Marché: regards inquiets braqués sur Athènes.
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Augustus
29/12/2014 16:18:44
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Paris: encéphalogramme (presque) plat malgré la Grèce.
(CercleFinance.com) - Dans des volumes logiquement réduits en cette fin
d'année, la Bourse de Paris débute la semaine sur une note négative.
A environ 1h30 de la cloche, le CAC 40 réduit néanmoins ses pertes et
n'abandonne plus que 0,2% à 4.286 points.
Principale préoccupation macroéconomique du jour en l'absence de statistique
des deux côtés de l'Atlantique, l'élection présidentielle en Grèce est promise
à perturber les marchés sur une longue période. Le troisième et dernier tour du
scrutin n'a en effet pas permis d'élire le candidat choisi par le gouvernement,
Stavros Dimas, ci-devant commissaire européen. Il y aura donc une dissolution
et des élections législatives anticipées jugées anxiogènes voire franchement
risquées l'an prochain.
Le parti du gauche radicale Syriza jouit des faveurs des pronostics, or ce
dernier prône la fin de la politique de rigueur, avec des risques réels de
contagion à d'autres pays de l'eurozone eux aussi malmenés ces dernières
années.
Il reste qu'à court terme, les équipes de Barclays Bourse s'attendent à ce que
'les indices européens valident des signaux haussiers avant de prendre de
nouvelles positions'.
'Les volumes restent anémiques avec les congés de fin d'année et il est
difficile d'évaluer la véritable direction des marchés', indépendamment du plan
de relance de 24 milliards d'euros adopté par le gouvernement japonais ce
week-end, estime pour sa part Tony Cross, analyste chez Trustnet Direct.
De fait, rares sont les valeurs à s'illustrer. On signalera tout de même
l'évolution des bancaires en territoire négatif en raison de la susnommée crise
politique grecque. Société Générale est ainsi lanterne rouge du CAC 40,
accusant un repli de 1,9% à 34,8 euros. Crédit Agricole n'est guère mieux loti,
reculant de 0,9% à 10,7 euros.
D'abord en (légère) baisse, Publicis engrange pour sa part 0,4% environ à 60,1
euros. Le géant français de la publicité a annoncé l'extension de la période
d'offre publique pour l'acquisition de la totalité des actions en circulation
de Sapient Corporation pour un montant en numéraire de 25 dollars par action.
(CercleFinance.com) - Dans des volumes logiquement réduits en cette fin
d'année, la Bourse de Paris débute la semaine sur une note négative.
A environ 1h30 de la cloche, le CAC 40 réduit néanmoins ses pertes et
n'abandonne plus que 0,2% à 4.286 points.
Principale préoccupation macroéconomique du jour en l'absence de statistique
des deux côtés de l'Atlantique, l'élection présidentielle en Grèce est promise
à perturber les marchés sur une longue période. Le troisième et dernier tour du
scrutin n'a en effet pas permis d'élire le candidat choisi par le gouvernement,
Stavros Dimas, ci-devant commissaire européen. Il y aura donc une dissolution
et des élections législatives anticipées jugées anxiogènes voire franchement
risquées l'an prochain.
Le parti du gauche radicale Syriza jouit des faveurs des pronostics, or ce
dernier prône la fin de la politique de rigueur, avec des risques réels de
contagion à d'autres pays de l'eurozone eux aussi malmenés ces dernières
années.
Il reste qu'à court terme, les équipes de Barclays Bourse s'attendent à ce que
'les indices européens valident des signaux haussiers avant de prendre de
nouvelles positions'.
'Les volumes restent anémiques avec les congés de fin d'année et il est
difficile d'évaluer la véritable direction des marchés', indépendamment du plan
de relance de 24 milliards d'euros adopté par le gouvernement japonais ce
week-end, estime pour sa part Tony Cross, analyste chez Trustnet Direct.
De fait, rares sont les valeurs à s'illustrer. On signalera tout de même
l'évolution des bancaires en territoire négatif en raison de la susnommée crise
politique grecque. Société Générale est ainsi lanterne rouge du CAC 40,
accusant un repli de 1,9% à 34,8 euros. Crédit Agricole n'est guère mieux loti,
reculant de 0,9% à 10,7 euros.
D'abord en (légère) baisse, Publicis engrange pour sa part 0,4% environ à 60,1
euros. Le géant français de la publicité a annoncé l'extension de la période
d'offre publique pour l'acquisition de la totalité des actions en circulation
de Sapient Corporation pour un montant en numéraire de 25 dollars par action.
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Augustus
29/12/2014 15:53:11
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Le problème les gras ce n'est pas la Grèce mais bien le signal qui sera donné aux autres pays le l'union Européenne , l'effet domino ,il ne faut pas sous-estimer cela , car si un pays peut se permettre de restructurer sa dette alors je pense que les autres voudront faire de même .
Et puis pourquoi pas restructurer la dette Grecque ils le font bien pour d'autres pays pourquoi pas pour la Grèce ou les pays Européen en difficulté , enfin ce n'est qu'une hypothèse .
Et puis pourquoi pas restructurer la dette Grecque ils le font bien pour d'autres pays pourquoi pas pour la Grèce ou les pays Européen en difficulté , enfin ce n'est qu'une hypothèse .
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je pense pareil, la Grèce ne pèse en rien sur les indices, c'est intégré depuis longtemps, même une sortie de l'euro!
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Mon regard est braqué sur la MM20 journalière qui est support , la Grèce c' est du PIPEAU !
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bonjour sa ne changeras rien le marché a deja anticipé avec la grece encore une fois de plus on nous redit la même chose que la dernière fois pour en revenir a la même position on essai d affoler le marché le sort de la grece est deja tracé
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Hé, tirelire 19 ce n'est pas la zone euro qui fait payer la Grèce mais la Grèce qui fait payer la zone euro (c'est à dire l'Allemagne).
Et il est bien normal qu'en échange on lui demande plus de sérieux dans sa gestion financière NON ?
Et il est bien normal qu'en échange on lui demande plus de sérieux dans sa gestion financière NON ?
Message complété le 29/12/2014 15:00:02 par son auteur.
Message complété le 29/12/2014 15:00:37 par son auteur.
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le parti anti austérité est donné gagnant
alors que feront les bailleurs de fonds ???? le FMI ? l'UE ????
faut-il sauver le soldat grec ?
alors que feront les bailleurs de fonds ???? le FMI ? l'UE ????
faut-il sauver le soldat grec ?
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Voyons un peu de sérieux , il n' y a pratiquement aucune chance d' élire un président grec ce soir , le risque ce sont des élections législatives anticipées dans le cadre de la constitution , le parti Siriza ne veut pas sortir de l' euro , il veut renégocier la dette .
J' adore cette zone euro qui fait payer lourdement les petits pays comme la Grèce et qui épargne la France ( le gros poisson ) pour dérapage et non tenus des objectifs !
L' Europe a 2 vitesses , on ne va attaquer la France sans qu' il y est des retombées économiques sur les autres notamment l' Allemagne premier partenaire !
J' adore cette zone euro qui fait payer lourdement les petits pays comme la Grèce et qui épargne la France ( le gros poisson ) pour dérapage et non tenus des objectifs !
L' Europe a 2 vitesses , on ne va attaquer la France sans qu' il y est des retombées économiques sur les autres notamment l' Allemagne premier partenaire !
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(CercleFinance.com) - La morosité domine au sein des Bourses européennes après la longue pause de Noël : le moral des opérateurs se trouve miné par la perspective d'un échec de l'élection du président grec, perspective qui fait déjà plonger d'environ 8% la Bourse d'Athènes.
Dans son sillage, Milan abandonne 1,8%, Madrid 1,6% et Lisbonne 1,1%, Francfort 0,8%, tandis que Paris cède 0,1%, Amsterdam et Zurich se stabilisent, et que Londres et Bruxelles grappillent 0,1%. A New York vendredi, le Dow Jones a pris 0,1% et le Nasdaq 0,7%.
'Aujourd'hui, la dernière tentative pour élire un nouveau Président de la République en Grèce tiendra en haleine les quelques rares opérateurs boursiers présents sur le marché', souligne un analyste chez XTB France.
'Le scénario le plus réaliste est celui d'un échec des tractations du gouvernement grec pour imposer son candidat. Les conséquences d'un tel échec risquent d'être très lourdes pour la Grèce et pour l'ensemble de la zone euro', prévient le professionnel des marchés.
Il précise en effet que des législatives anticipées pourraient alors être remportées par Syriza, élection qui 'serait particulièrement mal vue par les créanciers internationaux de la Grèce (la Troïka), par l'Union européenne mais aussi par les investisseurs'.
La Grèce retient d'autant mieux l'attention qu'aucune donnée économique majeure n'est attendue ce lundi et que, plus largement, le calendrier statistique s'annonce dans l'ensemble assez léger d'ici le 1er janvier.
Aux Etats-Unis, sont attendus dans les prochains jours l'indice de confiance du consommateur du Conference Board, le PMI de Chicago et les promesses de ventes de logements, puis l'ISM manufacturier et les dépenses de construction après le Nouvel An.
Sur le plan des valeurs, Novartis prend 0,7% à 93 francs suisses et surperforme ainsi la tendance à Zurich, après l'homologation au Japon, vendredi dernier, du Cosentyx pour le traitement du psoriasis vulgaire et de l'arthrite psoriasique chez l'adulte.
Copyright © 2014 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Dans son sillage, Milan abandonne 1,8%, Madrid 1,6% et Lisbonne 1,1%, Francfort 0,8%, tandis que Paris cède 0,1%, Amsterdam et Zurich se stabilisent, et que Londres et Bruxelles grappillent 0,1%. A New York vendredi, le Dow Jones a pris 0,1% et le Nasdaq 0,7%.
'Aujourd'hui, la dernière tentative pour élire un nouveau Président de la République en Grèce tiendra en haleine les quelques rares opérateurs boursiers présents sur le marché', souligne un analyste chez XTB France.
'Le scénario le plus réaliste est celui d'un échec des tractations du gouvernement grec pour imposer son candidat. Les conséquences d'un tel échec risquent d'être très lourdes pour la Grèce et pour l'ensemble de la zone euro', prévient le professionnel des marchés.
Il précise en effet que des législatives anticipées pourraient alors être remportées par Syriza, élection qui 'serait particulièrement mal vue par les créanciers internationaux de la Grèce (la Troïka), par l'Union européenne mais aussi par les investisseurs'.
La Grèce retient d'autant mieux l'attention qu'aucune donnée économique majeure n'est attendue ce lundi et que, plus largement, le calendrier statistique s'annonce dans l'ensemble assez léger d'ici le 1er janvier.
Aux Etats-Unis, sont attendus dans les prochains jours l'indice de confiance du consommateur du Conference Board, le PMI de Chicago et les promesses de ventes de logements, puis l'ISM manufacturier et les dépenses de construction après le Nouvel An.
Sur le plan des valeurs, Novartis prend 0,7% à 93 francs suisses et surperforme ainsi la tendance à Zurich, après l'homologation au Japon, vendredi dernier, du Cosentyx pour le traitement du psoriasis vulgaire et de l'arthrite psoriasique chez l'adulte.
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