CAC40: s'enfonce sous 2.900, certaines 'valos' inexplicables
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Non le marché n'a pas perdu sa raison, regarde l'indice Parisien en échelle annuelle et nous constatons encore et encore que pour qu'une tendance se mette en place il est nécessaire d'avoir une baisse de la volatilité. C'est ce qui se déroule en ce moment sur cette échelle de temps. Donc le scénario est très simple. Nous touchons la bande basse deBollinger, nous avons ensuite un mouvement haussier sur la moyenne mobile tout en regardant comme va se comporter le parabolique. Si ce dernier offre un non croisement avec la bande sup de Bollinger l'objectif du Cac sera plein sud. Si ce n'est pas le cas nous pourrons partir pour des années de dérive latérale et un seul indicateur sera utile le sto.
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Même si les sociétés sont saines , le marché lui a perdu la raison , et la peur d'un crack économique mondial transpire de nos écrans .
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Il est temps de se replacer à la hausse du CAC40. 
Message complété le 22/11/2011 18:14:37 par son auteur.
Petit rallye de Noël.
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Et teo à 0,80... une société qui s'en sort tout doucement et Tch qui est tout à fait mort (la même valeur quasi qu'avant le regroupement...).
Je n'en reviens pas.
Je n'en reviens pas.
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(CercleFinance.com) - Le CAC40 (-0,3%) s'enfonce résolument sous les 2.900Pts (à 2.884Pts), la bourse de Francfort décroche de -1%, celle de Milan de -1,5% et l'Euro-Stoxx50 chute de -0,6% sous les 2.150Pts.
Wall Street est désormais attendu en repli de -0,5% à -0,7%: jamais depuis des décennies une semaine de 'Thanksgiving' n'avait aussi mal démarré aux Etats Unis, pas même en 2002, ni même en 2008.
Les mauvaises surprises continuent de s'accumuler pour les marchés financiers puisque la croissance américaine au 3ème trimestre est revue nettement à la baisse (de +2,5% à +2%) en seconde estimation, alors que le consensus tablait sur une confirmation de la hausse du PIB (de récentes études de grandes banques New Yorkaises n'hésitaient pas à revoir à la hausse les prévisions de croissance 2011).
Ceci dément notamment les anticipations de Bob Doll, stratégiste chez BlackRock qui estime que les Etats-Unis auraient non seulement évité la récession mais montreraient également des signes d'accélération du PIB.
Et ce n'est pas la seule douche froide pour les investisseurs puisque le 1er Ministre François Fillon enterre pratiquement tout espoir de voir l'Allemagne autoriser la BCE à intervenir de façon plus large pour soutenir les pays (du Sud de l'Europe principalement) éprouvant des difficultés pour refinancer leur dette souveraine.
Les attaques spéculatives peuvent reprendre: il n'y aura personne en face.
Mais les Etats Unis n'en sont pas moins sur la sellette avec l'échec avéré des négociations visant à réduire le déficit Fédéral: c'est un épisode de plus dans la 'stratégie du pire' menée par l'opposition républicaine pour envoyer l'Amérique 'dans le mur' dans l'espoir que les électeurs en attribueront la responsabilité à l'administration Obama.
Si Standard & Poors estime que l'échec du 'super committee' n'affectera pas la note des Etats Unis, Fitch en revanche avertit en revanche que le 'AAA' serait désormais menacé.
Du pain béni pour les extrémistes du 'Tea Party' qui espèrent abolir toute intervention de l'état dans les affaires publiques: en acculant le pays à une quasi faillite (ou au licenciement forcé de dizaines de milliers de fonctionnaires), le contrat social volerait de facto en éclats et ce serait la mort clinique d'un système politique et économique qui perdurait depuis la fin des années 50.
A Paris, ce sont les valeurs bancaires qui se retrouvent de nouveau sous pression avec -4,1% pour BNP-Paribas, -3% sur AXA et Crédit Agricole, -3,3% sur Sté Générale.
Les attaques visant à détruire boursièrement Alcatel-Lucent reprennent de plus belle: avec une chute de -6% vers 1,28E, le titre se retrouve au même niveau que le 27 mars 2009 quand la situation du groupe semblait désespérée (tout du moins essayait-on de le faire croire).
Le silence assourdissant de la direction d'Alcatel-Lucent entretient par ailleurs les pires hypothèses bien qu'aucune 'information inquiétante' n'ait filtré depuis 10 jours (de débâcle ininterrompue).
L'effondrement de Véolia (-4% à 8,11E) qui voit son cours divisé par 3 depuis ses sommets annuels (du jamais vu) est tout aussi inquiétant pour ce leader mondial de l'environnement dont la capitalisation sera bientôt dévisée par 2 par rapport à ses planchers historiques de mars 2003 et mars 2009.
Air-France qui dévisse de -4,5% à 3,64E pulvérise également un nouveau plancher historique et ne vaut plus boursièrement que 1,09MdsE, soit l'équivalent d'une poignée d'Airbus A-330 (ou de 3 A-380 gros porteurs) et moins que ses diverses participations dans des groupes de tourisme.
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Wall Street est désormais attendu en repli de -0,5% à -0,7%: jamais depuis des décennies une semaine de 'Thanksgiving' n'avait aussi mal démarré aux Etats Unis, pas même en 2002, ni même en 2008.
Les mauvaises surprises continuent de s'accumuler pour les marchés financiers puisque la croissance américaine au 3ème trimestre est revue nettement à la baisse (de +2,5% à +2%) en seconde estimation, alors que le consensus tablait sur une confirmation de la hausse du PIB (de récentes études de grandes banques New Yorkaises n'hésitaient pas à revoir à la hausse les prévisions de croissance 2011).
Ceci dément notamment les anticipations de Bob Doll, stratégiste chez BlackRock qui estime que les Etats-Unis auraient non seulement évité la récession mais montreraient également des signes d'accélération du PIB.
Et ce n'est pas la seule douche froide pour les investisseurs puisque le 1er Ministre François Fillon enterre pratiquement tout espoir de voir l'Allemagne autoriser la BCE à intervenir de façon plus large pour soutenir les pays (du Sud de l'Europe principalement) éprouvant des difficultés pour refinancer leur dette souveraine.
Les attaques spéculatives peuvent reprendre: il n'y aura personne en face.
Mais les Etats Unis n'en sont pas moins sur la sellette avec l'échec avéré des négociations visant à réduire le déficit Fédéral: c'est un épisode de plus dans la 'stratégie du pire' menée par l'opposition républicaine pour envoyer l'Amérique 'dans le mur' dans l'espoir que les électeurs en attribueront la responsabilité à l'administration Obama.
Si Standard & Poors estime que l'échec du 'super committee' n'affectera pas la note des Etats Unis, Fitch en revanche avertit en revanche que le 'AAA' serait désormais menacé.
Du pain béni pour les extrémistes du 'Tea Party' qui espèrent abolir toute intervention de l'état dans les affaires publiques: en acculant le pays à une quasi faillite (ou au licenciement forcé de dizaines de milliers de fonctionnaires), le contrat social volerait de facto en éclats et ce serait la mort clinique d'un système politique et économique qui perdurait depuis la fin des années 50.
A Paris, ce sont les valeurs bancaires qui se retrouvent de nouveau sous pression avec -4,1% pour BNP-Paribas, -3% sur AXA et Crédit Agricole, -3,3% sur Sté Générale.
Les attaques visant à détruire boursièrement Alcatel-Lucent reprennent de plus belle: avec une chute de -6% vers 1,28E, le titre se retrouve au même niveau que le 27 mars 2009 quand la situation du groupe semblait désespérée (tout du moins essayait-on de le faire croire).
Le silence assourdissant de la direction d'Alcatel-Lucent entretient par ailleurs les pires hypothèses bien qu'aucune 'information inquiétante' n'ait filtré depuis 10 jours (de débâcle ininterrompue).
L'effondrement de Véolia (-4% à 8,11E) qui voit son cours divisé par 3 depuis ses sommets annuels (du jamais vu) est tout aussi inquiétant pour ce leader mondial de l'environnement dont la capitalisation sera bientôt dévisée par 2 par rapport à ses planchers historiques de mars 2003 et mars 2009.
Air-France qui dévisse de -4,5% à 3,64E pulvérise également un nouveau plancher historique et ne vaut plus boursièrement que 1,09MdsE, soit l'équivalent d'une poignée d'Airbus A-330 (ou de 3 A-380 gros porteurs) et moins que ses diverses participations dans des groupes de tourisme.
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