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Grèce, le feuilleton n'est pas terminé !



ljacobus ljacobus
16/08/2015 22:37:24
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Les créanciers privés de la Grèce aussi ils ont prêté jusqu'à 24% l'an, mais c'est un pays a haut risque, car la Grèce a déjà fait défaut 3 fois sur sa dette au cours de son histoire, c'est énorme!!!
C'est pour ca que l'UE transpire tant sur ce dossier, pour ne pas décrédibiliser l'ensemble de la zone euro. L'erreur était au départ de ne pas faire entrer dans la zone Euro les pays à la comptabilité falsifiée!!!!
  
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Augustus Augustus
16/08/2015 21:45:22
0
Salut ijacobus, et dans oublier que certains pays européens,on fait des bénéfices avec les bunds

Message complété le 16/08/2015 22:03:15 par son auteur.

Et sans

  
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Augustus Augustus
15/08/2015 11:42:05
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Salut ijacobus, salut tout le monde petite question
Savez vous Quels sont les pays qui ont profité pleinement de la crise grecque?
Si oui comment et pourquoi 😎





Message complété le 15/08/2015 11:44:18 par son auteur.

Suicide économique (pour certains ) je ne suis pas tellement sur de cela

  
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ljacobus ljacobus
13/02/2012 08:05:13
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Alea jacta est... (Jules Cesar) Mais sera-ce suffisant?

Grèce : le parlement vote pour l'austérité et le sauvetage financier du pays

Le Parlement grec a voté dimanche en faveur du programme économique d'austérité permettant de déclencher un sauvetage financier du pays et son maintien immédiat dans la zone euro demandé par les créanciers du pays, selon un décompte des voix réalisé par l'AFP.

A l'issue d'une soirée marquée par de violentes manifestations anti-austérité à Athènes, le programme économique, qui comporte un paquet de mesures d'austérité en échange d'un nouveau renflouement financier du pays par ses créanciers institutionnels et d'une opération d'effacement de dette supportée par ses créanciers privés, a été adopté à la majorité des voix, peu avant 23H00 GMT.

Le décompte final n'était pas encore connu. Le gouvernement de coalition socialiste-conservateur disposait en principe d'une confortable majorité de 236 voix sur 300 au parlement.

Plus d'une dizaine de députés appartenant aux partis de cette coalition gouvernementale, tant de droite que de gauche, ont cependant voté contre le plan d'austérité qui divise profondément la classe politique.

Deux des seize députés du parti d'extrême droite Laos, qui s'est retiré cette semaine du gouvernement pour protester contre les mesures drastiques d'ajustement de l'économie grecque, se sont en revanche prononcés en faveur du programme d'austérité.

Juste avant le début du vote, le Premier ministre Lucas Papademos avait solennellement insisté sur l'importance du choix présenté aux parlementaires: "avancer avec l'Europe et la monnaie unique" ou précipiter le pays dans "la misère, la banqueroute, la marginalisation et l'exclusion de l'euro".

L'aval des députés était indispensable pour ouvrir la voix au déblocage d'un prêt de 130 milliards d'euros nécessaire pour éviter à la Grèce un défaut de paiement incontrôlé en mars lorsqu'elle devra rembourser une échéance de 14,5 milliards d'euros.
  
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Augustus Augustus
12/02/2012 20:26:52
0
ils vont mettre du temps pour ce décidée pour à la fin aboutir a un consensus positif enfin ont espère .
  
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ljacobus ljacobus
12/02/2012 19:20:16
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Chaude soirée à Athènes en perspective...

Grèce : 40.000 manifestants contre la rigueur avant le vote des députés


Manifestation devant le parlement grec à Athènes le 11 février 2012La police a fait usage de gaz lacrymogène dimanche pour repousser les manifestants, massés par dizaines de milliers devant le parlement à Athènes afin de s'opposer à un nouveau programme d'austérité exigé par l'UE et le FMI pour éviter la faillite à la Grèce.

Les premiers incidents ont éclaté quand des groupes de contestataires ont fait pression sur un cordon des forces anti-émeutes devant l'esplanade du soldat inconnu, en contrebas du parlement, selon les images en direct du site internet Zougla.

Près d'une heure après le début du rassemblement, à 18H00 heure locale (16H00 GMT), la police évaluait le nombre des manifestants à quelque 25.000 à Athènes et 15.000 à Salonique, la deuxième ville du pays. Une estimation pouvant laisser augurer, si l'afflux se poursuivait, d'une très importante mobilisation rappelant celle des grands sursauts contestataires de juin et octobre, lorsque 50.000 à 100.000 personnes s'étaient massées sur la place Syntagma.

Dans la foule, repliée sur le bas de la place, les syndicalistes côtoyaient jeunes aux cheveux ras brandissant des drapeaux grecs, militants communistes et sympathisants d'extrême gauche, dont beaucoup portaient des masques pour se protéger des gaz irritants.

A l'intérieur du parlement, dont les abords étaient gardés par quelque 3.000 policiers, les discussions battaient leur plein, marquées par de fréquents incidents de séance entre les rangs gouvernementaux et l'opposition de gauche.

"D'ici à dimanche soir, le parlement doit avoir adopté" le nouveau programme de redressement, sous peine sinon d'une "faillite" de la Grèce, a lancé, visiblement tendu, le ministre des Finances, Evangélos Vénizélos.

Il a souligné que l'Eurogroupe, qui pourrait se réunir mercredi, réclamait cet aval en préalable au déblocage du deuxième plan de sauvetage du pays, combinant renflouement via des prêts publics de 130 milliards d'euros et désendettement via l'effacement de 100 milliards d'euros de créances.


Le Premier ministre grec Lucas Papademos lors de son intervention télévisée le 11 février 2012 à la veille d'un vote clé au Parlement sur le plan d'austéritéLe pays espère entamer cette dernière opération avec ses créanciers privés d'ici au 17 février, a précisé M. Vénizélos. Le représentant des créanciers privés, Charles Dallara, a lui aussi appelé les députés à voter oui, et prévenu que la Grèce n'avait plus une minute à perdre, dans un entretien avec le quotidien Kathimérini.

Le Premier ministre Lucas Papademos avait aussi averti samedi que la Grèce jouait sa survie financière et son maintien dans l'euro, pour empêcher le "chaos".

Son gouvernement de coalition socialiste-conservateur dispose d'une majorité théorique de 236 députés sur 300, qui pourrait être réduite par une vingtaine de dissidences annoncées ou présumées, mais sans qu'un rejet ne soit dans l'immédiat jugé probable.

Sans cet aval, la Grèce n'a aucune chance de recevoir le moindre centime d'aide pour éviter un défaut de paiement incontrôlé en mars, à l'échéance de créances de 14,5 milliards d'euros.

Les dirigeants socialistes, Georges Papandréou, et conservateur, Antonis Samaras, ont également prévenu leurs députés que tout écart vaudrait exclusion, à un moment où la dureté de la cure prescrite craquelle le système politique.

Le plan ouvre notamment la voie à une chute brutale des salaires dans le privé censée redonner de la compétitivité au pays.

La Grèce "à l'heure du jugement", titrait Kathimérini, tandis que To Vima (centre-gauche) estimait que le pays était secoué par un "séisme" mettant "politique, économie et société en morceaux".

Les syndicats ont jugé que ce plan faisait le "tombeau de la société", tandis que la gauche communiste et radicale a réitéré au parlement sa demande d'élections immédiates, considérant que la Grèce n'a rien à perdre à mettre ses créanciers au défi de la lâcher.

Entravée par le débrayage des transports, la mobilisation avait été limitée à l'occasion des premières manifestations qui ont rassemblé jusqu'à 20.000 personnes en marge de grèves générales mardi, puis vendredi et samedi.


Des manifestants sous la pluie devant le Parlement grec le 11 février 2012 à AthènesLes députés devront se prononcer pour un texte qui prévoit notamment un abaissement de 22% du salaire minimum, ramené à 586 euros brut sur 14 mois, la suppression dans l'année de 15.000 emplois publics et de nouvelles coupes dans certaines retraites.

Le vote portera aussi sur les modalités du programme d'échange d'obligations avec les créanciers privés pour réduire la dette souveraine à 120% du PIB d'ici à 2020, ainsi que sur le schéma de recapitalisation des banques grecques.

L'accord gouvernemental affiché jeudi sur ce plan s'est vite fissuré, avec la démission dès le lendemain de six membres du gouvernement : deux socialistes et quatre cadres de la formation d'extrême droite Laos, qui avait rallié en novembre le gouvernement de coalition.

Le Laos a appelé ses 16 députés à voter non, accusés par ses ex-partenaires de vouloir ainsi tirer son épingle du jeu en vue des élections législatives anticipées prévues pour le printemps.
  
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moisankarl moisankarl
10/02/2012 10:10:14
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Tout ceci est en effet un casse tête.
A mon humble avis ces échanges "idéologico-économico-financier" entre les états membres ne valent pas grand chose tant que l'ensemble de la zone Euro ne se mettra pas d'accord pour harmoniser leurs politiques bugétaires, fiscales et sociales. Dans cette mesure l'union ne fait que créer de l'inégalité et de la division et au final risque bien, par manque de temps ou de volonté, de se mettre en danger en créant les conditions d'émergences du nationalisme et du protectionnisme.
Il est possible que la sortie de la grêce de la zone puisse provoquer "les conditions d'une guerre en Europe" comme le dissait notre premier ministre Polonais à Bruxelle (il y à 1 ans, je crois) mais c'est à mon avis sans compter sur le rôle actif que semble jouer de plus en plus la BCE qui à y réflechir est véritablement la seule structure "indépendent" à viser fédérale.


  
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Augustus Augustus
09/02/2012 20:29:34
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Grèce: les prolongations, une fois de plus

Les partis de la coalition gouvernementale en Grèce ont donné leur feu vert à un ensemble de mesures d'austérité en échange d'un deuxième plan d'aide international. Mais aucun accord sur ce plan n'est attendu ce soir au sein de l'Eurogroupe.
  
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GN€ GN€
09/02/2012 19:30:41
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pourquoi les diverse fond de l'europe ne solderait pas la dette grec une bonne foit pour toute et pourqoi garder le sysstéme fiscale grec la bas on paye les impots qu'on veut le sport national c'est la fraude.La grece a deja assez fait de degat y faut que ca s'arrete.
  
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Rodolphe Rodolphe
09/02/2012 19:21:26
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éclairage supplémentaire, en cas de faillite grecque, pour le contribuable français la note serait à minima de 30 mds d'euros !!!

http://www.latribune.fr/actualites/economie/union-europeenne/20120209trib000682495/quelle-serait-la-facture-d-une-faillite-grecque-pour-la-france-.html

je crois qu'on peut donc demander quelques efforts
  
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Rodolphe Rodolphe
09/02/2012 19:17:03
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et en plus comparer des salaires en valeur absolue ça ne veut rien dire, avec 150 euros en Tunisie on fait bcp plus de choses qu'à Paris les prix sont environ 10 fois moins chers qu'en France sur une grande quantité de produits et services.
  
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Rodolphe Rodolphe
09/02/2012 19:15:41
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oui ljacobus (sauf si on regarde la carte à l'envers )
  
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Rodolphe Rodolphe
09/02/2012 19:15:12
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heureusement que le contribuable européen a son mot à dire car elle commence à leur coûter cher la plaisanterie grecque.

Déjà l'équivalent de 2 années de PIB grec en aides et haircut, pour mettre en relation c'est comme si on faisait un plan d'aide de 4000 mds d'euros pour la France ! soit de quoi rembourser 100% de nos dettes et garder un bonus de 2300 mds pour la relance éco

donc si ça doit passer par des baisses de salaires ou des pertes d'avantages sociaux chez les grecs, oui évidemment.
  
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ljacobus ljacobus
09/02/2012 19:13:20
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La Lybie? C'est pas à DROITE de la Tunisie?
  
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pollueur pollueur
09/02/2012 17:48:26
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Ils n'ont pas de pétrole?

Message complété le 09/02/2012 17:49:44 par son auteur.

Un peu à gauche en Lybie il y a du pétrole!!!

  
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Antoine Antoine
09/02/2012 17:46:28
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Tu as raison , les tunisiens gagnent 150 Euros , il y a de la marge

Message complété le 09/02/2012 17:49:32 par son auteur.



C'est tellement facile quand cela concerne uniquement les autres ....

  
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Augustus Augustus
09/02/2012 17:45:00
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Main d'oeuvre pas trop chère = esclavage moderne perso
  
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Lupo Lupo
09/02/2012 17:43:13
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Faut pas tout dramatiser.

Quand les Grecs parlent de -20%, ils parlent d'un salaire minimum à payer. Donc de 750 euros, ils passent à 600 euros.
Savez vous que le même revenu de référence au Portugal est de 480 euros.

Quand les Grecs parlent de réduire drastiquement la voilure sur les pensions, ils parlent de pensions complémentaires. Combien d'autres européens peuvent prétendre à une pension complémentaire. Ils ne sont pas nombreux.

Faut toujours relativiser.
  
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Antoine Antoine
09/02/2012 17:38:44
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bof, cela fera de la main d'oeuvre pas trop chére pour produire en zone euro ,c'est un des buts du fMi
  
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Augustus Augustus
09/02/2012 17:36:51
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Pas de PB avec les Banques centrales de l'UE + la BCE tout sera bouclé sans un soutien du parlement Grec ?
  
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