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Eurobond - Page 2



moisankarl moisankarl
25/05/2012 14:57:51
0
Veut tu dire que les USA lorsqu'il se sont fédéré était communiste ?

Message complété le 25/05/2012 14:59:57 par son auteur.

Lorsque l'état du New-Jersey se portait garant de l'état d'Arizona...

Message complété le 25/05/2012 15:01:49 par son auteur.

(..)"plus d'incitation a creer de la richesse" est la conséquence du communisme pas la cause, je crois... Enfin il se peut qu'ici je me trompe.

  
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jollyjoker jollyjoker
25/05/2012 14:45:56
0
les eurobonds c est le communisme, le communisme ca marche pas, parce qu'il n'y a plus d incitation a creer de la richesse
  
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moisankarl moisankarl
25/05/2012 13:56:16
0
Perso : Je suis également trés partagé sur cette idée.

Elle représente l'essence même de l'idée de former une communauté qui par définition est basé sur un principe de solidarité mais aussi d'équité. Et c'est bien le problème. Car vue la situation actuel il est assez évident que c'est l'Allemagne (Pologne peut-être) qui in fine se porterons garant de toute la zone ce qui n'est pas équitable et si à fortiori il y à pas de pacte de confiance bugétaire STABLE ET SOLIDE...

Pour la France nous avons en effet tout intérêt à ses Eurobonds car vu notre tissu industriel et le manque de perspectrive de croissance, c'est tout bénéf, de pouvoir tranquillement emprunter soutenu par un grand frère aussi puissant que l'Allemagne.


Finalement je pense que les Eurobond sont fondamentaux et nécéssaire dans la poursuite d'une construction fédération Europpéenne des nations mais comme l'Allemagne je suis contre sans un minimum de règle d'équité et même si la france à tout à y gagner.

Par contre je ne suis pas du tout certain qu'ils puissent (eurobond) contribuer à nous aider à sortir de cette crise.


L'info :

Weidmann: des euro-obligations ne résoudront pas la crise
Il est illusoire de penser que l'émission d'un instrument de dette commun à la Zone Euro - des euro-obligations - serait une solution à la crise, a déclaré vendredi le président de la Bundesbank, Jens Weidmann, dans un entretien accordé au journal Le Monde.

"Croire que les eurobonds résoudront la crise actuelle est une illusion", a estimé Jens Weidmann.

Lors d'un sommet informel des chefs d'Etat et de gouvernement de l'Union européenne mercredi soir à Bruxelles, le président français François Hollande a proposé l'émission d'euro-obligations en tant qu'outil que pourrait utiliser l'Europe pour relancer sa croissance. La chancelière allemande Angela Merkel a pour sa part déclaré, comme Jens Weidman, que l'émission commune d'obligations souveraines ne contribuerait aucunement à la croissance et que cette idée était en outre contraire aux traités européens.

Dans cet entretien publié sur le site du Monde, Jens Weidmann s'en prend également à d'autres idées avancées par François Hollande lors de sa campagne, comme celle de faire jouer à la BCE un plus grand rôle dans la relance de la croissance.

"Notre mandat est limité et [...] il faut s'y tenir", a souligné le banquier central. "Depuis le début de la crise financière, le bilan de l'eurosystème a plus que doublé, l'institution a pris des risques considérables pour éviter un effondrement du système. Nous sommes arrivés à la limite de notre mandat, notamment avec des mesures non conventionnelles", a-t-il ajouté.

Jens Weidmann a par ailleurs rappelé que l'injection de 1.000 milliards d'euros à laquelle a procédé la BCE lors de ses opérations de refinancement à long terme (LTRO)n'était pas sans danger, dans la mesure où elle pourrait retarder les ajustements nécessaires dans le secteur bancaire.

Le président de la Bundesbank a également déclaré qu'il s'opposait à l'attribution d'une licence bancaire au Mécanisme européen de stabilité (MES), qui lui permettrait d'emprunter auprès de la BCE pour augmenter sa puissance de feu.

Concernant la Grèce, Jens Weidmann a indiqué que le pays devait tenir ses engagements, sans quoi "l'aide devrait être arrêtée".

"Sinon, les accords n'auraient plus de crédibilité, car nous ferions des transferts non conditionnés", a-t-il expliqué.

Interrogé sur l'éventuelle préparation à une sortie de la Grèce de la zone euro, Jens Weidmann a déclaré qu'il avait "pour principe" de ne jamais répondre à cette question.
  
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lamoueste lamoueste
24/05/2012 10:17:35
0
Les eurojunkbonds, en voila une belle connerie :D

Apres tout, dans une crise de l'endettement pourquoi ne pas promouvoir un instrument permettant d'en creeer encore plus ?

Alors oui, ca aidera les pays "faibles" et cela plombera les pays "forts", le coup par an des eurobonds (ecart des interets demandés entre obligations actuelles et eurobonds) :
- 30 milliards pour la France
- 47 milliards pour l'Allemagne

Les chiffres datent de quelques mois ca doit etre pire desormais...
Oh oui vivement les eurobonds qui vont plomber notre budget de 30 Milliards pour pouvoir creer encore plus de dette au final et ne rien resoudre ni de la competitivité relatives des membres de l'eurozone ni des ecarts de fiscalités !
Je suis curieux de voir la tete des agences de notation quand dans 7 ans notre deficit aura pris 15 milliards dans la tete :D
Cela voudra sans doute dire que les interets sur les eurojunkbonds seront plus haut accentuant le probleme...

Bref, une belle connerie socialiste...
Heureusement que l'Allemagne ne les acceptera pas dans l'interet de tous pour une fois...
  
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moisankarl moisankarl
24/05/2012 08:48:16
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Sommet européen: Hollande réussit à imposer le sujet des euro-obligations
Le président français François Hollande a réussi à imposer le sujet des euro-obligations dans le débat européen sur la croissance au cours d'un sommet informel de l'UE dans la nuit de mercredi à jeudi, en dépit des réticences de la chancelière allemande Angela Merkel.

M. Hollande était arrivé à Bruxelles avec la ferme intention de promouvoir la création de ces euro-obligations, ou eurobonds, une forme de mutualisation des dettes au sein de la Zone Euro.

Mme Merkel a semblé balayer d'un revers de manche cet instrument défendu de longue date par la Commission européenne en affirmant que "les euro-obligations ne sont pas une contribution à la croissance". Une position partagée par la Finlande, les Pays-Bas ou encore la Suède, pour qui ces eurobonds n'inciteraient pas les pays fragiles à la vertu budgétaire.

Mais M. Hollande a insisté et réclamé que "la perspective" des euro-obligations soit "inscrite" au menu de l'Union européenne en vue du sommet des 28 et 29 juin.

Il a pu s'appuyer sur de nombreux soutiens, à commencer par celui de la Commission européenne, qui avait été la première à promouvoir cette idée, mais aussi celui du président du Conseil italien Mario Monti.

"La majorité des pays s'est dite en faveur des eurobonds, même des pays qui ne sont pas dans la zone euro comme la Grande-Bretagne", a souligné M. Monti à l'issue du sommet.

L'OCDE et la directrice générale du Fonds monétaire internationale, Christine Lagarde, étaient entrés dans le débat mardi, suggérant que les euro-obligations pourraient bénéficier à la zone euro en crise.

A l'issue du sommet, Mme Merkel est restée sur sa position mais a jugé que le débat sur la question avait été "très équilibré".

M. Hollande a aussi obtenu une feuille de route: le président de l'UE, Herman Van Rompuy, a annoncé qu'il présenterait en juin un rapport sur les principales étapes en vue de l'"approfondissement de l'Union monétaire". Il a cité parmi les pistes de travail "les euro-obligations dans une perspective de long terme, une supervision des banques plus intégrée et un schéma commun de garantie des dépôts" bancaires.

Ce rapport se fera en "coopération étroite" avec le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, celui de la Banque centrale européenne, Mario Draghi, et celui de l'Eurogroupe, Jean-Claude Juncker, a dit M. Van Rompuy.

Il "consistera en une méthode et définira des étapes", a-t-on expliqué dans l'entourage de M. Barroso. "Le tabou sur les eurobonds est levé, il y a une reprise de la dynamique, reste à écrire le scénario", souligne-t-on.

De même source, on souligne que "François Hollande a bien joué: il sait ce qu'il veut et il sait ne pas aller trop loin. Il veut une perspective".

"Le débat sur les eurobonds est relancé", s'est également réjoui M. Juncker.

Le dîner a aussi été l'occasion d'explorer d'autres pistes de relance de la croissance, dont l'augmentation du capital de la Banque européenne d'investissement (BEI), qui pourrait se concrétiser lors du sommet de juin, ou encore la réorientation de fonds structurels européens ou la taxe sur les transactions financières.

Après quatre heures de discussions sur la croissance, les 27 se sont aussi penchés sur la Grèce, sur fond de doutes quant à une sortie du pays de la zone euro. Les Bourses européennes ont fortement chuté mercredi et l'euro est passé sous 1,26 dollar pour la première fois depuis l'été 2010.

Le marché a été agité par des informations selon lesquelles les membres de l'Union monétaire prépareraient des plans de secours en cas de sortie de la Grèce, ce qu'un diplomate européen a confirmé à l'AFP, mais qu'Athènes a fermement démenti.

Les 27 se sont mis d'accord sur une déclaration que M. Van Rompuy a lue à l'issue du sommet, affirmant leur désir que "la Grèce reste dans la zone euro et respecte ses engagements", à l'issue des élections législatives du 17 juin dans le pays.

"Poursuivre les réformes cruciales pour revenir à une dette soutenable, encourager les investissements privés et renforcer les institutions (de la Grèce) sont les meilleures garanties d'un avenir meilleur au sein de la zone euro" et "nous espérons qu'après les élections, le nouveau gouvernement grec fera ce choix", a conclu M. Van
  
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