croissance allemande : flexibilité, compétitivité, innovation, baisse des coûts de production.
voila, voila...
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Les Allemands ne méritent pas d'avoir des partenaires Européens aussi minables,incompétants, véreux et escrocs.
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Schäuble prêt à discuter de la croissance, pas de l'austérité
Le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, se dit prêt à discuter d'un soutien à la croissance au sein de l'Union européenne mais opposé à une politique de relance financée par davantage de dette publique, dans une tribune publiée lundi par le quotidien Les Echos.
"Par croissance, je n'entends évidemment pas la stimulation artificielle de la demande au moyen de dépenses budgétaires accrues", écrit le ministre dans cette tribune.
La croissance dont a besoin l'Europe doit provenir de gains de compétitivité et être assise sur la discipline budgétaire, a insisté le ministre allemand.
"Nous sommes prêts, par exemple, à nous entretenir sur la capacité de la Banque européenne d'investissement à promouvoir la croissance", a-t-il ajouté.
Les remarques de Wolfgang Schäuble répondent aux propositions de François Hollande, qui s'est engagé pendant la campagne présidentielle française à renégocier le pacte budgétaire européen afin d'y ajouter des références à la croissance.
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Westerwelle: "le sort de la Grèce est entre ses propres mains"
Le ministre allemand des Affaires étrangères, Guido Westerwelle, a mis une pression supplémentaire sur les partis politiques grecs vendredi en affirmant que les prochaines tranches de l'aide internationale au pays ne pourraient être versées que si Athènes met en oeuvre des réformes économiques.
"Nous respectons nos engagement envers la Grèce", a-t-il affirmé au Parlement allemand lors d'un discours sur l'Europe, mais "le sort de la Grèce est entre ses propres mains".
S'exprimant à quelques jours d'un scrutin régional important, qui pourrait avoir des répercussions sur la coalition de centre-droit au pouvoir en Allemagne, Guido Westerwelle a cité la relative vigueur économique de l'Allemagne comme un exemple des effets positifs que peuvent avoir les réformes. Le chômage est au plus bas et le taux de chômage des jeunes est le plus faible d'Europe, a-t-il souligné.
"Nos citoyens doivent être remerciés pour cela. C'est le résultat de négociations salariales et politiques", a-t-il ajouté. "Nous ne comprenons que trop bien le chemin difficile que de nombreux Européens doivent emprunter."
Guido Westerwelle a réaffirmé la position du gouvernement allemand, qui estime que la Grèce doit mettre en oeuvre les réformes qu'elle s'est engagée à effectuer en accord avec la Commission européenne, la Banque centrale européenne et le Fonds monétaire international.
Le ministre a précisé que le pacte budgétaire européen ne pouvait être renégocié, malgré les demandes en ce sens du président élu, François Hollande, en France.
"Le pacte fiscal est fait", a-t-il dit. "Nous voulons sortir d'une politique de création de dettes."
Message complété le 11/05/2012 11:23:28 par son auteur.
Les primes des CDS européens augmentent vendredi - Markit
Le coût de l'assurance contre un risque de défaut sur les dettes souveraines européennes est en hausse vendredi matin, sur fond d'inquiétudes liées aux difficultés qu'ont les partis politiques grecs à former une coalition gouvernementale et aux décisions de l'Espagne pour redresser son secteur bancaire.
Vers 10h00, la prime du CDS à cinq ans de l'Espagne augmentait de 8 points de base, à 518 points de base, inférieure de seulement 2 points de base au plus haut niveau atteint en séance à 520 points de base, selon le fournisseur de données Markit.
La prime du CDS à cinq ans de l'Italie progressait de 6 points de base, à 455 points de base. Une adjudication d'emprunts d'Etat à court terme est prévue en Italie à 11h00. La prime du CDS de la France montait pour sa part de 3 points de base, à 208 points de base.
Les CDS sont des dérivés qui fonctionnent comme une assurance contre le risque de défaut des émetteurs. En cas de défaut, le vendeur de protection rembourse l'acheteur.
L'heure est à la prudence sur le marché obligataire. Athènes est toujours dans l'impasse politique et en Espagne, le gouvernement, qui a indiqué jeudi qu'il prendrait le contrôle de Bankia, doit annoncer vendredi les
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C'est balo mais nul part de memoire je n'est lu quelque chose qui puisse s'approcher de l'idée d'une procédure de sortie seul vigure des procédures de sanction. Ha Ha...
Message complété le 11/05/2012 09:58:51 par son auteur.
N'aller pas croire pour autant que je suis contre l'idée d'une construction Europpéenne des nations, bien au contraire.
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A relire Monsieur Schäuble, on pourrait croire que les Etats-Majors européens n'ont pas su se préparer à "prévoir l'imprévoyable" !
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La Zone Euro peut supporter une sortie de la Grèce, a estimé le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, dans un entretien au quotidien régional allemand Rheinische Post, paru vendredi.
A la question "La zone euro peut elle supporter une sortie de la Grèce", Wolfgang Schäuble répond: "L'Europe ne coule pas aussi facilement". Il précise toutefois: "Nous voulons que la Grèce reste dans la zone euro. Mais elle doit aussi le vouloir et remplir ses devoirs. Nous ne pouvons forcer personne".
Selon Wolfgang Schäuble, la zone euro est mieux armée qu'il y a deux ans. "Nous avons beaucoup appris ces deux dernières années et construit des mécanismes de protection. Les dangers de contamination pour les autres pays de la zone euro sont devenus plus faibles et la zone euro est dans son ensemble devenue plus résistante", dit-il.
"La crise a montré: quand il faut agir vite, l'Europe peut réagir rapidement (...) L'idée que nous ne serions pas capables de réagir à court terme devant quelque chose d'imprévu est fausse", a-t-il ajouté.
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