Airbus: aurait conclu un accord fiscal avec Londres.

TOUT A FAIT D'ACCORD , le dernier reportage sur les HOTELS PRIVES DE PARIS diffusé ces jours derniers illustre parfaitement votre propos : du luxe pour les uns , la misère pour les autres , des gamins de huit ans dans les mines ....
Un peu d'ordre a été mis et il semble difficilement concevable que pour un poste ministériel le ministre puisse se faire bâtir actuellement de telles merveilles .
Mais il ne faut pas se leurrer , je préférerai voir nos gouvernants gagner un millon d'EUROS bruts comme les patrons des grandes sociétés mais avoir des résultats que de faire un simulacre de gagne petit ,mais gorgé d'avantages, et réussir comme un gagne petit.

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@aliqujus,

Cela n'est pas le seul fait de Hollande, tous les présidents depuis Giscard d'Estaing ont fait la même chose. Plus d'impôts pour moins d'emplois.
En France, nos très chers presidents auraient proposé, plus d'impôts pour moins d'emplois, car il faut que la caste des politiques et des agences d'état vivent bien.

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¨Pas mal : réduction d'impôts contre emplois , au lieu de se balader dans le monde entier pour essayer de se tailler une veste d'homme d'état d'ampleur internationale notre Président ferait mieux de se pencher sur cette donne , plus éfficace et bien coûteuse que le garantie d'emplois via des nationalisations rampantes .
Les salariés concernés vont payer des impôts et des charges sociales au lieu de charger les budgets de dépenses.
Avec un peu de bon sens il n'est pas besoin de faire l'ENA pour comprendre çà.

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(CercleFinance.com) - Airbus aurait conclu un accord avec le gouvernement de Londres, par lequel il aurait obtenu une importante réduction d'impôts en contrepartie de garanties en termes d'emploi au Royaume Uni, d'après le Sunday Times.

Selon le média, le contribuable britannique abandonnerait des centaines de millions de livres sterling de royalties futures liées aux ailes d'avions construites à Broughton, le principal site d'Airbus outre-Manche.

Ces royalties que doit verser le constructeur aéronautique font partie d'un accord de long terme par lequel la Grande-Bretagne a financé des coûts de développement.

Or, le Sunday Times indique qu'Airbus voulait négocier une réduction de ces versements en raison du succès 'hors de contrôle' d'un des appareils concernés, l'A320.

'Airbus emploie plus de 10.000 personnes outre-Manche et fait vivre 400 sous-traitants, soit 100.000 emplois directs et indirects', rappelle Aurel BGC, ajoutant qu'Airbus n'a pas voulu faire de commentaires au journal.

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