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"La grèce sera un cas isolé !!!" Et le portugal ? - Page 2



Antoine Antoine
28/05/2012 07:46:19
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agathe11 agathe11
27/05/2012 20:13:51
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Qu'elle regarde ce qu'elle a écrit déjà:

http://www.les-crises.fr/lagarde-aux-grecs/

Madame Lagarde votre compassion avec votre salaire me donne envie de vomir !
Vous appartenez au think tank américain!
  
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moisankarl moisankarl
27/05/2012 18:33:21
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Elle voudrait de la Gauche radicale qu'elle ne s'en prendrait pas autrement.
  
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JCROIPLU JCROIPLU
26/05/2012 17:37:07
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Mme LAGARDE,commence à comprendre, mais que c'est long pour un homme politique d'admettre des évidences que nous gens du peuple voyons depuis 2 ans au moins.!!!!


http://www.lexpress.fr/actualite/economie/fmi-lagarde-a-peu-de-compassion-pour-les-grecs_1119156.html
  
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moisankarl moisankarl
25/05/2012 13:22:43
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Perso :

L'UE réagit que d'un oeil au protectionnisme nuissant à ses importations source de croissance interne. En effet, nous sommes en droit de se poser la question : mais pourquoi viser l'Argentine alors que les USA et la chine eux aussi ont tendance à adopter un certain protectionnisme économique... Les déboire de Carrfour en Chine, ceux d'Eads aux USA, etc... pour les plus bruyants.
Depuis l'arrivé de Rajoy l'espagne semble prendre son courage à deux mains.
Il n'y à vraiment que l'Europe pour continuer à garder ses portes grande ouvertes au marché "libre".

L'info :

Plainte de l'UE contre l'Argentine à l'OMC pour restriction aux importations
L'Union européenne a saisi vendredi l'Organisation mondiale du Commerce (OMC) pour demander la levée des restrictions aux importations imposées par l'Argentine, "qui nuisent au commerce et aux investissements de l'UE", a-t-elle annoncé.

Le commissaire européen au Commerce, Karel De Gucht, avait promis début mai qu'il agirait pour protester contre l'initiative du gouvernement argentin d'exproprier le groupe pétrolier espagnol Repsol de sa filiale argentine YPF, et avait alors déploré "la tendance croissante au protectionnisme de l'Argentine".

Dans un premier temps, l'UE demande que des consultations soient organisées avec l'Argentine, mais si aucune solution n'est trouvée dans un délai de 60 jours, elle pourra demander à l'OMC de mettre en place un panel chargé de trancher, précise la Commission européenne dans un communiqué.

L'UE reproche à l'Argentine d'enfreindre les règles de l'OMC en faveur d'un commerce transparent, juste et équitable. Ses griefs concernent notamment l'imposition à tous les biens importés en Argentine d'un pré-enregistrement et d'une autorisation préalable, et l'imposition à de nombreux biens d'une licence d'importation.
  
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moisankarl moisankarl
22/05/2012 09:01:15
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Espagne: jusqu'à 260 milliards d'euros de pertes pour les banques (institut spécialisé)
Les pertes des banques espagnoles pourraient atteindre 260 milliards d'euros et le secteur pourrait avoir besoin d'une aide allant jusqu'à 60 milliards d'euros, a affirmé lundi l'Institut de la finance internationale (IIF) basé à Washington.

Fondant leur calcul sur les banques irlandaises, qui ont aussi affronté l'éclatement d'une bulle spéculative dans l'immobilier, les économistes de cette organisation bancaire ont estimé les pertes des banques espagnoles entre 218 et 260 milliards d'euros en 2012-2013.

"Un certain nombre de facteurs laissent penser que les pertes pourraient se situer dans le haut de cette fourchette. Les perspectives macroéconomiques de l'Espagne sont pires que celles auxquelles l'Irlande a été confrontée, notamment en termes de croissance et de chômage", ont-ils indiqué dans une note sur l'économie mondiale.

"Le plus gros des pertes devrait être généré par les prêts immobiliers, qui sont concentrés au sein des Cajas", les caisses d'épargne régionales, ont-ils ajouté.

L'IIF, une association regroupant quelque 450 banques dans le monde, a noté que les banques espagnoles avaient pu trouver en interne suffisamment de capital pour mettre quelque 110 milliards d'euros de côté au titre de créances douteuses, et que certaines d'entre elles devraient avoir la capacité financière de résister. Mais pas toutes.

"D'importantes différences entre banques suggèrent que bon nombre d'entre elles devraient avoir besoin d'une aide de l'Etat, notamment les Cajas", indiquent les économistes de l'organisation.

Dans le pire des cas, ils estiment que l'aide du gouvernement pourrait atteindre 50 à 60 milliards d'euros.

Mais ce scénario du pire pourrait être évité, selon eux, notamment du fait que les critères d'attribution de prêts des banques espagnoles sont beaucoup plus stricts que ceux des banques irlandaises à l'époque, notamment en terme de pourcentage d'apport initial de l'emprunteur.

"En outre, les prêts immobiliers sont moins concentrés en Espagne. La plupart des banques ont finalement des portefeuilles de prêts plus diversifiés", selon l'IIF.
  
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moisankarl moisankarl
21/05/2012 14:51:27
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L'Espagne choisit Roland Berger et Oliver Wyman pour auditer ses banques
Le ministère des Finances espagnol a annoncé lundi avoir choisi les cabinets de conseil Roland Berger et Oliver Wyman pour auditer le bilan des banques du pays dans le cadre d'un nouvel effort pour redonner confiance aux investisseurs dans le secteur.

Le ministère a précisé que cet audit devrait être terminé d'ici à la mi-juin.
  
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moisankarl moisankarl
15/05/2012 10:13:13
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Juncker confiant dans la capacité de l'Espagne à atteindre ses objectifs de déficit
Le président de l'Eurogroupe, Jean-Claude Juncker, a exprimé mardi sa confiance dans la capacité de l'Espagne à atteindre ses objectifs 2012 et 2013 de réduction du déficit.

Il faut pour l'heure "laisser [le gouvernement espagnol] faire son travail", a-t-il déclaré en se rendant à une réunion des ministres européens des Finances.

Jean-Claude Juncker a ajouté que la réunion de ce jour ne porterait pas sur le nom de son remplaçant à la tête de l'Eurogroupe, un poste que le Luxembourgeois doit quitter cet été, notant simplement que l'actuel favori, le ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble, conviendrait tout à fait.
  
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moisankarl moisankarl
11/05/2012 15:34:57
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Les banques espagnoles devront augmenter leurs provisions - gouvernement
Le gouvernement espagnol a déclaré vendredi qu'il engagerait deux cabinets de conseil indépendants pour passer au crible les portefeuilles de prêts des banques locales et qu'il exigerait des provisions plus élevées dans le secteur bancaire pour couvrir d'éventuelles pertes.

Ces mesures, annoncées lors d'une conférence de presse donnée à l'issue de la réunion hebdomadaire des ministres espagnols, est la seconde tentative du gouvernement en deux mois pour restaurer la confiance à l'égard du secteur bancaire.

Les banques espagnoles détiennent environ 175 milliards d'euros d'actifs immobiliers toxiques et les provisions constituées pour couvrir les pertes éventuelles ne représentent que la moitié de ce montant

Message complété le 11/05/2012 17:10:30 par son auteur.


UE: l'Espagne devrait largement manquer ses objectifs de déficit
L'Union européenne estime que l'Espagne devrait largement manquer ses objectifs de déficit pour 2012 et 2013.

Dans ses prévisions économiques de printemps publiées vendredi, la Commission européenne prévoit que l'Espagne affichera un déficit public représentant 6,4% du produit intérieur brut (PIB) en 2012 et 6,3% du PIB en 2013. Le déficit public de l'Espagne s'est élevé à 8,5% du PIB en 2011.

La Commission a précisé qu'elle n'avait pas tenu compte des réductions budgétaires prévues par les régions pour 2012, car elles n'ont pas encore été finalisées. Les régions espagnoles représentent un tiers des dépenses de l'Espagne.

L'Espagne s'est engagée auprès de la Commission à réduire son déficit à 5,3% du PIB en 2012 et à 3% - la limite fixée dans l'Union européenne - en 2013. Le gouvernement central s'est engagé à procéder à des coupes budgétaires de l'ordre de 27 milliards d'euros cette année et les régions devraient présenter des mesures représentant 15 milliards d'euros supplémentaires.

Les réductions des dépenses et les augmentations d'impôts mises en oeuvre en Espagne pèsent sur l'économie du pays, déjà mise à mal par les conséquences de l'éclatement de la bulle immobilière. La Commission table sur une contraction de 1,8% du PIB espagnol en 2012 et sur un repli de 0,3% en 2013. Elle estime en outre que le taux de chômage dans le pays pourrait atteindre 24,4% cette année et 25,1% l'année prochaine.

Malgré la faiblesse de l'économie espagnole, le commissaire européen aux Affaires économiques et monétaires Olli Rehn a suggéré que l'Espagne pourrait devoir mettre en oeuvre des coupes budgétaires supplémentaires.

"La Commission a totalement confiance dans la détermination du gouvernement espagnol à atteindre ces objectifs de déficit public", a déclaré Olli Rehn lors d'une conférence de presse à Bruxelles.

Lors d'une conférence de presse à Madrid vendredi, le ministre des Finances espagnol Luis de Guindos a réaffirmé l'engagement du gouvernement à atteindre ses objectifs.

Message complété le 11/05/2012 17:11:34 par son auteur.


Actualisé: Madrid encore plus sévère envers ses banques, mais le marché reste inquiet
L'Espagne a adopté vendredi une réforme imposant 30 milliards d'euros de nouvelles provisions aux banques, jugées trop exposées au secteur sinistré de l'immobilier, mais le marché, échaudé par la récente nationalisation partielle de Bankia, a mal réagi.

C'est "un exercice de transparence pour donner de la crédibilité et de la confiance" envers le secteur bancaire espagnol, a assuré la porte-parole du gouvernement, Soraya Saenz de Santamaria, après le Conseil des ministres.

"La clarté est indispensable pour en finir avec les doutes sur la solvabilité de l'Espagne", a renchéri le ministre de l'Economie Luis de Guindos.

Mais l'annonce a été très mal accueillie à la Bourse de Madrid, qui a immédiatement chuté de plus de 3%, emportée par les banques: à 16H11, l'indice IBEX 35 perdait encore 1,72%.

Le pays "affronte l'un des moments les plus difficiles de son histoire", a reconnu la porte-parole, alors qu'il doit réduire drastiquement son déficit public dans un contexte de retour à la récession.

Premier volet de la réforme: une hausse des provisions exigées du secteur pour se protéger de son exposition à l'immobilier, qui représentera pour les banques un effort additionnel de 30 milliards d'euros.

Un chiffre qui s'ajoutera aux 53,8 milliards déjà imposés lors d'une précédente réforme, en février.

Ces nouvelles provisions seront surtout concentrées sur les actifs considérés comme "non problématiques", mais risquant de le devenir, avec un taux de couverture qui grimpera "de 7 à 30% (de la valeur des actifs) d'ici fin 2012", a expliqué Luis de Guindos.

"Ce sont les entités elles-mêmes qui feront leurs provisions", a indiqué Soraya Saenz de Santamaria, mais si elles n'ont pas les fonds nécessaires, le Fonds d'aide public au secteur (Frob) pourra leur prêter de l'argent, via une prise de participation.

"Ce type d'injection de fonds ne représente aucune sorte d'aide publique", a toutefois assuré M. de Guindos, car le prêt sera à un taux élevé, 10%.

L'effet négatif qu'aura la réforme sur les prochains résultats des banques, même les plus solides comme Santander ou BBVA, peut aussi expliquer la mauvaise réaction de la Bourse vendredi.

S'y ajoute un certain scepticisme, qui persiste parmi les investisseurs: "le sentiment général est que la situation des banques espagnoles est pire que ce que l'on croyait auparavant", explique Edward Hugh, économiste indépendant installé à Barcelone, "et nous sommes encore loin de reconnaître la vraie ampleur des pertes" causées par l'immobilier.

"C'est vrai que c'est une nouvelle étape pour reconnaître certaines des pertes", mais "à chaque fois nous avons un membre du gouvernement qui nous assure que c'est fini et ensuite, quelque chose de nouveau arrive".

D'autant que la réforme survient deux jours à peine après une nouvelle intervention publique dans une banque, la huitième depuis l'éclatement de la bulle en 2008: cette fois, il s'agissait de sauver Bankia, plus grande union de caisses d'épargne et quatrième banque cotée du pays, qui compte 31,8 milliards d'euros d'actifs immobiliers risqués.

Au Total, l'aide publique pour l'assainir devrait atteindre 7 à 10 milliards.

Même si Madrid assure que cela ne menace pas son déficit public, Bruxelles a semblé douter vendredi de la trajectoire espagnole, estimant que le pays sera en dérapage budgétaire en 2012 et 2013.

Le gouvernement "n'envisage aucune alternative, absolument aucune flexibilisation: notre objectif de déficit est de 5,3% (du PIB) pour cette année, 3% l'an prochain", a rétorqué Luis de Guindos.

Par ailleurs, les banques devront séparer les actifs immobiliers les plus problématiques de leurs bilans, pour les placer dans des agences spécialisées, ce qui permettra d'en fixer leur juste prix.

"Ce sera obligatoire pour toutes les entités", a affirmé le ministre.

Pour fixer ce prix, le gouvernement a adopté "un accord qui mandate deux sociétés d'audit indépendantes pour réaliser une valorisation des bilans des entités financières", a indiqué Soraya Saenz de Santamaria.

  
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moisankarl moisankarl
11/05/2012 09:33:11
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L'UE va demander un audit des actifs des banques espagnoles
Bankia, S.A. (ESE:BKIA)
Graphique Intraday de l'Action
Aujourd'hui : Vendredi 11 Mai 2012


Les ministres des Finances de la Zone Euro demanderont lundi à l'Espagne de mener un audit indépendant des actifs immobiliers détenus par les banques du pays, rapporte vendredi le journal espagnol Expansion sur son site Internet, en citant des sources de l'Union européenne.

L'Eurogroupe demandera au ministre espagnol des Finances, Luis de Guindos, de détailler les projets du gouvernement en vue d'améliorer la transparence du bilan des banques, d'assurer une valorisation correcte des actifs des banques et d'obliger les entités financières à augmenter considérablement leurs provisions.

La nationalisation de Bankia (BKIA.MC) cette semaine et le manque de transparence sur les actifs toxiques aux mains du secteur bancaire espagnol ont suscité la méfiance de Bruxelles, selon le journal espagnol.
  
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moisankarl moisankarl
10/05/2012 09:12:22
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Madrid va nationaliser en partie Bankia, trop exposée au secteur immobilier
Le gouvernement espagnol a annoncé mercredi qu'il "prendra le contrôle" de Bankia, la quatrième banque cotée du pays qui croule sous les actifs immobiliers risqués, avant de dévoiler vendredi une nouvelle réforme du secteur face au regain de tension sur les marchés.

L'opération consiste à transformer en participation la dette de 4,465 milliards d'euros contractée en décembre 2010 envers l'Etat par le premier actionnaire de Bankia, Banco Financiero y de Ahorros (BFA), a indiqué le ministère de l'Economie dans un communiqué.

Ces liquidités avaient été injectées par le fonds d'aide publique au secteur financier (Frob) à travers des prêts à 7,75%, remboursables en cinq ans.

Après l'opération, "le Frob détiendra indirectement 45% du capital de Bankia, c'est à dire qu'il en prendra le contrôle", a précisé le ministère.

Ce dernier a voulu rassurer actionnaires et usagers de la plus grande union de caisses d'épargne espagnoles, affirmant que personne "ne sera lesé par cette décision".

Dès lundi, le ministère de l'Economie avait indiqué que des fonds publics seraient injectés dans Bankia cette semaine afin de l'assainir de ses actifs immobiliers risqués.

Une annonce qui avait provoqué, quelques heures plus tard, la démission du président de Bankia, Rodrigo Rato, ancien ministre de l'Economie et ex-directeur général du FMI. Son remplaçant, José Ignacio Goirigolzarri, ancien directeur général de BBVA, deuxième banque du pays, a été nommé dès mercredi.

Le même jour, le Conseil d'administration de BFA "a sollicité la conversion" en "actions ordinaires" du prêt du Frob auprès de la Banque d'Espagne, a indiqué cette dernière dans un communiqué.

"La nouvelle direction devra présenter dans un délai le plus bref possible un plan renforcé d'assainissement qui situera BFA-Bankia en condition d'affronter son avenir avec une garantie totale" de solvabilité, affirme la Banque d'Espagne.

Bankia est la grande banque espagnole la plus exposée au secteur immobilier: 37,5 milliards d'euros fin 2011, dont 31,8 milliards considérés comme problématiques, car à la valeur incertaine (crédits risquant de ne pas être remboursés, immeubles saisis...).

L'injection de fonds par le gouvernement constituera la huitième intervention publique dans un établissement bancaire en Espagne, depuis l'éclatement de la bulle immobilière en 2008, qui a fortement fragilisé ce secteur.

Le chef du gouvernement, Mariano Rajoy a indiqué lundi qu'il n'hésiterait pas à apporter de nouveaux fonds publics si nécessaire, mais "seulement en dernier recours".

Madrid, qui a déjà prêté au secteur bancaire plus de 15 milliards d'euros, refusait jusque-là de remettre la main à la poche, mais a dû s'y résoudre devant les tensions croissantes sur les marchés.

La nationalisation partielle de Bankia survient ainsi au terme d'une nouvelle journée noire pour la Bourse de Madrid, qui a chuté de 2,77% à 6.812,7 points, son plus bas niveau depuis 2003.

Le regain de tension que connaît l'Espagne s'est traduit mercredi matin par une remontée de son taux d'emprunt à 10 ans au-dessus des 6%, pour la première fois depuis la mi-avril.

Des inquiétudes nourries par les doutes des investisseurs sur la valeur des actifs immobiliers accumulés par les banques pendant la bulle.

Pour tenter de les rassurer, le gouvernement approuvera vendredi une nouvelle réforme afin de séparer la partie immobilière des bilans des banques et leur imposera de nouvelles provisions pour se protéger de leur exposition au secteur immobilier sinistré.

"Il y aura de nouvelles provisions", a déclaré à l'AFP une porte-parole du ministère de l'Economie.

Selon le quotidien économique Cinco Dias, celles-ci devraient atteindre environ 35 milliards d'euros.

Ce chiffre d'ajouterait aux 53,8 milliards déjà imposés au secteur depuis une précédente réforme annoncée en février.
  
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ol99 ol99
09/05/2012 13:30:03
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BONJOUR TANT QUE LA GRECE SERA DANS L EURO LA BAISSE RESTERA ET ENTRAINERA D AUTRE PAYS COMME LE PORTUGAL L ITALIE ET D AUTRE QU ATTEND T ON L EXPLOSION DE L EUROPE ,,,,,,
  
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moisankarl moisankarl
09/05/2012 12:15:54
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La Grèce risque une sortie de l'euro -responsable du gouvernement sortant
La Grèce risque de sortir de la zone zone, si elle dénonce les accords passés avec l'UE et le FMI pour qu'ils la sauvent de la faillite en échange de son ajustement budgétaire, a mis en garde mercredi le conseiller économique du gouvernement grec sortant.

"Si nous disons non à tout, nous sortons de l'eurozone", a prévenu Ghikas Hardouvelis, qui a conseillé pendant sept mois le chef du gouvernement Lucas Papademos.

Le pays, dont l'électorat a massivement rejeté dimanche l'austérité dictée par UE et FMI "a une marge de renégociation" sur le contenu des mesures qu'il doit prendre d'ici à 2015, "mais il ne faut pas la surestimer et penser que tout d'un coup quelque chose a changé en Europe parce que le peuple ici a crié non", a ajouté cet ex-banquier, interrogé par la radio Skaï.

"Nous avons vu les réactions des dirigeants européens (...) la seule chose qu'ils disent est que la Grèce se dirige vers la sortie de l'euro", a-t-il insisté, jugeant qu'il revenait aux Grecs de "rentrer dans la logique" de leurs partenaires "car c'est eux qui donnent de l'argent".

M. Hardouvelis commentait l'appel à une dénonciation de l'accord de prêt liant Athènes à ses bailleurs de fonds UE-FMI lancé par le Syriza (gauche radicale grecque), qui tente actuellement de former un gouvernement après les élections de dimanche qui ont propulsé ce parti au rang de deuxième force politique du pays.

Son dirigeant, Alexi Tsipras, a exclu mardi la formation d'une coalition soutenant le programme d'austérité, renforçant le scénario de nouvelles élections sous environ un mois.

De leur côté, les chefs des deux partis gouvernementaux socialiste et conservateur ont aussi indiqué vouloir renégocier les termes du programme de redressement assigné au pays, sur lesquels ils s'étaient engagés par écrit avant d'être désavoués par les électeurs.

Message complété le 09/05/2012 12:16:43 par son auteur.

Pardon je me suis trompé pour le message précédent


Le CDS à 5 ans de l'Espagne franchit le seuil de 500 points de base
Le coût de l'assurance contre un risque de défaut sur la dette de l'Espagne a franchi un seuil psychologique majeur vendredi, en raison des craintes liées au secteur bancaire du pays, alors que Madrid prévoirait de contraindre ses banques à mettre de côté des fonds d'urgence supplémentaires.

Vers 09h35, la prime du credit default swap (CDS) à cinq ans de l'Espagne augmentait de 12 points de base, à 505 points de base, selon Markit. La prime du CDS espagnol n'a pas clôturé au-dessus de 500 points de base depuis le 23 avril.

Des sources proches du dossier ont indiqué mardi que le gouvernement espagnol avait l'intention de demander aux banques du pays de mettre de côté de 20 à 40 milliards d'euros en provisions génériques supplémentaires, dans le cadre de la réforme du secteur financier.

La prime du CDS à cinq ans de la France prenait quant à elle 7 points de base, à 208 points de base après l'élection le week-end dernier du socialiste François Hollande à la présidence de la République. Celle du CDS du Portugal montait de 3 points, à 34 points de base en upfront. Une transaction "upfront", utilisée dans le cas d'investissements jugés très risqués, signifie que le vendeur de protection demande le versement d'une somme d'argent dès la conclusion du contrat.

La prime du CDS de l'Italie grimpait de 15 points de base, à 455 points de base.

Les CDS sont des dérivés qui fonctionnent comme une assurance contre le risque de défaut des émetteurs. En cas de défaut, le vendeur de protection rembourse l'acheteur.

  
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moisankarl moisankarl
08/05/2012 09:16:13
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L'UE pourrait donner un an de plus à l'Espagne pour son objectif de déficit

La Commission européenne envisage de donner à l'Espagne un an de plus pour atteindre son objectif d'un déficit budgétaire égal à 3% du produit intérieur brut (PIB), prolongeant ainsi l'échéance de 2013 à 2014, rapporte mardi le quotidien espagnol El Pais sur son site Internet.

Lundi, le commissaire européen aux Affaires économiques et monétaires, Olli Rehn, a laissé entendre que la Commission pourrait donner à l'Espagne une plus grande latitude pour atteindre ses objectifs de déficit.

L'économie espagnole s'est contractée de 0,3% au premier trimestre 2012, après une contraction similaire au quatrième trimestre 2011.


  
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moisankarl moisankarl
07/05/2012 12:03:45
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L'Espagne présentera vendredi de nouvelles mesures pour assainir ses banques, notamment des directives visant à supprimer les actifs immobiliers toxiques de leur bilan, a déclaré lundi un représentant du ministère des Finances espagnol.

Les autorités ont déjà obligé les banques espagnoles à mettre en réserve une grande partie de leurs bénéfices afin de couvrir les pertes éventuelles sur les prêts accordés aux promoteurs immobiliers et sur les biens saisis.

La Banque d'Espagne estime l'exposition totale des banques au marché espagnol de l'immobilier en difficulté à 338 milliards d'euros, dont 176 milliards d'euros d'actifs qu'elle considère problématiques.

La Banque d'Espagne et le ministre espagnol de l'Economie prévoient d'injecter des fonds publics dans Bankia (BKIA.MC) par le biais d'obligations convertibles en actions, rapportait le journal El Pais lundi sur son site Internet.

La banque remboursera ces fonds à un taux d'intérêt proche de 8%, a précisé le quotidien espagnol.

Le gouvernement compte également inclure des changements au sein de l'équipe dirigeante de Bankia, selon El Pais.

Le gouvernement espagnol présentera de nouvelles mesures vendredi pour assainir ses banques en difficulté, a annoncé lundi le Premier ministre, Mariano Rajoy.

Dans un entretien accordé à la radio Onda Cero, le chef du gouvernement espagnol a indiqué que des fonds publics supplémentaires pourraient être nécessaires pour venir en aide aux banques.
  
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moisankarl moisankarl
07/05/2012 09:21:55
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La Banque d'Espagne et le ministre espagnol de l'Economie prévoient d'injecter des fonds publics dans Bankia (BKIA.MC) par le biais d'obligations convertibles en actions, rapporte le journal El Pais lundi sur son site Internet.

La banque remboursera ces fonds à un taux d'intérêt proche de 8%, précise le quotidien espagnol.

Le gouvernement compte également inclure des changements au sein de l'équipe dirigeante de Bankia, selon El Pais.

Citant des sources financières non identifiées, El Pais indique que Bankia et sa maison mère, Banco Financiero y de Ahorros, qui détient les actifs immobiliers toxiques de la banque, devront mettre de côté de 5 milliards à 10 milliards d'euros pour couvrir d'éventuelles pertes sur créances immobilières douteuses.
  
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moisankarl moisankarl
03/05/2012 21:22:49
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Fitch: la zone euro surmontera la crise mais le risque d'une sortie de la Grèce grandit
L'agence d'évaluation financière Fitch Ratings a publié un rapport jeudi dans lequel elle estime toujours que la Zone Euro devrait survivre à la crise actuelle, prévenant toutefois que le risque de scénarios alternatifs, "bien que petit", grandit et qu'une sortie de la Grèce est parmi eux le plus "vraisemblable".

A force d'ajustements économiques et d'une plus grande intégration budgétaire, la zone euro devrait parvenir à "s'extirper" de la crise, estime Fitch Ratings. Mais même dans ce scénario de base, de nouvelles dégradations souveraines sont vraisemblables, indique l'agence.

Parmi les scénarios alternatifs décrits dans le rapport figurent "une sortie de la Grèce", "une quasi-union budgétaire", "l'Euro-mark, dans lequel l'Allemagne et un noyau sortent, laissant les pays restant avec l'euro", "les Etats-Unis d'Europe", et "un démantèlement complet".

En cas de sortie de la Grèce, Fitch Ratings prédit un scénario des plus sombres: tous les pays de la zone euro seraient placés sous surveillance avec implication négative, elle dégraderait "vraisemblablement" Chypre, l'Irlande, l'Italie, le Portugal et l'Espagne, l'agence avertissant que les pays déjà placés sous surveillance négative seraient les plus susceptibles de subir une dégradation.

Si la Grèce sort de l'euro, le pays sera "très certainement obligé de relibeller sa dette et faire à nouveau défaut".

-Eric Chalmet, Dow Jones Newswires; +33 (0)1 40 17 17 65; eric.chalmet@dowjones.com
  
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moisankarl moisankarl
03/05/2012 21:20:40
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FMI: l'Espagne doit évaluer les actifs toxiques des banques avant de créer une "bad bank"
L'Espagne doit procéder à un audit complet des actifs toxiques des banques du pays avant de prendre une décision définitive sur la création d'une structure de défaisance, a averti jeudi le Fonds monétaire international (FMI).

Il est "essentiel de procéder à un audit préliminaire des actifs de ces banques avant de prendre une décision définitive" sur la création d'une structure de défaisance, a déclaré le porte-parole du FMI, Gerry Rice.

"En attendant, il convient d'inciter les banques à assainir autant que possible leur bilan", a-t-il ajouté.

Un audit complet des actifs du secteur financier permettrait non seulement d'éclairer le marché sur l'ampleur des problèmes de l'Espagne, mais contraindrait également les banques à se débarrasser des poids morts - essentiellement des crédits hypothécaires - qui lestent leur bilan.

L'opacité des problèmes du secteur financier espagnol est à l'origine des préoccupations des investisseurs, qui ont fait grimper les coûts d'emprunt du pays à des niveaux quasi insupportables.

-Ian Talley, Dow Jones Newswires

(Version française Valérie Venck)
  
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moisankarl moisankarl
30/04/2012 17:28:19
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Le Portugal, sous assistance financière, a présenté lundi sa stratégie budgétaire pour les quatre prochaines années misant sur une légère reprise dès l'année prochaine alors que les craintes que le Portugal connaisse un sort semblable à la Grèce se sont apaisées.

"Nous continuons de prévoir une récession en 2012 et 2013 sera l'année du début de la relance économique", a dit le ministre portugais des Finances, Vitor Gaspar en présentant à l'issue du Conseil des ministres le plan budgétaire pour les quatre années à venir.

Selon les prévisions officielles l'économie devrait connaître en 2013 une légère croissance de 0,3% du PIB et, a précisé M. Gaspar, augmenter d'environ 2,5% du PIB en 2016.

Le ministre a également précisé que le déficit public devrait être de 1% du PIB en 2015 et 0,5% en 2016.

"L'ajustemement de l'économie portugaise se déroule comme prévu", a assuré le ministre des Finances, écartant à ce stade tout mesure d'austérité supplémentaire.

Ces prévisions optimistes tranchent toutefois sur la situation générale en Europe, en particulier chez le principal partenaire économique du Portugal, l'Espagne qui a confirmé officiellement lundi son retour en récession.

Intitulé "Document de stratégie budgétaire", le programme portugais doit être remis à la Commission européenne ce lundi, et être également transmis au parlement.

Mais le Parti socialiste, principale force d'opposition, s'est d'ores et déjà plaint du délai trop court accordé au parlement pour en prendre connaissance, et a menacé de ne pas l'approuver.

Jusqu'à présent, le PS avait accordé au gouvernement de centre-droit du Premier ministre Pedro Passos Coelho un soutien critique à son programme de réformes et de rigueur mis en oeuvre en échange de l'aide de 78 milliards d'euros accordée par l'UE et le FMI en mai 2011, alors que les socialistes étaient au pouvoir.

"Le PS ne signera pas les yeux fermés un document qui sera remis à Bruxelles sans avoir été discuté avec lui", a déclaré le chef du PS, Antonio José Seguro.

Cette menace, si elle était mise à exécution, porterait un coup sérieux au consensus politique autour du plan sauvetage financier alors que les bailleurs de fonds du Portugal -UE, FMI et BCE- le considèrent comme un élément clé de sa réussite.

Les créanciers du Portugal ont en effet multiplié dernièrement les éloges à l'adresse du gouvernement pour sa gestion du plan d'aide se félicitant en particulier de ses efforts en vue d'améliorer la compétitivité du travail.

De son côté, le gouvernement a répété à diverses reprises qu'il ne demanderait à ses partenaires internationaux "ni plus d'argent, ni plus de temps" mais qu'il comptait sur eux s'il ne parvenait pas à revenir sur les marchés en septembre 2013, comme il en a l'intention.

Toutefois, les taux d'intérêt des emprunts portugais ont enregistré dernièrement une baisse sensible témoignant d'un regain de confiance des investisseurs envers le Portugal, et apaisant ainsi les craintes d'un scénario à la grecque, c'est-à-dire d'une éventuelle restructuration de la dette portugaise.

"Nos perspectives d'un retour aux marchés dans le délai prévu n'ont jamais été aussi positives", a d'ailleurs affirmé M. Gaspar qui a salué "l'intérêt manifesté par des investisseurs étrangers".

Il reste que les mesures d'austérité sans précédent appliquées par le gouvernement auront un sérieux impact sur la croissance qui doit cette année reculer de plus de 3% du PIB alors que le taux de chômage dépasse déjà les 15%.

Une perspective qui risque d'accroître le mécontentement social, contenu jusqu'à présent, mais qui devrait s'exprimer à nouveau lors des manifestations prévues pour le 1er mai.
  
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moisankarl moisankarl
30/04/2012 17:18:14
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Les primes des CDS européens baissent après le PIB espagnol
Le coût de l'assurance contre un risque de défaut sur les emprunts d'Etat européens s'inscrit en légère baisse lundi, le marché n'ayant pas accordé grand cas à l'annonce d'un retour en récession de l'Espagne, la contraction de l'économie du pays au premier trimestre étant moins marquée qu'attendu.

Le produit intérieur brut (PIB) espagnol s'est contracté de 0,3% au premier trimestre par rapport au quatrième, alors qu'une contraction de 0,4% était anticipée.

L'Espagne a annoncé être son entrée officielle en récession technique après l'abaissement de la note de sa dette souveraine par Standard & Poor's vendredi, Corp., le déclassement consécutif de certaines banques espagnoles lundi et des manifestations contre les mesures d'austérité ce week-end.

L'Espagne restera sur le devant de la scène cette semaine, du fait de l'anticipation grandissante de la nécessité d'un nouveau programme de restructuration des banques, qui pourrait être financé par une aide du Mécanisme européen de stabilité (MES).

Après la journée fériée de mardi, les principaux événements de la semaine seront l'émission de dette espagnole jeudi et les réunions des dirigeants européens.

Vers 10h50, l'indice SovX Western Europe, que les investisseurs peuvent utiliser pour acheter ou vendre des CDS sur un panier de 15 Etats emprunteurs, s'inscrivait en baisse de 1 point de base par rapport à sa clôture de vendredi, à 270/274 points de base, selon Markit.

Les CDS sont des dérivés qui fonctionnent comme une assurance contre le risque de défaut des émetteurs. En cas de défaut, le vendeur de protection rembourse l'acheteur.

L'indice iTraxx Europe, qui comprend 125 emprunteurs bien notés, dont 25 banques et assureurs, reculait de 1 point de base, à 135/137 points de base. L'indice Crossover, qui regroupe 40 émetteurs européens de la catégorie spéculative, se resserrait de 8 points de base, à 636/639 points de base.

Le coût de l'assurance contre le risque de défaut sur la dette des grandes banques européennes s'inscrit également en baisse lundi. L'indice iTraxx Europe Senior Financials recule de 4 points de base à 239/241 points de base. L'indice Europe Subordinated Financials se replie de 8 points de base à 396/404 points de base.

-Sarka Halas, Dow Jones Newswires

(Art Patnaude, à Madrid, a contribué à cet article)

Message complété le 30/04/2012 17:18:39 par son auteur.

L'Espagne vise des économies de 20 mds d'euros au niveau des régions - responsable
Le gouvernement espagnol va tenter d'obtenir des économies supplémentaires de 10 milliards d'euros auprès des autorités régionales et locales, ce qui porterait le Total à 20 milliards d'euros, a indiqué lundi un représentant du gouvernement.

Ces mesures, qui incluent une baisse des dépenses consacrées aux services publics comme la santé et l'éducation, devraient permettre au pays d'atteindre son objectif de réduction du déficit. L'Espagne compte ramener son déficit à 5,3% du produit intérieur brut cette année, contre 8,5% l'an dernier, a rappelé le représentant interrogé, qui n'a pas souhaité être nommé.

Lundi matin, l'institut espagnol de la statistique a indiqué que l'économie du pays s'était contractée au premier trimestre. L'agence de notation Standard & Poor's a par ailleurs annoncé lundi avoir abaissé la note de crédit de 16 banques espagnoles.

-David Roman, Dow Jones Newswires

  
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