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luti2005 luti2005
20/10/2014 22:41:40
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Les ventes automobiles sont en hausse en Europe

En Europe, les ventes automobiles prennent l'ascenseur, soit une hausse de 6,4% en septembre dernier. Cela fait donc 13 mois d'affilée que ce marché est en croissance. Et bien entendu, les constructeurs français comme Renault et PSA en tirent profit. Explications.

Une hausse de 6,4% en septembre

Le mois de septembre aura clairement été crucial pour le marché de l'automobile. Les ventes de voitures neuves tirées par le rebond de l'Espagne ont augmenté de 6,4% et cette croissance dure depuis maintenant 13 mois.

Évidemment, les constructeurs français y sont pour quelque chose

Pendant que Renault progresse de 10,7%,
PSA Peugeot Citroën voit ses ventes augmenter de 9,8% par rapport à septembre 2013.

L'Association des constructeurs européens d'automobiles (ACEA) a confirmé ces chiffres dans un communiqué. Chez PSA, les chiffres révèlent une croissance de +10,6% chez Peugeot et +8,7% chez Citroën. Quant à la marque au losange, il en ressort que la progression s'élève à plus de 7,9%.

C'est la marque roumaine Dacia qui affiche la meilleure croissance avec +20,2%. Cette dernière est spécialisée dans les voitures simples et nettement moins chères, ce qui expliquerait cette première place du podium du côté des ventes.
1,23 millions de voitures immatriculées

Au total, ce sont 1,23 millions de voitures qui ont été vendues dans l'Union européenne au mois de septembre. Ce qui révèle une hausse par rapport à septembre 2013, où 1,16 millions de voitures avaient été immatriculées. Même si le progrès se fait sentir, les volumes restent toujours inférieurs à ceux que l'UE avait connus avant la crise de 2008.

Pour rappel, en 2005 et 2006, au moins 1,4 millions de voitures avaient été vendues. En France, les ventes ont augmenté de 6,3% tandis que le Royaume-Uni progresse de 5,6%.

Pas de grande évolution du côté de l'Allemagne, qui affiche +5,2% et idem pour l'Italie qui avance de 3,3%. C'est le groupe VW (Volkswagen) qui reste le premier vendeur de voitures dans l'UE avec 290 500 véhicules vendues en septembre, ce qui fait un accroissement de 7,9% depuis le début de 2014
  
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ddonline ddonline
18/10/2014 08:55:56
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il me semble qu'avant bourse
  
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stuntix stuntix
18/10/2014 08:51:52
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22 octobre

avant ou apres bourse ??
  
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luti2005 luti2005
18/10/2014 08:32:58
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immatriculations des voitures particulieres en europe sur les 9 premiers mois

pour peugeot citroen 1, 041 581 millions du 1/1/2014 au 30/09/2014
contre 994 246 du 1/1/2013 au 30/09/2013
soit une augmentation de 4,8%
  
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ddonline ddonline
18/10/2014 08:23:40
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Les chercheurs français développent les systèmes embarqués des transports autonomes de demain
le 15/10/2014
Le plateau de Saclay est situé au nord de l'Essonne et au sud-est des Yvelines, à une vingtaine de kilomètres au sud de Paris.

Il constitue le cœur du territoire de Paris-Saclay, un projet de pôle technologique et scientifique lancé en 2010.

Il abrite notamment le développement de programmes informatiques destinés à accompagner l'essor des voitures autonomes. Sur ce plateau, un institut technologique baptisé SystemX représente la France dans la course aux technologies embarquées.

Fort de partenariats avec PSA Peugeot Citroën, Renault, Alstom, Airbus, Alcatel-Lucent, la SNCF et de nombreuses universités, SystemX emploie près de 120 « équivalents temps plein » pour imaginer les transports de demain. Son président, Eric Perrin-Pelletier, explique que son institut « développe des projets initiés par des industriels comme Alstom ou Renault sur des périodes proches de trois ans ».

« Nous travaillons sur les transports autonomes.
Le premier aspect est relatif à la manière dont les véhicules peuvent être conçus et comment les capteurs et les logiciels peuvent être intégrés.
Puis, il faut évaluer la manière dont l'homme va accepter progressivement l'autonomie des véhicules et, évidemment, les aspects légaux découlant de ces projets »,
explique-t-il.

Un fort savoir-faire en développement mais aussi en traitement des données étant nécessaires, l'institut collabore avec le tout nouveau Paris Saclay Center for Data Science.

Il s'agit notamment de « penser à la manière dont une voiture ou un bus va pouvoir retourner tout seul à une borne, où il pourra trouver de l'énergie ou être disponible pour une demande », indique de son côté François Stephan, directeur du programme « Systèmes de systèmes » chez SystemX.
  
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luti2005 luti2005
17/10/2014 18:28:38
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PSA Peugeot Citroën (127 366 unités ; + 9,8 %),en septembre en europe

Le marché européen a progressé de 6,4 % en septembre
le 17/10/2014
Les immatriculations de voitures neuves ont augmenté de 6,4 % en septembre dans les pays de l'Union européenne, à 1 235 501 unités, a annoncé l'Acea (Association européenne des constructeurs d'automobiles).

Il s'agit du treizième mois consécutif de hausse.

Sur les neuf premiers mois de l'année, le marché a progressé de 6,1 %, à 9 572 259 unités.

Tous les grands marchés ont affiché des hausses notables en septembre.

Les immatriculations ont ainsi progressé de 26,2 % en Espagne, de 6,3 % en France, de 5,6 % au Royaume-Uni, de 5,2 % en Allemagne et de 3,3 % en Italie.

Le mois dernier, le groupe Volkswagen a vendu 290 524 voitures dans l'Union européenne (+ 6,7 %).

Il a devancé PSA Peugeot Citroën (127 366 unités ; + 9,8 %),

le groupe Renault (103 417 unités ; + 10,7 %),

Ford (101 399 unités ; + 6,7 %),

General Motors (92 578 unités ; - 5,9 %),

le groupe BMW (85 581 unités ; - 1 %),

Daimler (70 007 unités ; + 5,2 %),

le groupe Fiat (67 743 unités ; + 6,1 %),

le groupe Toyota (53 334 unités ; + 0,4 %),

Nissan (50 078 unités ; + 16,9 %),

Hyundai (44 098 unités ; + 6,3 %) et Kia (35 728 unités ; + 4,1 %).

  
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16/10/2014 19:28:39
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4 eme usine construction débute
Début de la construction de la quatrième usine de PSA et Dongfeng
le 16/10/2014

PSA Peugeot Citroën et Dongfeng ont lancé aujourd'hui la construction de leur quatrième usine en Chine, qui doit leur permettre de doper leur production sur le premier marché automobile mondial. PSA et le groupe chinois, qui possèdent ensemble déjà trois usines à Wuhan (centre), avaient annoncé début juillet avoir décidé d'établir un quatrième site à Chengdu (sud-ouest), et ils avaient obtenu fin août le feu vert de Pékin.

La pose de la première pierre de cette nouvelle usine a fait l'objet d'une cérémonie, à laquelle assistaient le président de PSA, Carlos Tavares, et le président de Dongfeng Motor, Xu Ping, a indiqué le groupe français dans un communiqué.

Le site de Chengdu, qui représente un investissement précédemment chiffré à 12,3 milliards de yuans (1,5 milliard d'euros), doit entrer en service fin 2016. Dédié à la fabrication de monospaces et 4x4 urbains Peugeot, Citroën et Fengshen, la marque propre de Dongfeng, il sera doté à terme d'une capacité de production de 360 000 véhicules par an, a précisé le constructeur.

Les trois usines de PSA-Dongfeng à Wuhan peuvent actuellement produire au total jusqu'à 750 000 unités par an. Sur les neuf premiers mois de l'année, la coentreprise entre PSA et Dongfeng a écoulé 518 000 véhicules sur le marché chinois, et ambitionne de dépasser les 700 000 unités vendues sur l'ensemble de l'année. L'usine de Chengdu « représente une étape majeure vers l'objectif fixé [...] de 1 million de Peugeot et Citroën vendues en Chine en 2017 », souligne PSA.
  
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14/10/2014 20:48:59
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Le projet FORCE vise à créer une filière fibre de carbone à coût maîtrisé
le 14/10/2014
En concertation avec la PFA (Plateforme de la Filière Automobile) et l'UIC (Union des Industries Chimiques), un groupe d'industriels constitué de Faurecia, PSA Peugeot Citroën, Renault, Plastic Omnium, Arkema, Chomarat, Kermel, Mersen, Rhovyl et Total ont mis en place le projet FORCE (Fibre optimisée et réaliste de carbone Economique), qui vise à produire une fibre de carbone à moins de 8 euros par kg avec des performances adaptées aux applications envisagées.

Le projet FORCE, dont le pilotage a été confié à l'Institut de Recherche Technologique Jules Verne (IRT JV), bénéficie également du concours de la plateforme technologique composites de la Région Aquitaine CANOE. Il s'articulera en trois phases coordonnées par l'IRT JV.

La phase 1, d'étude et d'exploration, en cours de lancement, a pour objectif d'établir la feuille de route du projet, de consolider l'état de l'art et d'identifier les scénarios technico-économiques les plus favorables.

Elle permettra de valider le contenu du projet et de déclencher la phase 2 qui sera dédiée à la validation de ces scénarios sur des lignes laboratoires. La phase de validation industrielle, ou phase 3, visera quant à elle à mettre en place des lignes préindustrielles.

A terme, l'objectif est de préparer la prochaine génération de fibre de carbone et de donner naissance à une filière française de production de fibres de carbone économiques.

Si l'industrie automobile est un des premiers marchés cibles en termes de volumes, les retombées de ces recherches sont transposables à bien d'autres secteurs industriels, tels que l'aéronautique, l'énergie, la défense, les sports et loisirs, ou encore le génie civil.
  
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14/10/2014 19:04:00
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PSA Peugeot Citroën investit dans la start-up de covoiturage « Wedrive 
 le 14/10/2014

PSA Peugeot Citroën annonce avoir investi un million d'euros dans la start-up française « Wedrive », nouvelle plateforme internet de covoiturage domicile-travail, pour acquérir 20 % de son capital. Cette start-up se distingue du leader du covoiturage BlaBlaCar en visant, non pas les utilisateurs de longue distance occasionnels, mais ceux qui ont recours à une voiture tous les jours pour des trajets domicile-travail. 

Grâce à une application sur smartphone à l'interface simple et intégrant un porte-monnaie virtuel, Wedrive met en contact conducteurs et passagers potentiels, en organisant des groupes de 5 à 50 personnes, le but étant de créer des réseaux de confiance de covoiturage.

Wedrive estime que le vivier potentiel de clients pour un tel service est de 50 millions de personnes en Europe de l'ouest, dont 11 millions en France, où deux millions de personnes « covoiturent » déjà au quotidien de façon informelle. 

Depuis que la start-up s'est lancée le 17 septembre, en visant en premier lieu le bassin d'emploi de Vélizy (sud-ouest de Paris), 400 personnes s'y sont inscrites.

Brigitte Courtehoux, responsable des services connectés et mobilité de PSA estime que prendre une participation dans une entreprise de covoiturage n'est pas contradictoire avec le cœur de métier du constructeur, à savoir vendre des voitures. Il faut « suivre le rythme de nos clients, nos clients évoluent [...] ils ont envie de faire des économies, d'être accompagnés », explique-t-elle. «

 Il ne faut pas qu'on ait peur, nous, constructeurs, de ce qui est en train de se passer », ajoute Mme Courtehoux, selon qui l'application Wedrive a vocation à être intégrée dans les ordinateurs de bord des modèles de PSA dès 2015
  
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14/10/2014 06:53:23
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la quatrième usine en chine

Le projet de construction de la quatrième usine de DPCA a été approuvéPublié le 26/08/2014


Le projet de construction de la quatrième usine de DPCA (Dongfeng Peugeot Citroën Automobile) a été approuvé par les autorités chinoises. Le site, qui nécessitera un investissement de 12,3 milliards de yuans (1,5 milliard d'euros) et qui disposera d'une capacité de production annuelle de 320 000 véhicules, sera basé dans la ville de Chengdu. Sa construction débutera en fin d'année et le premier modèle devrait y être fabriqué à la fin de 2016.

La coentreprise entre PSA et Dongfeng dispose déjà de trois usines dont la capacité de production atteint 750 000 unités par an.
  
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13/10/2014 22:59:06
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M. Tavares estime que le coût du travail et les 35 heures ne sont pas des obstacles au redressement de PSA
Publié le 15/09/2014
Le président de PSA Peugeot Citroën Carlos Tavares a déclaré le 14 septembre au Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro que le coût du travail en France et les 35 heures ne constituaient « pas des problèmes insurmontables pour assurer le redressement » du groupe. Il a toutefois insisté sur la nécessité de mettre en œuvre « toutes les mesures qui ont été annoncées ».

A propos du Cice, M. Tavares a estimé qu';à l';horizon de trois ans, l';ensemble des mesures représentaient une réduction du coût du travail de l';ordre de 4 % à 5 %, qualifiant cette réduction de « pas énormissime » mais « pas négligeable » non plus. Il a également indiqué faire appel au « génie français », à l';intelligence, au talent et à la créativité pour trouver d';autres gisements de productivité.

Au cours du premier semestre, PSA a réduit sa perte nette, la faisant passer de 471 à 114 millions d';euros, tandis que le résultat opérationnel courant est redevenu positif, pour la première fois depuis 2010, à 477 millions d';euros, après une perte de 100 millions enregistrée à la même période de l';an dernier.

M. Tavares a affiché son objectif de « retrouver le chemin d';une croissance rentable », la clé, d';après lui, pour investir. Il s';est aussi réjoui du partenariat avec Dongfeng, qui permet à PSA de « progresser plus vite sur le premier marché mondial »
  
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13/10/2014 22:36:04
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Carlos Tavares évoque les objectifs de PSA Peugeot Citroën
29/09/2014
Le président de PSA Peugeot Citroën Carlos Tavares explique que le redressement du groupe sera achevé quand la « marge opérationnelle atteindra 2 % et le cash flow opérationnel 2 milliards d'euros accumulés sur trois ans ».

« La dette sera alors tombée à zéro. Notre cible de marge opérationnelle est de 5 % sur la période du prochain plan », souligne-t-il.



  
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13/10/2014 22:35:25
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Le gouvernement va renforcer son soutien aux véhicules propres et remodeler le fonds de soutien aux équipementiers

Le gouvernement va renforcer son soutien aux véhicules propres et remodeler le fonds de soutien aux équipementiers
le 2/10/2014
Le gouvernement va renforcer son soutien aux véhicules propres et remodeler le fonds de soutien aux équipementiers automobiles créé durant la crise, a annoncé le 1er octobre le ministère de l'Economie.
« J'ai une priorité : consolider la filière automobile, son innovation et sa production en France ; une ligne directrice : accompagner les nouvelles formes de mobilité avec de nouvelles offres françaises de technologies et de services », explique le ministre de l'Economie Emmanuel Macron, .
Parmi les mesures annoncées figure la création d'un superbonus pour inciter à acheter des véhicules propres, associé à la mise à la casse d'un véhicule de plus de 13 ans, à condition de résider dans une zone urbaine agissant contre la pollution de l'atmosphère, ce qui concerne 48 % de la population d'après Bercy.

Ce superbonus, qui pourra atteindre 3 700 euros pour un véhicule électrique, sera cumulable avec le bonus écologique, ce qui signifie que l'aide pourra atteindre 10 000 euros au total.
Le gouvernement, qui confirme son objectif de 16 000 bornes de recharge à la fin de l'année, compte par ailleurs en ajouter 16 000 de plus en quatre ans, un projet mis en œuvre par le groupe Bolloré.
Les premières expérimentations de véhicules autonomes sur route en 2015 seront pour leur part rendues possibles grâce à la mise en place d'une plaque « W véhicule autonome », sur le modèle de la plaque « W garage » qui permet de faire circuler de manière provisoire un véhicule. Afin de renforcer les moyens de consolidation de la filière, un groupe de travail (« task force ») piloté par l'ancien patron de Michelin, Michel Rollier, va voir le jour, afin de faciliter de telles opérations.

Le Fonds de modernisation des équipementiers, créé au cœur de la crise pour soutenir le secteur, sera quant à lui transformé en fonds « Avenir Automobile » disposant de 270 millions d'euros prêts à être investis pour favoriser l'émergence de « nouveaux champions » de la filière, annonce le ministère.




  
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13/10/2014 22:34:41
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La lutte contre les émissions de CO2, fer de lance de PSA et Renault dans un marché convalescent
le 9/10/2014

Le Mondial de l'Automobile de Paris donne l'occasion à PSA Peugeot Citroën et Renault de faire le point sur leurs futurs choix technologiques en matière d'émissions de CO2, afin de respecter, à l'horizon 2020, les normes environnementales en Europe et en Chine.
En décidant de se positionner sur le segment de l'hybride rechargeable à essence, qui associe un moteur thermique à une batterie électrique rechargeable sur le réseau, ils font un pari sur l'avenir, pari qui pourrait leur permettre de prendre un avantage stratégique sur un marché européen convalescent.

Chez Renault, derrière le prototype Eolab, qui peut se targuer de ne consommer qu'un litre aux 100 km, c'est la technologie ZE Hybrid qui est mise en avant et qui se retrouvera sur la gamme dès 2018, précise-t-on chez le constructeur. Celui-ci se refuse à préciser le modèle qui intégrera le premier la technologie.
Si l'hybride rechargeable a longtemps été réservé aux gammes supérieures du fait de son coût élevé, Renault pourrait l'étendre aux citadines grâce à son expérience dans les véhicules à bas coûts. En supprimant l'embrayage et en intégrant une boîte de vitesses simplifiée à trois rapports, le système monté sur Eolab se veut moins coûteux et pourrait trouver sa place dans les segments des citadines, des véhicules compacts, mais aussi dans la gamme « low cost ».

« Ce n'est pas un choix entre hybride ou électrique, on voit qu'une palette de technologies est en train de se dessiner », a souligné Carlos Ghosn, président de Renault.

PSA Peugeot Citroën mise quant à lui sur une autre stratégie. Le constructeur présente à priori trois technologies différentes. En premier lieu, l'Hybrid air, sa technologie à base d'air comprimé, présentée sur ses voitures concepts C4 Cactus Airflow et Peugeot 208 et destiné au segment des citadines. Cependant, l'avenir de cette technologie est toujours conditionné à la recherche d'un partenaire. « C'est compliqué. Mais nous avons acquis un vrai savoir-faire qui nous est utile sur le long terme en termes d'expertise de l'hybridation du véhicule », indique Christian Chapelle, patron de la mécanique de PSA. « Sur les petits segments, nous pouvons atteindre les objectifs européens sans avoir à recourir à une hybridation. Nos moteurs essence et diesel sont déjà à 3 litres aux 100 », poursuit un autre cadre, indiquant par là même que l'Hybrid air n'est pas indispensable, d'autant plus que la technologie n'est pas éligible aux subventions chinoises sur les véhicules propres.

L'obstacle est le même du côté des gammes supérieures, où l'hybride diesel, la technologie de PSA lancée en 2011 (présente sur les 3008, DS5 et 508), reste cantonnée à l'Europe, étant donné que le diesel est absent en Chine.

On peut se demander si le groupe a les moyens de conserver cette technologie. Signe de la bascule, le concept Peugeot préfigurant le futur 3008 est doté d'un hybride rechargeable à essence, alors que le modèle actuel est équipé de l'hybride diesel.

« Nous lançons son développement l'année prochaine, et nous le verrons dans les gammes d'ici à fin 2018 », indique M. Chapelle. « Le marché chinois est en train de devenir le plus exigeant du monde en termes d'émissions.

L'hybride à essence permet de délivrer une consommation zéro émission sur 50 kilomètres, c'est idéal pour ce marché », a déclaré Carlos Tavares, président de PSA, précisant que le groupe devrait « aussi arrêter sa stratégie dans l'électrique, où il proposera aussi sa propre offre ».



  
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13/10/2014 22:34:01
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PSA ne mettra la technologie Hybrid air sur le marché que si elle est rentable

3/10/2014

PSA a présenté au Mondial de l'Automobile deux prototypes à ultra-basse consommation basés sur les Citroën C4 Cactus et Peugeot 208, utilisant la technologie « Hybrid air », qui associe moteur thermique et air comprimé.

Contrairement aux hybrides électriques, l'énergie n'est pas stockée dans des batteries, mais dans des réservoirs d'air à haute pression.

Ces voitures-concepts répondent au cahier des charges du véhicule « 2 litres aux 100 » demandé par le gouvernement français dans le cadre de sa relance du secteur industriel.

Cette technologie « est arrivée au bout de son développement de recherche, elle est mature, elle est validée, elle marche », a expliqué le président de PSA Peugeot Citroën Carlos Tavares.

Mais « pour la mettre en œuvre, il faut déclencher des investissements », a-t-il ajouté. Et c'est là que le bât blesse, « parce que le ticket d'entrée est trop élevé eu égard au fait que notre partenaire fournisseur [Bosch] nous demande de couvrir une partie de ses coûts ».

« Hybrid air, si nous arrivons à la mettre sur le marché, ce sera fantastique, mais nous n'allons pas la mettre sur le marché si ce n'est pas rentable, car le passé nous a montré les difficultés dans lesquelles on peut s'enfoncer si on ne fait pas attention à la rentabilité du projet », a déclaré M. Tavares.

« La technologie Hybrid air c'est une technologie parmi beaucoup » d'autres et PSA ne se concentre pas uniquement sur celle-ci pour des véhicules économes, a-t-il souligné, en mentionnant les voitures électriques pures, le diesel hybride (réservé au haut de gamme), mais aussi l'hybride essence rechargeable, alias « plug-in », que le constructeur a décidé de développer pour de futurs modèles.

« Le jour où quelqu'un décidera que, pour rentrer en intra muros à Paris il faudra zéro émission, le plug-in vous permettra de franchir le Périphérique et d'aller jusqu'à votre appartement en mode électrique pur », a fait valoir M. Tavares.



  
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13/10/2014 22:33:19
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Notre prix moyen a augmenté de 700 euros"

Xavier Duchemin, DCF Peugeot : "Notre prix moyen a augmenté de 700 euros"
La hausse de ses volumes sur le segment des particuliers et la montée en gamme sur les nouveaux modèles a permis à Peugeot d'enregistrer une hausse de 700€ du prix de vente moyen en 2014.

"Le réseau a bien adhéré à la stratégie de montée en gamme et notre prix de vente moyen a augmenté de 700 euros", nous a dit Xavier Duchemin, directeur du commerce France de Peugeot. Sur un prix moyen de 20 000 euros, cette hausse représente une croissance de 3,5%.
Cette montée en gamme s'est faite avec l'arrivée des nouveaux modèles accompagnée d'une politique commerciale "assez vertueuse" en termes de promotion, explique le dirigeant. "Nous avons profité des lancements des nouveaux produits pour être beaucoup moins agressifs".
Cette politique commerciale plus sage que par le passé s'accompagne par ailleurs d'une hausse des volumes (+7,5% en VP sur 9 mois avec 227 915 unités) et notamment sur la clientèle des particuliers (+8% sur les 9 premiers mois 109 297 unités).
En septembre, Peugeot a fait une de ses meilleurs performances de l'année tant sur le marché global avec une hausse de ses volumes de 25,6% (26 970 unités) que sur le segment des particuliers (+20,8% avec 13 909 immatriculations). "Nous avions un portefeuille important et nous avons fait en septembre notre meilleure performance en part de marché depuis la prime à la casse [avec 17,85% pour une moyenne 9 mois à 17,04%, NDLR]", souligne Xavier Duchemin.
Cette performance de septembre en immatriculations se retrouve également dans l'activité avec des prises de commandes en hausse de 13%, nous a dit Xavier Duchemin, alors que le marché commandes toutes marques a été en recul de 0,8%, selon le baromètre du CCFA. "Nous avons enregistré un record de commandes sur la 308 en septembre, le meilleur mois depuis le lancement avec 6 200 commandes et un mix de deux tiers berline, un tiers break. Une voiture sur deux est vendue en niveau de finition 3 ou 4, une proportion stable depuis le lancement," explique Xavier Duchemin.
La 2008 et la 508 contribuent également aux bons résultats de la marque tant en immatriculations qu'en commandes, souligne le dirigeant. "Avec le restyling de la 508 et l'arrivée des nouveaux moteurs en début de mois, nous avons enregistré une hausse des commandes de 50% pour la 508." Xavier Duchemin annonce un portefeuille de commandes toujours très élevé malgré le fort volume d'immatriculations, les commandes ayant été "au dessus de l'objectif".
Le constructeur qui réunissait son réseau pour une convention en fin de semaine dernière lui a fixé trois priorités : fidéliser les clients de plus de 3 ans sur l'activité pièces et service ; augmenter les volumes de ventes aux entreprises pour se rapprocher d'une part de marché de 25% sur ce segment ; améliorer sa stratégie marketing en intégrant des outils de CRM, et notamment la création de call center.
Florence Lagarde



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13/10/2014 22:32:41
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Christophe Bergerand, PSA : "Nous sommes capables de retrouver la profitabilité en Russie avant 2017"

10 octobre 2014

Compte tenu de la "très significative" réduction des pertes du groupe PSA dans la zone Eurasie au premier semestre, son dirigeant, Christophe Bergerand, estime que l'objectif de retour à la profitabilité dans cette région peut-être atteint avant l'échéance de 2017 fixée par Carlos Tavares.

Zone problématique pour PSA, l'Eurasie, constituée pour l'essentiel de la Russie (puis de l'Ukraine, du Kazakhstan, de la Biélorussie, de la Georgie, de l'Ouzbékistan...), représente aujourd'hui une faible part des volumes du groupe (1,7% au premier semestre) et un foyer de pertes financières. Aujourd'hui, la situation économique et politique en Russie et en Ukraine en fait une zone compliquée et fragilisée mais le constructeur anticipe une forte croissance de ces marchés dans les prochaines années (+44% d'ici 2022). Pour bénéficier de cette croissance de façon rentable, PSA doit d'abord y redresser sa situation financière et mettre en place une structure et une offre mieux adaptées à la région. C'est le travail qui a été confié à Christophe Bergerand, nommé en juillet dernier directeur de la zone Eurasie. L'objectif prioritaire qui lui a été fixé est identique à celui du groupe : revenir à la profitabilité en 2017.

Mais le dirigeant espère "l'atteindre plus tôt". "Nous avons réduit nos pertes de façon très significative au premier semestre et si nous poursuivons nos efforts, nous pouvons redevenir rentable plus rapidement qu'attendu. C'est en tout cas le challenge et la motivation des équipes ici", souligne Christophe Bergerand.

Réduction du nombre de produits

Les premiers efforts et ceux qui vont suivre portent principalement sur le marché russe qui représente 80% des volumes de PSA dans la zone Eurasie.

Ce marché est en chute de 13% depuis le début de l'année sous l'effet du ralentissement de l'économie russe et son rythme de décroissance s'est accéléré ces derniers mois à cause du conflit avec l'Ukraine.

Dans ce contexte, les volumes de PSA ont chuté de 34,8% depuis le début de l'année (31 075 unités) et la part de marché du groupe est tombée à 1,7%.

"La baisse de nos volumes est le résultat des conditions de marché difficiles mais aussi de notre travail de redressement", note Christophe Bergerand.

Car le principal problème de PSA sur ce marché tient à sa stratégie produit du passé. Aujourd'hui, PSA commercialise 29 modèles sur le marché russe (VP et VUL) mais n'en produit que deux localement, dans son usine de Kaluga, la Peugeot 408 et la C4 Sedan.

Or, ces deux véhicules se situent sur un segment qui ne représente plus que 10% du marché sous l'effet du boom des segments B2 (citadines) et surtout SUV (les SUV font un tiers du marché).

Même la prime à la casse en fin d'année qui bénéficiera aux véhicules de fabrication russe risque d'avoir peu d'effet puisque le segment M1 est le plus concurrencé avec 12 modèles produits localement. Les nombreux autres véhicules importés par PSA sont eux frappés par les taxes à l'importation et exposent directement PSA à la chute du rouble. "Cet effet de change défavorable nous a conduit à augmenter nos prix de 10% depuis le mois de janvier et cela a pesé sur nos volumes", indique M. Bergerand.

En parallèle, une plainte de Ford qui produit localement ses VUL a conduit à la mise en place d'une taxe antidumping qui a entraîné une hausse de 23% des prix des VUL de PSA et la chute de ses volumes sur un marché qu'il dominait (ses parts de marché sont passées de 11 à 5%). "L'urgence pour nous est donc de bien positionner nos trois marques sur le marché et de réduire notre offre produits pour la centrer sur les modèles les plus prisés et rentables.

Nous sommes en train d'écouler les stocks des modèles qui ne correspondent pas aux besoins du marché comme la DS5 et nous allons cesser les ventes non rentables", explique M. Bergerand.

"D'ici 2017, nous n'aurons plus que 17 ou 18 modèles pour l'ensemble des trois marques", ajoute-t-il. Certains de ces modèles (un SUV et un VUL probablement) seront peut-être produits à Kaluga qui dispose aujourd'hui des capacités pour les intégrer. "

C'est une décision que nous prendrons début 2015 mais nous devons d'abord redresser nos comptes pour donner envie au groupe d'investir dans la région", souligne le dirigeant.

Améliorer le sourcing local

Pour accélérer le redressement des comptes, la deuxième priorité porte sur l'amélioration du sourcing local.

Aujourd'hui, le taux d'intégration locale de PSA est de 34% dans un pays où la logistique est en outre coûteuse compte tenu de l'immensité du pays.

"Nous sommes en train de travailler avec des fournisseurs locaux sur de nombreux composants et sur leur intégration de fournisseurs locaux de second rang. Si nous parvenons à conclure tous les dossiers sur lesquels nous travaillons, nous gagnerons 10 points d'intégration d'ici fin 2015", précise M. Bergerand.

Là encore, l'amélioration du sourcing local doit permettre à PSA de se protéger davantage des effets de change mais aussi de réduire le Prix de Revient de Fabrication (PRF). Carlos Tavares a fixé un objectif de réduction du PRF en Russie de 400 euros/véhicule d'ici 2016.

"Nous y arriverons par l'intégration locale que nous espérons amener à 50% d'ici 2017 mais également par le programme d'amélioration de la compétitivité de notre usine", dit M. Bergerand.

A ce programme d'amélioration de la compétitivité qui porte sur l'organisation de l'usine, PSA a également lancé un programme de restructuration en Russie qui a conduit à une "forte baisse des frais fixes" via une réduction "conséquente" des effectifs de l'usine et des fonctions support (à Moscou et Kiev).

"Nous sommes en train d'en faire une PME de combat"

Mais au-delà de la réduction des effectifs, cette restructuration a conduit "à créer davantage de synergies entre Moscou et Kaluga", insiste M. Bergerand.

"La mise en commun des compétences, notamment sur le sujet logistique des véhicules, nous a permis de gagner en efficacité, en rapidité de prise de décision et en agilité. Nous sommes en train d'en faire une PME de combat", prévient-il.

Et le combat ne s'arrête pas à la Russie. En Ukraine où le marché est à l'arrêt et où la devise dévisse, PSA doit également se tenir prêt au moment où les ventes repartiront.

Et sur les autres marchés pas encore matures de l'Eurasie, "il faut que nous nous positionnons rapidement et bien pour nous y installer en leader durablement". Pour ce faire, PSA travaille notamment à la mise en place de partenariats avec des groupes locaux assemblant et distribuant les véhicules.

Un partenariat a été signé dans ce sens au Kazakhstan en 2013 pour l'assemblage et la distribution de la Peugeot 301.

A terme, PSA espère réaliser deux tiers de ses volumes en Russie et le reste dans l'ensemble des autres pays de la région Eurasie.
  
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luti2005 luti2005
13/10/2014 22:31:37
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Citroën veut accroître ses parts de marché auprès des professionnels en 2015

9/10/2014

Citroën souhaite accroître fortement ses parts de marché en VP et en VU auprès des professionnels en 2015, à 15-16 % et plus de 20 % respectivement. Il mise notamment sur le C4 Cactus et sur un développement de son activité auprès des PME-TPE.

Sur les neuf premiers mois de l'année, la part de marché de Citroën en VP s'est élevée à 14,2 % et sa part de marché en VU à 19,5 % (hors LCD).

« Nous devrions pouvoir gagner un point de part de marché en VP avec le seul C4 Cactus. A l'instar de la C3, de la C4 et des DS3, DS4 et DS5, ce modèle est disponible avec le bloc BlueHDi de 100 ch ».

Il est en outre déjà proposé en finition Business, explique Olivier Bonnet, le directeur de Citroën Business. Résultat, la marque aux chevrons pense pouvoir rapidement en écouler plus de 400 exemplaires tous les mois.

Pour gagner des parts de marché dans les VU, Citroën mise notamment sur un développement plus important des ventes auprès des petites et moyennes entreprises.

« Des formations ont été délivrées cette année aux vendeurs et elles vont se poursuivre en 2015. Elles porteront notamment sur la fiscalité et le TCO, des coachs étant par ailleurs appelés à intervenir au sein du réseau Citroën », indique M. Bonnet.

Le prochain exercice sera par ailleurs marqué par la mise en place d'un label VE, vingt à trente distributeurs devant se le voir octroyer avant la fin de 2015 (ces distributeurs seront exclusivement sélectionnés parmi les Business Centers de niveau trois).

« Il s'agit d'aider le réseau à commercialiser au mieux des véhicules électriques et des hybrides », souligne le directeur de Citroën Business



  
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luti2005 luti2005
13/10/2014 22:30:54
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Carlos Tavares salue l'action de la BCE

3/10/2014
Interrogé sur la BCE, le président de PSA Peugeot Citroën Carlos Tavares a salué l'action de la banque centrale européenne.
« J'en pense le plus grand bien », a-t-il déclaré à des journalistes.

« Si l'euro s'affaiblit, nous avons une compétitivité [de la production] en France qui s'améliore, une plus grande capacité à exporter vers d'autres marchés dans des conditions rentables ».

Si l'on veut promouvoir la production française et européenne, « affaiblir l'euro est un facteur tout à fait positif que j'appelle de mes vœux », a ajouté M. Tavares.

« Chaque fois qu'on ira dans cette direction-là, on va renforcer le tissu industriel européen, et le simple fait qu'on en parle [...], c'est déjà un facteur de mise en mouvement du système », a-t-il encore estimé

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luti2005 luti2005
13/10/2014 22:30:08
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Fitch révise la perspective de PSA de « stable » à « positive »

Publié le 13/10/2014
Fitch Ratings a révisé le 10 octobre la perspective associée à la note de PSA Peugeot Citroën de « stable » à « positive », et confirmé sa note à « B+ ». L';agence de notation a justifié cette décision par ses projections d';une amélioration de la marge opérationnelle de PSA, qui devrait selon elle atteindre « à peu près l';équilibre » cette année, puis dépasser 1 % en 2015 et 2 % en 2016.

Fitch remarque que le groupe « est sur la bonne voie avec ses restructurations et ses mesures d';économie ». « Nous pensons aussi que la reprise du marché automobile européen, où PSA reste très exposé, compensera la faiblesse d';autres marchés et contribuera à un rebond graduel du chiffre d';affaires », ajoute-t-il.
  
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