qu'ils n’étaient pas obligés de se conformer aux préceptes d'une religion qui n'était pas la leur.... La religion musulmane continue quant à elle à condamner l’intérêt en tant que tel...»

« ... La Réforme protestante a ainsi contribué de façon déterminante à la levée progressive de l'interdit du prêt à intérêt dans les pays européens... »

C’est la raison pour laquelle les pays anglo-saxons se sont enrichis rapidement...


http://www.mazerolle.fr/HPE/Thematiques/Le-pret-a-interet-dans-l-histoire-des-faits-et-des-idees-economiques.pdf

aujourd'hui, ce qui pose problème, c'et la mondialisation et l'informatisation des transactions, réalisées essentiellement par les banques d'affaires, les fonds de pension, les hedges funds...

...un film sur l’immoralité en bourse : http://www.lejsl.com/fr/region/faits-divers/article/3877058,1499/Mortelles-speculations.html

sujet intéressant, bon courage,

albert

  
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natachouette natachouette
13/12/2010 14:10:54
0
je vous l' avait dit sa mérite une thése
ou un bouquin ( aahh )
  
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jollyjoker jollyjoker
13/12/2010 13:32:44
0
La bourse est un outil.

Un outil ne peut pas être en soi immoral, seuls les utilisateurs peuvent s'en servir de façon immorale.

Si des agents manipulent la bourse on peut dire que c'est immoral s'ils ont une information privilégié (ce qui revient à tricher et donc à "voler" d'autres investisseurs: c'est le principe du délit d'initié)
  
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moisankarl moisankarl
13/12/2010 13:26:33
0
Si mes souvenirs sont bons c'est le PDG d'Axa qui soulignais à propos des moyens de sortie de crise, que les états avaient privilègiés ce qui était légale à ce qui était bien (au sens morale). Moi qui croyais que ce qui était légale était nécessairement bien, naïf que je suis. Autrement dit, Pauline Tu ne peut poser la question de la moralité d'un outil en faisant l'économie de celle de la Loi définissant ses modalités d'utilisation.
  
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Antoine Antoine
13/12/2010 13:12:54
0
"Le choix de ton outil "
Ce dont tu parles c'est le choix d'utilisation de l'outil ,et là d'accord,mais mon propos ,c'est le choix de l'outil,ou le non choix et je pense qu'a ce moment, la notion d"option morale" subsiste . Ex : Gandhi

Message complété le 13/12/2010 13:14:03 par son auteur.

Réponse destinée a Maxi .

  
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tasmania tasmania
13/12/2010 11:40:55
0
Ceux qui critiquent le plus "La bourse" sont très souvent ceux qui en connaissent le moins les mécanismes et le fonctionement.

J'en veux pour preuve les diaboliques "licenciement boursier". Rien que d'entendre ce mot l'inconscient collecitf s'émoit et croasse un brouhaha aussi peu fondé qu'amusant pour les connaisseurs du monde de "la bourse".
  
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maxibonz maxibonz
13/12/2010 10:14:40
0
"Le choix de ton outil n'est il pas une indication sur l'orientation de tes "options" morales ?"

En l'occurrence, non. Car tu peux te servir d'un fusil autant pour agresser que pour te défendre. D'ailleurs, si on considère son utilisation première, ce serait plutôt une arme de jet destinée à la chasse. Autrement dit, ramener de la nourriture en prenant le moins de risque possible, en restant à une distance sûre de la proie.


"une société philanthrope, respectueuse et humaniste."

Et si quelqu'un ne veut pas de ta société, quel sort lui réserves-tu? N'est-ce pas là une dictature?


Nous sommes tous des spéculateurs, en permanence, car il n'y a qu'une seule chose dont tu puisses être sûr dans ce monde.
Un trader n'exerce-t-il pas un travail?
Il y a quelques siècles, les humains acceptaient pour monnaie des pièces d'or. Il y a quelques décennies, ils acceptaient des billets. Maintenant, ils acceptent des chiffres électroniques, un courant électrique ne dépassant souvent pas l'intensité des influx nerveux les traversant eux-mêmes. A méditer : quelle est la valeur de l'argent? Quelle est la force de jugement de ceux qui accordent de la valeur à ce qui n'en a point? Te sens-tu donc capable d'établir une échelle de mesure et de bon sens?
  
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SANDRO SANDRO
13/12/2010 09:37:14
0
La bourse ,c'est comme "le béton,ça dépend de ce qu'on en fait"...(pub sur les malaxeurs en Allemagne).
Est ce qu'un employé qui a quelques actions de sa société est un spéculateur ? ou un retraité qui a investi 10k€ ,fruit de son travail ?
Ou bien celui qui gagne ,ou perd ,100 Million d'€, et qui s'en fout comme de sa première chemise ?
Tout,absolument tout ,est une question de mesure et de bon sens...
  
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natachouette natachouette
13/12/2010 09:11:55
0
c pas l' outil qui est en faute , c l' utilisation et un manque de garde fou , c dire nous méme , donc la question de pauline doit etre reformuler
Sommes nous capable ds le systéme actuel de refondre nos acquis morales et immorales , en une sociétés philanthrope , respectueuse et humaniste .
  
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Antoine Antoine
13/12/2010 08:58:43
0
Le choix de ton outil n'est il pas une indication sur l'orientation de tes "options" morales ?

Dans le cas présent : La bourse ou le fusil
  
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maxibonz maxibonz
13/12/2010 08:42:43
0
Bonjour.

La bourse n'est ni morale, ni immorale, mais amorale. C'est un outil, et comme tel, c'est celui qui l'utilise qui fait preuve de moralité ou non. Autant faire un écrit sur l'immoralité du fusil.

Une entreprise exploite nécessairement ses employés, la question est de savoir à quel degré?
Prenons un automobiliste qui roule à 49 kms/h là où la limite est à 50. Nous avons affaire à un honnête citoyen.
Prenons en un autre qui roule à 51 kms/h, nous voici donc en face d'un être dangereux et irresponsable.

Et l'argent que tu perds en investissant, est-il mérité?

Et celui que gagne un maçon est-il moins mérité que celui d'un avocat?
  
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natachouette natachouette
13/12/2010 08:33:54
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la moralité ds les affaires , voila un sujet qui mérite une thése ;
posons nous les vrais questions , sommes nous prét a une attitude respectueuse pour un commerce équitable , le juste prix , etc etc
pas si sur , si vous pouviez gagner davantage sur une vente d' un produits en applicant des méthodes disons aggressives , le feriez vous ?
avant de répondre réfléchissez longuement ,et évitez de tomber ds l' humanitaire se serait hypocrite
  
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bambi bambi
12/12/2010 19:14:32
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Bonjour Pauline

Ta question n'est pas vraiment précise et on ne sait pas trop ce que tu cherches
Lorsque l'on parle Morale, le sujet devient tout de suite très très vaste
Moral par rapport à quoi: l'environnement, la société, la religion ?
Si tu ne cadres pas ton sujet, ça va être difficile de répondre précisement.

Mais pour t'orienter un peu, je te conseillerais de faire des recherches sur les ISR (Investissement Socialement Responsables) et également sur la finance islamique

Quelques liens qui pourrait t'aider à conduire un début de réflexion sur le sujet:
lien proposé par l'utilisateur
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brunclo brunclo
12/12/2010 18:04:29
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En principe c'est pour trouver un financement permettant le développement, la commercialisation d'une idée ou d'un produit. Ensuite le succès permet des rentrées fiscales, des embauches et la compétition entre les intervenants d'un même secteur (rachat de sociétés concurrentes).

Comme dit, post précédent, les "officiels" sont les grands gagnants sur ceux qui essayent de créer, d'inventer de nouveaux produits (études de marché, nouveaux besoins) en prélevant des taxes à chaque niveau et sans se fouler intellectuellement parlant. C'est aussi un endroit permettant de "sauvegarder" l'entreprise au fil de son existence et des aleas conjoncturels, en trouvant des capitaux malgré les pertes parfois récurrentes (augmentation de capital à répétition).

Pour l'investisseur ce n'est pas si facile d'être actionnaire c'est prendre des risques avec de l'argent qui est déjà dès le départ "le reste" du travail imposé; que l'on impose à nouveau pour ceux qui gagnent (31% de prélèvement). Et gagner ce n'est pas évident (voir stat. sauf pour les fortunés pour qui attendre et encaisser des dividendes est plus confortable).

Ensuite le choix des sociétés cotées (Nike a effectivement été désigné dans le passé pour employer des enfants -encore actuel, j'en sais rien?-; vu des reportages sur l'exploitation d'enfants dans des galeries minières mais connaître toute la chaîne de fabrication et leurs conditions de fonctionnement (respect de l'environnement et des conditions sociales) n'est pas à la portée du particulier; qui se voît en principe proposer les produits catalogue de sa banque.
  
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