Hausse de 5% des prix de l'électricité de 1er août
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Vos jambes sont inactives sous le bureau ?
Alors, enfilez votre short et votre maillot et installez-vous sur le vélo (à gauche) pour alimenter vos petits jouets (à droite) et pour éviter l'ennui en tournant les jambes, vous avez la possibilité de visionner un film: "Soleil vert" par exemple.
Si votre consommation électrique est importante, une piqûre dans le cul fera l'affaire...
Alors, enfilez votre short et votre maillot et installez-vous sur le vélo (à gauche) pour alimenter vos petits jouets (à droite) et pour éviter l'ennui en tournant les jambes, vous avez la possibilité de visionner un film: "Soleil vert" par exemple.
Si votre consommation électrique est importante, une piqûre dans le cul fera l'affaire...
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j'ai écouté jacques Attali l'autre jour sur BFM, il parlait de ses rapports remis déjà à plusieurs présidents, apparemment ils sont tous tombés dans les oubliettes.
Dommage car il avait des idées intéressantes (style suppression d'une bonne partie des députés,
interdiction de plusieurs mandats, remaniement de toute la partie administrative, doublons, etc.) enfin tout ce qu'il faudrait pour faire des économies.
A ce sujet nous sommes dans le néant, il ne faut surtout pas toucher aux biens de nos supers élus ; on continue de taxer les petits, c'est mieux, jusqu'au jour ou ...........cela va faire TILT.
Dommage car il avait des idées intéressantes (style suppression d'une bonne partie des députés,
interdiction de plusieurs mandats, remaniement de toute la partie administrative, doublons, etc.) enfin tout ce qu'il faudrait pour faire des économies.
A ce sujet nous sommes dans le néant, il ne faut surtout pas toucher aux biens de nos supers élus ; on continue de taxer les petits, c'est mieux, jusqu'au jour ou ...........cela va faire TILT.
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ah c'est sur
j'essaye de prendre les choses en rigolant sinon je n'ai qu'une envie c'est d'exploser mais ils ne comprendraient rien en haut
alors je prend mon énergie à "informer" et trader.
mais c'est pas tous les jours facile, heureusement que vous êtes là pour me faire rigoler parfois
j'essaye de prendre les choses en rigolant sinon je n'ai qu'une envie c'est d'exploser mais ils ne comprendraient rien en haut
alors je prend mon énergie à "informer" et trader.
mais c'est pas tous les jours facile, heureusement que vous êtes là pour me faire rigoler parfois
Message complété le 09/07/2013 13:26:32 par son auteur.
je précise que ma note de chauffage est de plus en plus difficile à payer aussi
et quand je vois tous ces gros patrons payés grâce à nous, j'ai parfois l'impression que nous sommes revenus en arrière
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Salut colet,
C'est une bonne idée, il faut avoir de l'humour par les temps qui courent.
A+
C'est une bonne idée, il faut avoir de l'humour par les temps qui courent.
A+
Message complété le 09/07/2013 13:26:45 par son auteur.
Eh bien c'est la période des augmentations : le gasoil, l'EDF, le Gaz, les cigarettes, etc. , cela représente un bon paquet de fric tout ça ; mais que font-ils de tout ce fric ?
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t'achètes un gros pull bien chaud, de bonnes chaussettes.
et tu t'occupe de ton voisin ou ta voisine de canapé !
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Oui c'est une possibilité colet mais après .....
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si t'as la chance d'avoir une maison, il reste la cheminée et l'isolation renforcée
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t'aura beau essayer de baisser ta consommation d'énergie si les tarifs ne cesse d'augmenter tu ne pourras pas réussir a baisser ta note.
arriver a un moment donner ,mois après mois , augmentation après augmentation ,ton thermostat c'est comme ta ceinture tu ne pourras pas aller plus loin quand tu auras atteint le dernier cran ou le maximum des minimums .
arriver a un moment donner ,mois après mois , augmentation après augmentation ,ton thermostat c'est comme ta ceinture tu ne pourras pas aller plus loin quand tu auras atteint le dernier cran ou le maximum des minimums .
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Bonjour,
Les prix ont bien flamber comme attendu. Enfin, cette hausse de 5% ne va certainement pas s'arrêter d'après les informations de CRE et des médias. Les coûts du nucléaire et les taxes d'EDF semblent se répercuter dans les prix...
Dans ce contexte les économies d'énergie deviennent indispensables. Pour vous informer, le site www.VosEconomiesDenergie.fr peut vous aider.
Les prix ont bien flamber comme attendu. Enfin, cette hausse de 5% ne va certainement pas s'arrêter d'après les informations de CRE et des médias. Les coûts du nucléaire et les taxes d'EDF semblent se répercuter dans les prix...
Dans ce contexte les économies d'énergie deviennent indispensables. Pour vous informer, le site www.VosEconomiesDenergie.fr peut vous aider.
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Mardi 12 février, la Cour des comptes rendra public son très attendu rapport annuel. Il accorde une place particulière à EDF et à sa filiale de distribution d'électricité, ERDF. Tout en évitant les commentaires au vitriol dont ils usent parfois, les "sages" de la rue Cambon mettent en évidence les largesses dont a fait preuve le groupe vis-à-vis de ses salariés et de ses dirigeants ces dernières années, ainsi que la nécessité de rationaliser les relations entre les collectivités locales et ERDF.
Une politique salariale généreuse Au cours de la période passée au crible (2005-2010), les agents d'EDF ont vu leur rémunération croître de 3 % à 4 % par an. Un rythme supérieur à celui enregistré par les groupes industriels auxquels se compare la société (environ + 2,6 %). Supérieur aussi aux augmentations beaucoup plus modérées d'autres entreprises publiques comme La Poste ou la SNCF. A son arrivée en 2009, le PDG, Henri Proglio, avait accordé au personnel une hausse de plus de 4 %, une façon de faire la paix avec les salariés, alors qu'une grève assez longue venait de coûter plusieurs centaines de millions d'euros à l'entreprise.
Pour répondre à la Cour, EDF met en avant plusieurs points. D'une part, cette générosité tenait à la nécessité de faire accepter aux salariés les changements qu'ils avaient vécus en quelques années. D'établissement public, EDF s'est muée en une société cotée, très présente à l'international. Ce basculement mené à bien, la politique salariale est redevenue plus stricte. Cette année, les augmentations seront limitées à 2,95 %, la plus faible hausse de ces dix dernières années. D'autre part, le groupe souligne - et c'est un point d'accord avec les "sages" - que sa politique obéit à un cadre contraint puisqu'une partie de la rémunération des agents évolue automatiquement.
Au-delà de la politique salariale, la Cour pointe à nouveau les avantages sociaux spécifiques au personnel des industries électriques et gazières, qui "représentent des montants importants". C'est en particulier le cas du "tarif agent" : le personnel paie son courant à environ 10 % du prix public. Le coût de cette mesure (129 millions d'euros en 2010 pour les 36 000 salariés d'ERDF) est "majoritairement pris en charge par le consommateur final d'électricité", note la Cour. Sensible politiquement, une réforme de ces avantages avait été initiée sous le précédent gouvernement, mais n'avait pas abouti.
Rémunérations des dirigeants, le temps de l'accalmie C'est sans doute le chapitre le plus sensible. Là aussi, la politique a été généreuse, relève la Cour.
Entre 2005 et 2010, la rémunération des différents PDG d'EDF a plus que doublé. Les hausses octroyées à Pierre Gadonneix, puis surtout le salaire d'Henri Proglio à son arrivée avaient d'ailleurs nourri la polémique.
Cependant, les arguments de défense de l'entreprise ont été entendus. D'une part, les dirigeants de l'électricien ne bénéficient ni de stock-options, ni de retraites chapeaux, ni de retraites complémentaires. D'autre part, tous les autres avantages périphériques dont ont pu jouir les plus hauts cadres - les indemnités de logement par exemple - ont été supprimés. Enfin, les salaires des mandataires sociaux ont été nettement revus à la baisse à la suite du décret pris à l'été 2012 et limitant à 450 000 euros brut par an la rémunération des dirigeants d'entreprises publiques. Henri Proglio a ainsi vu le montant qu'il touche divisé par trois.
Liaisons dangereuses avec les collectivités locales La Cour a aussi examiné le cas d'ERDF, la filiale d'EDF responsable du réseau de moyenne et basse tension. Le système est particulier : ce sont les collectivités locales qui sont propriétaires de ce réseau et qui le confient en concession. Un peu comme pour l'eau. Sauf qu'elles ne peuvent pas mettre ERDF en concurrence, ni négocier le prix, fixé au niveau national.
Le rapport montre les limites de ce dispositif. Notamment le déséquilibre entre ERDF d'un côté, et les 736 villes, départements, etc., concernés, de l'autre. "Cet éparpillement place les autorités concédantes dans une situation de faiblesse vis-à-vis du concessionnaire" qui dispose, lui, d'un monopole, note la Cour. Cet éclatement pose aussi un problème de coordination des investissements, dont certains sont réalisés par ERDF, d'autres par les collectivités. Faute de pilote unique, les projets réalisés ne sont pas toujours les plus prioritaires pour éviter les coupures. Ainsi, "50 % des investissements sont consacrés aux réseaux en basse tension, alors que la majorité des incidents provient du réseau moyenne tension".
La Cour souligne aussi la dégradation de la qualité du service rendu par ERDF depuis 2000, fruit d'années de sous-investissement. De 50 minutes cette année-là, le temps de coupure moyen est monté à 86 minutes en 2009, avant de revenir à 71 minutes en 2011.
Pour redresser la barre, et mettre en place une nouvelle génération de compteurs, de lourds investissements sont nécessaires.
Or, augmenter d'autant les tarifs s'annonce difficile. Les "sages" incitent donc ERDF et les collectivités à commencer par réduire leurs dépenses. Ce qui pourrait passer par "l'ouverture d'une négociation sur le temps de travail des agents d'ERDF et le réexamen de certains avantages sociaux". Ils recommandent aussi à EDF et à l'Etat actionnaire de se montrer moins gourmands en dividendes vis-à-vis d'ERDF, pour que la filiale garde les moyens d'investir.
Anne Eveno et Denis Cosnard
Une politique salariale généreuse Au cours de la période passée au crible (2005-2010), les agents d'EDF ont vu leur rémunération croître de 3 % à 4 % par an. Un rythme supérieur à celui enregistré par les groupes industriels auxquels se compare la société (environ + 2,6 %). Supérieur aussi aux augmentations beaucoup plus modérées d'autres entreprises publiques comme La Poste ou la SNCF. A son arrivée en 2009, le PDG, Henri Proglio, avait accordé au personnel une hausse de plus de 4 %, une façon de faire la paix avec les salariés, alors qu'une grève assez longue venait de coûter plusieurs centaines de millions d'euros à l'entreprise.
Pour répondre à la Cour, EDF met en avant plusieurs points. D'une part, cette générosité tenait à la nécessité de faire accepter aux salariés les changements qu'ils avaient vécus en quelques années. D'établissement public, EDF s'est muée en une société cotée, très présente à l'international. Ce basculement mené à bien, la politique salariale est redevenue plus stricte. Cette année, les augmentations seront limitées à 2,95 %, la plus faible hausse de ces dix dernières années. D'autre part, le groupe souligne - et c'est un point d'accord avec les "sages" - que sa politique obéit à un cadre contraint puisqu'une partie de la rémunération des agents évolue automatiquement.
Au-delà de la politique salariale, la Cour pointe à nouveau les avantages sociaux spécifiques au personnel des industries électriques et gazières, qui "représentent des montants importants". C'est en particulier le cas du "tarif agent" : le personnel paie son courant à environ 10 % du prix public. Le coût de cette mesure (129 millions d'euros en 2010 pour les 36 000 salariés d'ERDF) est "majoritairement pris en charge par le consommateur final d'électricité", note la Cour. Sensible politiquement, une réforme de ces avantages avait été initiée sous le précédent gouvernement, mais n'avait pas abouti.
Rémunérations des dirigeants, le temps de l'accalmie C'est sans doute le chapitre le plus sensible. Là aussi, la politique a été généreuse, relève la Cour.
Entre 2005 et 2010, la rémunération des différents PDG d'EDF a plus que doublé. Les hausses octroyées à Pierre Gadonneix, puis surtout le salaire d'Henri Proglio à son arrivée avaient d'ailleurs nourri la polémique.
Cependant, les arguments de défense de l'entreprise ont été entendus. D'une part, les dirigeants de l'électricien ne bénéficient ni de stock-options, ni de retraites chapeaux, ni de retraites complémentaires. D'autre part, tous les autres avantages périphériques dont ont pu jouir les plus hauts cadres - les indemnités de logement par exemple - ont été supprimés. Enfin, les salaires des mandataires sociaux ont été nettement revus à la baisse à la suite du décret pris à l'été 2012 et limitant à 450 000 euros brut par an la rémunération des dirigeants d'entreprises publiques. Henri Proglio a ainsi vu le montant qu'il touche divisé par trois.
Liaisons dangereuses avec les collectivités locales La Cour a aussi examiné le cas d'ERDF, la filiale d'EDF responsable du réseau de moyenne et basse tension. Le système est particulier : ce sont les collectivités locales qui sont propriétaires de ce réseau et qui le confient en concession. Un peu comme pour l'eau. Sauf qu'elles ne peuvent pas mettre ERDF en concurrence, ni négocier le prix, fixé au niveau national.
Le rapport montre les limites de ce dispositif. Notamment le déséquilibre entre ERDF d'un côté, et les 736 villes, départements, etc., concernés, de l'autre. "Cet éparpillement place les autorités concédantes dans une situation de faiblesse vis-à-vis du concessionnaire" qui dispose, lui, d'un monopole, note la Cour. Cet éclatement pose aussi un problème de coordination des investissements, dont certains sont réalisés par ERDF, d'autres par les collectivités. Faute de pilote unique, les projets réalisés ne sont pas toujours les plus prioritaires pour éviter les coupures. Ainsi, "50 % des investissements sont consacrés aux réseaux en basse tension, alors que la majorité des incidents provient du réseau moyenne tension".
La Cour souligne aussi la dégradation de la qualité du service rendu par ERDF depuis 2000, fruit d'années de sous-investissement. De 50 minutes cette année-là, le temps de coupure moyen est monté à 86 minutes en 2009, avant de revenir à 71 minutes en 2011.
Pour redresser la barre, et mettre en place une nouvelle génération de compteurs, de lourds investissements sont nécessaires.
Or, augmenter d'autant les tarifs s'annonce difficile. Les "sages" incitent donc ERDF et les collectivités à commencer par réduire leurs dépenses. Ce qui pourrait passer par "l'ouverture d'une négociation sur le temps de travail des agents d'ERDF et le réexamen de certains avantages sociaux". Ils recommandent aussi à EDF et à l'Etat actionnaire de se montrer moins gourmands en dividendes vis-à-vis d'ERDF, pour que la filiale garde les moyens d'investir.
Anne Eveno et Denis Cosnard
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et pourquoi EDF ne ferait pas comme les autres en se serrant la ceinture, et en commençant par les dotations Comité d'entreprise ?
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Encore un mélange des genres :
l'Etat doit se préoccuper de la qualité devie des moins défavorisés , pour celà il y a les impôts , de même pour la qualité de vie en général , énergie non poluante.
En fait les hausses E D F sont essentiellement des impôts déguisés .
l'Etat doit se préoccuper de la qualité devie des moins défavorisés , pour celà il y a les impôts , de même pour la qualité de vie en général , énergie non poluante.
En fait les hausses E D F sont essentiellement des impôts déguisés .
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Encore un mélange des genres :
l'Etat doit se préoccuper de la qualité devie des moins défavorisés , pour celà il y a les impôts , de même pour la qualité de vie en général , énergie non poluante.
En fait les hausses E D F sont essentiellement des impôts déguisés .
l'Etat doit se préoccuper de la qualité devie des moins défavorisés , pour celà il y a les impôts , de même pour la qualité de vie en général , énergie non poluante.
En fait les hausses E D F sont essentiellement des impôts déguisés .
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Le gouvernement vient de trancher pour la hausse des prix de l'électricité
qui doit intervenir le 1er août prochain et c'est un bond de +5% qui attend les
consommateurs, soit la plus forte hausse de ces dix dernières années.
Dans un
an, le 1er août 2014, une autre hausse de 5% interviendra sur les tarifs de
l'électricité.
La Commission de Régulation de l'Energie (CRE) avait recommandé il y a
quelques semaines une hausse d'au moins 6,8% afin de couvrir les couts d'EDF et
rattraper les hausses insuffisantes des années précédentes.
Dans le même temps, l'Etat a décidé d'abaisser légèrement le tarif des petits
abonnements (3 et 6 kVa) pour mieux faire passer la pilule.
© www.abcbourse.com
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Suivez les marchés avec des outils de pros !