CAC 40: 4e baisse de rang, les TLTRO déçoivent.
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Vous voyez où mène la politique de la zone euro , à la montée du populisme .
Que l' on ne jette pas la pierre au cou à Madame Merkel , beaucoup d' entre vous pensent qu 'elle est responsable du naufrage que nous connaissons , ce sont les pays en premier lieu qui sont responsables , on a du mal à comprendre que les uns paient pour les autres qui ne se réforment pas , il y a une telle disparité de pays dans cette zone euro que rien ne peut marcher tant les écarts entre pays sont importants
Que l' on ne jette pas la pierre au cou à Madame Merkel , beaucoup d' entre vous pensent qu 'elle est responsable du naufrage que nous connaissons , ce sont les pays en premier lieu qui sont responsables , on a du mal à comprendre que les uns paient pour les autres qui ne se réforment pas , il y a une telle disparité de pays dans cette zone euro que rien ne peut marcher tant les écarts entre pays sont importants
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Tant mieux si l'Europe est foutue. On pourra en refaire une autre bien meilleure avec d'autres personnes si possible et élus par le peuple pas par les politiques tous atlantistes! 
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Pas de carburant à la pompe?
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Quand ceci ne marche pas , c' est bien la preuve que la machine est grippée , d' ailleurs on attend tous la mise en oeuvre du papier hygiénique du docteur house de la zone euro , lui va s' occuper de nous administrer les soins palliatifs .
C' est là dessus que comptent les camarades haussiers du forum , le papier hygiénique , moi je suis haussier par la force du papier hygiénique , des paroles , des graphiques que nous offrent les banques centrales !
On attend le rallye de fin d' année , bon dieu !
C' est là dessus que comptent les camarades haussiers du forum , le papier hygiénique , moi je suis haussier par la force du papier hygiénique , des paroles , des graphiques que nous offrent les banques centrales !
On attend le rallye de fin d' année , bon dieu !
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L' Allemagne c' est le pilier de la zone euro , c' est le moteur , c' est elle qui finance en grande partie les dérapages des uns et des autres et elle en a MARRE de payer , elle a raison de ne pas vouloir de QE , elle sait que tout finira par capoter .
Si la BCE persiste au jeu du QE , l' Allemagne sortira de l' Euro et sans elle l' euro est mort , c' est pour çà que le DOCTEUR HOUSE TERGIVERSE dans ses décisions .
Si l' Allemagne ne finançait pas les dérapages des uns et des autre , elle pourrait investir davantage dans son propre pays , sa vertue première est un budget en équilibre ce que les autres pays ne savent pas faire
Si la BCE persiste au jeu du QE , l' Allemagne sortira de l' Euro et sans elle l' euro est mort , c' est pour çà que le DOCTEUR HOUSE TERGIVERSE dans ses décisions .
Si l' Allemagne ne finançait pas les dérapages des uns et des autre , elle pourrait investir davantage dans son propre pays , sa vertue première est un budget en équilibre ce que les autres pays ne savent pas faire
Message complété le 11/12/2014 16:57:29 par son auteur.
autres
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ET MERDE c' est toujours l' Allemagne qui paie pour les autres , je comprends bien pourquoi elle en a marre de Draghi
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Augustus
11/12/2014 14:51:29
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MAJ 
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Aprés le DOPAGE : la DECEPTION faut être sérieux ....
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(CercleFinance.com) - Quatrième séance de baisse de rang à Paris, en l'absence de catalyseur à même d'infléchir la tendance.
Vers 14h00, le CAC 40 se replie de 0,5% à 4.208 points et se rapproche donc d'une autre résistance, celle des 4.200 points.
'C'est la preuve que les inquiétudes sont foison en cette fin d'année : la politique monétaire ne donne pas de direction précise au marché, la crise de la dette souveraine ressurgit via l'intermédiaire de la Grèce et la crainte d'une faible croissance mondiale en 2015 se profile', détaille Christopher Dembik, économiste chez Saxo Banque.
C'est dans ce contexte de prudence exacerbée - et compréhensible - que s'est déroulée tout à l'heure la deuxième opération de TLTRO. La première avait été un échec et la seconde l'est également puisque 129,8 milliards d'euros 'seulement' ont été alloués par la BCE auprès des banques européennes, contre environ 150 milliards anticipés par le consensus.
'Si l'opération de TLTRO qui doit se dérouler aujourd'hui ne rencontre pas un succès suffisant auprès des banques, cela permettrait de raviver les espoirs de rachats de dette souveraine par la BCE dès le premier trimestre 2015', estimait auparavant le susnommé Christopher Dembik. D'autant que l'inflation annuelle s'est établie à seulement 0,5% en Allemagne en novembre, soit un plus bas depuis février 2010, tandis que celle de la France est passée de 0,5 à 0,4% en séquentiel, bien loin des objectifs de l'institution.
La déception suscitée par cette deuxième opération de refinancement à long terme à destination des banques du Vieux continent pourrait cependant aussi attester de la bonne santé générale du secteur et ce faisant légitimer les réticences de la BCE - ou a minima de certains des membres du conseil de gouverneurs - à lancer sans tarder un programme de 'quantitative easing'.
Alors que plusieurs données macroéconomiques américaines viendront animer la séance cet après-midi (outre les habituelles inscriptions hebdomadaires au chômage, les ventes de détail et les prix à l'importation - tous deux pour le mois de novembre - seront publiés à 14h30, tandis que les stocks des entreprises en octobre seront connus à 16h00), l'actualité est calme sur le front des valeurs.
Durement sanctionné hier, le titre Airbus Group (-5,8% à 40,7 euros) est encore bon dernier du CAC 40 au lendemain de l'évocation par son directeur financier d'un possible abandon du programme A380 avant la fin de la décennie, une vraie 'bombe' dans le Landerneau aéronautique, et du report sine die de la réception par Qatar Airways de son premier A350.
CGG abandonne pour sa part 9,6% à 7,3 euros sur des informations selon lesquelles l'Etat ne serait pas convaincu par une opération avec Technip, qui engrange a contrario 1,6% à 47,7 euros.
Copyright © 2014 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Vers 14h00, le CAC 40 se replie de 0,5% à 4.208 points et se rapproche donc d'une autre résistance, celle des 4.200 points.
'C'est la preuve que les inquiétudes sont foison en cette fin d'année : la politique monétaire ne donne pas de direction précise au marché, la crise de la dette souveraine ressurgit via l'intermédiaire de la Grèce et la crainte d'une faible croissance mondiale en 2015 se profile', détaille Christopher Dembik, économiste chez Saxo Banque.
C'est dans ce contexte de prudence exacerbée - et compréhensible - que s'est déroulée tout à l'heure la deuxième opération de TLTRO. La première avait été un échec et la seconde l'est également puisque 129,8 milliards d'euros 'seulement' ont été alloués par la BCE auprès des banques européennes, contre environ 150 milliards anticipés par le consensus.
'Si l'opération de TLTRO qui doit se dérouler aujourd'hui ne rencontre pas un succès suffisant auprès des banques, cela permettrait de raviver les espoirs de rachats de dette souveraine par la BCE dès le premier trimestre 2015', estimait auparavant le susnommé Christopher Dembik. D'autant que l'inflation annuelle s'est établie à seulement 0,5% en Allemagne en novembre, soit un plus bas depuis février 2010, tandis que celle de la France est passée de 0,5 à 0,4% en séquentiel, bien loin des objectifs de l'institution.
La déception suscitée par cette deuxième opération de refinancement à long terme à destination des banques du Vieux continent pourrait cependant aussi attester de la bonne santé générale du secteur et ce faisant légitimer les réticences de la BCE - ou a minima de certains des membres du conseil de gouverneurs - à lancer sans tarder un programme de 'quantitative easing'.
Alors que plusieurs données macroéconomiques américaines viendront animer la séance cet après-midi (outre les habituelles inscriptions hebdomadaires au chômage, les ventes de détail et les prix à l'importation - tous deux pour le mois de novembre - seront publiés à 14h30, tandis que les stocks des entreprises en octobre seront connus à 16h00), l'actualité est calme sur le front des valeurs.
Durement sanctionné hier, le titre Airbus Group (-5,8% à 40,7 euros) est encore bon dernier du CAC 40 au lendemain de l'évocation par son directeur financier d'un possible abandon du programme A380 avant la fin de la décennie, une vraie 'bombe' dans le Landerneau aéronautique, et du report sine die de la réception par Qatar Airways de son premier A350.
CGG abandonne pour sa part 9,6% à 7,3 euros sur des informations selon lesquelles l'Etat ne serait pas convaincu par une opération avec Technip, qui engrange a contrario 1,6% à 47,7 euros.
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