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Le 16/10/2011 : François Hollande dit vouloir "réenchanter" le rêve fr



colet colet
07/11/2013 12:45:27
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pfff
il y a les conseillers municipaux, sauf que s'ils perdent la majorité dans des grandes villes, ils perdent la majorité des postes ,
ils iront grossir le chômage
  
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nathanael451 nathanael451
07/11/2013 12:34:19
0
Pour les municipales aussi.

Le phénomène débute mais combien d'élus socialiste vont vouloir sauver leur peau en se barrant.
  
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colet colet
07/11/2013 12:29:07
0
j'avais bien compris, et c'est pour cela que j'ai remis aussi le texte

on comprend mieux l'énervement extrême des certains qui est à la hauteur du désenchantement
mais çà je ne cesse de le dire depuis des mois, et je m'en suis pris plein la tête.

et tu verras pour les Européennes, il va y en avoir des grosses surprises ET pas seulement en France
  
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nathanael451 nathanael451
07/11/2013 12:09:11
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C'est pour celà que j'ai remis ce texte.
  
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colet colet
07/11/2013 11:52:14
0
Voici un extrait du débat Sarkozy/Hollande
à mettre en parallèle avec la situation en Bretagne, et ce qui se passe autour du Mme Taubira en ce moment :

"
Nicolas SARKOZY
Vous savez Monsieur Hollande, j’ai une preuve à vous donner de cet esprit de rassemblement qui m’a animé pendant cinq ans : c’est qu’il n’y a jamais eu de violence pendant les cinq ans de mon quinquennat, que je n’ai jamais été amené à retirer un texte qui aurait pu blesser ou créer un climat de guerre civile dans notre pays. Je suis depuis bien longtemps le seul président de la République qui n’ait pas eu à faire face à des manifestations de masse qui ont obligé à retirer – souvenez-vous de Monsieur Mitterrand et de l’école libre : des millions de gens dans la rue et Monsieur Mitterrand, avec sagesse d’ailleurs, qui retire. Souvenez-vous du CIP, du CPE, de tant d’événements de cette nature. Souvenez-vous toutes ces réformes avortées dans l’université, tant de ministres ont démissionné. Pendant cinq ans, je n’ai eu qu’une seule idée en tête : qu’il n’y ait pas de violence. Et y compris pour une réforme extrêmement difficile, celle des retraites, il y a eu des manifestations – elles se sont passées dans le calme. Personne ne s’est senti humilié. Il n’y a pas eu de division, il n’y a pas eu d’émeutes, il n’y a pas eu de violence. La France, dans ces quatre années de crise, a avancé dans un mouvement de réformes continues sans aucun blocage, y compris pour le service minimum, y compris pour l’autonomie des universités. Je vais vous dire une chose, Monsieur Hollande : c’est une fierté. Il y a ceux qui parlent de rassemblement et puis il y a ceux l’ont fait.

Laurence FERRARI
Monsieur Hollande, très rapidement.

François HOLLANDE
Je pense que ce débat est intéressant, même si nous arriverons aux sujets qui vont maintenant être les nôtres...

Laurence FERRARI
Et ceux des Français...

François HOLLANDE
... et qui sont ceux des Français. Mais là nous sommes sur un point important de votre bilan. Vous dites qu’il n’y a pas eu de violences. Heureusement ! Et cela tient aussi aux organisations syndicales, à tous ces mouvements qui se sont créés, à un certain nombre de passions qui ont pu être évitées, à de nombreux élus locaux, j’allais dire à ces corps intermédiaires qui ont permis d’apaiser, de réconcilier et d’éviter qu’il y ait – et ce n’est jamais bon – violence ou irruption de manifestations ou de cortèges qui peuvent dégénérer. Heureusement qu’il y a eu des partenaires sociaux ! Heureusement qu’il y a eu des interlocuteurs ! Et puis par ailleurs, vous nous dites « j’ai assumé un certain nombre de réformes difficiles », mais à quel prix pour les Français ? A quel prix pour les injustices qui ont été creusées, les inégalités qui ont été aggravées ? Et là aussi, c’est aussi parce qu’il y a eu une opposition qui a été capable de dire « attendons, soyons patients, les épreuves viendront, celle du suffrage universel ». Nous avons gagné toutes les élections intermédiaires. Cela n’a pas amené l’opposition à dire qu’elle avait quelque légitimité que ce soit pour prétendre. Mais voilà, si un quinquennat se termine alors qu’il a été heurté et s’il n’y a pas eu, comme vous dites, de violences, je pense que le mérite en revient à toute la société française.

Nicolas SARKOZY
Je n’ai pas évidemment le seul mérite, mais je ne peux pas être le seul coupable non plus, Monsieur Hollande. Je vous dirai simplement trois exemples pour vous montrer que l’esprit du rassemblement irrigue toute la société française, peut-être à l’exception d’une partie de la Gauche. Quand monsieur Axel Kahn, aujourd’hui, cet après-midi, candidat socialiste en dans le cinquième arrondissement de Paris, compare le rassemblement du Trocadéro d’hier pour la fête du travail au congrès de Nuremberg, est-ce l’esprit de rassemblement ? Avez-vous condamné ce propos profondément choquant ? Et je continue. Quand le syndicat de la magistrature, des magistrats qui s’engagent pour vous soutenir en violation de toutes les règles syndicales, prône une politique judiciaire de laxisme, qui est le contraire de ce qu’attendent les Français, est-ce l’esprit de rassemblement ? Et enfin, quand le leader du premier syndicat français, la CGT, appelle à voter pour le candidat socialiste, en violation de toutes les traditions syndicales, est-ce l’esprit de rassemblement ? Quand on défile derrière le drapeau rouge avec la faucille et le marteau, est-ce que c’est l’esprit de rassemblement ? Et est-ce que vous ne croyez pas que même si on n’est pas de gauche, on a une légitimité à donner son opinion ? Est-ce que vous croyez que c’est l’esprit de rassemblement de donner des leçons de légitimité aux uns comme aux autres ? Est-ce que vous avez entendu un propos d’exclusion ? Quand il y a eu un propos désagréable à l’égard de quelqu’un qui vous est cher, je l’ai condamné à la télévision. Quand on m’a comparé à Franco, à Pétain, à Laval – et pourquoi pas Hitler ? – vous n’avez pas dit un mot.

François HOLLANDE
Ce n’est pas vrai.

Nicolas SARKOZY
Je termine.

François HOLLANDE
Je vous laisse terminer, puisque vous voulez aller plus loin.

Nicolas SARKOZY
Non, je ne veux pas aller plus loin. Je ne veux pas vous manquer de respect. Je dis simplement que dans certains de ses amis tiennent des propos de cette nature, que Madame Aubry me traite de Madoff, 183 ans de prison, et que le leader de la famille ne dit rient, c’est qu’il cautionne. Et quand on cautionne des outrances, c’est qu’on a tort, c’est qu’on n’a pas la force pour les dénoncer.

François HOLLANDE
Monsieur Sarkozy, vous aurez du mal à passer pour une victime.

"
  
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Aubel Aubel
07/11/2013 11:44:23
0
Quand on lit ça 2 ans plus tard, ça fait vraiment peur. Des promesses si immenses pour en fin de compte rien du tout de bon... On est en droit de sérieusement se questionner sur le système politique actuel, qui consiste en un jeu de celui qui fera le plus de promesses. C'est à se demander si le but des candidats à un poste politique est vraiment de changer les choses, ou simplement de se faire élire.
  
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colet colet
07/11/2013 11:41:53
0
"
Je dois être à la hauteur des attentes des Français, qui n'en peuvent plus de la politique de Nicolas Sarkozy.
"

c'était son seul programme : virer Sarkozy
  
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nathanael451 nathanael451
07/11/2013 11:24:51
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Je cite : "Je mesure la tâche qui m'attend. Elle est lourde, elle est grave".

Avec du recul : la tâche est lourde et grave effectivement (devinez qui est la tâche ?).
  
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nathanael451 nathanael451
07/11/2013 11:21:20
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Le 16/10/2011 : François Hollande dit vouloir "réenchanter" le rêve français


François Hollande a déclaré dimanche soir prendre acte "avec fierté et avec responsabilité" de sa victoire à la primaire socialiste, dont il entend faire une rampe de lancement pour la présidentielle de 2012 afin de "réenchanter le rêve français".

Selon des résultats presque définitifs diffusés par le PS, François Hollande est donné vainqueur avec 56,38% des voix, contre 43,62% pour sa rivale Martine Aubry.

"Ma victoire à la primaire socialiste me confère la force et la légitimité pour préparer le grand rendez-vous de la présidentielle", a-t-il déclaré dans un discours solennel prononcé au siège du Parti socialiste.

"Je mesure la tâche qui m'attend. Elle est lourde, elle est grave", a-t-il ajouté. "Je dois être à la hauteur des attentes des Français, qui n'en peuvent plus de la politique de Nicolas Sarkozy."

"C'est le rêve français que je veux réenchanter, celui qui a permis à des générations, durant toute la République, de croire à l'égalité et au progrès. Et c'est pourquoi j'ai fait de l'école de la République la grande priorité de ce qui pourra être demain mon prochain quinquennat," a-t-il annoncé.

"Je veux être le candidat du respect, du dialogue et de la démocratie, le candidat qui donne à voir une autre présidence de la République", a-t-il ajouté.

Natalie Huet, édité par Yves Clarisse
  
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