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Une union bancaire en Europe ? L'idée fait son chemin



moicmoi moicmoi
13/06/2012 00:02:49
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Evidemment ! La Grande-Bretagne est toujours d'accord quand il s'agit de récupérer des ronds, mais jamais quand il faut en donner. On a l'habitude. Le Général avait bien raison. Mais pourquoi on ne les vire pas, ceux-là. Il n'y a rien de constructif à attendre de ce peuple-là.
  
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moisankarl moisankarl
07/06/2012 09:14:48
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D'une un union banquaire à celle politique...; HAHA, la bonne blague...


Merkel favorable à une union politique en Europe
La chancelière allemande, Angela Merkel, s'est dite jeudi favorable à une union politique en Europe même si certains pays pourraient ne pas pouvoir suivre le rythme.

Il est important que "tout le monde puisse participer", mais il n'y a pas de raison de tout arrêter parce que certains pays n'arrivent pas à se mettre à niveau assez rapidement, a-t-elle déclaré à la télévision allemande. L'union monétaire et les accord de Schengen sont la preuve que les pays européens peuvent évoluer à des rythmes différents, selon elle.

Elle a par ailleurs indiqué qu'il ne fallait pas trop attendre du Conseil européen des 28 et 29 juin.
  
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moisankarl moisankarl
05/06/2012 17:13:30
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BaFin: il ne faut pas précipiter la mise en place d'une union bancaire
La présidente de l'autorité allemande de régulation des marchés financiers a mis en garde, mardi, les dirigeants européens contre toute précipitation dans la mise en place d'une union bancaire, une idée qui recueille une plus large adhésion à un moment où les déposants commencent à retirer leurs fonds des banques espagnoles, italiennes et grecques en difficulté.

"Pour moi, la notion d'union bancaire est incluse dans celle d'union budgétaire. Ne serions-nous pas en train de passer à la deuxième étape avant d'avoir franchi la première?", s'est interrogée Elke König, présidente de la BaFin.

La Commission européenne étudie actuellement les moyens de parvenir à une telle union, de manière à protéger les déposants et empêcher les banques en faillite de menacer l'ensemble du système financier. L'Europe ne dispose pas d'organisme d'assurance des dépôts à l'échelle de l'Union, comme c'est le cas aux Etats-Unis avec la Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC), ce que certains économistes considèrent comme un important point faible pour la Zone Euro en particulier.

Elke König a indiqué, lors de la conférence de presse annuelle de la BaFin, qu'il était trop tôt pour évaluer la réussite du nouveau système de surveillance des banques, des assureurs et des valeurs mobilières mis en place dans la zone euro l'année dernière.

"Ne devrions-nous pas attendre de voir si les mesures mises en place sont efficaces avant de lancer l'idée suivante"?

Par ailleurs, Elke König et Raimund Röseler, responsable de la supervision bancaire au sein de la BaFin, ont indiqué qu'un organisme européen de supervision centralisé n'agirait pas forcément plus efficacement qu'une autorité locale. Raimund Röseler a souligné qu'une autorité centralisée de supervision bancaire n'aurait pas nécessairement découvert les problèmes de Bankia (BKIA.MC) avant les autorités espagnoles.

Elke König a également rappelé que la BaFin connaissait l'exposition des banques et assureurs allemands aux pays périphériques de la zone euro et qu'elle les jugeait bien préparés à tous les scénarios concernant la Grèce, y compris à celui d'une sortie du pays de l'union monétaire. L'impact d'un tel événement sur les institutions financières allemandes serait limité et gérable, a-t-elle ajouté.

L'exposition actuelle des banques allemandes à la Grèce est inférieure à la fourchette de 15 à 20 milliards d'euros constatée à la fin 2011, a-t-elle indiqué.
  
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moisankarl moisankarl
04/06/2012 20:05:11
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Il faudra "beaucoup de temps" pour créer une union bancaire - Nowotny
Il faudra beaucoup de temps pour mettre en place de nouvelles mesures destinées à lutter contre la crise dans la Zone Euro, a déclaré lundi Ewald Nowotny, membre du conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne (BCE), faisant référence à la proposition de créer une union bancaire.

Cette union bancaire entraînerait la mise en place au niveau de la zone euro d'un fonds de résolution des crises bancaires, et se traduirait également par une supervision du secteur financier plus centralisée.

De telles idées sont "certainement justes", a indiqué Ewald Nowotny, qui est également le gouverneur de la banque centrale autrichienne. "Mais il ne faut pas s'y tromper, il va falloir du temps - beaucoup de temps - pour les appliquer".

Ewald Nowotny, qui s'exprimait lors d'une conférence du secteur bancaire à Vienne, a ajouté qu'il était important de mettre en oeuvre les décisions déjà prises, notamment en ce qui concerne la création du Mécanisme européen de stabilité (MES), le fonds de secours permanent de la zone euro.

Seuls quelques pays ont déjà ratifié le MES, parmi lesquels l'Autriche et l'Allemagne.
  
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moisankarl moisankarl
04/06/2012 11:42:07
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Une union monétaire, oui mais laquelle ????
Du CFA, pourquoi pas... HI HI
  
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moisankarl moisankarl
01/06/2012 13:50:32
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Alors que l'ensemble des acteurs acceuil avec enthousiasme cette idées, indispensable pour une union plus cohérente.
Franchement je me demande à quoi joue la SG et sur quoi elle parie.

L'info : Une union bancaire ne résoudrait pas la crise, selon la FBF

La création d'une union bancaire en Europe serait prématurée et ne résoudrait pas la crise, a déclaré Frédéric Oudéa, le PDG de Société Générale (GLE.FR) et président de la Fédération bancaire française (FBF), dans un entretien publié par Le Monde dans son édition datée de samedi.

"On peut souhaiter une harmonisation à terme des règles et une intégration plus poussée de la supervision bancaire en Europe", a déclaré le dirigeant. "Mais pour engager un processus d'union bancaire, qui suppose des mécanismes de solidarité intra-européens, il faut accélérer au préalable l'intégration politique et économique", a-t-il ajouté.

Une telle union ne résoudrait pas l'actuelle crise de la dette souveraine, a-t-il également estimé.

Frédéric Oudéa a par ailleurs insisté sur la nécessité de maintenir la Grèce au sein de la Zone Euro, appelant à ne pas sous-estimer le risque de propagation de la crise.
  
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moisankarl moisankarl
31/05/2012 18:26:58
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Zone euro: le FMI salue la proposition de création d'une union bancaire
Le Fonds monétaire international (FMI) a salué jeudi la proposition de la Commission européenne de créer une union bancaire qui comprendrait une garantie européenne des dépôts bancaires, un cadre commun de résolution bancaire et un éventuel fonds de secours qui pourrait accorder directement des prêts aux banques.

Lors d'une conférence à Bruxelles, Nemat Shafik, directrice générale adjointe du FMI, a déclaré que "les propositions émises hier [par la Commission européenne] en vue d'une union bancaire sont bienvenues". Elle a ajouté soutenir l'idée de réserves communes pour la recapitalisation des banques, indépendantes des ressources nationales.

La dirigeante a précisé que les objectifs de consolidation budgétaire des Etats de la Zone Euro pour l'année 2012 étaient globalement appropriés, mais a averti que "la consolidation budgétaire peut pénaliser la croissance quand plusieurs pays tentent de la mettre en oeuvre simultanément".

Elle a appelé la Commission à laisser plus de flexibilité à certains pays pour atteindre leurs objectifs. Bruxelles a déjà dit que cela était envisagé pour l'Espagne, qui pourrait obtenir une année supplémentaire pour parvenir à ces objectifs.

Selon Nemat Shafik, les objectifs nominaux de réduction du déficit de certains pays "sont trop pro-cycliques et doivent être ajustés, ou tout du moins exprimés en termes structurels". La Commission pourrait également, estime-t-elle, envisager de fixer des objectifs en termes ajustés des cycles plutôt que nominaux.
  
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moisankarl moisankarl
31/05/2012 13:19:24
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La désunion de l'Europe bancaire
Une union bancaire pour l'Europe? Qui pourrait être contre?

La Commission européenne, la Banque centrale européenne, les gouvernements italien, espagnol et irlandais, entre autres, font désormais pression de tout leur poids pour obtenir la création d'un fonds européen de résolution de la crise bancaire. Il pourrait être adossé à un fonds chargé de garantir les dépôts bancaires européens et accompagner la création d'un superviseur européen.

Même l'Allemagne n'exclut plus d'autoriser les fonds de secours européens à recapitaliser directement les banques, plutôt que de passer par les Etats qui aident ensuite leurs banques. Mais les gouvernements vont-ils accepter les sacrifices nécessaires, c'est-à-dire de perdre une part de leur souveraineté, pour que cette idée voit le jour.

Prenez l'exemple du secteur bancaire espagnol: l'idée de le recapitaliser avec l'argent de quelqu'un d'autre est évidemment séduisante aux yeux de Madrid. Cela permettrait de casser le lien entre la solvabilité de l'Etat et celle du secteur bancaire, ce qui devrait théoriquement permettre à l'Etat comme aux banques d'à nouveau lever des fonds sur les marchés.

Mais ce plan d'action doit encore être vendu aux parlements nationaux. Des parlements qu'il va falloir convaincre que leur approbation ne signifie pas qu'ils jetteront l'argent du contribuable dans un puits sans fond.

Il ne s'agit pas seulement d'un problème espagnol: d'autres aimeraient sans aucun doute se décharger de leurs problèmes bancaires, y compris ceux qui, comme l'Irlande, ont déjà contracté des dettes de plans de secours précédents. La plupart des problèmes bancaires européens proviennent d'une relation malsaine entre les banques et le monde politique, avec de petites institutions contrôlées par des hommes politiques locaux qui accordent des prêts accommodants à des projets mal ficelés. Utiliser les fonds de secours de la Zone Euro pourrait atténuer la pression des marchés. Mais cela incite aussi les politiques à ne pas restructurer le système bancaire et cela ne fait que reporter le problème.

Pour autant, cela ne signifie pas que ces obstacles sont infranchissables, ni que les surmonter n'offrirait pas à la zone euro la meilleure sortie de crise possible. Toutefois, l'Espagne et ses alliés appelant à des recapitalisations directes ont le devoir d'expliquer exactement comment ils vont procéder et aussi de répondre aux légitimes inquiétudes du reste de l'Europe.

- Simon Nixon

Message complété le 31/05/2012 13:34:29 par son auteur.

Barroso pour une union bancaire
31 mai 2012 / Der Standard

En marge de la présentation du rapport annuel de la Commission européenne sur les économies des Vingt-Sept, le 30 mai, José Manuel Barroso a envisagé la création d’une ”union bancaire” pour soutenir le secteur financier dans la zone euro. Le quotidien autrichien Der Standard rapporte que, selon le président de la Commission, cette “union bancaire” devra garantir un système de protection des dépôts et de contrôle commun des banques. Le journal explique que

Barroso a plaidé pour une future union bancaire qui permettrait de garantir des aides directes provenant des fonds du MES [Mécanisme européen de stabilité] aux institutions en difficulté au lieu des crédits unitaires délivrés aux Etats ou aux actionnaires. [...] Le MES devrait entrer en vigueur à partir du 1er juillet et sera doté de 700 milliards d’euros. On aurait besoin d’un plan qui donne du temps, a dit Barroso. Le partage des charges est la seule condition pour que la confiance des investisseurs revienne.

  
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moisankarl moisankarl
31/05/2012 11:54:16
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Zone euro: Draghi appelle à la création d'une union bancaire
Le président de la Banque centrale européenne (BCE), Mario Draghi, a appelé mercredi les dirigeants européens à clarifier leur vision de la Zone Euro pour les années à venir, estimant que cela contribuerait à enrayer la crise de la dette et restaurer la croissance.

Une surveillance du secteur bancaire plus centralisée pourrait constituer une première étape, a-t-il précisé devant la commission des Affaires monétaires et financières du Parlement européen.

Mario Draghi, qui s'exprimait en tant que président du Comité européen du risque systémique (CESR) et non en tant que patron de la BCE, a indiqué qu'une plus forte centralisation de la surveillance des grands groupes bancaires d'importance systémique était nécessaire.

La BCE a mené un grand nombre d'actions dans un très court laps de temps pour lutter contre la crise, a en outre noté le banquier central, ajoutant que la balle est désormais dans le camp des Etats. La BCE ne peut pallier les efforts insuffisants des pays de la zone euro en matière d'assainissement des finances publiques ou de mesures structurelles destinées à améliorer leur compétitivité, a-t-il affirmé
  
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moisankarl moisankarl
31/05/2012 09:34:14
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L'idée d'une union bancaire européenne actuellement à l'étude -Moscovici
Le ministre des Finances Pierre Moscovoci a qualifié mercredi "d'intéressante" l'idée d'une possible union bancaire au sein de la Zone Euro, telle que suggérée par la Commission européenne.

Le ministre français des Finances s'est entretenu de ce projet mercredi avec le Premier ministre luxembourgeois et président de l'Eurogroupe Jean-Claude Juncker lors d'une réunion au Luxembourg.

Une union bancaire apporterait davantage de soutien aux banques de la région au moyen des fonds européens qui seraient mis à sa disposition, leur permettant de faire face aux répercussions de la crise de la dette souveraine qui secoue la zone euro depuis plus de deux ans.

S'exprimant lors d'une conférence de presse commune, Pierre Moscovici et Jean-Claude Juncker ont déclaré que cette idée faisait actuellement l'objet de discussions entre les Etats membres et plusieurs dirigeants européens, dont le président de la Banque centrale européenne, Mario Draghi.
  
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moisankarl moisankarl
25/05/2012 12:45:50
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L'union bancaire, une décision cruciale pour enrayer la crise
Aucune décision ne devait être prise au sommet européen informel de mercredi. L'engagement a été respecté: rien n'a été annoncé. Et alors?

L'absence de mesures concrètes à l'issue du dîner des chefs d'Etat et de gouvernement ne présage en rien de la manière dont la Zone Euro va évoluer. Car ce sont en réalité les élections législatives en Grèce le 17 juin et le conseil européen des 28 et 29 juin qui seront déterminants. Tout reposera en fait sur la capacité des Européens à s'attaquer au redressement de leur système bancaire.

D'ici au vote grec, les dirigeants ne peuvent pas faire grand chose pour Athènes. D'autant que l'impact d'une montée en puissance d'Alexis Tsipras, le leader de l'extrême gauche, est impossible à prédire.

Ce qui est certain, c'est que le plan de sauvetage de la Grèce a été conçu pour éviter que le pays ne fasse défaut à court terme sur sa dette détenue par des étrangers. Bruxelles comme Athènes ont donc tout intérêt à éviter que la Grèce ne sorte de l'euro.

A plus grande échelle, la situation est plus claire sur les options à prendre pour enrayer la crise. Une proposition a d'ores et déjà été acceptée - celle d'un soutien européen à la croissance via la Banque européenne d'investissement - tandis qu'une autre - la mise en place d'obligations de la zone euro - n'a pas la moindre chance d'aboutir.

Le conseil des 28 et 29 juin sera réussi si ses participants jettent les fondations d'une union bancaire comprenant notamment un fonds européen de sauvetage des banques reposant sur un dispositif de résolution des crises. Cette union supprimerait l'une des sources principales de la crise de la zone euro en cassant le lien entre solvabilité des banques et solvabilité des Etats.

Bien sûr, il existe des obstacles pratiques, notamment en matière de vérification. Comment être sûr, par exemple, que l'argent des contribuables européens ne sera pas été utilisé pour renflouer des banques espagnoles ayant vocation à être fermées?

La Commission européenne devrait formuler le 6 juin des proposions en ce sens. Quant à la création d'un fonds européen de sauvetage, il devrait être possible en accordant au Mécanisme européen de stabilité le droit de prendre des participations dans les banques.

Compte tenu du défi politique que représente un soutien allemand à cette mesure, considérée comme une forme de transfert budgétaire, Berlin ne pourra donner son feu qu'en dernier recours, selon des sources proches du gouvernement d'Angela Merkel. Pourtant, le simple fait que l'Allemagne ne rejette pas en bloc cette option permet d'espérer qu'une avancée majeure est possible.
  
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