Y aura t'il à nouveau du gaz et du chauffage s'il venait à l'idée aux Russes de couper à nouveau les robinets ?
Défaut de remboursement = défaut d'alimentation.
Défaut de remboursement = défaut d'alimentation.
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ça fait plaisir de voir qu'un certain nombre de mes points de vue exposés dans "les pompiers de la finance... pas mondiale" soient finalement l'objet d'article de Bloomberg.
et comme démontré dans l'affaire des analystes bidons du club med, ne pas suivre les analystes moutonniers mais se faire ses propres critères d'analyse et d'observation a du bon.
Je découvre tes publications qui me plaisent bien aussi!!!!....
et comme démontré dans l'affaire des analystes bidons du club med, ne pas suivre les analystes moutonniers mais se faire ses propres critères d'analyse et d'observation a du bon.
Je découvre tes publications qui me plaisent bien aussi!!!!....
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Je tiens à rappeler que le problème survenu entre la Russie et l'Ukraine est dû aux manigances de l'UE et "au vouloir" tout régenter des USA.
Notre pays n'a pas à s'en mêler. Il doit respecter ses engagements vis à vis de la Russie (remise des Mistral par exemple et surtout ne pas participer aux sanctions voulues par les USA et l'UE).
En plus, notre Président n'a pas à aller se placer dans l'ombre de Madame Merkel !
Notre pays n'a pas à s'en mêler. Il doit respecter ses engagements vis à vis de la Russie (remise des Mistral par exemple et surtout ne pas participer aux sanctions voulues par les USA et l'UE).
En plus, notre Président n'a pas à aller se placer dans l'ombre de Madame Merkel !
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Les USA et l'Otan aident Kiev à préparer une opération en Crimée
© RIA Novosti. Vasily Batanov
La sous-secrétaire d’État américaine Rose Gottemoeller a accusé hier la Russie de militariser la Crimée, le porte-parole du président du comité militaire de l'Otan, le capitaine Dan Termansen, a parlé d'"opacité de ses actions militaires" , écrit vendredi 12 décembre le quotidien Nezavissimaïa gazeta.
Pour sa part, le chef d'état-major des forces armées russes Valeri Guerassimov a déclaré que son pays était préoccupé par l'agitation de l'Otan près de ses frontières. Ces reproches mutuels renferment, bien sûr, une part de vérité. La situation pourrait entraîner un conflit militaire direct dans la péninsule rattachée à la Russie il y a six mois.
Telle est la conclusion qu'on peut tirer en analysant les actions des autorités ukrainiennes. Des communiqués se référant à des sources officielles ont rapporté que la défense antiaérienne russe en Crimée avait abattu en un mois plusieurs drones qui avaient pénétré dans l'espace aérien de la péninsule en provenance de la région de Kherson. Ces appareils de reconnaissance sont d'origine étrangère, étant donné que l'Ukraine ne possède pas de drones ni d'unités militaires capables de les exploiter. Cependant, dans une récente publication à l'occasion du 100e anniversaire de la défense antiaérienne russe, il est souligné qu'au printemps dernier le territoire criméen était espionné par des drones appartenant à la 66e brigade américaine des renseignements militaires.
Les USA ont déjà commencé à fournir à l'Ukraine des armements létaux. D'après le projet de budget du Pentagone publié mardi dernier, l'aide militaire au profit des pays baltes et de l'Ukraine en 2015 s'élèvera à 175 millions de dollars. Il s'avère que la majeure partie de ces fonds est prévue pour l'armée ukrainienne. On annonce également qu'une grande partie de cet argent américain sera dépensée pour renforcer la marine ukrainienne et former 150 nageurs de combat. Cela pourrait indiquer que les USA ont l'intention de financer des opérations de sabotage non seulement dans le sud-est de l'Ukraine, mais aussi en Crimée.
Les unités ukrainiennes mènent des opérations de renseignement grâce aux drones étrangers tout en renforçant les troupes à proximité de l'isthme de Crimée, où passe aujourd'hui la frontière russe. Les habitants témoignent du début du recrutement d'une nouvelle vague de réservistes dans les régions ukrainiennes voisines. Le ministre ukrainien de la Défense Stepan Poltorak a également mentionné une nouvelle vague de mobilisation la semaine dernière.
© RIA Novosti. Vasily Batanov
La sous-secrétaire d’État américaine Rose Gottemoeller a accusé hier la Russie de militariser la Crimée, le porte-parole du président du comité militaire de l'Otan, le capitaine Dan Termansen, a parlé d'"opacité de ses actions militaires" , écrit vendredi 12 décembre le quotidien Nezavissimaïa gazeta.
Pour sa part, le chef d'état-major des forces armées russes Valeri Guerassimov a déclaré que son pays était préoccupé par l'agitation de l'Otan près de ses frontières. Ces reproches mutuels renferment, bien sûr, une part de vérité. La situation pourrait entraîner un conflit militaire direct dans la péninsule rattachée à la Russie il y a six mois.
Telle est la conclusion qu'on peut tirer en analysant les actions des autorités ukrainiennes. Des communiqués se référant à des sources officielles ont rapporté que la défense antiaérienne russe en Crimée avait abattu en un mois plusieurs drones qui avaient pénétré dans l'espace aérien de la péninsule en provenance de la région de Kherson. Ces appareils de reconnaissance sont d'origine étrangère, étant donné que l'Ukraine ne possède pas de drones ni d'unités militaires capables de les exploiter. Cependant, dans une récente publication à l'occasion du 100e anniversaire de la défense antiaérienne russe, il est souligné qu'au printemps dernier le territoire criméen était espionné par des drones appartenant à la 66e brigade américaine des renseignements militaires.
Les USA ont déjà commencé à fournir à l'Ukraine des armements létaux. D'après le projet de budget du Pentagone publié mardi dernier, l'aide militaire au profit des pays baltes et de l'Ukraine en 2015 s'élèvera à 175 millions de dollars. Il s'avère que la majeure partie de ces fonds est prévue pour l'armée ukrainienne. On annonce également qu'une grande partie de cet argent américain sera dépensée pour renforcer la marine ukrainienne et former 150 nageurs de combat. Cela pourrait indiquer que les USA ont l'intention de financer des opérations de sabotage non seulement dans le sud-est de l'Ukraine, mais aussi en Crimée.
Les unités ukrainiennes mènent des opérations de renseignement grâce aux drones étrangers tout en renforçant les troupes à proximité de l'isthme de Crimée, où passe aujourd'hui la frontière russe. Les habitants témoignent du début du recrutement d'une nouvelle vague de réservistes dans les régions ukrainiennes voisines. Le ministre ukrainien de la Défense Stepan Poltorak a également mentionné une nouvelle vague de mobilisation la semaine dernière.
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La Suède ne prend aucun risque avec la Russie et elle rappelle ses réservistes
12 décembre, 2014 Posté par Benji sous les moutons
La tension monte et les craintes d’un nouveau conflit se font de plus en plus justifiées, car cela ne se limite pas à la Suède, ni au conflit russo-ukrainien. Partout, ils se préparent…
La Russie considère qu’elle est déjà en guerre avec les États-Unis, la France a annoncé (la fin de) sa coopération militaire avec la Russie ce qui n’est pas étonnant vu que nous sommes aux ordres des USA, l’Ukraine rappelle l’ensemble de ses réservistes, tout comme Israël: 40 000 réservistes de rappelés en vue d’une offensive terrestre.
Le gouvernement suédois a annoncé ses projets d’entraîner d’anciens conscrits à des exercices militaires pour augmenter les capacités opérationnelles disponibles en cas de guerre, en réaction à la récente crise avec la Russie. Cette décision pourrait concerner environ 7500 anciens soldats qui ont effectué leur service militaire dans l’armée entre 2004 et 2011. En 2010, la Suède avait décidé de supprimer le service militaire obligatoire.
« Le monde a changé d’une façon négative », a déclaré le ministre de la Défense Peter Hultqvist sur la chaîne de télévision suédoise SVT. Il a évoqué le réarmement de la Russie, l’annexion russe de la Crimée et le conflit armé à l’Est de l’Ukraine.
Les Suédois avaient été ébranlés en octobre quand un sous-marin étranger avait été repéré près de Stockholm. L’armée suédoise avait été déployée pour partir à la chasse de ce navire qui n’a finalement jamais été retrouvé.
Les médias suédois ont indiqué qu’il pouvait s’agir d’un sous-marin russe. Cependant, la Russie a fermement démenti être impliquée dans cette histoire. L’amiral suédois Grenstad a souligné que la nationalité de l’intrus potentiel n’avait jamais été déterminée.
Remarque: La Russie ne peut plus promener ses sous-marins en mer? Poutine n'attaque personne pour le moment et ne semble pas en avoir l'intention.
12 décembre, 2014 Posté par Benji sous les moutons
La tension monte et les craintes d’un nouveau conflit se font de plus en plus justifiées, car cela ne se limite pas à la Suède, ni au conflit russo-ukrainien. Partout, ils se préparent…
La Russie considère qu’elle est déjà en guerre avec les États-Unis, la France a annoncé (la fin de) sa coopération militaire avec la Russie ce qui n’est pas étonnant vu que nous sommes aux ordres des USA, l’Ukraine rappelle l’ensemble de ses réservistes, tout comme Israël: 40 000 réservistes de rappelés en vue d’une offensive terrestre.
Le gouvernement suédois a annoncé ses projets d’entraîner d’anciens conscrits à des exercices militaires pour augmenter les capacités opérationnelles disponibles en cas de guerre, en réaction à la récente crise avec la Russie. Cette décision pourrait concerner environ 7500 anciens soldats qui ont effectué leur service militaire dans l’armée entre 2004 et 2011. En 2010, la Suède avait décidé de supprimer le service militaire obligatoire.
« Le monde a changé d’une façon négative », a déclaré le ministre de la Défense Peter Hultqvist sur la chaîne de télévision suédoise SVT. Il a évoqué le réarmement de la Russie, l’annexion russe de la Crimée et le conflit armé à l’Est de l’Ukraine.
Les Suédois avaient été ébranlés en octobre quand un sous-marin étranger avait été repéré près de Stockholm. L’armée suédoise avait été déployée pour partir à la chasse de ce navire qui n’a finalement jamais été retrouvé.
Les médias suédois ont indiqué qu’il pouvait s’agir d’un sous-marin russe. Cependant, la Russie a fermement démenti être impliquée dans cette histoire. L’amiral suédois Grenstad a souligné que la nationalité de l’intrus potentiel n’avait jamais été déterminée.
Remarque: La Russie ne peut plus promener ses sous-marins en mer? Poutine n'attaque personne pour le moment et ne semble pas en avoir l'intention.
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Très bonne remarque personnelle.
De plus Madame Merkel et Monsieur Hollande n'ont pas à se mêler de ce qui se passe entre l'Ukraine et la Russie. C'est une affaire où seule l'UE doit intervenir car elle a été partie plus que prenante dans le déclanchement de cette affaire. Messieurs Barroso et Juncker y sont pour quelque chose.
Quant à notre Ministre des Affaires Etrangères, n'en parlons pas car il a été "à côté de la plaque" sur ce coup.
En France, on a brassé beaucoup d'air pour ne rien dire voire ne rien faire. Quand je parle d'air, je parle aussi de mistral !!!!
De plus Madame Merkel et Monsieur Hollande n'ont pas à se mêler de ce qui se passe entre l'Ukraine et la Russie. C'est une affaire où seule l'UE doit intervenir car elle a été partie plus que prenante dans le déclanchement de cette affaire. Messieurs Barroso et Juncker y sont pour quelque chose.
Quant à notre Ministre des Affaires Etrangères, n'en parlons pas car il a été "à côté de la plaque" sur ce coup.
En France, on a brassé beaucoup d'air pour ne rien dire voire ne rien faire. Quand je parle d'air, je parle aussi de mistral !!!!
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Europe de l'Est: l'Otan veut déployer cinq nouvelles bases (journal)
© US Army / Gertrud Zach
L'Otan veut déployer cinq nouvelles bases militaires en Europe de l'Est, annonce dimanche le quotidien Frankfurter Allgemeine Zeitung.
Selon le journal, 4.000 militaires des forces de réaction rapide seront déployés dans ces bases. De cette façon, l'Otan veut garantir la sécurité de ses pays membres face à la Russie dont la position concernant l'Ukraine est considérée par l'Alliance comme une atteinte à la souveraineté d'un Etat voisin.
Mercredi, le secrétaire général de l'Otan Anders Fogh Rasmussen a annoncé que l'Alliance s'apprêtait à déployer ses troupes à proximité des frontières avec la Russie. La Russie a déclaré que le renforcement visible de la présence militaires de l'Otan dans l'Est porterait atteinte à la sécurité euratlantique et a promis de réagir aux actions le l'Otan afin de protéger sa sécurité.
Arguant de la nécessité de garantir la sécurité des alliés, l'Otan a déjà intensifié ses patrouilles aériennes au-dessus des pays Baltes et a dépêché des renforts en mer Baltique et en Méditerranée. Des avions de reconnaissance de l'Alliance survolent régulièrement la Pologne et la Roumanie. L'Otan a en outre annoncé l'augmentation des effectifs, l'élargissement du programme d'exercices militaires, le renforcement de son système d'alerte précoce et de ses forces de réaction rapide.
Remarque perso: Après ça on dit que Poutine cherche des histoires, où est l'erreur?
© US Army / Gertrud Zach
L'Otan veut déployer cinq nouvelles bases militaires en Europe de l'Est, annonce dimanche le quotidien Frankfurter Allgemeine Zeitung.
Selon le journal, 4.000 militaires des forces de réaction rapide seront déployés dans ces bases. De cette façon, l'Otan veut garantir la sécurité de ses pays membres face à la Russie dont la position concernant l'Ukraine est considérée par l'Alliance comme une atteinte à la souveraineté d'un Etat voisin.
Mercredi, le secrétaire général de l'Otan Anders Fogh Rasmussen a annoncé que l'Alliance s'apprêtait à déployer ses troupes à proximité des frontières avec la Russie. La Russie a déclaré que le renforcement visible de la présence militaires de l'Otan dans l'Est porterait atteinte à la sécurité euratlantique et a promis de réagir aux actions le l'Otan afin de protéger sa sécurité.
Arguant de la nécessité de garantir la sécurité des alliés, l'Otan a déjà intensifié ses patrouilles aériennes au-dessus des pays Baltes et a dépêché des renforts en mer Baltique et en Méditerranée. Des avions de reconnaissance de l'Alliance survolent régulièrement la Pologne et la Roumanie. L'Otan a en outre annoncé l'augmentation des effectifs, l'élargissement du programme d'exercices militaires, le renforcement de son système d'alerte précoce et de ses forces de réaction rapide.
Remarque perso: Après ça on dit que Poutine cherche des histoires, où est l'erreur?
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Ukraine: des faux pour démontrer la présence de troupes russes (Moscou)
MOSCOU, 10 décembre - RIA Novosti
Des faux primitifs sont présentés par les pays occidentaux comme des "preuves irréfutables" de la présence de troupes russes en Ukraine, a indiqué mercredi le chef de l'état-major général russe, le général Valeri Guerassimov, lors d'une rencontre avec les attachés militaires de certains pays.
"A la veille de chaque rencontre internationale de haut niveau sur la politique à adopter à l'égard de Moscou, les représentants officiels des Etats-Unis et de l'Otan, ainsi que les prétendus «militants des droits de l'homme» placés sous leur contrôle fournissent de nouveaux lots de révélations", a déclaré M. Guerassimov.
Selon lui, "on tente de faire passer les faux graphiques primitifs mis en ligne dans les réseaux sociaux pour des preuves irréfutables de la participation active de troupes russes au conflit civil intérieur sur le territoire des régions de Donetsk et de Lougansk".
"Nous avons analysé ces déclarations provocatrices pour calculer l'importance des troupes russes qui devraient se trouver sur le territoire du Donbass… D'après les calculs les plus modestes, on obtient plus de 8.500 chars et véhicules blindés, près de 1.200 pièces d'artillerie et environ 1.900 lance-roquettes multiples", a indiqué le chef de l'état-major général, ajoutant que "la superficie totale des régions de Lougansk et de Donetsk était à peu près égale à celle de la Région de Moscou".
"Toutes les personnes ici présentes sont des militaires professionnels. Vous comprenez, j'espère, qu'il est impossible - même hypothétiquement - de cacher un dispositif aussi important sur un territoire relativement exigu, où des journalistes et des représentants de l'OSCE se déplacent librement", a affirmé le général Guerassimov.
"Il faut également tenir compte du fait que ce territoire est constamment surveillé par des Etats occidentaux à l'aide de moyens de contrôle et de reconnaissance spatiale", a conclu le chef de l'état-major russe.
MOSCOU, 10 décembre - RIA Novosti
Des faux primitifs sont présentés par les pays occidentaux comme des "preuves irréfutables" de la présence de troupes russes en Ukraine, a indiqué mercredi le chef de l'état-major général russe, le général Valeri Guerassimov, lors d'une rencontre avec les attachés militaires de certains pays.
"A la veille de chaque rencontre internationale de haut niveau sur la politique à adopter à l'égard de Moscou, les représentants officiels des Etats-Unis et de l'Otan, ainsi que les prétendus «militants des droits de l'homme» placés sous leur contrôle fournissent de nouveaux lots de révélations", a déclaré M. Guerassimov.
Selon lui, "on tente de faire passer les faux graphiques primitifs mis en ligne dans les réseaux sociaux pour des preuves irréfutables de la participation active de troupes russes au conflit civil intérieur sur le territoire des régions de Donetsk et de Lougansk".
"Nous avons analysé ces déclarations provocatrices pour calculer l'importance des troupes russes qui devraient se trouver sur le territoire du Donbass… D'après les calculs les plus modestes, on obtient plus de 8.500 chars et véhicules blindés, près de 1.200 pièces d'artillerie et environ 1.900 lance-roquettes multiples", a indiqué le chef de l'état-major général, ajoutant que "la superficie totale des régions de Lougansk et de Donetsk était à peu près égale à celle de la Région de Moscou".
"Toutes les personnes ici présentes sont des militaires professionnels. Vous comprenez, j'espère, qu'il est impossible - même hypothétiquement - de cacher un dispositif aussi important sur un territoire relativement exigu, où des journalistes et des représentants de l'OSCE se déplacent librement", a affirmé le général Guerassimov.
"Il faut également tenir compte du fait que ce territoire est constamment surveillé par des Etats occidentaux à l'aide de moyens de contrôle et de reconnaissance spatiale", a conclu le chef de l'état-major russe.
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La dernière attaque terroriste tchétchène en Russie présente toutes les caractéristiques du « made in USA » [New Eastern Outlook]
10 décembre, 2014 Posté par Ender sous les moutons enragés
Les dernières attaques terroristes en Russie ne sont pas en elles-mêmes, des phénomènes nouveaux. Elles doivent sembler singulières à ceux qui en ont souffert, mais elles ne sont pas différentes de nombreuses attaques antérieures. Ce qui est nouveau c’est que le monde pourrait finalement se réveiller et se rendre compte de ce qui se passe en réalité.
Le grand programme de déstabilisation de la Fédération de Russie et de ses alliés a constitué une caractéristique sous-jacente des relations internationales depuis la fin de la guerre froide. L’ouest à passé tellement d’années à entraîner ses armées pour attaquer « l’empire du mal » qu’il s’est retrouvé complètement désemparé lorsque l’Union Soviétique implosa. L’ouest continue à justifier son existence en inventant de nouveaux ennemis et en essayant de les détruire toujours selon le même scénario. Il n’y a même pas besoin de fournir des motifs valables : il suffit d’entretenir cet état d’esprit au sein de l’armée.
Lorsque vous ne pouvez pas attaquer un théâtre d’opération avec des troupes régulières, vous employez des mercenaires dont vous pouvez vous laver les mains : c’est le principe du terrorisme sponsorisé par un état, un terme utilisé par les USA pour désigner les groupes qu’il utilise pour amorcer des conflits.
10 décembre, 2014 Posté par Ender sous les moutons enragés
Les dernières attaques terroristes en Russie ne sont pas en elles-mêmes, des phénomènes nouveaux. Elles doivent sembler singulières à ceux qui en ont souffert, mais elles ne sont pas différentes de nombreuses attaques antérieures. Ce qui est nouveau c’est que le monde pourrait finalement se réveiller et se rendre compte de ce qui se passe en réalité.
Le grand programme de déstabilisation de la Fédération de Russie et de ses alliés a constitué une caractéristique sous-jacente des relations internationales depuis la fin de la guerre froide. L’ouest à passé tellement d’années à entraîner ses armées pour attaquer « l’empire du mal » qu’il s’est retrouvé complètement désemparé lorsque l’Union Soviétique implosa. L’ouest continue à justifier son existence en inventant de nouveaux ennemis et en essayant de les détruire toujours selon le même scénario. Il n’y a même pas besoin de fournir des motifs valables : il suffit d’entretenir cet état d’esprit au sein de l’armée.
Lorsque vous ne pouvez pas attaquer un théâtre d’opération avec des troupes régulières, vous employez des mercenaires dont vous pouvez vous laver les mains : c’est le principe du terrorisme sponsorisé par un état, un terme utilisé par les USA pour désigner les groupes qu’il utilise pour amorcer des conflits.
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Ukraine: 15 mds USD nécessaires pour éviter l'effondrement (FT)
© International Monetary Fund
Le Fonds monétaire international (FMI) estime que l'Ukraine a besoin de 15 milliards de dollars supplémentaires pour éviter un effondrement financier, rapporte mercredi le journal britannique Financial Times.
Ce besoin est dicté par la contraction de 7% du PIB national ainsi que par la baisse des exportations ukrainiennes vers la Russie, qui ont accéléré la fuite des capitaux du pays et entraîné une réduction des réserves de la Banque centrale.
Sans cette aide supplémentaire, Kiev devrait procéder à de coupes budgétaires massives ou faire défaut sur sa dette publique, indique le quotidien.
Auparavant, le Fonds a approuvé l'octroi de 17 milliards de dollars pour aider l'Ukraine à stabiliser son budget sur fond de profonde crise socio-politique et économique. Kiev a déjà reçu les deux premières tranches du crédit promis par le FMI (3,2 + 1,4 mds USD).
L'allocation ultérieure de fonds dépend des progrès réalisés par les autorités ukrainiennes dans la mise en œuvre de réformes économiques.
© International Monetary Fund
Le Fonds monétaire international (FMI) estime que l'Ukraine a besoin de 15 milliards de dollars supplémentaires pour éviter un effondrement financier, rapporte mercredi le journal britannique Financial Times.
Ce besoin est dicté par la contraction de 7% du PIB national ainsi que par la baisse des exportations ukrainiennes vers la Russie, qui ont accéléré la fuite des capitaux du pays et entraîné une réduction des réserves de la Banque centrale.
Sans cette aide supplémentaire, Kiev devrait procéder à de coupes budgétaires massives ou faire défaut sur sa dette publique, indique le quotidien.
Auparavant, le Fonds a approuvé l'octroi de 17 milliards de dollars pour aider l'Ukraine à stabiliser son budget sur fond de profonde crise socio-politique et économique. Kiev a déjà reçu les deux premières tranches du crédit promis par le FMI (3,2 + 1,4 mds USD).
L'allocation ultérieure de fonds dépend des progrès réalisés par les autorités ukrainiennes dans la mise en œuvre de réformes économiques.
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L'UE envisage d'accorder à Kiev une 3e tranche d'aide macrofinancière
BRUXELLES, 9 décembre - RIA Novosti
La Commission européenne étudie la possibilité d'une nouvelle aide macrofinancière à l'économie ukrainienne qui traverse une période critique, a indiqué mardi le commissaire européen aux Affaires économiques Pierre Moscovici.
"Nous étudions la possibilité d'un troisième programme d'aide macrofinancière", a déclaré le commissaire européen lors d'une conférence de presse.
Selon lui, cette aide sera nécessairement liée à la "capacité des autorités ukrainiennes à mener des réformes après une période d'instabilité politique", ainsi qu'à la capacité de l'Union européenne à trouver des ressources.
Début décembre, l'UE a accordé à l'Ukraine la deuxième tranche d'aide financière pour un montant de 500 millions d'euros. Cette somme est venue compléter les 260 millions d'euros débloqués en novembre dans le cadre de la coopération financière entre Kiev et Bruxelles.
Pour Mosco c'est la France qui paye vu qu'il n'est plus aux affaires en France? Merci hollande!
BRUXELLES, 9 décembre - RIA Novosti
La Commission européenne étudie la possibilité d'une nouvelle aide macrofinancière à l'économie ukrainienne qui traverse une période critique, a indiqué mardi le commissaire européen aux Affaires économiques Pierre Moscovici.
"Nous étudions la possibilité d'un troisième programme d'aide macrofinancière", a déclaré le commissaire européen lors d'une conférence de presse.
Selon lui, cette aide sera nécessairement liée à la "capacité des autorités ukrainiennes à mener des réformes après une période d'instabilité politique", ainsi qu'à la capacité de l'Union européenne à trouver des ressources.
Début décembre, l'UE a accordé à l'Ukraine la deuxième tranche d'aide financière pour un montant de 500 millions d'euros. Cette somme est venue compléter les 260 millions d'euros débloqués en novembre dans le cadre de la coopération financière entre Kiev et Bruxelles.
Pour Mosco c'est la France qui paye vu qu'il n'est plus aux affaires en France? Merci hollande!
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Un mur entre l'Ukraine et la Russie d'ici quatre ans (Iatseniouk)
© REUTERS/ Yannis Behrakis
Kiev a besoin de huit milliards de hryvnias (plus de 520 millions de dollars) et d'un délai de quatre ans pour réaliser le projet "Mur" à la frontière avec la Russie, a annoncé mardi le premier ministre ukrainien Arseni Iatseniouk.
"Le projet "barrière européenne" consistant à l'ériger et à aménager la frontière d'Etat sera réalisé (…) d'ici quatre ans. Pour cela, une agence publique chargée de l'aménagement de la frontière a été créée (…) Le coût total du projet est estimé à huit milliards de hryvnias", a indiqué le chef du gouvernement ukrainien.
Début septembre, le premier ministre ukrainien Arseni Iatseniouk a déclaré que l'Ukraine construirait une "barrière" à la frontière ukraino-russe. A ces fins, Kiev entendait attirer près de 38 millions de dollars d'investissements étrangers. Les autorités ont au départ déclaré que le mur serait érigé d'ici trois ans.
Le président ukrainien Piotr Porochenko a confirmé la possibilité d'un tel projet.
L'Ukraine traverse une période de crise politique et se trouve au bord de la faillite. Selon le gouvernement, le PIB ukrainien baissera de 5% en 2014. Le premier ministre Iatseniouk, la Banque nationale d'Ukraine et la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) s'attendent à une chute du PIB ukrainien de 7%. Les autorités du pays comptent sauver l'économie nationale grâce aux emprunts étrangers.
© REUTERS/ Yannis Behrakis
Kiev a besoin de huit milliards de hryvnias (plus de 520 millions de dollars) et d'un délai de quatre ans pour réaliser le projet "Mur" à la frontière avec la Russie, a annoncé mardi le premier ministre ukrainien Arseni Iatseniouk.
"Le projet "barrière européenne" consistant à l'ériger et à aménager la frontière d'Etat sera réalisé (…) d'ici quatre ans. Pour cela, une agence publique chargée de l'aménagement de la frontière a été créée (…) Le coût total du projet est estimé à huit milliards de hryvnias", a indiqué le chef du gouvernement ukrainien.
Début septembre, le premier ministre ukrainien Arseni Iatseniouk a déclaré que l'Ukraine construirait une "barrière" à la frontière ukraino-russe. A ces fins, Kiev entendait attirer près de 38 millions de dollars d'investissements étrangers. Les autorités ont au départ déclaré que le mur serait érigé d'ici trois ans.
Le président ukrainien Piotr Porochenko a confirmé la possibilité d'un tel projet.
L'Ukraine traverse une période de crise politique et se trouve au bord de la faillite. Selon le gouvernement, le PIB ukrainien baissera de 5% en 2014. Le premier ministre Iatseniouk, la Banque nationale d'Ukraine et la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) s'attendent à une chute du PIB ukrainien de 7%. Les autorités du pays comptent sauver l'économie nationale grâce aux emprunts étrangers.
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Règlement en Ukraine: entretiens Hollande-Merkel
© REUTERS/ Antonio Bronic
Le président français François Hollande et la chancelière allemande Angela Merkel se sont entretenus au téléphone du règlement de la crise en Ukraine, rapporte dimanche l'Elysée dans un communiqué de presse.
Le chef d'Etat français "a évalué avec Angela Merkel les perspectives de progrès qui sont apparues" dans la résolution du conflit ukrainien et réfléchi avec elle aux moyens de les consolider, lit-on dans le document.
M.Hollande et Mme Merkel sont convenus de "continuer d'agir ensemble dans ce sens", indique l'Elysée.
Samedi 6 décembre, François Hollande a fait une escale impromptue à Moscou en revenant d'une visite au Kazakhstan pour s'entretenir avec le président russe Vladimir Poutine. A l'issue de discussions, les deux dirigeants ont émis l'espoir qu'un cessez-le-feu pourrait être rapidement appliqué et respecté dans l'est de l'Ukraine.
© REUTERS/ Antonio Bronic
Le président français François Hollande et la chancelière allemande Angela Merkel se sont entretenus au téléphone du règlement de la crise en Ukraine, rapporte dimanche l'Elysée dans un communiqué de presse.
Le chef d'Etat français "a évalué avec Angela Merkel les perspectives de progrès qui sont apparues" dans la résolution du conflit ukrainien et réfléchi avec elle aux moyens de les consolider, lit-on dans le document.
M.Hollande et Mme Merkel sont convenus de "continuer d'agir ensemble dans ce sens", indique l'Elysée.
Samedi 6 décembre, François Hollande a fait une escale impromptue à Moscou en revenant d'une visite au Kazakhstan pour s'entretenir avec le président russe Vladimir Poutine. A l'issue de discussions, les deux dirigeants ont émis l'espoir qu'un cessez-le-feu pourrait être rapidement appliqué et respecté dans l'est de l'Ukraine.
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