CAC40: une rechute de -2,25% en forme d'avertissement ?
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CMC Markets prédit un été à haute tension pour les marchés financiers
(AOF / Funds) - Le scénario de 2011 paraît de plus en plus sur le point de se répéter cette année, souligne Fabrice Cousté, DG de CMC Markets France. L'an dernier, les marchés évoluaient dans une bande assez étroite de fluctuation, avant de corriger violemment durant l'été, marqué par 12 séances consécutives de baisse, du jamais vu. Fera-t-on pire en 2012 ? Depuis l'an dernier, la crise de la dette, jusqu'ici contenue à des « petits » pays de la périphérie, s'est étendue à des poids lourds (Italie, Espagne). L'effet de domino se confirme.
Mais les dominos sont de plus en plus gros. Face à des enjeux financiers croissants, on se demande si les dirigeants européens disposent des moyens suffisants pour éteindre un nouveau départ d'incendie, estime CMC Markets France.
(...) Par ailleurs, la croissance ralentit de manière inquiétante. Cela concerne toutes les économies, y compris la Chine où les autorités monétaires pourraient engager une politique monétaire plus accommodante. La confiance des agents économiques recule. La macro-économie et la politique manquent de clarté. Et cela commence à transparaître dans les comptes des entreprises ou dans leurs prévisions de résultats. Certains analystes envisagent des mouvements de révision en baisse des résultats compris entre 10% et 15%.
Réaction logique : les investisseurs sortent des marchés (baisse des encours en assurance-vie). Ils cherchent avant tout la protection de leur capital, plutôt que de jouer à vouloir capter les mouvements de balancier de la Bourse de plus en plus brefs et violents. Autant de facteurs qui promettent un été volatil et qui obligera les investisseurs à la plus grande vigilance, conclut Fabrice Cousté.
Copyright 2012 Agence Option Finance (AOF) - Tous droits de reproduction réservés par AOF. AOF collecte ses données auprès des sources qu'elle considère les plus sûres. Toutefois, le lecteur reste seul responsable de leur interprétation et de l'utilisation des informations mises à sa disposition. Ainsi le lecteur devra tenir AOF et ses contributeurs indemnes de toute réclamation résultant de cette utilisation. Agence Option Finance (AOF) est une marque du groupe Option Finance
Source:AOF 02.07.2012 12:30
CMC Markets prédit un été à haute tension pour les marchés financiers
(AOF / Funds) - Le scénario de 2011 paraît de plus en plus sur le point de se répéter cette année, souligne Fabrice Cousté, DG de CMC Markets France. L'an dernier, les marchés évoluaient dans une bande assez étroite de fluctuation, avant de corriger violemment durant l'été, marqué par 12 séances consécutives de baisse, du jamais vu. Fera-t-on pire en 2012 ? Depuis l'an dernier, la crise de la dette, jusqu'ici contenue à des « petits » pays de la périphérie, s'est étendue à des poids lourds (Italie, Espagne). L'effet de domino se confirme.
Mais les dominos sont de plus en plus gros. Face à des enjeux financiers croissants, on se demande si les dirigeants européens disposent des moyens suffisants pour éteindre un nouveau départ d'incendie, estime CMC Markets France.
(...) Par ailleurs, la croissance ralentit de manière inquiétante. Cela concerne toutes les économies, y compris la Chine où les autorités monétaires pourraient engager une politique monétaire plus accommodante. La confiance des agents économiques recule. La macro-économie et la politique manquent de clarté. Et cela commence à transparaître dans les comptes des entreprises ou dans leurs prévisions de résultats. Certains analystes envisagent des mouvements de révision en baisse des résultats compris entre 10% et 15%.
Réaction logique : les investisseurs sortent des marchés (baisse des encours en assurance-vie). Ils cherchent avant tout la protection de leur capital, plutôt que de jouer à vouloir capter les mouvements de balancier de la Bourse de plus en plus brefs et violents. Autant de facteurs qui promettent un été volatil et qui obligera les investisseurs à la plus grande vigilance, conclut Fabrice Cousté.
Copyright 2012 Agence Option Finance (AOF) - Tous droits de reproduction réservés par AOF. AOF collecte ses données auprès des sources qu'elle considère les plus sûres. Toutefois, le lecteur reste seul responsable de leur interprétation et de l'utilisation des informations mises à sa disposition. Ainsi le lecteur devra tenir AOF et ses contributeurs indemnes de toute réclamation résultant de cette utilisation. Agence Option Finance (AOF) est une marque du groupe Option Finance
Source:AOF 02.07.2012 12:30
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et d'un point de vue graphique ca dit quoi
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exact 120 milliards c est de la m je pense qu il est temps de sortir pour se mettre a l abri bonne chance a toi tirelire
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la dame de fer c'était Margaret Thatcher Pas le droit de lui voler son titre
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Le sommet européen est un leurre , la montagne accouchera d' une souris , on nous mène en bâteau depuis un an , la crise est bien devant nous , elle va nous envoyer par le fond .
Les politiques sont tous aussi incapables les uns que les autres , ce n' est pas François II qui changera la donne pourquoi ?
D' abord pour les eurobonds , c' est renvoyer aux calendes grecques , Merkel n' en veut pas maintenant, c' est elle qui a la main en zone euro.
La croissance demandée par François II , une goutte d' eau , que représente 130 milliards d' euros : 1 % du PIB de la zone euro.
Sachant que la zone euro est à 17 membres , çà ne représente rien ces 130 milliards, une misère donc on parlotte pour de la misère de croissance.
La règle d' or budgétaire ( les sociaux démocrates allemands ont baissé la culotte devant Merkel , en apportant leur soutien au parlement moyennant la misère de croissance )
Merkel , dame de fer, impose sa loi , ce n' est pas François II avec un budget en déséquilibre qui fera le poids , il sera le DINDON de la farce.
Il voulait rénégocier le traité , peine perdue , il baissera la culotte comme les sociaux démocrates allemands l' ont fait en Allemagne.
Les marchés ont été accomodants , le temps de laisser se mettre en place l' équipe gouvernementale française , mais dés le début du mois de juillet , les mesures qui seront annoncées , vont cette fois fâcher les marchés et là le temps des cadeaux sera révolu !
Faut être logique : on ne peut pas ouvrir le robinet des dépenses sans en fermer d' autres avec de la rigueur .
Ce ne sera plus mi figue mi raisin , là il faudra se planquer !
Les politiques sont tous aussi incapables les uns que les autres , ce n' est pas François II qui changera la donne pourquoi ?
D' abord pour les eurobonds , c' est renvoyer aux calendes grecques , Merkel n' en veut pas maintenant, c' est elle qui a la main en zone euro.
La croissance demandée par François II , une goutte d' eau , que représente 130 milliards d' euros : 1 % du PIB de la zone euro.
Sachant que la zone euro est à 17 membres , çà ne représente rien ces 130 milliards, une misère donc on parlotte pour de la misère de croissance.
La règle d' or budgétaire ( les sociaux démocrates allemands ont baissé la culotte devant Merkel , en apportant leur soutien au parlement moyennant la misère de croissance )
Merkel , dame de fer, impose sa loi , ce n' est pas François II avec un budget en déséquilibre qui fera le poids , il sera le DINDON de la farce.
Il voulait rénégocier le traité , peine perdue , il baissera la culotte comme les sociaux démocrates allemands l' ont fait en Allemagne.
Les marchés ont été accomodants , le temps de laisser se mettre en place l' équipe gouvernementale française , mais dés le début du mois de juillet , les mesures qui seront annoncées , vont cette fois fâcher les marchés et là le temps des cadeaux sera révolu !
Faut être logique : on ne peut pas ouvrir le robinet des dépenses sans en fermer d' autres avec de la rigueur .
Ce ne sera plus mi figue mi raisin , là il faudra se planquer !
Message complété le 25/06/2012 19:34:49 par son auteur.
n' oubliez pas les gestes de la BCE pour les banques : 2 LTROS soit 2000 milliards pour les banques , alors 130 milliards c' est de la M....
Tout pour les banques , rien ou presque rien pour la croissance , argent facile pour les banques et rigueur pour les peuples qu' elle soit de droite ou de gauche , tout ceci est de la mascarade !
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(CercleFinance.com) - Paris a légèrement réduit ses pertes (-2,24% à 3.021,6Pts) après avoir plongé de -2,7% et inscrit un 'plus bas' à 3.007Pts (ex-plancher de clôture du 18 mai dernier) vers 16H30.
A Wall Street, les indices US accusent un repli de -1,75% en moyenne après 2 heures et demi de cotations. Le 'S&P' décroche de -1,85% et le Nasdaq -2,1% (à noter également la lourde rechute du baril de -2% du pétrole sur le NYMEX vers 78,15$).
L'Euro-Stoxx50 (2.136Pts) flirte avec les -2,5% (dans le sillage de Milan et Madrid qui affichent respectivement -4% et -3,7% de baisse... et Athènes plonge de -6,85% dans le sillage des banques.
Les marchés sont pénalisés par les craintes de voir le sommet européen de jeudi et vendredi accoucher d'une souris alors que l'harmonie au sein du couple franco-allemand semble au plus bas.
Les désaccords entre Paris et Berlin (sur les causes et les moyens de résoudre la crise) expliquent la rechute de l'Euro sous les 1,25 (1,2485) face au Dollar.
La chute des actions (dans de faibles volumes) et de l'Euro (vers 1,247$) constitue peut être une forme 'd'avertissement' adressé aux dirigeants européens dans la perspective du sommet européen du 28 et 29 juin.
Du point de vue graphique, les analystes techniques estiment qu'un nouvel épisode correctif s'enclenche sous les 3.050 après l'échec d'un énième rebond au-delà des 3100 points.
La seule statistique américaine du jour, publiée à 16h00 fut satisfaisante avec un net rebond (+7,2%) des ventes de logements en mai... sans aucun impact positif sur les indices boursiers.
En termes d'indicateurs économiques pour les jours à venir, la Commission Européenne publiera ses enquêtes jeudi. La semaine sera aussi marquée par la publication des indices de prix à la consommation dans plusieurs pays de la zone euro et de l'estimation flash de l'inflation dans l'ensemble de la zone par Eurostat.
Les indices de confiance des consommateurs (Conference Board mardi et Université du Michigan vendredi), les commandes de biens durables mercredi et les enquêtes d'activité régionales (Dallas, lundi, Richmond, mardi, Kansas City, jeudi et PMI de Chicago, vendredi) seront les indicateurs économiques américains les plus importants.
Connaissant des exercices décalés, General Mills et Mosento publieront leurs résultats mercredi, ainsi que Nike jeudi et Constellation Brands vendredi.
Du côté des valeurs, les bancaires entraînent le CAC40 par le fond avec des écarts de -5,9% pour Sté Générale et -5,5% pour BNP-Paribas, -4,65% sur Crédit Agricole.
Peugeot replonge également de -5,8% vers 7,25E, Renault de -4,5%, Alcatel chute de -5,3%, Alstom et Véolia de -3,3%.
Vivendi cède 3% après avoir décidé de ne pas dévoiler les conclusions de son comité stratégique tenu pendant le week-end. Le groupe diversifié explique vouloir communiquer 'en temps utile' sur ses projets et ses futures évolutions.
L'Oréal perd 1,5% alors que les analystes de Barclays Capital ont démarré aujourd'hui le suivi du titre avec une recommandation 'surpondérer', jugeant qu'il le valait bien aux niveaux de valorisation actuels.
Côté hausses, PPR grappille +0,35%, EADS se détache avec +2,05%.
Copyright © 2012 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
A Wall Street, les indices US accusent un repli de -1,75% en moyenne après 2 heures et demi de cotations. Le 'S&P' décroche de -1,85% et le Nasdaq -2,1% (à noter également la lourde rechute du baril de -2% du pétrole sur le NYMEX vers 78,15$).
L'Euro-Stoxx50 (2.136Pts) flirte avec les -2,5% (dans le sillage de Milan et Madrid qui affichent respectivement -4% et -3,7% de baisse... et Athènes plonge de -6,85% dans le sillage des banques.
Les marchés sont pénalisés par les craintes de voir le sommet européen de jeudi et vendredi accoucher d'une souris alors que l'harmonie au sein du couple franco-allemand semble au plus bas.
Les désaccords entre Paris et Berlin (sur les causes et les moyens de résoudre la crise) expliquent la rechute de l'Euro sous les 1,25 (1,2485) face au Dollar.
La chute des actions (dans de faibles volumes) et de l'Euro (vers 1,247$) constitue peut être une forme 'd'avertissement' adressé aux dirigeants européens dans la perspective du sommet européen du 28 et 29 juin.
Du point de vue graphique, les analystes techniques estiment qu'un nouvel épisode correctif s'enclenche sous les 3.050 après l'échec d'un énième rebond au-delà des 3100 points.
La seule statistique américaine du jour, publiée à 16h00 fut satisfaisante avec un net rebond (+7,2%) des ventes de logements en mai... sans aucun impact positif sur les indices boursiers.
En termes d'indicateurs économiques pour les jours à venir, la Commission Européenne publiera ses enquêtes jeudi. La semaine sera aussi marquée par la publication des indices de prix à la consommation dans plusieurs pays de la zone euro et de l'estimation flash de l'inflation dans l'ensemble de la zone par Eurostat.
Les indices de confiance des consommateurs (Conference Board mardi et Université du Michigan vendredi), les commandes de biens durables mercredi et les enquêtes d'activité régionales (Dallas, lundi, Richmond, mardi, Kansas City, jeudi et PMI de Chicago, vendredi) seront les indicateurs économiques américains les plus importants.
Connaissant des exercices décalés, General Mills et Mosento publieront leurs résultats mercredi, ainsi que Nike jeudi et Constellation Brands vendredi.
Du côté des valeurs, les bancaires entraînent le CAC40 par le fond avec des écarts de -5,9% pour Sté Générale et -5,5% pour BNP-Paribas, -4,65% sur Crédit Agricole.
Peugeot replonge également de -5,8% vers 7,25E, Renault de -4,5%, Alcatel chute de -5,3%, Alstom et Véolia de -3,3%.
Vivendi cède 3% après avoir décidé de ne pas dévoiler les conclusions de son comité stratégique tenu pendant le week-end. Le groupe diversifié explique vouloir communiquer 'en temps utile' sur ses projets et ses futures évolutions.
L'Oréal perd 1,5% alors que les analystes de Barclays Capital ont démarré aujourd'hui le suivi du titre avec une recommandation 'surpondérer', jugeant qu'il le valait bien aux niveaux de valorisation actuels.
Côté hausses, PPR grappille +0,35%, EADS se détache avec +2,05%.
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