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Depuis l'abandon de son objectif irréaliste d'une croissance de 0,8 % en
France en 2013, le gouvernement n'a pas encore soumis à Bruxelles ses nouvelles
prévisions économiques. Néanmoins, quelques petites phrases commencent à nous
donner l'ordre de grandeur qui sera retenu.
En effet, Pierre Moscovici,
le ministre de l'économie, vient de déclarer " je crains qu'on ne soit pas trop
loin des prévisions de la commission européenne qui dit 0,1 %". Pas encore la
thèse officielle mais on s'en approche grandement car le principal intéressé est
en première ligne pour élaborer les prévisions de croissance. On s'acheminerait
donc dans cette hypothèse sur une quasi stabilité de l'économie nationale ce qui
ne sera pas sans poser quelques problèmes sur les finances publiques et donc les
déficits.
Dans la foulée, le ministre de l'économie a indiqué que la
croissance devrait reprendre ici la fin de l'année 2013 et il anticipe une nette
accélération, à l'image des prévisions de la commission européenne qui table sur
un PIB en progression de 1,2 % en 2014. Des prévisions dont se demande bien sur
quoi elles sont basées pour matérialiser aujourd'hui un redressement économique
d'ici la fin de l'année ?
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