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Enfin la grêce admet faire défaut...



moisankarl moisankarl
23/11/2011 19:51:21
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« Duel à coup de gourdins » de Goya me semble de moins en moins pertinent pour décrire la situation en Europe aujourd'huis.
  
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mimille mimille
23/11/2011 14:04:46
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lol vous avez parfaitement raison tous les 2!!!!
  
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tirelire19 tirelire19
23/11/2011 14:01:07
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Cà promet demain, à la réunion, avec Nicolas 1er et les deux Marios.
Nicolas lui fera la bise habituelle en guise de pommade et le tour sera joué..
  
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jollyjoker jollyjoker
23/11/2011 13:58:39
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L'Europe, c'est comme une famille dont les parents ne s'aiment pas, n'ont pas les memes avis ni les memes gouts, mais refusent de divorcer soit disant "pour les enfants". En attendant, les enfants doivent supporter leur disputes incessantes et ont la vie bien plus dure que si leurs parents etaient heureux separemment plutot que malheureux ensembles. S'ils ne veulent pas divorcer, c'est pour ne pas perdre la face et non pour le bien etre des enfants...
  
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moisankarl moisankarl
23/11/2011 13:51:18
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Angela Merkel réitére son opposition aux euro-obligations et à un rôle accru de la BCE
Dans une allocution aux députés allemands du Bundestag, Angela Merkel a de nouveau affirmé sa farouche opposition à la création d'euro obligations alors que la Commission européenne doit présenter ce mercredi son livre vert pour créer de tels instruments. La responsable allemande refuse également d'étendre les prérogatives de la Banque centrale européenne (BCE).

Pour la chancelière allemande, les euro obligations seraient une manière de mettre la charrue avant les boeufs et donneraient l’impression que le fardeau de la dette est partagée. Il est alors hors de question d’envisager leur émission pour le moment.
Mme Merkel a également exprimé son opposition à une intervention plus poussée de la BCE. « La zone euro a une banque centrale qui est uniquement responsable de la stabilité de la monnaie, c'est son mandat. Elle doit pouvoir l’exercer en toute indépendance ».

Pour Angela Merkel, la confiance ne pourrait être réinstaurée que par une modification des traités européens en vue de renforcer les mécanismes de contrôle des politiques budgétaires des Etats de la zone euro, et d’amener à une plus forte harmonisation des politiques économiques.
Hier soir, le ministre des finances allemand, Wolfgang Schäuble, a justement annoncé que des décisions sur une modification des traités seraient prises vraisemblablement lors du prochain sommet des dirigeants européens le 9 décembre. A été fait mention au protocole 14 du Traité de Lisbonne qui concerne la coordination économique des Etats membres de la zone euro.

Malgré cette opposition affichée, les euro obligations seront au menu des discussions à Bruxelles. La Commission européenne va présenter son projet qui vise à créer des titres de dette garantis en commun par les Etats membres de la zone euro. La proposition sera assortie de mesures pour renforcer la surveillance budgétaire des Etats membres.


I.H.
Publié le 23 Novembre 2011
  
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moisankarl moisankarl
22/11/2011 18:46:48
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Je viens de rentrer et je m'aperçois qu'une supression à eu lieu... Je ne sais pas ce qui c'est passé mais je suposse que certains ce sont encore malheureussement laché. C'est bien dommage car l'heure est grave.

Message complété le 22/11/2011 18:47:19 par son auteur.

Désolé...

  
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Antoine Antoine
22/11/2011 17:13:23
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Financierement rien de changé depuis 2 mois , si ce n'est que le FMI et l'UE exigent un engagement écrit de la part du gouvernement grecque

Confiance limitée

  
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moisankarl moisankarl
22/11/2011 17:07:53
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La Grèce pourrait faire défaut dans 20 jours - sources
Date: 22/11/2011 @ 16h25
Source: Dow Jones News

L'Union européenne a prévenu la Grèce qu'à moins que les dirigeants politiques du pays ne s'engagent par écrit à soutenir les réformes convenues, la prochaine tranche d'aide de 8 milliards d'euros ne serait pas versée, ce qui veut dire que le pays pourrait être à court d'argent dans une vingtaine de jours, ont déclaré mardi des représentants du gouvernement grec et de la Zone Euro.

L'impasse actuelle est due au refus du chef de file du parti d'opposition Nouvelle Démocratie de signer cet engagement. Antonis Samaras craint que les électeurs ne considèrent cette signature comme un abandon de sa promesse de renégocier les prêts accordés à la Grèce si son parti arrive au pouvoir.

"Il y a suffisamment d'argent pour encore une vingtaine de jours", a expliqué un représentant du gouvernement grec. "Sans cette tranche d'aide, nous ferons défaut sur le remboursement d'emprunts de 2,8 milliards d'euros en décembre, et nous ne pourrons plus verser les salaires et les retraites. La situation est très grave et le problème doit être résolu cette semaine".

Un diplomate européen a indiqué que le Premier ministre grec Lucas Papadémos avait reçu un nouvel avertissement lors de ses réunions lundi à Bruxelles avec José Manuel Barroso, le président de la Commission, et Herman Van Rompuy, le président du Conseil européen.

Lucas Papadémos, qui dirige un gouvernement de coalition soutenu par le Pasok, le parti socialiste sortant, par Nouvelle Démocratie et par le petit parti nationaliste LAOS, a rencontré mardi Jean-Claude Juncker, le président de l'Eurogroupe, à Luxembourg.

Jean-Claude Juncker a déclaré que la lettre d'engagement devrait être soumise au plus tard le 29 novembre, date de la prochaine réunion de l'Eurogroupe.

"Nous parlerons du versement de la sixième tranche d'aide et je suis assez optimiste quant au fait que nous allons d'ici là nous trouver en position de rendre une décision positive [...]", a affirmé le président de l'Eurogroupe.

"Nous avons demandé à recevoir une lettre d'engagement du nouveau Premier ministre grec [...] cette idée devrait être partagée par les principaux leaders politiques", a-t-il expliqué.

Le ministre néerlandais des Finances, Jan Kees de Jager, a pour sa part indiqué que la Grèce ne recevrait pas de nouvelle aide si Antonis Samaras n'exprime pas son soutien par écrit aux réformes prévues.

"Je ne comprends pas pourquoi ils font tant de difficultés", a-t-il déclaré lors d'un entretien télévisé, se référant à Antonis Samaras et à son parti. "Nous devons être sûrs qu'ils sont déterminés à entreprendre les réformes".

Un représentant de Nouvelle Démocratie a reconnu que les pressions s'accentuaient sur Antonis Samaras et que le parti cherchait à obtenir cette semaine un "compromis qui lui permettrait de sauver la face".

La zone euro souhaite que les dirigeants s'engagent à ce que le parti qui gagnera les élections législatives de février, quel qu'il soit, poursuivra les réformes.

"Il y a un gros problème de méfiance vis-à-vis de la Grèce", a expliqué le diplomate européen. "Donc les promesses habituelles d'Athènes, qui n'ont généralement pas été respectées, ne suffiront pas".

Un représentant du Fonds monétaire international a indiqué que le conseil du FMI se réunirait probablement la semaine prochaine pour décider du versement de la tranche d'aide, qui fait partie du premier plan de sauvetage de 110 milliards d'euros mis en place pour la Grèce en mai 2010.

-Costas Paris, Dow Jones Newswires

(Matina Stevis et Archibald Preuschat ont contribué à cet article)

(Version française Emilie Palvadeau)

  
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