Mariano Rajoy exclut un sauvetage imminent du pays

tout à fait d'accord, les Españols "boufferont" de la vache enragée jusqu'au bout mais ne tomberont pas dans le piège de Bruxelles.Rajoy est un fin diplomate qui ne se laisse pas manipuler comme certains le souhaiteraient.Il voit très bien le "l'embüche" que l'on essaie de lui tendre, mais rusé comme un "Zorro",il saura faire face non sans mal, aux diffilcultés que rencontre l'Espagne

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Il est pas fou Luis Mariano, il se dit si je demande de l' aide à la zone euro , mon pays va se faire saigner en rigueur supplémentaire , je suis vacciné par la Grèce, par le Portugal, notre Mariano sent bien qu' il vaut mieux se passer de cette aide le plus longtemps possible qu' il pourra le faire, les marchés s' impatientent.
Lui gagne du temps, çà ne plait pas à tout le monde.
Moralité : non merci pour l' aide ainsi je ne ferais pas tondre mon pays : l' Espagne.
Il est courageux notre Mariano, il envoie sa réponse aux technocrates de Bruxelles , gardez vos sous , gardez votre rigueur , merci çà suffit !

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Alors que tous les observateurs pensaient que l'Espagne allait demander
relativement rapidement un sauvetage à ses partenaires européens, le premier
ministre espagnol, Mariano Rajoy vient de prendre tout le monde à contre-pied
dans une déclaration.

Ce dernier a déclaré qu'une telle demande de
sauvetage n'était pas imminente lors d'un point presse en fin d'après-midi.


Le pays est confronté à une violente crise. Le chômage monte en flèche et
atteint un record en Europe avec plus de 24 % de la population active qui est
sans emploi. Les banques sont au bord de l'agonie et nécessiteront 60 milliards
d'euros de recapitalisation et enfin les régions espagnoles sont également
prises à la gorge et à deux doigts de la faillite.

Les bourses
européennes sont fermées et non pas pu réagir à cette information mais par
contre à New York cela a entraîné un décrochage assez rapide des indices
boursiers, le Dow Jones abandonnant déjà plus de 0,5 %.

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