CAC 40: une pause en attendant les décisions européennes.
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par qui sont entourés les décisionnaires de ce fesf?
Sarkosy par le lobby des banques on l'avait bien compris, mais sinon y a il quelqu'un d'autre?
peut on les connaitre?
Sarkosy par le lobby des banques on l'avait bien compris, mais sinon y a il quelqu'un d'autre?
peut on les connaitre?
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Au menu de demain!
Désinformation et intox de tous bords...accord en minima...explications contradictoires sans solutions concrètes concernant le fond de la crise de l'Euro et une relance européenne nécessaire...
Pour la GRECE c'est déjà trop tard et l'ITALIE deviendra la prochaine victime avec une impossibilité de rembourser sa dette à son tour.
Comme nous redira notre Président : "On ne pouvait pas faire mieux!"
Et suite à une prochaine réunion...
Désinformation et intox de tous bords...accord en minima...explications contradictoires sans solutions concrètes concernant le fond de la crise de l'Euro et une relance européenne nécessaire...
Pour la GRECE c'est déjà trop tard et l'ITALIE deviendra la prochaine victime avec une impossibilité de rembourser sa dette à son tour.
Comme nous redira notre Président : "On ne pouvait pas faire mieux!"
Et suite à une prochaine réunion...
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(CercleFinance.com) - La Bourse de Paris marque une pause mardi après deux séances de nette progression, les investisseurs jouant la montre d'ici à l'issue du sommet européen, mercredi soir.
Vers 10h30, l'indice CAC 40 recule de 0,4% à 3208,4 points. Ailleurs en Europe, les grands indices comme Francfort ou Londres naviguent autour de l'équilibre.
'On préfère temporiser en attendant de disposer d'éléments concrets', expliquent ce matin les gérants de Barclays Bourse.
'L'Europe a encore beaucoup de chemin à faire pour restaurer sa situation financière et rebâtir les fondations nécessaires à la croissance', rappelle pour sa part Bob Doll, le stratégiste actions de BlackRock Investments.
Sur le plan des valeurs, Faiveley bondit de 10% à 49,7 euros après avoir dévoilé un chiffre d'affaires supérieur aux attentes et maintenu son objectif d'une légère croissance en 2011.
Une cohorte de 'midcaps' lui emboîte le pas, comme Maurel & Prom (+3,5%), Plastic Omnium (+2,7%) ou CFAO (+1,1%).
Du côté des baisses, STMicroelectronics chute de 7% à moins de 5,1 euros après avoir vu ses résultats se dégrader au 3ème trimestre en raison d'une nouvelle détérioration du marché des semi-conducteurs.
Air France-KLM décroche de 2,4% à 5,6 euros sur des rumeurs évoquant un possible avertissement de la compagnie à l'occasion de la publication de ses comptes pour la période d'avril à septembre, le 9 novembre. Crédit Suisse estime de son côté que le titre pourrait être amené à pâtir d'un accroissement des spreads sur les obligations à haute rendement en Europe.
Copyright © 2011 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Vers 10h30, l'indice CAC 40 recule de 0,4% à 3208,4 points. Ailleurs en Europe, les grands indices comme Francfort ou Londres naviguent autour de l'équilibre.
'On préfère temporiser en attendant de disposer d'éléments concrets', expliquent ce matin les gérants de Barclays Bourse.
'L'Europe a encore beaucoup de chemin à faire pour restaurer sa situation financière et rebâtir les fondations nécessaires à la croissance', rappelle pour sa part Bob Doll, le stratégiste actions de BlackRock Investments.
Sur le plan des valeurs, Faiveley bondit de 10% à 49,7 euros après avoir dévoilé un chiffre d'affaires supérieur aux attentes et maintenu son objectif d'une légère croissance en 2011.
Une cohorte de 'midcaps' lui emboîte le pas, comme Maurel & Prom (+3,5%), Plastic Omnium (+2,7%) ou CFAO (+1,1%).
Du côté des baisses, STMicroelectronics chute de 7% à moins de 5,1 euros après avoir vu ses résultats se dégrader au 3ème trimestre en raison d'une nouvelle détérioration du marché des semi-conducteurs.
Air France-KLM décroche de 2,4% à 5,6 euros sur des rumeurs évoquant un possible avertissement de la compagnie à l'occasion de la publication de ses comptes pour la période d'avril à septembre, le 9 novembre. Crédit Suisse estime de son côté que le titre pourrait être amené à pâtir d'un accroissement des spreads sur les obligations à haute rendement en Europe.
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