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Message complété le 27/01/2012 16:43:38 par son auteur.
pour ses
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Message complété le 27/01/2012 14:05:22 par son auteur.
Affaire à suivre, c'est la meilleur.
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Message complété le 06/01/2012 11:43:26 par son auteur.
Est t-il possible que les banques attendent des perspectives de croissances à MT pour investir ?
En attendant la conformiter Bâle III ne devrait pas poser problème. Lol...
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Message complété le 16/12/2011 10:39:22 par son auteur.
Ou par les banques centrales de la zone EU ?
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Message complété le 08/12/2011 15:31:49 par son auteur.
Avec le texte c'est mieux .
= PLUS USA: La réglementation bancaire devrait s'affranchir des notes de crédit
Date: 08/12/2011 @ 15h07
Source: Dow Jones News
Alan Zibel et Victoria McGrane,
THE WALL STREET JOURNAL
Les plus grandes banques américaines devraient cesser de se référer aux notes de crédit pour évaluer le risque des actifs qu'elles ont en portefeuille en vertu d'un projet de réglementation destiné à réduire l'influence des agences de notation sur les marchés financiers.
Cette proposition présentée par la Réserve fédérale, la Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC), l'organisme d'assurance des dépôts aux Etats-Unis, et l'Office of the Comptroller of the Currency, l'agence de tutelle des banques américaines, est un premier pas important vers l'application d'un principe inscrit dans la loi Dodd-Franck de réforme du secteur financier adoptée l'an dernier.
Les banques sont tenues actuellement d'utiliser les notes de crédit pour évaluer le risque lié à des actifs comme les titres adossés à des crédits hypothécaires ou d'autres formes de dette afin de calculer le montant des fonds propres dont elles ont besoin pour se prémunir contre des pertes potentielles.
Mécontents des piètres performances des agences de notation dans l'évalution des prêts hypothécaires pendant la période précédant la crise financière de 2008, les législateurs ont exigé que les régulateurs fédéraux suppriment les références aux notes de crédit de leur réglementation.
Les régulateurs bancaires ont bataillé un an durant pour trouver une alternative efficace aux notes de crédit, qui se sont progressivement installées dans la structure même de la réglementation financière nationale et internationale.
Si cette proposition n'entend éliminer le recours aux notes de crédit que dans les règles utilisées par un certain nombre de grandes banques, elle a de plus larges implications, dans la mesure où elle révèle ce que pensent les régulateurs sur la façon de débarrasser leurs réglementations des références aux notes de crédit. Les régulateurs pourraient donc emprunter une voie similaire dans les réglementations à venir qui seront appliquées cette fois-ci à l'ensemble des banques, y compris les plus petites.
Les principales agences de notation Standard & Poor's, Moody's et Fitch Ratings ont salué cette évolution, certains analystes jugeant cependant qu'elle pourrait réduire la demande de services auprès des agences de notation.
D'autres pensent en revanche que ce développement n'aura pas d'incidence majeure sur les agences de notation, car les gros émetteurs de titres adossés à des créances hypothécaires et d'autres types de dette devraient continuer de solliciter l'approbation de ces établissements.
Les agences "font affaire avec de nombreuses parties prenantes sur le marché qui dépendent de leurs notations", explique Michael Meltz, analyste chez J.P Morgan.
Les règles proposées, si elles sont approuvées, s'appliqueraient à trente des plus grandes banques et holdings bancaires du pays, qui représentent au moins 1 milliard de dollars d'actifs détenus à des fins de transaction. Les banques et autres parties prenantes ont jusqu'au 3 février pour présenter leurs commentaires, après quoi les régulateurs étudieront les éventuelles modifications à apporter à leur proposition. Les régulateurs n'ont pas fixé la date du vote définitif, ni celle de l'entrée en vigueur, de ces règles.
Les grandes banques n'ont pas réagi immédiatement à cette proposition, mais les petits établissements redoutent pour leur part que le cadre réglementaire proposé soit trop coûteux et astreignant si les régulateurs n'opèrent aucun changement.
"Seront-elles en mesure de se conformer aux règles proposées que doivent appliquer les grandes banques?", s'interroge Hugh Carney, conseil à l'American Bankers Association. "Le niveau de sophistication varie beaucoup d'une institution à l'autre".
-Alan Zibel et Victoria McGrane, The Wall Street Journal
(Version française Céline Fabre)
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Message complété le 08/12/2011 15:22:54 par son auteur.
Décision politique, les deux premières questions ont suffit, NON NON.
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Message complété le 08/12/2011 13:39:59 par son auteur.
Depuis 50 ans que les US attendent de remettre le budget EU entre d'ancien compatriote. Ca va bien se fêter un peu tout de même.
Amis Européen bienvenu aux Etats UNIT d'Amérique.
Vive le Grand Empire.
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