Plutôt d'accord avec ton analyse,milooze (post 'deux solutions').
Et mon choix serait la première. ^^
Et mon choix serait la première. ^^
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Juste une dernière observation que je me suis faite hier (reportage sur la gestion au quotidien des politiques sur la crise) : Baroin évoquait les enjeux actuels pour la France, à savoir la sécu, la santé (ce qui revient au même) et les retraites.
Ma réflexion : si ces sytèmes faisaient faillite, serait-ce un mal (à moyen-long terme) pour notre pays ? En gros, l'idée de mutualisation n'est-elle pas "archaique" (excusez le mot) dans un pays à l'état d'esprit individualiste ?
J'ai estimé qu'à la grosse, cela ferait 50% de mécontents (voire de miséreux...) et 50% de libérés. L'enjeu serait alors de tirer les miséreux par le haut (pas facile a priori).
Ma réflexion : si ces sytèmes faisaient faillite, serait-ce un mal (à moyen-long terme) pour notre pays ? En gros, l'idée de mutualisation n'est-elle pas "archaique" (excusez le mot) dans un pays à l'état d'esprit individualiste ?
J'ai estimé qu'à la grosse, cela ferait 50% de mécontents (voire de miséreux...) et 50% de libérés. L'enjeu serait alors de tirer les miséreux par le haut (pas facile a priori).
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Ah mon (humble)avis, il y a deux solutions :
- soit on veut l'Europe. Alors on n'a pas d'autre choix qu'une Europe à budget "commun" = Fédérale. L'objectif à moyen terme devant être une unification des règles et donc des lois (fiscales, sociales,...). Sinon on continuerais ce qui se passe depuis 20 ans : les pays "riches" alimentent les pays "pauvres". Sauf qu'il n'y a plus de pays riches (plus de dette possible).
- soit on ne veut pas d'Europe, et chacun sort plus ou moins vite et bien de cette aventure qui aura fait pschittttt.....jusqu'à la prochaine fois.
En tout cas, ce qui est clair, c'est qu'on ne peut pas continuer à tirer chacun de son côté puisque la logique du "on s'en sort par l'emprunt et on verra plus tard" n'est plus possible.
- soit on veut l'Europe. Alors on n'a pas d'autre choix qu'une Europe à budget "commun" = Fédérale. L'objectif à moyen terme devant être une unification des règles et donc des lois (fiscales, sociales,...). Sinon on continuerais ce qui se passe depuis 20 ans : les pays "riches" alimentent les pays "pauvres". Sauf qu'il n'y a plus de pays riches (plus de dette possible).
- soit on ne veut pas d'Europe, et chacun sort plus ou moins vite et bien de cette aventure qui aura fait pschittttt.....jusqu'à la prochaine fois.
En tout cas, ce qui est clair, c'est qu'on ne peut pas continuer à tirer chacun de son côté puisque la logique du "on s'en sort par l'emprunt et on verra plus tard" n'est plus possible.
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Perte de souverainneté : si nous n'avons plus la liberté de depenser notre argent dans NOTRE interet, je ne vois pas l'interet de payer des impots...
"Si tu crois qu'une union budgétaire ne changera rien à ta vie, tu te trompes, je pense, lourdement : notre modèle de société (sécu, retraite, etc.) sera forcément fortement impacté. "
Oh je sais ! Nous aurons droit a un saccage social pour proteger les marchés :)
Sacrifions les peuples sur l'autel de la finance !
Mais ca sert a quoi deja l'economie si elle est contre les populations ?
"Si tu crois qu'une union budgétaire ne changera rien à ta vie, tu te trompes, je pense, lourdement : notre modèle de société (sécu, retraite, etc.) sera forcément fortement impacté. "
Oh je sais ! Nous aurons droit a un saccage social pour proteger les marchés :)
Sacrifions les peuples sur l'autel de la finance !
Mais ca sert a quoi deja l'economie si elle est contre les populations ?
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La gauche ultra-liberale de F.Hollande ?
Non non non...
Ils vont taper dans la caisse un max avant que tout s'effondre dans une optique : "apres moi le deluge" !
De toute facon, l'Europe eclatera au moment de la perte du AAA francais car seul les pays ayant le AAA peuvent contribuer au FESF (France 35% du budget du FESF) :)
Non non non...
Ils vont taper dans la caisse un max avant que tout s'effondre dans une optique : "apres moi le deluge" !
De toute facon, l'Europe eclatera au moment de la perte du AAA francais car seul les pays ayant le AAA peuvent contribuer au FESF (France 35% du budget du FESF) :)
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maeva6lo,
droite ou gauche n'y cahngera, je crois, pas grand'chose.
Les différences de société droite/gauche se feront à la marge ; le reste sera dicté par le réalisme.
droite ou gauche n'y cahngera, je crois, pas grand'chose.
Les différences de société droite/gauche se feront à la marge ; le reste sera dicté par le réalisme.
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Ça changera : perte de souveraineté. Pour moi, c'est sans importance, pour d'autres non.
Et je pense qu'une union européenne économique et politique sera bénéfique. Mais bon, c'est mon avis que tous ne partagent pas.
Si tu crois qu'une union budgétaire ne changera rien à ta vie, tu te trompes, je pense, lourdement : notre modèle de société (sécu, retraite, etc.) sera forcément fortement impacté.
Et je pense qu'une union européenne économique et politique sera bénéfique. Mais bon, c'est mon avis que tous ne partagent pas.
Si tu crois qu'une union budgétaire ne changera rien à ta vie, tu te trompes, je pense, lourdement : notre modèle de société (sécu, retraite, etc.) sera forcément fortement impacté.
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Ben tiens, la gauche va y mettre bon ordre!!! hi hi hi
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Ca changera quoi d'unir nos budgets ?
C'est ca la vraie question :)
Cela va-t-il reduire notre dette ?
cela va-t-il reduire le poid de notre dette ?
Que va y gagner la population ?
C'est ca la vraie question :)
Cela va-t-il reduire notre dette ?
cela va-t-il reduire le poid de notre dette ?
Que va y gagner la population ?
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Pour oser dire "Nous ne parlons pas seulement d'une union budgétaire, nous sommes sur le point de la réaliser", on est, je pense, au-delà du "blablabla" que tu crois.
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Blablabla...
Il existe deja une regle budgetaire dans les traites mais elle n'est pas respecte par la force des choses...
Encore du vent, nous allons juste perdre notre independance budgetaire => suppression du social pour gagner du temps...
Il existe deja une regle budgetaire dans les traites mais elle n'est pas respecte par la force des choses...
Encore du vent, nous allons juste perdre notre independance budgetaire => suppression du social pour gagner du temps...
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La chancelière allemande Angela Merkel a affirmé vendredi 2 décembre que l'Europe était sur le point de mettre en place une union budgétaire, dans un discours aux députés du Bundestag.
"Nous ne parlons pas seulement d'une union budgétaire, nous sommes sur le point de la réaliser", a-t-elle dit, ajoutant qu'il s'agirait d'une "union budgétaire avec des règles strictes, au moins pour la zone euro".
"L'élément central" de cette "union de la stabilité" voulue par l'Allemagne sera "un nouveau plafond d'endettement européen", a dit la chancelière, qui a répété sa ferme intention de convaincre ses partenaires de la nécessité de changer les traités européens pour y ancrer plus de discipline budgétaire. "Il n'y a pas d'alternative à un changement des traités", a-t-elle dit.
Elle a catégoriquement rejeté les "euro-obligations" comme remède à la crise qui embrase la zone euro. "Quiconque n'a pas compris, que (les euro-obligations) ne pouvaient pas être la solution à cette crise n'a pas compris la nature de la crise", a-t-elle dit.
"Nous ne parlons pas seulement d'une union budgétaire, nous sommes sur le point de la réaliser", a-t-elle dit, ajoutant qu'il s'agirait d'une "union budgétaire avec des règles strictes, au moins pour la zone euro".
"L'élément central" de cette "union de la stabilité" voulue par l'Allemagne sera "un nouveau plafond d'endettement européen", a dit la chancelière, qui a répété sa ferme intention de convaincre ses partenaires de la nécessité de changer les traités européens pour y ancrer plus de discipline budgétaire. "Il n'y a pas d'alternative à un changement des traités", a-t-elle dit.
Elle a catégoriquement rejeté les "euro-obligations" comme remède à la crise qui embrase la zone euro. "Quiconque n'a pas compris, que (les euro-obligations) ne pouvaient pas être la solution à cette crise n'a pas compris la nature de la crise", a-t-elle dit.
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