Bjr mr lamoueste
Je respecte votre position d'autant plus que je ne parle pas anglais, du tout;
apparemment vous n'avez, pas plus que moi, voulu cette europe qu'on nous tricote maille par maille.
aujourd'hui nous y sommes. qu'avons nous comme solution?
Je respecte votre position d'autant plus que je ne parle pas anglais, du tout;
apparemment vous n'avez, pas plus que moi, voulu cette europe qu'on nous tricote maille par maille.
aujourd'hui nous y sommes. qu'avons nous comme solution?
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Ouvrir des débats représente une bonne idée . Mais poser les questions préalables en est une autre .
On sort de l'euro , voire de l'Europe : que se passe -t-il ensuite , à votre avis ?
Là , on est prié de soulever l'ensemble des problématiques liées à cet acte et pas uniquement les quelques unes à priori positives ....
On sort de l'euro , voire de l'Europe : que se passe -t-il ensuite , à votre avis ?
Là , on est prié de soulever l'ensemble des problématiques liées à cet acte et pas uniquement les quelques unes à priori positives ....
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@Barge
"l'europe des peuples, (des gens qui sont capables de se comprendre et qui parlent la même langue et qui oeuvrent ensemble)?"
Je sais pas si cela vous a echappé mais les differentes populations d'Europe ne parlent pas la meme langue :
si vous voulez imposer une langue commune en Europe, ca sera l'anglais...
Sans moi !
"l'europe des peuples, (des gens qui sont capables de se comprendre et qui parlent la même langue et qui oeuvrent ensemble)?"
Je sais pas si cela vous a echappé mais les differentes populations d'Europe ne parlent pas la meme langue :
si vous voulez imposer une langue commune en Europe, ca sera l'anglais...
Sans moi !
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l'euro n'est qu'une monnaie : une base d'échange.
la question est quelle europe voulons nous:
l'europe des marchés qui est en construction a vitesse accélérée?
l'europe des peuples, (des gens qui sont capables de se comprendre et qui parlent la même langue et qui oeuvrent ensemble)?
Si nos politiques continuent a ne pas entendre les peuples ils nous conduisent certainement vers l'europe du marasme.
la question est quelle europe voulons nous:
l'europe des marchés qui est en construction a vitesse accélérée?
l'europe des peuples, (des gens qui sont capables de se comprendre et qui parlent la même langue et qui oeuvrent ensemble)?
Si nos politiques continuent a ne pas entendre les peuples ils nous conduisent certainement vers l'europe du marasme.
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heu
l'inflation dans les années 80 est montée bien haute
t'imagine, t'empruntais à un taux et quelques années après tu remboursais bien moins grâce à l'inflation, enfin, çà c'était au début parce qu'à la fin, c'était le contraire.
en période d'inflation, réfléchis , t'a intérêt à acheter aujourd'hui parce que demain ce sera plus cher de 1% par mois !
Dans tous les cas, ton fric n'a plus la même valeur.
donc c'est comme cela que tu relances la consommation de façon rapide. C'est pour cela que certains pensent qu'il est imbécile de retenir l'inflation et dangereux de jouer parfois aux apprentis sorciers comme cela.
Ils pensent qu'il faut laisser l'économie s'ajuster naturellement, et que ce n'est pas en figeant tout vers le bas qu'on s'en sortira.
En effet, de tous temps la valeur des choses varient c'est la loi de l'offre et de la demande.
Sauf que sans offre et sans demande, c'est le point MORT.
l'inflation dans les années 80 est montée bien haute
t'imagine, t'empruntais à un taux et quelques années après tu remboursais bien moins grâce à l'inflation, enfin, çà c'était au début parce qu'à la fin, c'était le contraire.
en période d'inflation, réfléchis , t'a intérêt à acheter aujourd'hui parce que demain ce sera plus cher de 1% par mois !
Dans tous les cas, ton fric n'a plus la même valeur.
donc c'est comme cela que tu relances la consommation de façon rapide. C'est pour cela que certains pensent qu'il est imbécile de retenir l'inflation et dangereux de jouer parfois aux apprentis sorciers comme cela.
Ils pensent qu'il faut laisser l'économie s'ajuster naturellement, et que ce n'est pas en figeant tout vers le bas qu'on s'en sortira.
En effet, de tous temps la valeur des choses varient c'est la loi de l'offre et de la demande.
Sauf que sans offre et sans demande, c'est le point MORT.
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Bonjour à tous,
" 4 % d'inflation annuelle" cela ne signifie-t-il pas également 4% de hausse des salaires?
S'il en est ainsi, n'augmenterait-on pas aussi le prix des produits vendus, et par conséquence une baisse de la compétitivité des produits fabriqués en France?
Quelque chose m'échappe-t-il pour penser ainsi? Ou faudrait-il travailler plus pour gagner moins?
Si + d'inflation est la solution, pourquoi a-t-on chercher à la limiter à partir des années 80 lorsqu'elle était à 13%?
" 4 % d'inflation annuelle" cela ne signifie-t-il pas également 4% de hausse des salaires?
S'il en est ainsi, n'augmenterait-on pas aussi le prix des produits vendus, et par conséquence une baisse de la compétitivité des produits fabriqués en France?
Quelque chose m'échappe-t-il pour penser ainsi? Ou faudrait-il travailler plus pour gagner moins?
Si + d'inflation est la solution, pourquoi a-t-on chercher à la limiter à partir des années 80 lorsqu'elle était à 13%?
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pour moi il ne reste que 2 solutions :
ou l'Europe est transformée en grand pays, ce qui veut dire une harmonisation TOTALE sur TOUS LES PAYS de la justice, fiscalité, éducation, etc... ce qui prendrait des années
ou l'Europe est éclatée, y reste que ceux qui seront du même "niveau".
pour la première solutions, faut pas être au pied du mur , car cela prendrait de nombreuses années. Ceal n'a pas été fait depuis 1992 (Maastricht)
alors , ou c'est la marche forcée ou c'est l'éclatement
en ce moment nous nageons entre ces 2 eaux troublées.
et un bon nombre d'européens lors de la dernière consultation avaient voté STOP et on a eu ENCORE.
On sait où nous en sommes, les 2 pieds dedans. Le coq français continue à y chanter, jusqu'au cou , malgré les mises en garde des voisins.
Bref, nous sommes dans la ferme europe, et comprenez le bien à double sens, mais quel sera celui qui sera choisi dans quelques jours, là je vous ai toujours donné mon avis, tant sur les municipales que les européennes.
perso AUCUNE SURPRISE A VENIR c'est clair.
Maintenant, que feront-ils d'un tel parlement ????
Au moins on pourra compter les points !
ou l'Europe est transformée en grand pays, ce qui veut dire une harmonisation TOTALE sur TOUS LES PAYS de la justice, fiscalité, éducation, etc... ce qui prendrait des années
ou l'Europe est éclatée, y reste que ceux qui seront du même "niveau".
pour la première solutions, faut pas être au pied du mur , car cela prendrait de nombreuses années. Ceal n'a pas été fait depuis 1992 (Maastricht)
alors , ou c'est la marche forcée ou c'est l'éclatement
en ce moment nous nageons entre ces 2 eaux troublées.
et un bon nombre d'européens lors de la dernière consultation avaient voté STOP et on a eu ENCORE.
On sait où nous en sommes, les 2 pieds dedans. Le coq français continue à y chanter, jusqu'au cou , malgré les mises en garde des voisins.
Bref, nous sommes dans la ferme europe, et comprenez le bien à double sens, mais quel sera celui qui sera choisi dans quelques jours, là je vous ai toujours donné mon avis, tant sur les municipales que les européennes.
perso AUCUNE SURPRISE A VENIR c'est clair.
Maintenant, que feront-ils d'un tel parlement ????
Au moins on pourra compter les points !
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En finir avec l’euro pour sauver l’Europe: quatre journalistes brisent le tabou.
L’euro est cliniquement mort. Pour sauver l’Europe, il faut revenir aux monnaies nationales, réunies au sein d’une monnaie commune. C’est la thèse de Casser l’euro, ouvrage écrit par quatre journalistes.
Il ne s’agit en aucun cas d’un « réflexe populiste », se défendent les auteurs, mais le fruit d’un travail journalistique quotidien au contact des acteurs de ce système. C’est le constat, après cinq années d’une crise sans précédent, que l’euro, tel qu’il existe aujourd’hui, est « cliniquement mort ». « Plus d’une décennie après le lancement de l’euro, la convergence tant attendue des économies n’a pas eu lieu, les modèles sociaux ont été détricotés et la spéculation s’est déchaînée », écrivent les quatre journalistes.
Et de dénoncer tout à tour un euro « made in Germany » (l’Allemagne a un droit d’accès sans restrictions tarifaires à des marchés voisins et un taux de change compétitif), destructeur de croissance (historique des performances à l’appui), machine à fabriquer de l’hétérogénéité (dopage de la demande intérieure au Sud, choc de compétitivité au Nord), instrument de dumping social (devant l’impossibilité de dévaluer, les seules stratégies sont la baisse de la fiscalité ou la baisse des salaires), ou encore l’euro « cheval de Troie de la rigueur ». Les auteurs écornent aussi au passage la Banque centrale européenne (BCE), « dogmatique et déstabilisante ».
Le livre évoque aussi « la vie après le monnaie unique ». Non, la sortie de l’euro ne va pas provoquer le chaos dans les transactions quotidiennes, grâce à la règle du « un pour un » qui consiste à caler, temporairement, l’unité de chaque devise nationale sur l’euro. Non, la dette ne vas pas exploser, car un Etat peut discrétionnairement modifier le libellé de sa dette sans en affecter la valeur nominale (autrement dit, les 2000 milliards d’euros de dette tricolore vaudront 2000 milliards de francs). Non, les marchés ne vont pas se fermer, et même s’ils refusaient de prêter à la France, l’Etat pourrait toujours mobiliser les quelque 3000 milliards d’euros d’actifs financiers dont disposent les Français. Non, l’inflation ne va pas exploser, et qu’on se le dise, 4% d’inflation annuelle permet d’alléger 35 milliards de dette d’un coup.
Ces arguments sont séduisants. Nul doute qu’ils offriront du grain à moudre aux opposants à la monnaie unique. Mais ils restent contestables. Et contestés. « Sortir de l’euro peut être tentant », écrit dans une tribune le journaliste des Echos Guillaume de Calignon. Mais « la sortie de l’euro serait un saut dans l’inconnu, une réaction en chaîne d’événements qui risque de tétaniser les agents économiques, ménages comme entreprises. Sans compter les réactions politiques de nos voisins. Sans l’euro, les Français savent ce qu’ils perdront mais n’ont aucune idée de ce qu’ils gagneront. Les problèmes ne seront pas réglés par un retour en arrière. »
Source: L’Express
L’euro est cliniquement mort. Pour sauver l’Europe, il faut revenir aux monnaies nationales, réunies au sein d’une monnaie commune. C’est la thèse de Casser l’euro, ouvrage écrit par quatre journalistes.
Il ne s’agit en aucun cas d’un « réflexe populiste », se défendent les auteurs, mais le fruit d’un travail journalistique quotidien au contact des acteurs de ce système. C’est le constat, après cinq années d’une crise sans précédent, que l’euro, tel qu’il existe aujourd’hui, est « cliniquement mort ». « Plus d’une décennie après le lancement de l’euro, la convergence tant attendue des économies n’a pas eu lieu, les modèles sociaux ont été détricotés et la spéculation s’est déchaînée », écrivent les quatre journalistes.
Et de dénoncer tout à tour un euro « made in Germany » (l’Allemagne a un droit d’accès sans restrictions tarifaires à des marchés voisins et un taux de change compétitif), destructeur de croissance (historique des performances à l’appui), machine à fabriquer de l’hétérogénéité (dopage de la demande intérieure au Sud, choc de compétitivité au Nord), instrument de dumping social (devant l’impossibilité de dévaluer, les seules stratégies sont la baisse de la fiscalité ou la baisse des salaires), ou encore l’euro « cheval de Troie de la rigueur ». Les auteurs écornent aussi au passage la Banque centrale européenne (BCE), « dogmatique et déstabilisante ».
Le livre évoque aussi « la vie après le monnaie unique ». Non, la sortie de l’euro ne va pas provoquer le chaos dans les transactions quotidiennes, grâce à la règle du « un pour un » qui consiste à caler, temporairement, l’unité de chaque devise nationale sur l’euro. Non, la dette ne vas pas exploser, car un Etat peut discrétionnairement modifier le libellé de sa dette sans en affecter la valeur nominale (autrement dit, les 2000 milliards d’euros de dette tricolore vaudront 2000 milliards de francs). Non, les marchés ne vont pas se fermer, et même s’ils refusaient de prêter à la France, l’Etat pourrait toujours mobiliser les quelque 3000 milliards d’euros d’actifs financiers dont disposent les Français. Non, l’inflation ne va pas exploser, et qu’on se le dise, 4% d’inflation annuelle permet d’alléger 35 milliards de dette d’un coup.
Ces arguments sont séduisants. Nul doute qu’ils offriront du grain à moudre aux opposants à la monnaie unique. Mais ils restent contestables. Et contestés. « Sortir de l’euro peut être tentant », écrit dans une tribune le journaliste des Echos Guillaume de Calignon. Mais « la sortie de l’euro serait un saut dans l’inconnu, une réaction en chaîne d’événements qui risque de tétaniser les agents économiques, ménages comme entreprises. Sans compter les réactions politiques de nos voisins. Sans l’euro, les Français savent ce qu’ils perdront mais n’ont aucune idée de ce qu’ils gagneront. Les problèmes ne seront pas réglés par un retour en arrière. »
Source: L’Express
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moinsse de fotes, sa seré plu phacil a conprendre;
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@real,
Non, faut pas croire que le Franc vaudra 3 fois moins que l'Euro, ça, c'est une idée reçue à 3 Francs 6 sous! N'importe comment, tes économies (si tu en as) seront chypriotées!
En sortant de l'Europe, le nouveau Franc sera juste dévalué de 10 à 15 % par rapport à l'Euro actuel.
Tes houa houa, on s'en fiche.
Non, faut pas croire que le Franc vaudra 3 fois moins que l'Euro, ça, c'est une idée reçue à 3 Francs 6 sous! N'importe comment, tes économies (si tu en as) seront chypriotées!
En sortant de l'Europe, le nouveau Franc sera juste dévalué de 10 à 15 % par rapport à l'Euro actuel.
Tes houa houa, on s'en fiche.
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pour "epsi2008"
l'allemagne a signé ce jour même un salaire minimum à 8.50€ brut de l'heure! L'allemagne va en prendre un coup,à suivre
l'allemagne a signé ce jour même un salaire minimum à 8.50€ brut de l'heure! L'allemagne va en prendre un coup,à suivre
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Depuis longtemps (j'aurais dû dire depuis toujours), je suis pour la sortie de l'Euro.
C'est la seule façon de retrouver notre indépendance et de ne pas subir les contraintes de la bureaucratie bruxelloise.
D'accord avec vous, cela ne nous fera pas sortir de la crise en un coup de baguette magique mais nous devrons repartir sur de nouvelles bases (une VIème République), dégraisser nos administrations, réinventer notre système social et surtout refondre notre fiscalité en éliminant tous les passe-droits qui existent actuellement.
A présent, OK si l'on veut rétablir des accords commerciaux avec l'ensemble de nos partenaires actuels mais cela devra s'arrêter à ça.
Quel Gouvernement osera poser cette question au peuple ?
Faudra t'il attendre l'arrivée au pouvoir d'une candidate ou d'un candidat qui ne sera pas sorti(e) des rangs de l'UMPS ?
C'est la seule façon de retrouver notre indépendance et de ne pas subir les contraintes de la bureaucratie bruxelloise.
D'accord avec vous, cela ne nous fera pas sortir de la crise en un coup de baguette magique mais nous devrons repartir sur de nouvelles bases (une VIème République), dégraisser nos administrations, réinventer notre système social et surtout refondre notre fiscalité en éliminant tous les passe-droits qui existent actuellement.
A présent, OK si l'on veut rétablir des accords commerciaux avec l'ensemble de nos partenaires actuels mais cela devra s'arrêter à ça.
Quel Gouvernement osera poser cette question au peuple ?
Faudra t'il attendre l'arrivée au pouvoir d'une candidate ou d'un candidat qui ne sera pas sorti(e) des rangs de l'UMPS ?
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bonsoir à tous
le retour du franc ce seras sans moi .
votre bonne argent divisé par 3 .
houa ..........
@ plus
le retour du franc ce seras sans moi .
votre bonne argent divisé par 3 .
houa ..........
@ plus
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Augustus
02/04/2014 19:58:00
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Donc on peut choisir ?
J'étais un Euro convaincu , j'ai bien dis j'étais , car il faut ce poser la question qu est ce que l'Europe nous a donné , a par l'austérité !
Fait pas si , fait pas ça ,patati et patata , NON mais quoi ! Il ne faut pas pousser bobonne dans les orties .
Soi disant ça allait favoriser tout les Européennes égalité , pour tous , Ben oui il suffit de regarder autour de sois la pauvreté grandissante de jour en jour ,
Donc je dirais que je regrette un peu le bon temps .
Voilà bonne soirée
J'étais un Euro convaincu , j'ai bien dis j'étais , car il faut ce poser la question qu est ce que l'Europe nous a donné , a par l'austérité !
Fait pas si , fait pas ça ,patati et patata , NON mais quoi ! Il ne faut pas pousser bobonne dans les orties .
Soi disant ça allait favoriser tout les Européennes égalité , pour tous , Ben oui il suffit de regarder autour de sois la pauvreté grandissante de jour en jour ,
Donc je dirais que je regrette un peu le bon temps .
Voilà bonne soirée
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hello
perso je ne pense pas qu'il ne faille faire un parallele entre nous et les allemands parceque il suffit de voir le probléme du smig qui n'existe pas en allemagne dois je vous rappeler que certaines personnes qui travail en allemagne gagnent 3 € de l'heure
peut on faire cela en france???
perso je ne pense pas qu'il ne faille faire un parallele entre nous et les allemands parceque il suffit de voir le probléme du smig qui n'existe pas en allemagne dois je vous rappeler que certaines personnes qui travail en allemagne gagnent 3 € de l'heure
peut on faire cela en france???
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Moi je suis euro-convaincu donc je répond non.
L'euro impose aux États membres une contrainte importante (les fameux 3% de déficit public) mais en serait il vraiment autrement sans l'euro ? On ne peut pas soutenir l'idée selon laquelle la crise budgétaire actuelle n'existerait pas sans l'euro : les agences de notations nous auraient quand même enlevé le triple A, la dette et le déficit public devraient aussi être remboursés. L'euro nous permet même d'emprunter à des taux d'intérêts historiquement bas (et parfois à taux négatif !).
L'italie, l'espagne, la grece, sont défiants vis à vis de l'euro en raison de l'austérité qui leur a été imposé, et je les comprend. Mais, ce n'est pas l'europe qui a creusé leur colossal déficit(comme la france d'ailleurs), ce sont leurs dirigeants! Maintenant il faut en payer le prix et la facilité est de se tourner contre l'europe.
Les allemands eux, ont l'impression d'être arnaqué par l'europe, en raison de leur excellente santé financière (environ 0% de déficit public il me semble) ! Si les allemands arrivent à tenir leur déficit public pourquoi NOUS n'y arriverions nous pas ?
Je suis d'accord pour dire que l'euro(pe) n'est pas parfaite, mais je l'aime bien quand même
L'euro impose aux États membres une contrainte importante (les fameux 3% de déficit public) mais en serait il vraiment autrement sans l'euro ? On ne peut pas soutenir l'idée selon laquelle la crise budgétaire actuelle n'existerait pas sans l'euro : les agences de notations nous auraient quand même enlevé le triple A, la dette et le déficit public devraient aussi être remboursés. L'euro nous permet même d'emprunter à des taux d'intérêts historiquement bas (et parfois à taux négatif !).
L'italie, l'espagne, la grece, sont défiants vis à vis de l'euro en raison de l'austérité qui leur a été imposé, et je les comprend. Mais, ce n'est pas l'europe qui a creusé leur colossal déficit(comme la france d'ailleurs), ce sont leurs dirigeants! Maintenant il faut en payer le prix et la facilité est de se tourner contre l'europe.
Les allemands eux, ont l'impression d'être arnaqué par l'europe, en raison de leur excellente santé financière (environ 0% de déficit public il me semble) ! Si les allemands arrivent à tenir leur déficit public pourquoi NOUS n'y arriverions nous pas ?
Je suis d'accord pour dire que l'euro(pe) n'est pas parfaite, mais je l'aime bien quand même
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Salut Fipuaa,
Là tu as bien dit la vérité, car maintenant on est plus que dans le pétrin, plutôt au fond du gouffre.
Bonne soirée.
Là tu as bien dit la vérité, car maintenant on est plus que dans le pétrin, plutôt au fond du gouffre.
Bonne soirée.
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n'y être jamais rentré nous aurait fait gagné du temps!
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Qui a un avis ?
A l’approche des élections européennes, il est urgent d’ouvrir à nouveau ce débat autour de l’euro. En effet, il est le symbole d’une construction européenne fédéraliste qui accentue la perte de pouvoir des Etats souverains par rapport aux institutions européennes. Il est aussi le symbole d’un échec perçu par tous mais non avoué. Un échec qui cependant étouffe de plus en plus de pays qui s’enfoncent économiquement. Un échec qui provoque de plus en plus de tensions dans l’Union Européenne mais aussi dans les pays avec des crises sociales et politiques répétées. Il est urgent de faire prendre conscience que l’Union Européenne doit changer de cap : laisser plus de liberté aux nations et renforcer la coopération sur des projets concrets plutôt que de s’embourber dans la bureaucratie.
Ouvrons ce débat en France, comme il l’est déjà en Italie, en Espagne, en Grèce voir même en Allemagne. Ce n’est qu’en parlant de ce sujet qu’on sortira du manichéisme et que l’on trouvera des solutions modérées et intermédiaires. Cessons de croire à l’eschatologie des pro-euros sur la sortie de la monnaie unique. Préparons un après-euro raisonnable plutôt que de subir un éclatement catastrophique de la zone euro ! Il en va de la survie de notre continent et de ses nations !
Toutefois, il ne faut pas croire non plus que la sortie de l’euro serait une solution suffisante pour sortir de la crise. La politique menée après la sortie de l’euro se doit d’être raisonnable et cohérente et le débat doit être ouvert sur d’autres sujets (protectionnisme européen, réformes structurelles de l’économie…). Il ne faudra pas céder à des politiques démagogiques qui ruineraient le début de solution qu’est la sortie de l’euro.
Source : Blogactualite
A l’approche des élections européennes, il est urgent d’ouvrir à nouveau ce débat autour de l’euro. En effet, il est le symbole d’une construction européenne fédéraliste qui accentue la perte de pouvoir des Etats souverains par rapport aux institutions européennes. Il est aussi le symbole d’un échec perçu par tous mais non avoué. Un échec qui cependant étouffe de plus en plus de pays qui s’enfoncent économiquement. Un échec qui provoque de plus en plus de tensions dans l’Union Européenne mais aussi dans les pays avec des crises sociales et politiques répétées. Il est urgent de faire prendre conscience que l’Union Européenne doit changer de cap : laisser plus de liberté aux nations et renforcer la coopération sur des projets concrets plutôt que de s’embourber dans la bureaucratie.
Ouvrons ce débat en France, comme il l’est déjà en Italie, en Espagne, en Grèce voir même en Allemagne. Ce n’est qu’en parlant de ce sujet qu’on sortira du manichéisme et que l’on trouvera des solutions modérées et intermédiaires. Cessons de croire à l’eschatologie des pro-euros sur la sortie de la monnaie unique. Préparons un après-euro raisonnable plutôt que de subir un éclatement catastrophique de la zone euro ! Il en va de la survie de notre continent et de ses nations !
Toutefois, il ne faut pas croire non plus que la sortie de l’euro serait une solution suffisante pour sortir de la crise. La politique menée après la sortie de l’euro se doit d’être raisonnable et cohérente et le débat doit être ouvert sur d’autres sujets (protectionnisme européen, réformes structurelles de l’économie…). Il ne faudra pas céder à des politiques démagogiques qui ruineraient le début de solution qu’est la sortie de l’euro.
Source : Blogactualite
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