Il ne suffit pas d’être abonné au monde, il faut aussi le lire.
Pour ton information, l'article de référence se trouve en page 11.
L'ultra libéralisme n'est pas une maladie, c'est juste la marque de l’égoïsme et de la cupidité.
Pour le reste, un peu de paranoïa peu être ?
Pour ton information, l'article de référence se trouve en page 11.
L'ultra libéralisme n'est pas une maladie, c'est juste la marque de l’égoïsme et de la cupidité.
Pour le reste, un peu de paranoïa peu être ?
|
Répondre
|
Avant d'avancer des arguments, vérifie les, je suis abonné au Monde mais ce n'est pas la seule source. Par plus riche, Obama s'aligne sur la vision socialiste Française, nous sommes très loin des milliardaires supposés.
Et être libéral ce n'est pas une maladie.
Et être libéral ce n'est pas une maladie.
Message complété le 27/07/2011 12:43:10 par son auteur.
Et puis réponds sous ton pseudo usuel au lieu d'utiliser celui derrière lequel tu te planques.
|
Répondre
|
Le président Obama proposait de couper 1650 milliards de $ sur 10 ans dans les budget sociaux, en échange d'une augmentation d’impôts pour les plus riches de 400 milliards sur la même période. (Le Monde 24-25/07)
A l'évidence des faits, ton brillant discours se transforme en vulgaire propagande ultra libérale.
A l'évidence des faits, ton brillant discours se transforme en vulgaire propagande ultra libérale.
|
Répondre
|
Un intervenant sur les rubriques propose la lecture de Frédéric Bastiat : lien proposé par l'utilisateur
il propose un lien : lien proposé par l'utilisateur
A lire aussi : "Bastiat précurseur de Hayek" essai sur la proclamation des principes libéraux et leur dévoiement par le processus de socialisation. Ouvrage de Jean Philippe Feldman.
> Feldman est docteur en droit et professeur agrégé, mon fils étant sur la voie de l'agrégation de droit m'ayant fait connaître ce juriste et écrivain.
Excellent référentiel et argumentaire à mon post.
Ah oui pour coller au forum, les phrases obligées : "bonjour les amis… Bisounours", "en mp", "ton post est formidable", "le forum est un lieu de partage", "on s'aime tous", "cette pauvre Amy", "tu es méchant", "t'as dis des vilainetés sur moi", "la bourse elle baisse ou elle monte ?
Voila, j'espère n'avoir oublié personne.
PS : j'annonce un mouvement de grève la semaine prochaine, je ne sais pas encore pourquoi, mais je pose le préavis au WM dès ce jour afin qu'il ne soit pas mis devant le fait accompli.
il propose un lien : lien proposé par l'utilisateur
A lire aussi : "Bastiat précurseur de Hayek" essai sur la proclamation des principes libéraux et leur dévoiement par le processus de socialisation. Ouvrage de Jean Philippe Feldman.
> Feldman est docteur en droit et professeur agrégé, mon fils étant sur la voie de l'agrégation de droit m'ayant fait connaître ce juriste et écrivain.
Excellent référentiel et argumentaire à mon post.
Ah oui pour coller au forum, les phrases obligées : "bonjour les amis… Bisounours", "en mp", "ton post est formidable", "le forum est un lieu de partage", "on s'aime tous", "cette pauvre Amy", "tu es méchant", "t'as dis des vilainetés sur moi", "la bourse elle baisse ou elle monte ?
Voila, j'espère n'avoir oublié personne.
PS : j'annonce un mouvement de grève la semaine prochaine, je ne sais pas encore pourquoi, mais je pose le préavis au WM dès ce jour afin qu'il ne soit pas mis devant le fait accompli.
|
Répondre
|
Salut TATA,
Je n'avais pas lu le post des bisounours, un vrai club, je comprends mieux ta remarque.
Je n'avais pas lu le post des bisounours, un vrai club, je comprends mieux ta remarque.
|
Répondre
|
t'es encore là toi!!!(;o))
traine pas trop y a les grévistes qui te cherchent (;o)) hi!!hi!!hi!!
bonne soirée NAPO
traine pas trop y a les grévistes qui te cherchent (;o)) hi!!hi!!hi!!
bonne soirée NAPO
|
Répondre
|
Consternant, c'est le mot qui me vient à l'esprit lorsque je lis ça et là les critiques qui fusent à l'endroit des républicains américains, le fameux "Tea Party".
Que reproche t'on à cette représentation américaine ?
D'être pragmatique et de ne pas céder à la facilité de la dérive de l'état en terme de financement et de socialisation.
Obama fait peur aux américains, il représente pour la plupart d'entre eux le modèle européen qu'ils ont fuit il y a bien longtemps. Le temps des élections passé et des promesses électorales gratuites, la vérité de la gouvernance s'impose à Obama et sa seule réponse est de propulser son pays vers un modèle désastreux.
En fait la réémergence du Tea Party tire ses racines de la crise, donc post Obama, tout à commencer sous G.W Bush, Paulson et Bernanke ont finis l'ouvrage, transgressant l'aléa moral en venant en aide à un système financier à des fins de sauver la planète.
Cette transgression, peu le savent, n'a jamais été du goût des Américains, élus ou pas, et comme il fallait s'y attendre, la riposte est maintenant virulente et toutefois contenue dans un sénat.
Il est toujours facile de s'aligner sur un courant de penser à priori majoritaire, c'est la constante moutonnière propre à tous les évènements : financiers, climatiques, politiques, sociaux…
La voie de la facilité est celle de la réaction qui se base sur l'émotion collective, elle force à réagir promptement et dans le sens de l'opinion du moment.
Reculons d'un pas et regardons le tableau dans son ensemble, considérons la position du Tea Party : que leur reproche t'on ? quels sont les arguments réels à leur encontre ?
Mettons de coté l'émotion qui tend à faire croire que ces gens ne sont animés que par le désir de la dominance des plus démunis, en refusant d'augmenter les impôts et en proposant un désengagement de l'état y compris sur le dossier social.
Le constat immédiat et donc émotif, fait apparaître leur position comme monstrueuse, en fait c'est la voix de la raison qui s'exprime.
Il est facile d'augmenter des impôts, de distribuer de l'argent public aux plus démunis, sauf que cela n'arrange rien, ce sont des pansements immédiats qui n'ont pour effet que d'augmenter encore et toujours plus la charge de l'état.
Ce que refusent les américains, c'est d'être pris en otage par une dérive socialiste qui tend à faire croire que l'état a réponse à tout et qu'il peut subvenir à toutes les demandes.
Le chantage émotif est l'arme de l'idée sociale, cette arme est d'autant plus redoutable à notre époque surmédiatisée.
Obama se trompe, mais ça on le savait avant même son mandat électoral, son accessit c'est fait sur l'émotion, en réaction à une présidence Bush ou plutôt à cause d'une non présidence.
Ne nous y trompons pas, c'est bien plus que quelques milliards qui sont en jeu actuellement, si le clan Obama parvenait à imposer ses idées et à casser la résistance du Tea Party, ce serait la fin des états unis tels que nous les connaissons,.
La réaction à cette éventuelle victoire d'Obama provoquera à terme une réaction violente qui gagnera l'ensemble de la planète et qui s'exprimera en dehors d'un sénat.
A l'émotion je préfère le pragmatisme et surtout une réelle gouvernance, dans un tel contexte par une force d'opposition il est toujours possible de faire entendre ses idées, lorsque le social prend le pas c'est la tyrannie qui s'installe...
Que reproche t'on à cette représentation américaine ?
D'être pragmatique et de ne pas céder à la facilité de la dérive de l'état en terme de financement et de socialisation.
Obama fait peur aux américains, il représente pour la plupart d'entre eux le modèle européen qu'ils ont fuit il y a bien longtemps. Le temps des élections passé et des promesses électorales gratuites, la vérité de la gouvernance s'impose à Obama et sa seule réponse est de propulser son pays vers un modèle désastreux.
En fait la réémergence du Tea Party tire ses racines de la crise, donc post Obama, tout à commencer sous G.W Bush, Paulson et Bernanke ont finis l'ouvrage, transgressant l'aléa moral en venant en aide à un système financier à des fins de sauver la planète.
Cette transgression, peu le savent, n'a jamais été du goût des Américains, élus ou pas, et comme il fallait s'y attendre, la riposte est maintenant virulente et toutefois contenue dans un sénat.
Il est toujours facile de s'aligner sur un courant de penser à priori majoritaire, c'est la constante moutonnière propre à tous les évènements : financiers, climatiques, politiques, sociaux…
La voie de la facilité est celle de la réaction qui se base sur l'émotion collective, elle force à réagir promptement et dans le sens de l'opinion du moment.
Reculons d'un pas et regardons le tableau dans son ensemble, considérons la position du Tea Party : que leur reproche t'on ? quels sont les arguments réels à leur encontre ?
Mettons de coté l'émotion qui tend à faire croire que ces gens ne sont animés que par le désir de la dominance des plus démunis, en refusant d'augmenter les impôts et en proposant un désengagement de l'état y compris sur le dossier social.
Le constat immédiat et donc émotif, fait apparaître leur position comme monstrueuse, en fait c'est la voix de la raison qui s'exprime.
Il est facile d'augmenter des impôts, de distribuer de l'argent public aux plus démunis, sauf que cela n'arrange rien, ce sont des pansements immédiats qui n'ont pour effet que d'augmenter encore et toujours plus la charge de l'état.
Ce que refusent les américains, c'est d'être pris en otage par une dérive socialiste qui tend à faire croire que l'état a réponse à tout et qu'il peut subvenir à toutes les demandes.
Le chantage émotif est l'arme de l'idée sociale, cette arme est d'autant plus redoutable à notre époque surmédiatisée.
Obama se trompe, mais ça on le savait avant même son mandat électoral, son accessit c'est fait sur l'émotion, en réaction à une présidence Bush ou plutôt à cause d'une non présidence.
Ne nous y trompons pas, c'est bien plus que quelques milliards qui sont en jeu actuellement, si le clan Obama parvenait à imposer ses idées et à casser la résistance du Tea Party, ce serait la fin des états unis tels que nous les connaissons,.
La réaction à cette éventuelle victoire d'Obama provoquera à terme une réaction violente qui gagnera l'ensemble de la planète et qui s'exprimera en dehors d'un sénat.
A l'émotion je préfère le pragmatisme et surtout une réelle gouvernance, dans un tel contexte par une force d'opposition il est toujours possible de faire entendre ses idées, lorsque le social prend le pas c'est la tyrannie qui s'installe...
|
Répondre
|
Suivez les marchés avec des outils de pros !