Quand le dragon chinois tient l'aigle américain par la queue...
On ne peut pas indéfiniment contourner les chiffres et avoir constamment un langage officiel éloigné de la réalité économique.
La Chine est actuellement secoué par plusieurs séismes qui taisent leurs noms : après l'interdiction des bitcoins et de cryptomonnaies, elle s'est attaquée courant janvier aux fermes de "mining" des cryptomonnaies cherchant à détruire les économies parallèles qui se développent.
Un autre signe qui ne trompe pas sur l'état de santé économique du colosse aux pieds d'argile, c'est la baisse importante de l'excédent extérieur. Ce fait est important car c'est une artère importante des voies respiratoires en terme d'économie intérieure, de production et de rentrées de devises étrangères.
Et donc manifestement, il faut y voir que les chinois comme les autres populations ont envie de consommer autre chose que "Made in Chine" et autres "Made in RPC"...
On serait donc à un tournant économique dans l'essor de la Chine : la conséquence dans les mois qui viennent pourrait être la reprise de la tendance baissière de la croissance trimestrielle chinoise. ça ne serait pas une bonne nouvelle, mais heureusement le reste de l'économie mondiale est mieux portant....
Et pourtant afin de s'attribuer tous les mérites, les USA et son canard laqué à mèche jaune "twitteroman" de première n'en finissent pas de critiquer cette Chine dont ils ne peuvent se passer pour redonner espoir à des millions d'américains défavorisés : un paroxysme de plus au pays du capital radieux qui pourrait se voir radié s'il n'y prend pas garde.
N'oublions pas encore que la bonne vitalité des USA est en partie soutenue par la Chine, c'est le principe des vases communiquants économiques : Autrement-dit, le dragon chinois tient l'aigle américain par la queue... Souhaitons que lesdits vases, une nuit, ne finissent pas dans les latrines des spéculateurs...
Notons dans cet article de l'AFP " Chine: envolée des importations en janvier, l'excédent commercial s'effondre" que :
"La Chine a vu ses importations s'envoler trois fois plus qu'attendu en janvier, réduisant de moitié son colossal excédent commercial, à l'heure où Pékin se dit "inquiet" des frictions croissantes dans les échanges sino-américains.
Le géant asiatique a vu ses importations bondir de 36,9% sur un an le mois dernier, selon des chiffres des douanes publiés jeudi, une accélération spectaculaire après une hausse de 4,5% en décembre, et très loin de la prévision des experts sondés par Bloomberg (+10,6%).
En même temps, les exportations du pays, principale puissance marchande du globe avec les Etats-Unis, ont continué de progresser solidement (+11,1%), peu ou prou au même rythme qu'en décembre et légèrement mieux qu'attendu, reflétant une forte demande internationale.
Conséquence mécanique du bond des importations: l'excédent commercial chinois, objet de vives controverses en Occident, s'est effondré à 20,34 milliards de dollars, contre 54,7 milliards en décembre.
Les Etats-Unis en ont profité, même si dans une moindre mesure: leur déficit commercial avec la Chine a fondu à 21,9 milliards de dollars, contre 25,6 milliards en décembre.
Il avait atteint pour 2017 un niveau record (375,2 milliards de dollars selon Washington, ou 275,8 milliards selon les douanes chinoises): le président américain Donald Trump fustige volontiers ce déséquilibre, dont il a fait un cheval de bataille.
- Nouvel an lunaire -
Cette chute de l'excédent chinois pourrait cependant s'avérer éphémère: l'envolée des importations s'explique en partie par le décalage calendaire des long congés du Nouvel an lunaire, qui tomberont cette année mi-février, bien plus tard qu'en 2017.
Avant ces vacances, on assiste habituellement à un pic de la consommation, tandis que les usines accélèrent leur activité pour boucler leurs commandes.
Une inhabituelle vague de froid hivernal et une demande accrue de matières premières, notamment de pétrole, ont également contribué à gonfler les importations, commente Betty Wang, économiste de la banque ANZ.
Même ton positif sur les exportations: leur croissance meilleure qu'attendu "suggère que la reprise de la demande mondiale se poursuit", avec une embellie de la conjoncture aux Etats-Unis et dans l'Union européenne, principaux partenaires commerciaux de la Chine, observe Mme Wang.
Après le rebond vigoureux du commerce extérieur chinois en 2017, "les chiffres de jeudi témoignent d'un solide début d'année", renchérit Julian Evans-Pritchard, analyste du cabinet Capital Economics.
Non sans réserve: "Ces chiffres doivent être traités avec prudence", car il est "difficile d'écarter les distorsions" dues au Nouvel an lunaire, a-t-il insisté.
- Représailles sur le soja? -
De même, Betty Wang pointe les "incertitudes sur les échanges sino-américains", menacés "à court terme" par une possible "escalade des tensions commerciales entre les deux pays".
Fustigeant la politique "protectionniste" du régime communiste, Washington multiplie les enquêtes, mesures anti-subventions et droits antidumping contre des produits chinois, ciblant l'aluminium, l'acier, le contreplaqué, ou plus récemment des panneaux solaires et machines à laver.
"On assiste à une inflation grandissante des enquêtes (commerciales) aux Etats-Unis. La Chine est très inquiète à ce sujet", a affirmé jeudi Gao Feng, porte-parole du ministère du Commerce, lors d'une conférence de presse.
Pékin a annoncé l'ouverture d'une enquête antidumping sur le sorgho américain (AFP/Archives/PABLO PORCIUNCULA)
"Nous espérons travailler avec les Etats-Unis pour régler de façon appropriée nos différends (...) de sorte que les frictions commerciales ne se transforment pas en tempête", avertit-il.
Or, même si elle se défend de toute stratégie de représailles, la Chine semble tentée de répliquer en s'attaquant aux exportations agricoles des Etats-Unis.
Pékin a annoncé dimanche l'ouverture d'une enquête antidumping sur le sorgho américain, dont la Chine a importé l'an dernier pour 1 milliard de dollars.
Et selon plusieurs médias, le régime réfléchit à lancer des procédures similaires à l'encontre du soja et du coton. L'enjeu est de taille: la Chine a acheté en 2017 pour 14 milliards de dollars de soja américain.
Interrogé sur ces informations, Gao Feng n'a rien démenti: des entreprises chinoises "ont effectivement évoqué des problèmes dans les échanges sino-américains" et "s'inquiètent de l'impact des produits agricoles importés" des Etats-Unis, a-t-il noté.
Avant, néanmoins, d'assurer que ces questions agricoles "n'ont aucun lien avec les récentes frictions commerciales" bilatérales.
Pour autant, insiste Betty Wang, "on ne peut exclure que Pékin adopte des mesures de rétorsion visant l'agriculture. En particulier sur le soja".
Article "Chine: envolée des importations en janvier, l'excédent commercial s'effondre"
https://www.abcbourse.com/marches/chine-envolee-des-importations-en-janvier-l-excedent-commercial-s-effondre_425586_PX1p
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On ne peut pas indéfiniment contourner les chiffres et avoir constamment un langage officiel éloigné de la réalité économique.
La Chine est actuellement secoué par plusieurs séismes qui taisent leurs noms : après l'interdiction des bitcoins et de cryptomonnaies, elle s'est attaquée courant janvier aux fermes de "mining" des cryptomonnaies cherchant à détruire les économies parallèles qui se développent.
Un autre signe qui ne trompe pas sur l'état de santé économique du colosse aux pieds d'argile, c'est la baisse importante de l'excédent extérieur. Ce fait est important car c'est une artère importante des voies respiratoires en terme d'économie intérieure, de production et de rentrées de devises étrangères.
Et donc manifestement, il faut y voir que les chinois comme les autres populations ont envie de consommer autre chose que "Made in Chine" et autres "Made in RPC"...
On serait donc à un tournant économique dans l'essor de la Chine : la conséquence dans les mois qui viennent pourrait être la reprise de la tendance baissière de la croissance trimestrielle chinoise. ça ne serait pas une bonne nouvelle, mais heureusement le reste de l'économie mondiale est mieux portant....
Et pourtant afin de s'attribuer tous les mérites, les USA et son canard laqué à mèche jaune "twitteroman" de première n'en finissent pas de critiquer cette Chine dont ils ne peuvent se passer pour redonner espoir à des millions d'américains défavorisés : un paroxysme de plus au pays du capital radieux qui pourrait se voir radié s'il n'y prend pas garde.
N'oublions pas encore que la bonne vitalité des USA est en partie soutenue par la Chine, c'est le principe des vases communiquants économiques : Autrement-dit, le dragon chinois tient l'aigle américain par la queue... Souhaitons que lesdits vases, une nuit, ne finissent pas dans les latrines des spéculateurs...
Notons dans cet article de l'AFP " Chine: envolée des importations en janvier, l'excédent commercial s'effondre" que :
"La Chine a vu ses importations s'envoler trois fois plus qu'attendu en janvier, réduisant de moitié son colossal excédent commercial, à l'heure où Pékin se dit "inquiet" des frictions croissantes dans les échanges sino-américains.
Le géant asiatique a vu ses importations bondir de 36,9% sur un an le mois dernier, selon des chiffres des douanes publiés jeudi, une accélération spectaculaire après une hausse de 4,5% en décembre, et très loin de la prévision des experts sondés par Bloomberg (+10,6%).
En même temps, les exportations du pays, principale puissance marchande du globe avec les Etats-Unis, ont continué de progresser solidement (+11,1%), peu ou prou au même rythme qu'en décembre et légèrement mieux qu'attendu, reflétant une forte demande internationale.
Conséquence mécanique du bond des importations: l'excédent commercial chinois, objet de vives controverses en Occident, s'est effondré à 20,34 milliards de dollars, contre 54,7 milliards en décembre.
Les Etats-Unis en ont profité, même si dans une moindre mesure: leur déficit commercial avec la Chine a fondu à 21,9 milliards de dollars, contre 25,6 milliards en décembre.
Il avait atteint pour 2017 un niveau record (375,2 milliards de dollars selon Washington, ou 275,8 milliards selon les douanes chinoises): le président américain Donald Trump fustige volontiers ce déséquilibre, dont il a fait un cheval de bataille.
- Nouvel an lunaire -
Cette chute de l'excédent chinois pourrait cependant s'avérer éphémère: l'envolée des importations s'explique en partie par le décalage calendaire des long congés du Nouvel an lunaire, qui tomberont cette année mi-février, bien plus tard qu'en 2017.
Avant ces vacances, on assiste habituellement à un pic de la consommation, tandis que les usines accélèrent leur activité pour boucler leurs commandes.
Une inhabituelle vague de froid hivernal et une demande accrue de matières premières, notamment de pétrole, ont également contribué à gonfler les importations, commente Betty Wang, économiste de la banque ANZ.
Même ton positif sur les exportations: leur croissance meilleure qu'attendu "suggère que la reprise de la demande mondiale se poursuit", avec une embellie de la conjoncture aux Etats-Unis et dans l'Union européenne, principaux partenaires commerciaux de la Chine, observe Mme Wang.
Après le rebond vigoureux du commerce extérieur chinois en 2017, "les chiffres de jeudi témoignent d'un solide début d'année", renchérit Julian Evans-Pritchard, analyste du cabinet Capital Economics.
Non sans réserve: "Ces chiffres doivent être traités avec prudence", car il est "difficile d'écarter les distorsions" dues au Nouvel an lunaire, a-t-il insisté.
- Représailles sur le soja? -
De même, Betty Wang pointe les "incertitudes sur les échanges sino-américains", menacés "à court terme" par une possible "escalade des tensions commerciales entre les deux pays".
Fustigeant la politique "protectionniste" du régime communiste, Washington multiplie les enquêtes, mesures anti-subventions et droits antidumping contre des produits chinois, ciblant l'aluminium, l'acier, le contreplaqué, ou plus récemment des panneaux solaires et machines à laver.
"On assiste à une inflation grandissante des enquêtes (commerciales) aux Etats-Unis. La Chine est très inquiète à ce sujet", a affirmé jeudi Gao Feng, porte-parole du ministère du Commerce, lors d'une conférence de presse.
Pékin a annoncé l'ouverture d'une enquête antidumping sur le sorgho américain (AFP/Archives/PABLO PORCIUNCULA)
"Nous espérons travailler avec les Etats-Unis pour régler de façon appropriée nos différends (...) de sorte que les frictions commerciales ne se transforment pas en tempête", avertit-il.
Or, même si elle se défend de toute stratégie de représailles, la Chine semble tentée de répliquer en s'attaquant aux exportations agricoles des Etats-Unis.
Pékin a annoncé dimanche l'ouverture d'une enquête antidumping sur le sorgho américain, dont la Chine a importé l'an dernier pour 1 milliard de dollars.
Et selon plusieurs médias, le régime réfléchit à lancer des procédures similaires à l'encontre du soja et du coton. L'enjeu est de taille: la Chine a acheté en 2017 pour 14 milliards de dollars de soja américain.
Interrogé sur ces informations, Gao Feng n'a rien démenti: des entreprises chinoises "ont effectivement évoqué des problèmes dans les échanges sino-américains" et "s'inquiètent de l'impact des produits agricoles importés" des Etats-Unis, a-t-il noté.
Avant, néanmoins, d'assurer que ces questions agricoles "n'ont aucun lien avec les récentes frictions commerciales" bilatérales.
Pour autant, insiste Betty Wang, "on ne peut exclure que Pékin adopte des mesures de rétorsion visant l'agriculture. En particulier sur le soja".
Article "Chine: envolée des importations en janvier, l'excédent commercial s'effondre"
https://www.abcbourse.com/marches/chine-envolee-des-importations-en-janvier-l-excedent-commercial-s-effondre_425586_PX1p
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Attention demain matin, avec la chûte de Wall street, ça devrait secouer à la baisse.
On se dirigera vers le gap à combler.
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On se dirigera vers le gap à combler.
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Mon cher Gars d'Ain,
Je reconnais que mon commentaire succint n'avait d'autres buts que de blesser. C'etait inutile, ne correspond pas de plus a ma philosophie de vie et en consequence je le retire.
Je te presentes egalement , ici , publiquement et sincerement, toutes mes excuses.
J'aurais beaucoup a dire sur la Chine et sur la presentation, ou plutot les ''interpretations occidentales'' qui sont faites sur des evenements d'ici, interpretations qui tres souvent ne correspondent absolument pas a la realite. Mais ca meriterait un livre que peut-etre un jour j'ecrirais si j'en ai le courage. En attendant je t'envoie en MP, le pourquoi de ce qui dans ton commentaire, m'a fait monter dans les tours. Libre a toi d'en faire ce que tu veux, y compris le publier.
Saches une chose me concernant: je hais litteralement, la manipulation et l'atmosphere de bashing permanent dans lesquelles nous ont plonge les medias et qui n'ont d'autres buts que de diviser les francais. Je ne suis pas dupe de ce qui se passe; a la fois ca me consterne et me mets en colere.
Je reconnais que mon commentaire succint n'avait d'autres buts que de blesser. C'etait inutile, ne correspond pas de plus a ma philosophie de vie et en consequence je le retire.
Je te presentes egalement , ici , publiquement et sincerement, toutes mes excuses.
J'aurais beaucoup a dire sur la Chine et sur la presentation, ou plutot les ''interpretations occidentales'' qui sont faites sur des evenements d'ici, interpretations qui tres souvent ne correspondent absolument pas a la realite. Mais ca meriterait un livre que peut-etre un jour j'ecrirais si j'en ai le courage. En attendant je t'envoie en MP, le pourquoi de ce qui dans ton commentaire, m'a fait monter dans les tours. Libre a toi d'en faire ce que tu veux, y compris le publier.
Saches une chose me concernant: je hais litteralement, la manipulation et l'atmosphere de bashing permanent dans lesquelles nous ont plonge les medias et qui n'ont d'autres buts que de diviser les francais. Je ne suis pas dupe de ce qui se passe; a la fois ca me consterne et me mets en colere.
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Mon cher dubaisan...
ça commençe à bien faire, la plupart de mes publications sont sourcées et chiffrées. Fais en autant et on n'en reparlera peut-être...
Je pense qu'avant de te prononcer sur les catégories auxquels j'appartiens ou je devrais appartenir... tu feras bien de dérouler le sujet dans son entier et de le lire.
Visiblement, ça contribuerait à enrichir ton niveau d'information.
Enfin, ce n'est pas parce qu'on a écorné le chef des casseroles ailleurs qu'il faut tenter de foutre la merde ici sous des prétextes diffus et non argumentés.
Si tu as des arguments démontrant le contraire, publies les : on t'attend...
Pour infos, j'ai encore en rayon :
https://www.abcbourse.com/forums/msg494038_absence-totale-de-transparence-de-l-economie-chinoise
Et aussi ça ...
On ne donne pas des nouvelles de Wang-Xiaolu, directeur de rédaction et journaliste économique chinois, emprisonné à tort comme étant le responsable du Krack Boursier de la Chine en août 2015.
https://www.abcbourse.com/forums/msg485387_intox-ou-realite-
ça commençe à bien faire, la plupart de mes publications sont sourcées et chiffrées. Fais en autant et on n'en reparlera peut-être...
Je pense qu'avant de te prononcer sur les catégories auxquels j'appartiens ou je devrais appartenir... tu feras bien de dérouler le sujet dans son entier et de le lire.
Visiblement, ça contribuerait à enrichir ton niveau d'information.
Enfin, ce n'est pas parce qu'on a écorné le chef des casseroles ailleurs qu'il faut tenter de foutre la merde ici sous des prétextes diffus et non argumentés.
Si tu as des arguments démontrant le contraire, publies les : on t'attend...
Pour infos, j'ai encore en rayon :
https://www.abcbourse.com/forums/msg494038_absence-totale-de-transparence-de-l-economie-chinoise
Et aussi ça ...
On ne donne pas des nouvelles de Wang-Xiaolu, directeur de rédaction et journaliste économique chinois, emprisonné à tort comme étant le responsable du Krack Boursier de la Chine en août 2015.
https://www.abcbourse.com/forums/msg485387_intox-ou-realite-
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''Comme vous le constaterez et alors que certains journalistes économiques chinois sont en prison pour avoir tenter de dire la vérité, on voit nettement que l'état chinois et sa banque nationale ne maîtrisent plus vraiment ce qui se passe actuellement...''
Avis d'expert..... je n'en doutes pas.
Avis d'expert..... je n'en doutes pas.
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Ah, c'est mauvais... et donc comme prévu hélas...
Petites et grandes magouilles pour sauver sa peau du dragon financier...
Comme vous le constaterez et alors que certains journalistes économiques chinois sont en prison pour avoir tenter de dire la vérité, on voit nettement que l'état chinois et sa banque nationale ne maîtrisent plus vraiment ce qui se passe actuellement...
Quand la machine s'emballe, le déraillement n'est plus très loin et la train ne desservira pas les gares de destination...
Notons que "Le volume des prêts bancaires en Chine a reculé en mars de 13% sur un mois, à l'heure où Pékin s'efforce de restreindre les risques financiers, mais les crédits liés à la finance de l'ombre non régulée ont eux bondi à un nouveau record.
Les établissements bancaires chinois ont accordé le mois dernier des prêts pour 1.020 milliards de yuans (139 milliards d'euros), contre 1.170 milliards de yuans en février et 2.030 milliards en janvier, a annoncé vendredi la banque centrale chinoise (PBOC).
Cette baisse continue reflète le resserrement du crédit mis en oeuvre par la PBOC, qui a commencé à relever ses taux courts sur le marché monétaire afin de désamorcer les risques liés à l'envolée de la dette publique et privée (qui dépasse désormais 260% du PIB).
Le souci, c'est que la "finance de l'ombre" relève la tête avec vigueur: on désigne par cette expression l'arsenal de financements disponibles en-dehors du système bancaire --via des crédits entre entreprises, auprès d'officines spécialisées ou de particuliers-- et très peu régulés.
Or, l'agrégat appelé "social financing", une mesure plus large du crédit incluant ces mécanismes, s'est établi en mars à 2.120 milliards de yuans (289 milliards d'euros), contre 1.150 milliards de yuans en février, soit une envolée de 84% sur un mois.
Certes, on reste en-deçà des 3.740 milliards de yuans que représentait cet agrégat en janvier. Mais les composantes relevant de la "finance de l'ombre" couvrent des crédits totalisant 1.240 milliards de yuans (169 milliards d'euros), accélérant pour atteindre un "niveau record", selon une analyse des données réalisée par l'agence financière Bloomberg.
Pire, le repli des prêts bancaires pourrait s'expliquer en partie par le fait que "les entreprises se tournent désormais vers la finance de l'ombre comme source de financement alternative", les banques les délaissant au profit des ménages, observe Yang Zhao, analyste de la banque Nomura.
Si la PBOC s'efforce "de restreindre le crédit, cela n'apparaît pas vraiment dans les statistiques. La création de crédit va beaucoup trop vite", résume George Magnus, professeur du China Centre de l'Université d'Oxford, cité par Bloomberg.
De façon paradoxale, la "finance de l'ombre" reste un moyen d'enrayer l'essoufflement de l'activité économique, souligne Christopher Aston, économiste indépendant basé à Shanghai.
"Les vecteurs de la finance de l'ombre dirigent des fonds vers les gouvernements locaux, pour qui c'est une source-clé de financement", indique-t-il à l'AFP. "Les autorités redoutent que, si elles étouffaient (la finance de l'ombre), la croissance du PIB s'en trouverait plombée"."
Article : "Chine: la finance de l'ombre atteint un record"
http://web2.abcbourse.com/marches/chine-la-finance-de-l-ombre-atteint-un-record_395204_PX1p
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Petites et grandes magouilles pour sauver sa peau du dragon financier...
Comme vous le constaterez et alors que certains journalistes économiques chinois sont en prison pour avoir tenter de dire la vérité, on voit nettement que l'état chinois et sa banque nationale ne maîtrisent plus vraiment ce qui se passe actuellement...
Quand la machine s'emballe, le déraillement n'est plus très loin et la train ne desservira pas les gares de destination...
Notons que "Le volume des prêts bancaires en Chine a reculé en mars de 13% sur un mois, à l'heure où Pékin s'efforce de restreindre les risques financiers, mais les crédits liés à la finance de l'ombre non régulée ont eux bondi à un nouveau record.
Les établissements bancaires chinois ont accordé le mois dernier des prêts pour 1.020 milliards de yuans (139 milliards d'euros), contre 1.170 milliards de yuans en février et 2.030 milliards en janvier, a annoncé vendredi la banque centrale chinoise (PBOC).
Cette baisse continue reflète le resserrement du crédit mis en oeuvre par la PBOC, qui a commencé à relever ses taux courts sur le marché monétaire afin de désamorcer les risques liés à l'envolée de la dette publique et privée (qui dépasse désormais 260% du PIB).
Le souci, c'est que la "finance de l'ombre" relève la tête avec vigueur: on désigne par cette expression l'arsenal de financements disponibles en-dehors du système bancaire --via des crédits entre entreprises, auprès d'officines spécialisées ou de particuliers-- et très peu régulés.
Or, l'agrégat appelé "social financing", une mesure plus large du crédit incluant ces mécanismes, s'est établi en mars à 2.120 milliards de yuans (289 milliards d'euros), contre 1.150 milliards de yuans en février, soit une envolée de 84% sur un mois.
Certes, on reste en-deçà des 3.740 milliards de yuans que représentait cet agrégat en janvier. Mais les composantes relevant de la "finance de l'ombre" couvrent des crédits totalisant 1.240 milliards de yuans (169 milliards d'euros), accélérant pour atteindre un "niveau record", selon une analyse des données réalisée par l'agence financière Bloomberg.
Pire, le repli des prêts bancaires pourrait s'expliquer en partie par le fait que "les entreprises se tournent désormais vers la finance de l'ombre comme source de financement alternative", les banques les délaissant au profit des ménages, observe Yang Zhao, analyste de la banque Nomura.
Si la PBOC s'efforce "de restreindre le crédit, cela n'apparaît pas vraiment dans les statistiques. La création de crédit va beaucoup trop vite", résume George Magnus, professeur du China Centre de l'Université d'Oxford, cité par Bloomberg.
De façon paradoxale, la "finance de l'ombre" reste un moyen d'enrayer l'essoufflement de l'activité économique, souligne Christopher Aston, économiste indépendant basé à Shanghai.
"Les vecteurs de la finance de l'ombre dirigent des fonds vers les gouvernements locaux, pour qui c'est une source-clé de financement", indique-t-il à l'AFP. "Les autorités redoutent que, si elles étouffaient (la finance de l'ombre), la croissance du PIB s'en trouverait plombée"."
Article : "Chine: la finance de l'ombre atteint un record"
http://web2.abcbourse.com/marches/chine-la-finance-de-l-ombre-atteint-un-record_395204_PX1p
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Salut, Augustus !
Je suis pas catastrophé, mais il y a un gros problème sur le Yuan, et les effets devraient être dévastateurs pour l'économie chinoise...
En début d'année très attentiste d'élection et début de mandat, on nous fait de la com , des commentaires stupides à la "twiter" et Face de bouc, mais on oublie soigneusement de parler de ce qui se passe en Asie. De nombreux fonds investis en zone pacifique / asie qui le navire : ce qui ajoute à la mise à l'eau des chaloupes...
Je pense très sérieusement que les prochaines publications économiques chinoises devraient donner du grain à moudre à un retour baissier : le dernier trimestre Chinois devrait se tenir encore car il sera moins affecté dans la durée par la baisse du yuan, mais la publication du premier trimestre et semestre 2017 chinois devrait en prendre de cours certains...
A+
Je suis pas catastrophé, mais il y a un gros problème sur le Yuan, et les effets devraient être dévastateurs pour l'économie chinoise...
En début d'année très attentiste d'élection et début de mandat, on nous fait de la com , des commentaires stupides à la "twiter" et Face de bouc, mais on oublie soigneusement de parler de ce qui se passe en Asie. De nombreux fonds investis en zone pacifique / asie qui le navire : ce qui ajoute à la mise à l'eau des chaloupes...
Je pense très sérieusement que les prochaines publications économiques chinoises devraient donner du grain à moudre à un retour baissier : le dernier trimestre Chinois devrait se tenir encore car il sera moins affecté dans la durée par la baisse du yuan, mais la publication du premier trimestre et semestre 2017 chinois devrait en prendre de cours certains...
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Augustus
09/01/2017 10:29:05
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Salut Gars n qu'est ce qu'il ce passe , tu m'as l'air catastrophé ?
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Etat d'urgence sur le yuan !
La monnaie chinoise n'en finit plus de sombrer, ce qui est préjudiciable à son commerce extérieur car les devises étrangères ne font plus carton plein. Et cela s'ajoute à la baisse importante de rythme de croissance annuelle, à la naissance tue du chômage, à a bulle immobilière persistante et aux risques importants qui pèsent sur les fonds de pension retraite à qui l'ont a demandé d'intervenir massivement pour endiguer le krack boursier chinois d'Août 2015.
Le yuan n'en finit plus de sombrer comme le montre le graphe, malgré les dévaluations surprises opérés et les interventions musclées de la banque centrale chinoise. Le dollar qui monte et qui devrait rester fort, la relance de la hausse des taux d'intérêt, la renaissance de l'inflation sur la zone $ et la zone Euro, les joutes verbales de Trumps sont autant de raison qui affaiblissent le yuan.
La banque centrale est intervenu de manière importante comme le montre le Graphe : Les bandes de Keltner, la volatilité du Yuan ont été réduites à Zéro. Mais la pression baissière continue de gronder en puissante sourdine et devrait très rapidement sonner le glas sur les abysses vers 0.13 / 0.125 $...
Graphiquement, les obliques de résistance haussière obligent la parité à descendre vers le bas. La phase de temporisation devrait rapidement prendre fin...
La MM 200 verte baissière est dominante et la MM 20 Rouge plonge. L'intervention de la BCC fait temporairement et artificiellement remonter le MACD qui devrait redécrocher à la baisse.
Notons "La Chine a abaissé lundi de quasiment 0,9% le taux de référence du yuan face au dollar, prenant le contrepied du très fort relèvement adopté vendredi, et accompagnant finalement la dépréciation persistante de sa monnaie sous forte pression des marchés.
La banque centrale chinoise (PBOC) a fixé à 6,9262 yuans pour un dollar le cours-pivot autour duquel le renminbi (autre nom du yuan) est autorisé à fluctuer face au billet vert.
Cela représente une baisse de 0,87% de ce cours-pivot par rapport à vendredi, soit le plus fort abaissement journalier décidé par l'institution depuis juin.
De quoi donner aux marchés une impression de montagnes russes: la PBOC avait relevé ce même taux-pivot de 0,92% vendredi, la plus forte hausse intervenue en un seul jour depuis 2005...
Le régime communiste continue de contrôler étroitement les mouvements financiers et la PBOC peut régler à sa guise ce cours-pivot qui encadre les fluctuations de la monnaie dans une marge de plus ou moins 2% de part et d'autre de ce taux.
La banque centrale avait tenté la semaine dernière d'offrir un vigoureux coup de pouce au renminbi, après une période où celui-ci s'enfonçait sur les marchés des changes face à un dollar revigoré.
Mais sans guère de succès.
Le fait que la PBOC abaisse à nouveau lundi le cours-pivot, cédant ainsi à la pression du marché, "montre simplement que tous ses efforts de la semaine dernière (pour faire remonter le cours dans les échanges) n'ont finalement servi à rien", indique à l'AFP Michael Every, analyste de Rabobank à Hong Kong.
"Beaucoup de gens s'attendent à ce que le yuan continue de sombrer. L'ajustement d’aujourd’hui ne fait que confirmer que l'affaiblissement va reprendre, très vite", ajoute-t-il.
De fait, la banque centrale ne peut faire abstraction des intenses pressions du marché et de la défiance générale envers le yuan, qui évoluait récemment au plus bas depuis huit ans, tutoyant les 7 yuans pour un dollar.
Le yuan s'est effondré de 7% face au billet vert en 2016, pâtissant d'un vigoureux renchérissement du dollar ainsi que d'une conjoncture toujours morose en Chine --qui incite les fortunes chinoises à transférer leurs fonds à l'étranger vers des placements plus rémunérateurs.
Le relèvements de taux de la Réserve fédérale américaine (Fed) devrait encore intensifier ces colossales fuites de capitaux (690 milliards de dollars pour les dix premiers mois de 2016, selon Bloomberg), faisant mécaniquement reculer le yuan.
Consciente du danger, la Chine a durci ses mesures pour enrayer les sorties de capitaux.
Pékin puise par ailleurs abondamment dans ses réserves de changes pour racheter des yuans et ainsi soutenir le cours: ces réserves ont ainsi fondu de 320 milliards de dollars en 2016."
La baisse du yuan devrait engendrer des surcoûts importants pour les importations chinoises libellées en dollar et accroître le déséquilibre du commerce extérieur laissant les exportations à la peine dans les prochains trimestres.
Article "La Chine abaisse le cours-pivot du yuan"
http://www.abcbourse.com/marches/la-chine-abaisse-le-cours-pivot-du-yuan_384762_PX1p
.
La monnaie chinoise n'en finit plus de sombrer, ce qui est préjudiciable à son commerce extérieur car les devises étrangères ne font plus carton plein. Et cela s'ajoute à la baisse importante de rythme de croissance annuelle, à la naissance tue du chômage, à a bulle immobilière persistante et aux risques importants qui pèsent sur les fonds de pension retraite à qui l'ont a demandé d'intervenir massivement pour endiguer le krack boursier chinois d'Août 2015.
Le yuan n'en finit plus de sombrer comme le montre le graphe, malgré les dévaluations surprises opérés et les interventions musclées de la banque centrale chinoise. Le dollar qui monte et qui devrait rester fort, la relance de la hausse des taux d'intérêt, la renaissance de l'inflation sur la zone $ et la zone Euro, les joutes verbales de Trumps sont autant de raison qui affaiblissent le yuan.
La banque centrale est intervenu de manière importante comme le montre le Graphe : Les bandes de Keltner, la volatilité du Yuan ont été réduites à Zéro. Mais la pression baissière continue de gronder en puissante sourdine et devrait très rapidement sonner le glas sur les abysses vers 0.13 / 0.125 $...
Graphiquement, les obliques de résistance haussière obligent la parité à descendre vers le bas. La phase de temporisation devrait rapidement prendre fin...
La MM 200 verte baissière est dominante et la MM 20 Rouge plonge. L'intervention de la BCC fait temporairement et artificiellement remonter le MACD qui devrait redécrocher à la baisse.
Notons "La Chine a abaissé lundi de quasiment 0,9% le taux de référence du yuan face au dollar, prenant le contrepied du très fort relèvement adopté vendredi, et accompagnant finalement la dépréciation persistante de sa monnaie sous forte pression des marchés.
La banque centrale chinoise (PBOC) a fixé à 6,9262 yuans pour un dollar le cours-pivot autour duquel le renminbi (autre nom du yuan) est autorisé à fluctuer face au billet vert.
Cela représente une baisse de 0,87% de ce cours-pivot par rapport à vendredi, soit le plus fort abaissement journalier décidé par l'institution depuis juin.
De quoi donner aux marchés une impression de montagnes russes: la PBOC avait relevé ce même taux-pivot de 0,92% vendredi, la plus forte hausse intervenue en un seul jour depuis 2005...
Le régime communiste continue de contrôler étroitement les mouvements financiers et la PBOC peut régler à sa guise ce cours-pivot qui encadre les fluctuations de la monnaie dans une marge de plus ou moins 2% de part et d'autre de ce taux.
La banque centrale avait tenté la semaine dernière d'offrir un vigoureux coup de pouce au renminbi, après une période où celui-ci s'enfonçait sur les marchés des changes face à un dollar revigoré.
Mais sans guère de succès.
Le fait que la PBOC abaisse à nouveau lundi le cours-pivot, cédant ainsi à la pression du marché, "montre simplement que tous ses efforts de la semaine dernière (pour faire remonter le cours dans les échanges) n'ont finalement servi à rien", indique à l'AFP Michael Every, analyste de Rabobank à Hong Kong.
"Beaucoup de gens s'attendent à ce que le yuan continue de sombrer. L'ajustement d’aujourd’hui ne fait que confirmer que l'affaiblissement va reprendre, très vite", ajoute-t-il.
De fait, la banque centrale ne peut faire abstraction des intenses pressions du marché et de la défiance générale envers le yuan, qui évoluait récemment au plus bas depuis huit ans, tutoyant les 7 yuans pour un dollar.
Le yuan s'est effondré de 7% face au billet vert en 2016, pâtissant d'un vigoureux renchérissement du dollar ainsi que d'une conjoncture toujours morose en Chine --qui incite les fortunes chinoises à transférer leurs fonds à l'étranger vers des placements plus rémunérateurs.
Le relèvements de taux de la Réserve fédérale américaine (Fed) devrait encore intensifier ces colossales fuites de capitaux (690 milliards de dollars pour les dix premiers mois de 2016, selon Bloomberg), faisant mécaniquement reculer le yuan.
Consciente du danger, la Chine a durci ses mesures pour enrayer les sorties de capitaux.
Pékin puise par ailleurs abondamment dans ses réserves de changes pour racheter des yuans et ainsi soutenir le cours: ces réserves ont ainsi fondu de 320 milliards de dollars en 2016."
La baisse du yuan devrait engendrer des surcoûts importants pour les importations chinoises libellées en dollar et accroître le déséquilibre du commerce extérieur laissant les exportations à la peine dans les prochains trimestres.
Article "La Chine abaisse le cours-pivot du yuan"
http://www.abcbourse.com/marches/la-chine-abaisse-le-cours-pivot-du-yuan_384762_PX1p
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Etat d'urgence sur le yuan !
La monnaie chinoise n'en finit plus de sombrer, ce qui est préjudiciable à son commerce extérieur car les devises étrangères ne font plus carton plein. Et cela s'ajoute à la baisse importante de rythme de croissance annuelle, à la naissance tue du chômage, à a bulle immobilière persistante et aux risques importants qui pèsent sur les fonds de pension retraite à qui l'ont a demandé d'intervenir massivement pour endiguer le krack boursier chinois d'Août 2015.
Le yuan n'en finit plus de sombrer comme le montre le graphe, malgré les dévaluations surprises opérés et les interventions musclées de la banque centrale chinoise. Le dollar qui monte et qui devrait rester fort, la relance de la hausse des taux d'intérêt, la renaissance de l'inflation sur la zone $ et la zone Euro, les joutes verbales de Trumps sont autant de raison qui affaiblissent le yuan.
La banque centrale est intervenu de manière importante comme le montre le Graphe : Les bandes de Keltner, la volatilité du Yuan ont été réduites à Zéro. Mais la pression baissière continue de gronder en puissante sourdine et devrait très rapidement sonner le glas sur les abysses vers 0.13 / 0.125 $...
Graphiquement, les obliques de résistance haussière obligent la parité à descendre vers le bas. La phase de temporisation devrait rapidement prendre fin...
La MM 200 verte baissière est dominante et la MM 20 Rouge plonge. L'intervention de la BCC fait temporairement et artificiellement remonter le MACD qui devrait redécrocher à la baisse.
Notons "La Chine a abaissé lundi de quasiment 0,9% le taux de référence du yuan face au dollar, prenant le contrepied du très fort relèvement adopté vendredi, et accompagnant finalement la dépréciation persistante de sa monnaie sous forte pression des marchés.
La banque centrale chinoise (PBOC) a fixé à 6,9262 yuans pour un dollar le cours-pivot autour duquel le renminbi (autre nom du yuan) est autorisé à fluctuer face au billet vert.
Cela représente une baisse de 0,87% de ce cours-pivot par rapport à vendredi, soit le plus fort abaissement journalier décidé par l'institution depuis juin.
De quoi donner aux marchés une impression de montagnes russes: la PBOC avait relevé ce même taux-pivot de 0,92% vendredi, la plus forte hausse intervenue en un seul jour depuis 2005...
Le régime communiste continue de contrôler étroitement les mouvements financiers et la PBOC peut régler à sa guise ce cours-pivot qui encadre les fluctuations de la monnaie dans une marge de plus ou moins 2% de part et d'autre de ce taux.
La banque centrale avait tenté la semaine dernière d'offrir un vigoureux coup de pouce au renminbi, après une période où celui-ci s'enfonçait sur les marchés des changes face à un dollar revigoré.
Mais sans guère de succès.
Le fait que la PBOC abaisse à nouveau lundi le cours-pivot, cédant ainsi à la pression du marché, "montre simplement que tous ses efforts de la semaine dernière (pour faire remonter le cours dans les échanges) n'ont finalement servi à rien", indique à l'AFP Michael Every, analyste de Rabobank à Hong Kong.
"Beaucoup de gens s'attendent à ce que le yuan continue de sombrer. L'ajustement d’aujourd’hui ne fait que confirmer que l'affaiblissement va reprendre, très vite", ajoute-t-il.
De fait, la banque centrale ne peut faire abstraction des intenses pressions du marché et de la défiance générale envers le yuan, qui évoluait récemment au plus bas depuis huit ans, tutoyant les 7 yuans pour un dollar.
Le yuan s'est effondré de 7% face au billet vert en 2016, pâtissant d'un vigoureux renchérissement du dollar ainsi que d'une conjoncture toujours morose en Chine --qui incite les fortunes chinoises à transférer leurs fonds à l'étranger vers des placements plus rémunérateurs.
Le relèvements de taux de la Réserve fédérale américaine (Fed) devrait encore intensifier ces colossales fuites de capitaux (690 milliards de dollars pour les dix premiers mois de 2016, selon Bloomberg), faisant mécaniquement reculer le yuan.
Consciente du danger, la Chine a durci ses mesures pour enrayer les sorties de capitaux.
Pékin puise par ailleurs abondamment dans ses réserves de changes pour racheter des yuans et ainsi soutenir le cours: ces réserves ont ainsi fondu de 320 milliards de dollars en 2016."
La baisse du yuan devrait engendrer des surcoûts importants pour les importations chinoises libellées en dollar et accroître le déséquilibre du commerce extérieur laissant les exportations à la peine dans les prochains trimestres.
Article "La Chine abaisse le cours-pivot du yuan"
http://www.abcbourse.com/marches/la-chine-abaisse-le-cours-pivot-du-yuan_384762_PX1p
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La monnaie chinoise n'en finit plus de sombrer, ce qui est préjudiciable à son commerce extérieur car les devises étrangères ne font plus carton plein. Et cela s'ajoute à la baisse importante de rythme de croissance annuelle, à la naissance tue du chômage, à a bulle immobilière persistante et aux risques importants qui pèsent sur les fonds de pension retraite à qui l'ont a demandé d'intervenir massivement pour endiguer le krack boursier chinois d'Août 2015.
Le yuan n'en finit plus de sombrer comme le montre le graphe, malgré les dévaluations surprises opérés et les interventions musclées de la banque centrale chinoise. Le dollar qui monte et qui devrait rester fort, la relance de la hausse des taux d'intérêt, la renaissance de l'inflation sur la zone $ et la zone Euro, les joutes verbales de Trumps sont autant de raison qui affaiblissent le yuan.
La banque centrale est intervenu de manière importante comme le montre le Graphe : Les bandes de Keltner, la volatilité du Yuan ont été réduites à Zéro. Mais la pression baissière continue de gronder en puissante sourdine et devrait très rapidement sonner le glas sur les abysses vers 0.13 / 0.125 $...
Graphiquement, les obliques de résistance haussière obligent la parité à descendre vers le bas. La phase de temporisation devrait rapidement prendre fin...
La MM 200 verte baissière est dominante et la MM 20 Rouge plonge. L'intervention de la BCC fait temporairement et artificiellement remonter le MACD qui devrait redécrocher à la baisse.
Notons "La Chine a abaissé lundi de quasiment 0,9% le taux de référence du yuan face au dollar, prenant le contrepied du très fort relèvement adopté vendredi, et accompagnant finalement la dépréciation persistante de sa monnaie sous forte pression des marchés.
La banque centrale chinoise (PBOC) a fixé à 6,9262 yuans pour un dollar le cours-pivot autour duquel le renminbi (autre nom du yuan) est autorisé à fluctuer face au billet vert.
Cela représente une baisse de 0,87% de ce cours-pivot par rapport à vendredi, soit le plus fort abaissement journalier décidé par l'institution depuis juin.
De quoi donner aux marchés une impression de montagnes russes: la PBOC avait relevé ce même taux-pivot de 0,92% vendredi, la plus forte hausse intervenue en un seul jour depuis 2005...
Le régime communiste continue de contrôler étroitement les mouvements financiers et la PBOC peut régler à sa guise ce cours-pivot qui encadre les fluctuations de la monnaie dans une marge de plus ou moins 2% de part et d'autre de ce taux.
La banque centrale avait tenté la semaine dernière d'offrir un vigoureux coup de pouce au renminbi, après une période où celui-ci s'enfonçait sur les marchés des changes face à un dollar revigoré.
Mais sans guère de succès.
Le fait que la PBOC abaisse à nouveau lundi le cours-pivot, cédant ainsi à la pression du marché, "montre simplement que tous ses efforts de la semaine dernière (pour faire remonter le cours dans les échanges) n'ont finalement servi à rien", indique à l'AFP Michael Every, analyste de Rabobank à Hong Kong.
"Beaucoup de gens s'attendent à ce que le yuan continue de sombrer. L'ajustement d’aujourd’hui ne fait que confirmer que l'affaiblissement va reprendre, très vite", ajoute-t-il.
De fait, la banque centrale ne peut faire abstraction des intenses pressions du marché et de la défiance générale envers le yuan, qui évoluait récemment au plus bas depuis huit ans, tutoyant les 7 yuans pour un dollar.
Le yuan s'est effondré de 7% face au billet vert en 2016, pâtissant d'un vigoureux renchérissement du dollar ainsi que d'une conjoncture toujours morose en Chine --qui incite les fortunes chinoises à transférer leurs fonds à l'étranger vers des placements plus rémunérateurs.
Le relèvements de taux de la Réserve fédérale américaine (Fed) devrait encore intensifier ces colossales fuites de capitaux (690 milliards de dollars pour les dix premiers mois de 2016, selon Bloomberg), faisant mécaniquement reculer le yuan.
Consciente du danger, la Chine a durci ses mesures pour enrayer les sorties de capitaux.
Pékin puise par ailleurs abondamment dans ses réserves de changes pour racheter des yuans et ainsi soutenir le cours: ces réserves ont ainsi fondu de 320 milliards de dollars en 2016."
La baisse du yuan devrait engendrer des surcoûts importants pour les importations chinoises libellées en dollar et accroître le déséquilibre du commerce extérieur laissant les exportations à la peine dans les prochains trimestres.
Article "La Chine abaisse le cours-pivot du yuan"
http://www.abcbourse.com/marches/la-chine-abaisse-le-cours-pivot-du-yuan_384762_PX1p
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Je constaste que si le pétrole ne remonte pas, c'est le dollar qui va remonter et cela va rendre les puits de nouveaux rentables à plus faible coût...
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Suite de l'Effet Papillon (XVI) : Un nouveau désordre monétaire important se dessine...
Si la décision d'augmenter les taux directeurs US de 0.25% était attendu. En revanche, les propos tenus lors de cette réunion ont de quoi largement inquiéter. On laisse ouvertement entendre que ce taux pourrait être à nouveau augmenté à trois reprises en 2017.
Si cela s'avérait une réalité, cela ne laisserait pas le temps aux autres monnaies de réaligner et on s'expose donc un tisque que le dollar redevient une monnaie forte. Cette logique renforcerait ainsi la faiblesse du Yuan, allant à l'encontre même des volonté exprimées par Trumps concernant le fait que trop de chose sont importés de Chine.
Ce n'est certainement pas en faisant remonter le dollar et en rendant par défaut la Chine plus compétitive que l'on devrait assurer le retour des emplois chez l'oncle SAM...
_____________________________________________________________________________
Notons "Si la décision du comité monétaire de la Fed (FOMC) de relever son taux directeur d'un quart de point était largement anticipée, le message déterminé de l'institution qui a laissé entendre que ce taux pourrait être à nouveau augmenté à trois reprises en 2017 explique l'envolée du billet vert.
"Les investisseurs qui s'attendaient à finir l'année dans le calme avant Noël ont été pris par surprise par la fermeté du message envoyé par la Fed. La hausse des taux était amplement anticipée, mais l'agenda très déterminé établi pour 2017 permet au dollar d'atteindre des plus hauts en 14 ans", a expliqué Lukman Otunuga, analyste chez FXTM.
Alors que la Banque centrale européenne a au contraire décidé de poursuivre son programme de rachat d'actifs lors de sa dernière réunion, l'euro chutait à son plus bas niveau depuis janvier 2003.
"La divergence des politiques de la BCE et de la Fed nous fait approcher des niveaux de la parité euro-dollar", a noté Michael Hewson de CMC Markets, qui note que l'instabilité politique en Europe et les inquiétudes sur le secteur bancaire devraient peser sur le cours de l'euro en 2017.
La Banque d'Angleterre (BoE) a pour sa part annoncé jeudi avoir laissé inchangée sa politique monétaire de relance, en continuant d'anticiper un net ralentissement de l'activité pour 2017 au Royaume-Uni du fait des incertitudes entourant le Brexit.
Vers 13H05 GMT, la livre britannique se stabilisait face à la monnaie européenne, à 83,86 pence pour un euro, mais reculait face au dollar, à 1,2446 dollar pour une livre, à son plus bas depuis deux semaines.
La devise suisse remontait légèrement face à l'euro, à 1,0728 franc pour un euro, mais baissait face au billet vert, à 1,0306 franc pour un dollar, après avoir atteint 1,0325 franc à 11H35 GMT, à son plus bas depuis plus d'un an.
La devise chinoise chutait face au dollar à 6,9391 yuans pour un dollar, à son plus bas depuis huit ans, contre 6,9049 yuans pour un dollar mercredi à 15H30."
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Vous remarquerez dans cet article le bref "que l'instabilité politique en Europe et les inquiétudes sur le secteur bancaire devraient peser sur le cours de l'euro en 2017". On se demande bien pourquoi donc les banques montent...
Il semble que je jeu financier soit actuellement pourri et que certains n'hésitent plus à jouer sur plusieurs tableaux sans aucun état d'âme de se qu'il pourrait en résulter. On pourrait rentrer dans une période financière très trouble...
Normalement en cas de hausse des taux, l'euro remonte au cours du semestre qui suit, mais en accélérant la cadence des hausses, il existe un risque important qu'on lui mette la tête sous l'eau. Ce qui par ailleurs devrait aussi bouleverser notre relation économique avec le Yuan...
Article "L'euro au plus bas en 14 ans face à un dollar dopé par la Fed"
http://www.abcbourse.com/marches/l-euro-au-plus-bas-en-14-ans-face-a-un-dollar-dope-par-la-fed_382643_PX1p
Si la décision d'augmenter les taux directeurs US de 0.25% était attendu. En revanche, les propos tenus lors de cette réunion ont de quoi largement inquiéter. On laisse ouvertement entendre que ce taux pourrait être à nouveau augmenté à trois reprises en 2017.
Si cela s'avérait une réalité, cela ne laisserait pas le temps aux autres monnaies de réaligner et on s'expose donc un tisque que le dollar redevient une monnaie forte. Cette logique renforcerait ainsi la faiblesse du Yuan, allant à l'encontre même des volonté exprimées par Trumps concernant le fait que trop de chose sont importés de Chine.
Ce n'est certainement pas en faisant remonter le dollar et en rendant par défaut la Chine plus compétitive que l'on devrait assurer le retour des emplois chez l'oncle SAM...
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Notons "Si la décision du comité monétaire de la Fed (FOMC) de relever son taux directeur d'un quart de point était largement anticipée, le message déterminé de l'institution qui a laissé entendre que ce taux pourrait être à nouveau augmenté à trois reprises en 2017 explique l'envolée du billet vert.
"Les investisseurs qui s'attendaient à finir l'année dans le calme avant Noël ont été pris par surprise par la fermeté du message envoyé par la Fed. La hausse des taux était amplement anticipée, mais l'agenda très déterminé établi pour 2017 permet au dollar d'atteindre des plus hauts en 14 ans", a expliqué Lukman Otunuga, analyste chez FXTM.
Alors que la Banque centrale européenne a au contraire décidé de poursuivre son programme de rachat d'actifs lors de sa dernière réunion, l'euro chutait à son plus bas niveau depuis janvier 2003.
"La divergence des politiques de la BCE et de la Fed nous fait approcher des niveaux de la parité euro-dollar", a noté Michael Hewson de CMC Markets, qui note que l'instabilité politique en Europe et les inquiétudes sur le secteur bancaire devraient peser sur le cours de l'euro en 2017.
La Banque d'Angleterre (BoE) a pour sa part annoncé jeudi avoir laissé inchangée sa politique monétaire de relance, en continuant d'anticiper un net ralentissement de l'activité pour 2017 au Royaume-Uni du fait des incertitudes entourant le Brexit.
Vers 13H05 GMT, la livre britannique se stabilisait face à la monnaie européenne, à 83,86 pence pour un euro, mais reculait face au dollar, à 1,2446 dollar pour une livre, à son plus bas depuis deux semaines.
La devise suisse remontait légèrement face à l'euro, à 1,0728 franc pour un euro, mais baissait face au billet vert, à 1,0306 franc pour un dollar, après avoir atteint 1,0325 franc à 11H35 GMT, à son plus bas depuis plus d'un an.
La devise chinoise chutait face au dollar à 6,9391 yuans pour un dollar, à son plus bas depuis huit ans, contre 6,9049 yuans pour un dollar mercredi à 15H30."
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Vous remarquerez dans cet article le bref "que l'instabilité politique en Europe et les inquiétudes sur le secteur bancaire devraient peser sur le cours de l'euro en 2017". On se demande bien pourquoi donc les banques montent...
Il semble que je jeu financier soit actuellement pourri et que certains n'hésitent plus à jouer sur plusieurs tableaux sans aucun état d'âme de se qu'il pourrait en résulter. On pourrait rentrer dans une période financière très trouble...
Normalement en cas de hausse des taux, l'euro remonte au cours du semestre qui suit, mais en accélérant la cadence des hausses, il existe un risque important qu'on lui mette la tête sous l'eau. Ce qui par ailleurs devrait aussi bouleverser notre relation économique avec le Yuan...
Article "L'euro au plus bas en 14 ans face à un dollar dopé par la Fed"
http://www.abcbourse.com/marches/l-euro-au-plus-bas-en-14-ans-face-a-un-dollar-dope-par-la-fed_382643_PX1p
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ça pourrait se gâter sévèrement "coté Péril Jaune"....
Notons "Après la victoire de M. Trump, les marchés attendent ses premières mesures. "Nous nous attendons à ce que M. Trump commence par désigner la Chine comme un manipulateur de devises et de présenter de nombreuses plaintes devant l'OMC (Organisation mondiale du commerce)", a assuré Paul Ashworth, le chef économiste de l'institut Capital Economics."
Article "Trump président: retentissante victoire contre la mondialisation"
http://www.abcbourse.com/marches/trump-president-retentissante-victoire-contre-la-mondialisation_378683_PX1p
Notons "Après la victoire de M. Trump, les marchés attendent ses premières mesures. "Nous nous attendons à ce que M. Trump commence par désigner la Chine comme un manipulateur de devises et de présenter de nombreuses plaintes devant l'OMC (Organisation mondiale du commerce)", a assuré Paul Ashworth, le chef économiste de l'institut Capital Economics."
Article "Trump président: retentissante victoire contre la mondialisation"
http://www.abcbourse.com/marches/trump-president-retentissante-victoire-contre-la-mondialisation_378683_PX1p
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En Dépit des mauvaises publications chiffrées, l'indice phare chinois remonte...
Et il faut comme ailleurs en chercher la raison dans les interventions de régulation de marché et d'achats massifs de titres par les fonds de pension retraites chinois. Pour servir les pensions, ils n'ont désormais pas d'autre solutions : il faut que ça monte que ça génère de profits sinon c'est clairement la mise en difficulté des fonds de pension retraite qui se profile.
Attention donc à la sortie de route baissière si elle souvient. Il ne vous aura sans doute pas échappé que la Chine projette d'ouvrir encore une partie de son marché action aux autres pays dont l'Europe. Et ce n'est pas pour rien : cela représente simple l'espoir de maintenir les cours à certain niveau en revendant un marché action devenu trop cher à des investisseurs pas trop regardants et heureux d'investir en Chine.
Il existe peu d'information juste et probante publié sur les valeurs chinoises, mais il existe de nombreux spéculateurs appâtés par le gains près à spéculer sur le marché chinois...
Un nouveau risque financier devrait donc prochainement faire son apparition, et quand tout cela arrivera à maturité : le château de carte pourrait menacer grandement de vaciller et de s'effondrer dans un grand fatras.
Article "La Chine libéralise un peu plus ses marchés financiers"
http://www.agefi.fr/asset-management/actualites/quotidien/20160817/chine-liberalise-peu-plus-marches-financiers-196782
Ma dernière analyse était baissière, graphiquement et suite à une publication chiffrée très négative, Mais la Chine, c'est le pays de la "Grande Marche en avant" et donc on continue quoiqu'il arrive...
Coté indicateur, ce troisième effort haussier sur le MACD est en souffrance et a du mal à produire de l'effet. On constate que cette troisième vague haussière baisse en intensité. Le RSI a été sursollicité et le momentum baisse nettement.
Notons encore que la sauce boursière chinoise est différemment appréciée : "Avec ce nouveau pont vers l’extérieur, Pékin envoie un signal d’ouverture important alors que MSCI, le premier fournisseur mondial d’indices, a refusé en juin dernier d’intégrer les actions chinoises dans ses indices."
Il va bien de nouveau à un moment ou à un autre, falloir prendre en compte une réalité économique souffrante avec des indicateurs en baisse, et en recul.
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Et il faut comme ailleurs en chercher la raison dans les interventions de régulation de marché et d'achats massifs de titres par les fonds de pension retraites chinois. Pour servir les pensions, ils n'ont désormais pas d'autre solutions : il faut que ça monte que ça génère de profits sinon c'est clairement la mise en difficulté des fonds de pension retraite qui se profile.
Attention donc à la sortie de route baissière si elle souvient. Il ne vous aura sans doute pas échappé que la Chine projette d'ouvrir encore une partie de son marché action aux autres pays dont l'Europe. Et ce n'est pas pour rien : cela représente simple l'espoir de maintenir les cours à certain niveau en revendant un marché action devenu trop cher à des investisseurs pas trop regardants et heureux d'investir en Chine.
Il existe peu d'information juste et probante publié sur les valeurs chinoises, mais il existe de nombreux spéculateurs appâtés par le gains près à spéculer sur le marché chinois...
Un nouveau risque financier devrait donc prochainement faire son apparition, et quand tout cela arrivera à maturité : le château de carte pourrait menacer grandement de vaciller et de s'effondrer dans un grand fatras.
Article "La Chine libéralise un peu plus ses marchés financiers"
http://www.agefi.fr/asset-management/actualites/quotidien/20160817/chine-liberalise-peu-plus-marches-financiers-196782
Ma dernière analyse était baissière, graphiquement et suite à une publication chiffrée très négative, Mais la Chine, c'est le pays de la "Grande Marche en avant" et donc on continue quoiqu'il arrive...
Coté indicateur, ce troisième effort haussier sur le MACD est en souffrance et a du mal à produire de l'effet. On constate que cette troisième vague haussière baisse en intensité. Le RSI a été sursollicité et le momentum baisse nettement.
Notons encore que la sauce boursière chinoise est différemment appréciée : "Avec ce nouveau pont vers l’extérieur, Pékin envoie un signal d’ouverture important alors que MSCI, le premier fournisseur mondial d’indices, a refusé en juin dernier d’intégrer les actions chinoises dans ses indices."
Il va bien de nouveau à un moment ou à un autre, falloir prendre en compte une réalité économique souffrante avec des indicateurs en baisse, et en recul.
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Suite de l'Effet Papillon (XV) : La livre égyptienne devrait perdre autour de 50% de sa valeur
L'Egypte laisse flotter sa devise pour faire face à la crise.
Le grand désordre monétaire issue la profonde et longue baisse du pétrole continue de frapper les économies des pays déjà mis en difficultés par des tensions politiques, des conflits armés, des incertitudes de pouvoir, des mouvements de guerre et des attentats à répétition.
La conséquence directe de tout ce macabre décompte est la perte directe et nette de capital touristique attrayant. Privé un pays de son tourisme s'avère une arme redoutable pour mettre en difficulté le pouvoir en place. S'en suit en général un éffondrement de la consommation intérieur, une hausse des faillites et une montée du taux de chomage....
Notons donc : "'L'Egypte a décidé jeudi de laisser flotter sa devise pour répondre à la crise monétaire aiguë qui affecte son économie et menace de relancer l'instabilité politique, plus de cinq ans après la révolution de 2011.
Cette décision devrait provoquer de fait une forte baisse, de près de 50%, de la valeur de la livre égyptienne face au dollar.
Le dollar s'échangeait jeudi à 14 livres contre 8,8 livres jusqu'à présent au taux officiel, qui se rapproche ainsi du taux sur le marché noir.
La décision intervient alors que le Fonds monétaire international (FMI) s'alarme de la "crise" monétaire que traverse la deuxième économie du monde arabe après l'Arabie saoudite.
Sa directrice générale Christine Lagarde avait suggéré la semaine dernière une dévaluation rapide de la livre et la poursuite des réformes économiques.
La décision de la banque centrale s'inscrit dans le cadre d'un ensemble de réformes liées à l'obtention d'un prêt de 12 milliards de dollars du FMI (AFP/KHALED DESOUKI)
Selon Chris Jarvis, chef de mission du FMI au Caire, cette décision "va améliorer la compétitivité extérieure de l'Egypte, soutenir les exportations, le tourisme et attirer l'investissement étranger".
Les Etats-Unis --qui fournissent une aide militaire de 1,3 milliard de dollars par an au Caire-- se sont félicités, par la voix du département d'Etat, d'une "évolution positive pour améliorer le fonctionnement des marchés des changes en Egypte et la reprise économique".
A compter de dimanche, chaque banque aura le contrôle total sur la façon de fixer ses taux de change, une décision "historique", a souligné le gouverneur de la Banque centrale Tarek Amer. La Bourse du Caire a vu son principal indice bondir de plus de 8% après l'ouverture.
Mais le contexte est difficile pour le gouvernement, confronté au risque de manifestations de masse dans un pays où 27,8% de la population vit sous le seuil de pauvreté et l'inflation atteint 14%.
La décision de la Banque centrale s'inscrit dans le cadre des réformes liées à l'obtention d'un prêt de 12 milliards de dollars (11 milliards d'euros) sur trois ans du FMI pour soutenir l'économie égyptienne. "
Inutile de préciser que que l'on agit dans l'urgence et qu'il n'a aucun garanti que le résultat soit durable pour la population...
Article "L'Egypte laisse flotter sa devise pour faire face à la crise "
http://www.abcbourse.com/marches/l-egypte-laisse-flotter-sa-devise-pour-faire-face-a-la-crise_378089_PX1p
L'Egypte laisse flotter sa devise pour faire face à la crise.
Le grand désordre monétaire issue la profonde et longue baisse du pétrole continue de frapper les économies des pays déjà mis en difficultés par des tensions politiques, des conflits armés, des incertitudes de pouvoir, des mouvements de guerre et des attentats à répétition.
La conséquence directe de tout ce macabre décompte est la perte directe et nette de capital touristique attrayant. Privé un pays de son tourisme s'avère une arme redoutable pour mettre en difficulté le pouvoir en place. S'en suit en général un éffondrement de la consommation intérieur, une hausse des faillites et une montée du taux de chomage....
Notons donc : "'L'Egypte a décidé jeudi de laisser flotter sa devise pour répondre à la crise monétaire aiguë qui affecte son économie et menace de relancer l'instabilité politique, plus de cinq ans après la révolution de 2011.
Cette décision devrait provoquer de fait une forte baisse, de près de 50%, de la valeur de la livre égyptienne face au dollar.
Le dollar s'échangeait jeudi à 14 livres contre 8,8 livres jusqu'à présent au taux officiel, qui se rapproche ainsi du taux sur le marché noir.
La décision intervient alors que le Fonds monétaire international (FMI) s'alarme de la "crise" monétaire que traverse la deuxième économie du monde arabe après l'Arabie saoudite.
Sa directrice générale Christine Lagarde avait suggéré la semaine dernière une dévaluation rapide de la livre et la poursuite des réformes économiques.
La décision de la banque centrale s'inscrit dans le cadre d'un ensemble de réformes liées à l'obtention d'un prêt de 12 milliards de dollars du FMI (AFP/KHALED DESOUKI)
Selon Chris Jarvis, chef de mission du FMI au Caire, cette décision "va améliorer la compétitivité extérieure de l'Egypte, soutenir les exportations, le tourisme et attirer l'investissement étranger".
Les Etats-Unis --qui fournissent une aide militaire de 1,3 milliard de dollars par an au Caire-- se sont félicités, par la voix du département d'Etat, d'une "évolution positive pour améliorer le fonctionnement des marchés des changes en Egypte et la reprise économique".
A compter de dimanche, chaque banque aura le contrôle total sur la façon de fixer ses taux de change, une décision "historique", a souligné le gouverneur de la Banque centrale Tarek Amer. La Bourse du Caire a vu son principal indice bondir de plus de 8% après l'ouverture.
Mais le contexte est difficile pour le gouvernement, confronté au risque de manifestations de masse dans un pays où 27,8% de la population vit sous le seuil de pauvreté et l'inflation atteint 14%.
La décision de la Banque centrale s'inscrit dans le cadre des réformes liées à l'obtention d'un prêt de 12 milliards de dollars (11 milliards d'euros) sur trois ans du FMI pour soutenir l'économie égyptienne. "
Inutile de préciser que que l'on agit dans l'urgence et qu'il n'a aucun garanti que le résultat soit durable pour la population...
Article "L'Egypte laisse flotter sa devise pour faire face à la crise "
http://www.abcbourse.com/marches/l-egypte-laisse-flotter-sa-devise-pour-faire-face-a-la-crise_378089_PX1p
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Merci pour ces news.
Ca ressemble également à un ETE avec ligne de cou autour 2950.
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Suite de l'Effet Papillon (XIV) : Risque important du dévaluation du Yuan
Un récent article vient de communiquer une hausse des prix intérieurs en Chine , signe de les entreprises ont besoin de trésorerie et le niveau de consommation doit commencer à avoir des problème de santé statistique.
Comme annoncé précédemment, une nouvelle dépréciation du yuan est à redouter afin de relancer la compétitivité de l'industrie chinoise. quand cet événement se produira, il relancera mécaniquement l'instabilité monétaire et entrainera donc modifications de parité renforçant ainsi mécaniquement le niveau de risque baissier sur les marché.
Une nouvelle dévaluation du Yuan bousculera les économies pauvres en renchérissant leur couts de production et d'exportation. Cela affaiblira la compétitivité des autres BRICS : de sorte, que l'on soit dans l'obligation de revoir à juste titre les perspectives de croissance mondiale et par zonage économique.
Ajoutons encore qu"une dévaluation de cette monnaie pèsera aussi les tentatives de relocalisation économiques en terme de compétitivité. Bref, l'agitateur du bocal économique n'en a certainement pas fini de nous faire tourner un rond....
La Chine va devoir agir rapidement car vu la taille de son économie, tout décision tardive fait varier le risque en millions et milliards de yuan. La bulle immobilière est toujours en équilibre instable,
Notons : " En septembre, les exportations chinoises ont contre toute attente baissé de 10% sur un an et les importations ont reculé de 1,9%, selon les données officielles. Ces chiffres alimentent les doutes sur la bonne santé de la deuxième économie mondiale.
Les chiffres du commerce chinois pour le mois de septembre publiés jeudi ne sont pas bons, ce qui suggère que la timide reprise que semblait avoir amorcé la deuxième économie du monde s'essouffle déjà. Ces données, décevantes pour les exportations comme pour les importations, alimentent les doutes concernant le yuan, qui a touché jeudi un creux de six ans face au dollar.
"Cela vient après des données faibles sur le commerce sud-coréen et ne peut que nous interroger sur la réalité de la croissance de la demande mondiale", explique l'économiste Luis Kujis, d'Oxford Economics à Hong Kong, cité par Reuters.
Les analystes anticipaient une baisse de 3% des exportations
Les exportations chinoises ont baissé de 10% sur un an le mois dernier et les importations ont reculé de 1,9%, indiquent les données publiées par les douanes. Les économistes interrogés par Reuters avaient anticipé un repli des exportations de 3% et une progression de 1% des importations, dans le sillage de la hausse de 1,5% enregistrée en août. L'excédent commercial s'établit 41,99 milliards de dollars (38,06 milliards d'euros) en septembre, contre un consensus de 53 milliards.
La publication de ces chiffres a fait chuter les valeurs asiatiques à un creux de trois semaines. Les contrats à terme sur les indices de Wall Street et les rendements des obligations ont également reculé, de même que le cours du cuivre."
Graphiquement, le RSI replonge, les Stochastiques s'apprètent à passer baissier et devraient entrainer le MACD.
Le graphe montre bien comme sur le CAC et le Dow Jones que malgré les effort d'interventions de régulation des banques centrales. Les 3 indices à suivre de la planète sont sur la mauvaise pente...
Attention donc aux mouvements de fin d'année dont il pourrait résulter, on est en effet sur un mauvais timing de performance annuelle pour la finance et on voulait profiter d'octobre pour relancer la hausse : elle est actuellement cuite... Reste donc la spéculation à la baisse...
Article "La baisse du commerce extérieur chinois inquiète sérieusement"
http://www.latribune.fr/economie/international/la-baisse-du-commerce-exterieur-chinois-inquiete-serieusement-607537.html
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Un récent article vient de communiquer une hausse des prix intérieurs en Chine , signe de les entreprises ont besoin de trésorerie et le niveau de consommation doit commencer à avoir des problème de santé statistique.
Comme annoncé précédemment, une nouvelle dépréciation du yuan est à redouter afin de relancer la compétitivité de l'industrie chinoise. quand cet événement se produira, il relancera mécaniquement l'instabilité monétaire et entrainera donc modifications de parité renforçant ainsi mécaniquement le niveau de risque baissier sur les marché.
Une nouvelle dévaluation du Yuan bousculera les économies pauvres en renchérissant leur couts de production et d'exportation. Cela affaiblira la compétitivité des autres BRICS : de sorte, que l'on soit dans l'obligation de revoir à juste titre les perspectives de croissance mondiale et par zonage économique.
Ajoutons encore qu"une dévaluation de cette monnaie pèsera aussi les tentatives de relocalisation économiques en terme de compétitivité. Bref, l'agitateur du bocal économique n'en a certainement pas fini de nous faire tourner un rond....
La Chine va devoir agir rapidement car vu la taille de son économie, tout décision tardive fait varier le risque en millions et milliards de yuan. La bulle immobilière est toujours en équilibre instable,
Notons : " En septembre, les exportations chinoises ont contre toute attente baissé de 10% sur un an et les importations ont reculé de 1,9%, selon les données officielles. Ces chiffres alimentent les doutes sur la bonne santé de la deuxième économie mondiale.
Les chiffres du commerce chinois pour le mois de septembre publiés jeudi ne sont pas bons, ce qui suggère que la timide reprise que semblait avoir amorcé la deuxième économie du monde s'essouffle déjà. Ces données, décevantes pour les exportations comme pour les importations, alimentent les doutes concernant le yuan, qui a touché jeudi un creux de six ans face au dollar.
"Cela vient après des données faibles sur le commerce sud-coréen et ne peut que nous interroger sur la réalité de la croissance de la demande mondiale", explique l'économiste Luis Kujis, d'Oxford Economics à Hong Kong, cité par Reuters.
Les analystes anticipaient une baisse de 3% des exportations
Les exportations chinoises ont baissé de 10% sur un an le mois dernier et les importations ont reculé de 1,9%, indiquent les données publiées par les douanes. Les économistes interrogés par Reuters avaient anticipé un repli des exportations de 3% et une progression de 1% des importations, dans le sillage de la hausse de 1,5% enregistrée en août. L'excédent commercial s'établit 41,99 milliards de dollars (38,06 milliards d'euros) en septembre, contre un consensus de 53 milliards.
La publication de ces chiffres a fait chuter les valeurs asiatiques à un creux de trois semaines. Les contrats à terme sur les indices de Wall Street et les rendements des obligations ont également reculé, de même que le cours du cuivre."
Graphiquement, le RSI replonge, les Stochastiques s'apprètent à passer baissier et devraient entrainer le MACD.
Le graphe montre bien comme sur le CAC et le Dow Jones que malgré les effort d'interventions de régulation des banques centrales. Les 3 indices à suivre de la planète sont sur la mauvaise pente...
Attention donc aux mouvements de fin d'année dont il pourrait résulter, on est en effet sur un mauvais timing de performance annuelle pour la finance et on voulait profiter d'octobre pour relancer la hausse : elle est actuellement cuite... Reste donc la spéculation à la baisse...
Article "La baisse du commerce extérieur chinois inquiète sérieusement"
http://www.latribune.fr/economie/international/la-baisse-du-commerce-exterieur-chinois-inquiete-serieusement-607537.html
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Mêche baissière en cour d'allumage sur le CSS...
Comme le laissait à craindre le post précédent, la situation financière de la Chine se dégrade. C'est un peu comme un navire amiral dont certains ballasts et cales commencent à prendre l'eau, on tente de fermer des portes pour éviter d'inonder plus...
La banque centrale chinoise est bien trop sollicitée pour que l'on reste au dessus du niveau de flottaison : attention à une nouvelle rupture de support sur le CSS, depuis début haut, on s'inscrit dans un canal baissier qui ne fait que baisser (voir post précédent).
Notons donc que "La banque centrale chinoise (PBOC) a abaissé le cours de référence du yuan à un niveau plus vu depuis septembre 2010 face à un dollar revigoré et sur fond de fuites de capitaux qui maintiennent la pression sur la monnaie chinoise.
La PBOC a fixé à 6,7008 yuans pour un dollar le cours pivot autour duquel le renminbi, autre nom du yuan, est autorisé à fluctuer face au billet vert, dans une marge de plus ou moins 2% de part et d'autre. C'est la première fois depuis six ans que ce taux dépasse les 6,7 yuans.
Alors que les marchés chinois reprenaient les échanges après une semaine d'interruption pour la fête nationale, la monnaie a glissé dans la matinée jusqu'à 6,7051 yuans pour un dollar, selon Bloomberg, un nouveau plus bas depuis six ans.
"C'est le premier jour de reprise. Or pendant les vacances de la fête nationale, le dollar s'est pas mal renforcé. La baisse d'aujourd'hui peut être vue comme une correction", explique à l'AFP Lu Zhengwei, économiste de l'Industrial Bank."
A SURVEILLER : reprise des cotations sur le CSS après une semaine d'arrêt pour cause de fête nationale
La bulle spéculative immobilière continue de peser lourdement sur les marchés asiatiques. D'autre part, on continue d'assister à ds transferts de production industrielles vers des pays plus pauvres à bas coût salarial tels les pays d'affrique...
Article "La Chine abaisse le cours pivot du yuan à son plus bas niveau depuis six ans"
http://www.abcbourse.com/marches/la-chine-abaisse-le-cours-pivot-du-yuan-a-son-plus-bas-niveau-depuis-six-ans_375357_PX1p
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Comme le laissait à craindre le post précédent, la situation financière de la Chine se dégrade. C'est un peu comme un navire amiral dont certains ballasts et cales commencent à prendre l'eau, on tente de fermer des portes pour éviter d'inonder plus...
La banque centrale chinoise est bien trop sollicitée pour que l'on reste au dessus du niveau de flottaison : attention à une nouvelle rupture de support sur le CSS, depuis début haut, on s'inscrit dans un canal baissier qui ne fait que baisser (voir post précédent).
Notons donc que "La banque centrale chinoise (PBOC) a abaissé le cours de référence du yuan à un niveau plus vu depuis septembre 2010 face à un dollar revigoré et sur fond de fuites de capitaux qui maintiennent la pression sur la monnaie chinoise.
La PBOC a fixé à 6,7008 yuans pour un dollar le cours pivot autour duquel le renminbi, autre nom du yuan, est autorisé à fluctuer face au billet vert, dans une marge de plus ou moins 2% de part et d'autre. C'est la première fois depuis six ans que ce taux dépasse les 6,7 yuans.
Alors que les marchés chinois reprenaient les échanges après une semaine d'interruption pour la fête nationale, la monnaie a glissé dans la matinée jusqu'à 6,7051 yuans pour un dollar, selon Bloomberg, un nouveau plus bas depuis six ans.
"C'est le premier jour de reprise. Or pendant les vacances de la fête nationale, le dollar s'est pas mal renforcé. La baisse d'aujourd'hui peut être vue comme une correction", explique à l'AFP Lu Zhengwei, économiste de l'Industrial Bank."
A SURVEILLER : reprise des cotations sur le CSS après une semaine d'arrêt pour cause de fête nationale
La bulle spéculative immobilière continue de peser lourdement sur les marchés asiatiques. D'autre part, on continue d'assister à ds transferts de production industrielles vers des pays plus pauvres à bas coût salarial tels les pays d'affrique...
Article "La Chine abaisse le cours pivot du yuan à son plus bas niveau depuis six ans"
http://www.abcbourse.com/marches/la-chine-abaisse-le-cours-pivot-du-yuan-a-son-plus-bas-niveau-depuis-six-ans_375357_PX1p
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Péril jaune imminent sur le CSS de Shanghaï...
Graphiquement, la situation haussière se dégrade progressivement dans le temps avec une inclinaison de plus plus prononcée à la baisse des supports de hausse qui cèdent les uns après les autres.
On voit aussi que la courbe est ponctuée de décrochages graphiques importants (dominos jaunes) . l'interventionnisme de régulation est que jamais la règle sur ce marché en équilibre très précaire et tenu par un à bout de bras par une banque centrale chinoise qui commence à trouver le temps long..
Les nouvelles économiques se succèdent à un rythme rapide et vont toujours dans le sens au global : une croissance saturée en baisse, et un système écomomique qui doit se réorganiser en perdant de nombreux emplois...
La bulle immobilière est toujours bien présente et la spéculation continue de faire de gros dégats dans les lignes financières.
Notons "Les réserves de devises étrangères de la Chine ont chuté de 19 milliards de dollars en août, selon un chiffre officiel publié vendredi, probable signe que la banque centrale (PBOC) vend massivement des dollars pour défendre le cours du yuan sous forte pression.
Les colossales réserves de changes chinoises, les plus importantes du monde, sont tombées à 3.166 milliards de dollars fin septembre, a indiqué la PBOC sur son site internet.
C'est en deçà du niveau de 3.180 milliards anticipé par les analystes sondés par Bloomberg. Ces réserves avaient déjà plongé de 16 milliards de dollars en août, glissant à leur plus bas niveau depuis 2011.
Pour les analystes, c'est le signe que la banque centrale a fortement musclé ses interventions sur le marché des changes, pour racheter des yuans et donc renforcer le cours vacillant de la monnaie face au dollar.
Une question d'image, alors que la Chine accueillait début septembre le sommet annuel des dirigeants du G20, et surtout juste avant l'entrée, scrutée de près, la semaine dernière du renminbi dans les droits de tirage spéciaux (DTS), l'unité de compte du Fonds monétaire international.
Elle rejoint dans ce panier le dollar, l'euro, la livre britannique et le yen japonais, parmi les "devises de réserve" internationales.
Certes, "le renminbi s'est bien maintenu face au dollar ces derniers mois, mais c'est seulement parce que la PBOC a continué d'intervenir massivement sur le marché des changes", commentait vendredi Julian Evans-Pritchard, analyste de Capital Economics.
L'objectif était de "contrecarrer des fuites de capitaux toujours importantes" hors de Chine, d'"environ 40 milliards de dollars" en septembre, estimait-il. De quoi exercer une forte pression à la baisse sur le yuan.
La recrudescence des achats de dollars et autres devises étrangères par les touristes chinois, juste avant les longues vacances nationales du 1er octobre, a intensifié le phénomène, ajoutait de son côté Yang Zhao, de la banque Nomura.
Les fuites de capitaux, alimentées par le vif ralentissement de la croissance dans la deuxième économie mondiale, pénalisent durement le yuan depuis l'an dernier.
Les réserves de changes de la Chine, qui ont plafonné à quelque 4.000 milliards de dollars en 2014 avant de chuter, s'étaient justement fortement repliées fin 2015 et début 2016 en raison des efforts de la PBOC pour enrayer la dépréciation trop rapide du renminbi.
Le yuan n'est pas pleinement convertible, ne pouvant fluctuer face au dollar que dans une fourchette de 2% autour d'un cours-pivot fixé par la banque centrale.
Or celle-ci souffle le chaud et le froid: elle avait ainsi orchestré en août 2015 une soudaine dépréciation de 5%, attisant les craintes de dévaluations compétitives. Pékin est régulièrement soupçonné, notamment aux Etats-Unis, de manipuler sa devise pour doper ses exportations, ce dont la Chine se défend farouchement. "
Article "Chine: chute des réserves de change, probable signe d'intervention sur le yuan"
http://www.abcbourse.com/marches/chine-chute-des-reserves-de-change-probable-signe-d-intervention-sur-le-yuan_375228_PX1p
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Graphiquement, la situation haussière se dégrade progressivement dans le temps avec une inclinaison de plus plus prononcée à la baisse des supports de hausse qui cèdent les uns après les autres.
On voit aussi que la courbe est ponctuée de décrochages graphiques importants (dominos jaunes) . l'interventionnisme de régulation est que jamais la règle sur ce marché en équilibre très précaire et tenu par un à bout de bras par une banque centrale chinoise qui commence à trouver le temps long..
Les nouvelles économiques se succèdent à un rythme rapide et vont toujours dans le sens au global : une croissance saturée en baisse, et un système écomomique qui doit se réorganiser en perdant de nombreux emplois...
La bulle immobilière est toujours bien présente et la spéculation continue de faire de gros dégats dans les lignes financières.
Notons "Les réserves de devises étrangères de la Chine ont chuté de 19 milliards de dollars en août, selon un chiffre officiel publié vendredi, probable signe que la banque centrale (PBOC) vend massivement des dollars pour défendre le cours du yuan sous forte pression.
Les colossales réserves de changes chinoises, les plus importantes du monde, sont tombées à 3.166 milliards de dollars fin septembre, a indiqué la PBOC sur son site internet.
C'est en deçà du niveau de 3.180 milliards anticipé par les analystes sondés par Bloomberg. Ces réserves avaient déjà plongé de 16 milliards de dollars en août, glissant à leur plus bas niveau depuis 2011.
Pour les analystes, c'est le signe que la banque centrale a fortement musclé ses interventions sur le marché des changes, pour racheter des yuans et donc renforcer le cours vacillant de la monnaie face au dollar.
Une question d'image, alors que la Chine accueillait début septembre le sommet annuel des dirigeants du G20, et surtout juste avant l'entrée, scrutée de près, la semaine dernière du renminbi dans les droits de tirage spéciaux (DTS), l'unité de compte du Fonds monétaire international.
Elle rejoint dans ce panier le dollar, l'euro, la livre britannique et le yen japonais, parmi les "devises de réserve" internationales.
Certes, "le renminbi s'est bien maintenu face au dollar ces derniers mois, mais c'est seulement parce que la PBOC a continué d'intervenir massivement sur le marché des changes", commentait vendredi Julian Evans-Pritchard, analyste de Capital Economics.
L'objectif était de "contrecarrer des fuites de capitaux toujours importantes" hors de Chine, d'"environ 40 milliards de dollars" en septembre, estimait-il. De quoi exercer une forte pression à la baisse sur le yuan.
La recrudescence des achats de dollars et autres devises étrangères par les touristes chinois, juste avant les longues vacances nationales du 1er octobre, a intensifié le phénomène, ajoutait de son côté Yang Zhao, de la banque Nomura.
Les fuites de capitaux, alimentées par le vif ralentissement de la croissance dans la deuxième économie mondiale, pénalisent durement le yuan depuis l'an dernier.
Les réserves de changes de la Chine, qui ont plafonné à quelque 4.000 milliards de dollars en 2014 avant de chuter, s'étaient justement fortement repliées fin 2015 et début 2016 en raison des efforts de la PBOC pour enrayer la dépréciation trop rapide du renminbi.
Le yuan n'est pas pleinement convertible, ne pouvant fluctuer face au dollar que dans une fourchette de 2% autour d'un cours-pivot fixé par la banque centrale.
Or celle-ci souffle le chaud et le froid: elle avait ainsi orchestré en août 2015 une soudaine dépréciation de 5%, attisant les craintes de dévaluations compétitives. Pékin est régulièrement soupçonné, notamment aux Etats-Unis, de manipuler sa devise pour doper ses exportations, ce dont la Chine se défend farouchement. "
Article "Chine: chute des réserves de change, probable signe d'intervention sur le yuan"
http://www.abcbourse.com/marches/chine-chute-des-reserves-de-change-probable-signe-d-intervention-sur-le-yuan_375228_PX1p
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La banque centrale chinoise continue de tenter de faire flotter son radeau de la méduse au dessus des 2800 pts.
Rien de bien intéressant actuellement et ça baisse plus car on intervient en régulation... Notons que CSS s'est cogné brutalement la tête sous l'oblique et ça lui pas plus...
Rien de bien intéressant actuellement et ça baisse plus car on intervient en régulation... Notons que CSS s'est cogné brutalement la tête sous l'oblique et ça lui pas plus...
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