Bouygues: plonge après son échec sur SFR.

Quelles que soient les raisons de ce projet de cession, la cession de l'activité téléphonie va dégager un trésor, un cash flow qui paiera les années d'investissement du Groupe dans ce secteur.

Cette décision me surprend car son Président, Martin Bouygues a crû très tôt dans la téléphonie et son succès. La concurrence et la guerre des prix sont peut être à l'origine de ce changement de stratégie. Le Groupe a certainement d'autres projets plus rentables dans d'autres domaines l'énergie écologique par exemple où tout reste à faire.

On en saura davantage dans les prochains mois.

En termes de cash flow, il serait intéressant de connaître le solde des flux de trésorerie de cette activité depuis sa création pour apprécier sa rentabilité et son évaluation par le Groupe Bouygues.

Message complété le 08/04/2014 12:32:13 par son auteur.

'Construire l'avenir
C'est notre plus belle aventure'

Cette devise convient bien à la démarche actuelle du Groupe

Message complété le 08/04/2014 12:36:45 par son auteur.

Et en affaires, on a souvent des joueurs de poker... alors attendons la suite et la confirmation de cette rumeur.

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Prévoir , rapidement , une attaque sur les prix sans doute en laison avec FREE , numéricable a payé au prix fort SFR et une hémorragie de clients est une hypothèse jouable.
Il aura le problème des doublons et quoiqu'il en dise ...avant ... des ajustements de personnels pas très bons pour l'image de marque.

Bouygues , si il prend les devants pourrait en bénéfcier

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(CercleFinance.com) - Bouygues plonge de 5,5% à 29,1 euros à Paris et fait donc figure de lanterne rouge du CAC40, sanctionné pour son échec sur le dossier SFR, Vivendi lui ayant préféré Numericable pour céder sa filiale de téléphonie mobile.

Le conglomérat avait pourtant remis à Vivendi, le 4 avril dernier, une offre fortement améliorée en vue de la fusion de Bouygues Telecom et SFR, valorisant ce dernier à 16 milliards d'euros avant synergies.

Il a proposé à Vivendi d'augmenter la partie en numéraire de son offre de 1,85 milliard d'euros pour la porter à 15 milliards d'euros, et de lui octroyer une participation de 10% du capital du nouvel ensemble ayant une valeur d'un milliard d'euros avant synergies.

Vivendi a néanmoins retenu l'offre d'Altice/Numericable, jugeant qu'elle 'correspond au projet industriel le plus porteur de croissance, le plus créateur de valeur pour les clients, les salariés et les actionnaires, et répondant le mieux aux objectifs de Vivendi'.

'La grande question porte désormais sur la stratégie de Bouygues dans le secteur des télécoms : que va-t-il faire de sa filiale, qui est désormais soumise à des pressions sévères de ses concurrents en termes de parts de marché?' s'interroge Espirito Santo.

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