Marché: l'euro poursuit sa dégringolade face au dollar.
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L'EURO FORT , origine de nos problèmes économiques , du chômage et de la misère qui en découle DIXIT nos gouvernants!!!
L'EURO a chuté de 1.40 à 1.06 usd soit 25 % avec des réultats que seuls nos génies de la politique n'avaient pas prévus:
hausse des importations bien au-delà de la hausse des exportations
passage à 70% des capitaux du CAC 40 entre les mains des étrangers qui profitent de la faiblesse de notre monnaie pour faire leur marché en profitant des "soldes" avec pour corollaire 75% de leurs activités en dehors de la FANCE : après la fuite des capitaux , des cerveaux voici celle des bijoux de la famille.
Le montant des charges transforme nos sous-payés de l'industrie en travailleurs hautement qualifiés dans les prix de revient ce qui contraint les entreprises à importer les sous-ensembles , mais ils coûtent de plus en plus chers avec la baisse de l'EURO.
Un seul poste tient bien la route : les frais politiques de nos dirigeants : augmentation du nombre , cf les départementales , les salaires et les ...à côtés .
Baisser les contributions des collectivités , sécu ... est un jeu de dupe car la nation n'économise pas un centime se contentant de déplacer les problèmes car , en définitive c'est le contribuables qui régle.
L'EURO a chuté de 1.40 à 1.06 usd soit 25 % avec des réultats que seuls nos génies de la politique n'avaient pas prévus:
hausse des importations bien au-delà de la hausse des exportations
passage à 70% des capitaux du CAC 40 entre les mains des étrangers qui profitent de la faiblesse de notre monnaie pour faire leur marché en profitant des "soldes" avec pour corollaire 75% de leurs activités en dehors de la FANCE : après la fuite des capitaux , des cerveaux voici celle des bijoux de la famille.
Le montant des charges transforme nos sous-payés de l'industrie en travailleurs hautement qualifiés dans les prix de revient ce qui contraint les entreprises à importer les sous-ensembles , mais ils coûtent de plus en plus chers avec la baisse de l'EURO.
Un seul poste tient bien la route : les frais politiques de nos dirigeants : augmentation du nombre , cf les départementales , les salaires et les ...à côtés .
Baisser les contributions des collectivités , sécu ... est un jeu de dupe car la nation n'économise pas un centime se contentant de déplacer les problèmes car , en définitive c'est le contribuables qui régle.
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retour à la case départ ???
http://www.lepoint.fr/economie/l-euro-tombe-sous-le-seuil-de-1-10-dollar-05-03-2015-1910374_28.php
http://www.lepoint.fr/economie/l-euro-tombe-sous-le-seuil-de-1-10-dollar-05-03-2015-1910374_28.php
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Berkel
10/03/2015 12:59:30
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(CercleFinance.com) - L'euro poursuit sa dégringolade par rapport au billet vert et se traite 1,075 dollar, à comparer à 1,085 dollar la veille au soir, sur fond d'un regain de tensions entre Athènes et Bruxelles sur le dossier de la dette grecque.
'Le président de l'Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem, a réaffirmé la position forte des pays membres, à savoir aucun déblocage des fonds anticipés avant la mise en oeuvre de réformes', rappelle-t-on chez Saxo Banque.
'De nombreux articles en circulation suggèrent que la Grèce va manquer de liquidités dans les prochaines semaines si le budget n'est pas approuvé', note de son côté Nour Al-Hammoury, stratégiste de marchés chez ADS Securities.
'Les coûts d'un Grexit sont potentiellement considérables pour la Grèce, mais aussi pour la zone euro. Au-delà des pertes financières sèches, un Grexit détruirait l'idée que l'appartenance à l'union monétaire est irrévocable', soulignait BNP Paribas lundi après-midi.
Ce contexte préoccupant pèse donc sur la monnaie unique, d'autant plus que la BCE a lancé lundi son programme d'assouplissement quantitatif, c'est-à-dire de rachats massifs d'actifs, pour 60 milliards d'euros par mois au moins jusqu'à fin septembre 2016.
Toujours par rapport à lundi soir, l'euro-yen abandonne 0,8% à 130,5, tandis que le dollar-yen s'apprécie timidement de 0,1% à près de 121,4. L'euro-livre sterling recule de 0,4% à 0,714 et l'euro-franc suisse, de 0,2% à 1,067.
Copyright © 2015 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
'Le président de l'Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem, a réaffirmé la position forte des pays membres, à savoir aucun déblocage des fonds anticipés avant la mise en oeuvre de réformes', rappelle-t-on chez Saxo Banque.
'De nombreux articles en circulation suggèrent que la Grèce va manquer de liquidités dans les prochaines semaines si le budget n'est pas approuvé', note de son côté Nour Al-Hammoury, stratégiste de marchés chez ADS Securities.
'Les coûts d'un Grexit sont potentiellement considérables pour la Grèce, mais aussi pour la zone euro. Au-delà des pertes financières sèches, un Grexit détruirait l'idée que l'appartenance à l'union monétaire est irrévocable', soulignait BNP Paribas lundi après-midi.
Ce contexte préoccupant pèse donc sur la monnaie unique, d'autant plus que la BCE a lancé lundi son programme d'assouplissement quantitatif, c'est-à-dire de rachats massifs d'actifs, pour 60 milliards d'euros par mois au moins jusqu'à fin septembre 2016.
Toujours par rapport à lundi soir, l'euro-yen abandonne 0,8% à 130,5, tandis que le dollar-yen s'apprécie timidement de 0,1% à près de 121,4. L'euro-livre sterling recule de 0,4% à 0,714 et l'euro-franc suisse, de 0,2% à 1,067.
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