Les allocations familiales bientôt imposables ?

Tirelire voyons !

il paye des assimilés-fonctionnaires à collecter les allocs
ils paye des assimilés-fonctionnaires à les donner
ils paye des fonctionnaires à les fiscaliser.

voilà comment on justifie une augmentation du nombre des fonctionnaires avec une mesure d'égalité.
ils tirent fiscalement sur tout ce qui bouge, alors allons y gaiement sur tout, et rien ne bougera, même plus une oreille pour les écouter.

Répondre

Moscovici : il faut trouver des sous , non des impôts pour boucher les trous , alors les allocations familiales faut y repenser !

Répondre

Publicité : cette file n' est pas en sommeil .
Il faut rappeler aux socialistes qu' ils doivent fiscaliser les allocations familiales , plus ils taxeront en impôts , plus la bourse montera !

Répondre

Publicité : fiscalisation des allocations familiales = moins de revenus affectés à la consommation des ménages par plus d' impôts .
Ce que l' on enlève aux français d' un côté finira par se retrouver quelque part de l' autre !

Répondre

Le problème, c'est que réduire les AF d'une façon ou d'une autre ou les rendre imposables n'a pas du tout les mêmes conséquences sur les budgets : En les réduisant (ou les mettant sous condition de ressources) on améliore le budget de la sécu, mais en les rendant imposables, on augmente les recettes de l'Etat, et c'est la priorité.

Répondre

Mais enfin , il faut trouver de l'argent les gars, les puits sont secs.
Tapons encore sur ceux qui bossent, jusqu'au jour ou ........
Allez, bonne journée à tous.

Répondre

Tiens comme disait le grand pére ''une bonne guerre ,qu'on jette ces cons pretentieux dans un cul de basse fosse et qu'on elise les mêmes apres '''

Répondre

".....je propose : un impôt sur les impôts......"
Ca existe déjà. Et même, certains avoirs sont taxés jusqu'à 3 ou 4 fois.

Répondre

Vous ne voudriez quand même pas que l’on vire les ¾ des politiciens ? Ou qu’on les jette sur la paille en rabotant leurs avantages ?....
En répondant oui à ces deux questions, vous ne seriez taxés (encore ! ) d’incivisme.

ça s'rait peut être une bonne chose que certains de ses trous du .... aillent voir un peu comment cela se passe dans la rue. Apres avoir baissé l'aide de l'ue pour les plus demunis.
Si on faisait payer la connerie ,ils seraient à la soupe populaire

Message complété le 18/02/2013 12:38:46 par son auteur.

... Mais non Madeleine, je ne m'énerve pas, j'explique aux gens !

Répondre

Moi, je propose un impôts qui pourrait rapporter beaucoup:

L'impôt sur la nullité et la connerie des hommes politiques.

ça ferait très cher, non ?

Répondre

je propose :


un impôt sur les impôts.

Répondre

Pour (sou)rire, enfin, si on peut en rire.
L'impôt français sur les portes et fenêtres
Exemple d'immeuble avec de fausses fenêtres pour limiter l'impôt sur les portes et fenêtresCet impôt fait partie des « quatre vieilles » contributions directes, avec la contribution foncière, la mobilière, et la contribution des patentes (toutes trois établies par la Constituante). Son assiette était établie sur le nombre et la taille des portes et fenêtres. Il ne touchait ainsi que les propriétaires, et introduisait une sorte de proportionnalité, les plus aisés payant également plus d'impôts. Sa création fut accompagnée de celle d'un autre impôt du même type, l'impôt sur les parcs et jardins.

C'était la version moderne de l’antique impôt des Romains, l’ostiarium, qui portait sur les portes et fenêtres.

Il ne touchait pas les ouvertures des bâtiments à vocation agricole, ni les ouvertures destinées à aérer les caves (soupiraux) ou pratiquées dans les toits (lucarnes, vasistas). Les bâtiments publics n’étaient pas imposés non plus.

Cet impôt fut accusé de pousser à la construction de logements insalubres, avec de très petites ouvertures, donc sombres et mal aérés, et il conduisit à la condamnation de nombreuses ouvertures, ainsi qu'à la destruction, par les propriétaires eux mêmes, des meneaux qui partageaient certaines fenêtres en quatre, ce qui augmentait substantiellement l'impôt. Étaient aussi construites des fausses-fenêtres, sans ouverture pour échapper à l'impôt, avec parfois des dessins en trompe l'œil.

Comme il conduisait à une double taxation avec l'impôt sur le foncier bâti, qu’il était d’un faible rapport (60 millions de francs français par an à sa suppression), il faisait l'objet de dispenses pendant 10 ans pour les habitats sociaux (H.B.M) depuis le début du siècle, et sous l'influence des hygiénistes, sa suppression fut obtenue en 1926.

Impôts sur les portes et fenetres, fallait quand même y penser. Bientôt, impots sur les pipiroom.

Répondre

Salut moicmoi, oui, les indemnités maladies sont imposés, c'était M.Barre qui avait instauré ça. Donc, ça date.

Répondre

En cherchant bien, on doit trouver des secteurs qui échappent, pour l’instant, à l’impôt. Les indemnités maladie , et accident du travail ? C’est imposé ou pas ? Et puis, on peut encore augmenter les taxes sur le tabac, sur l’alcool, les jeux, les carburants, doubler le parc des radars, rétablir la vignette auto…..… Vous faites pas de mouron, les gars. Il y a encore de la marge à la hausse.
Vous ne voudriez quand même pas que l’on vire les ¾ des politiciens ? Ou qu’on les jette sur la paille en rabotant leurs avantages ?....
En répondant oui à ces deux questions, vous ne seriez taxés (encore ! ) d’incivisme.

Répondre

Salut "jipes", le seul problème, c'est qu'en France on est pratiquement imposé sur tout et même sur n'importe quoi. Quand on aura supprimé un paquet d'hommes (je dirais plutôt des fainéants)politique, on pourra baisser et même supprimer pas mal d'impots. Mais, les politiques préfèrent créer des impots que supprimer beaucoup de leurs avantages et postes.

Répondre

oui vraiment des bons a rien

Répondre

En Suisse, depuis plusieurs décennies, les allocations familiales sont imposées. Et on arrive quand même à vivre avec ça.

Répondre

Il faudraiteffectivement mieux ne pas distribuer d'allocations aux personnes aisées, je ne comprends qu'un Carlos Ghon ait des allocations, que de taxer les allocations. Mais les gouvernements semblent préférer ce système. a France ne sait créer que de l'impôt et des taxes. Sont d'une nullité tous ces politicards de m......

Répondre

Evidemment, autant laisser des possibilités de fraude en versant puis en réclamanr un impot... Pauvre France

Répondre

La non imposition des allocations familiales vit sans doute ses dernières
heures après la sortie de la Cour des Comptes à ce sujet. La Cour a lancé le
sujet et le gouvernement n'a pas tardé à embrayer.

Le ministre de l'économie et des finances, Pierre Moscovici, a indiqué qu'il
avait commandé une mission d'expert sur ce point. Nous serons donc rapidement
fixés.

En ces temps de disette budgétaire et alors que la moindre économie de
dépenses n'a pas encore pointé son nez, il y a fort à parier que les allocations
familiales vont être imposables à court terme.

Au lieu de distribuer puis de reprendre avec l'impôt, l'Etat devrait plutôt
ne pas distribuer ou bien conditionner les allocations aux ressources tant qu'à
les réformer. Il ne semble pas prendre ce chemin et c'est la taxe qui devrait
être privilégiée.

© www.abcbourse.com

Répondre