Bonsoir,
Rien de nouveau sous le soleil.
Pendant les cinquante premières années de ma vie, j'ai vécu sur la partie française d'un village franco-suisse partagé en son milieu par une rivière. Dans ce village, hormis les administrations communales, les écoles, la douane et la police, tout y était en commun (une seule église, un seul cimetière, une fanfare pour les deux villages, une seule équipe de foot-ball, etc.).
Pourtant, dès le plus jeune âge naissaient de grandes différences (élocution, maintien, etc.).
Et cela se remarquait surtout (plus tard), lors des rencontres entre "bourgeois".
D'un côté, l'arrogance, la sûreté et la facilité d'expression des bourgeois français, de l'autre la paysannerie bourgeoise helvétique que les français se gardaient d'écraser tant ils avaient besoin de tirer profit de la richesse sise sur le sol suisse.
Et cette différence se faisait aussi remarquer aussi bien dans la fanfare que dans l'équipe de football.
Aussi, comme je l'ai dit en préambule, rien de nouveau sous le soleil.
A présent, depuis une quinzaine d'années, j'ai quitté la Gaule pour l'Helvétie. On y vit plus tranquillement mais j'éprouve souvent un peu de nostalgie pour ce passé pas si loin que ça.
Rien de nouveau sous le soleil.
Pendant les cinquante premières années de ma vie, j'ai vécu sur la partie française d'un village franco-suisse partagé en son milieu par une rivière. Dans ce village, hormis les administrations communales, les écoles, la douane et la police, tout y était en commun (une seule église, un seul cimetière, une fanfare pour les deux villages, une seule équipe de foot-ball, etc.).
Pourtant, dès le plus jeune âge naissaient de grandes différences (élocution, maintien, etc.).
Et cela se remarquait surtout (plus tard), lors des rencontres entre "bourgeois".
D'un côté, l'arrogance, la sûreté et la facilité d'expression des bourgeois français, de l'autre la paysannerie bourgeoise helvétique que les français se gardaient d'écraser tant ils avaient besoin de tirer profit de la richesse sise sur le sol suisse.
Et cette différence se faisait aussi remarquer aussi bien dans la fanfare que dans l'équipe de football.
Aussi, comme je l'ai dit en préambule, rien de nouveau sous le soleil.
A présent, depuis une quinzaine d'années, j'ai quitté la Gaule pour l'Helvétie. On y vit plus tranquillement mais j'éprouve souvent un peu de nostalgie pour ce passé pas si loin que ça.
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C'est très bon à la santé "un petit suisse" mdr.
Message complété le 25/07/2013 21:06:11 par son auteur.
Faute de plaisanterie, on doit vraiment passer pour des cons avec nos minables de politiciens.
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Encore heureux que nos parlementaires aient fait des hautes études . C’est ça, l’élite française ? Qu’est-ce que ce serait s’ils s’étaient arrêtés à Mat(ernelle) Sup ?
Allez savoir….ce serait peut-être mieux. Ils seraient obligés de réfléchir avant de sortir des conneries.
Avec un article comme ça, paru dans la presse, aux yeux des Helvètes tous les français doivent passer pour des personnages vaniteux, imbus de leur personne, ou hyper-égocentriques (c’est comme vous voudrez)….et cons à la fois. Merci m’sieurs/dames.
Allez savoir….ce serait peut-être mieux. Ils seraient obligés de réfléchir avant de sortir des conneries.
Avec un article comme ça, paru dans la presse, aux yeux des Helvètes tous les français doivent passer pour des personnages vaniteux, imbus de leur personne, ou hyper-égocentriques (c’est comme vous voudrez)….et cons à la fois. Merci m’sieurs/dames.
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