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Pétrole: la glissade se poursuit, les analystes réagissent.

Cours temps réel: 8 023,26  0,52%



ettircs ettircs
20/01/2016 09:37:38
0
bah non car ce sont des traders qui font les prix... comme pour les actions d'entreprises --'
si le petrole de schiste s'arretait là completement brutalement la demande dépasserais l'offre mais l'on trouverais les moyens de mettre a mal les prix, on parlerais des stocks "mirobolant" de la chine qui va mal etc etc.... spéculation quand tu nous tient
  
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MITTE MITTE
20/01/2016 09:15:26
0
Question : même si le pétrole de schiste s'arrêterait, les prix du pétrole remonteraient-ils en flèche ?

J'en suis loin d'être convaincu !
  
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ettircs ettircs
20/01/2016 09:07:10
0
au dela des petroliers c'est surtout les banques qui seront reticente à leur prêter si des garanti de prix haut ne sont pas certains, pas de financement pas de dévelloppement,
  
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MITTE MITTE
20/01/2016 08:46:01
0
et elle ne semble pas prête de s'arrêter !


Les places asiatiques plongeaient de nouveau mercredi et anéantissaient le regain de la veille, plombées par l'érosion de l'or noir et les inquiétudes persistantes sur l'état de santé de l'économie mondiale.

En pleine tempête boursière, le Fonds monétaire international (FMI) a abaissé mardi ses prévisions de croissance. L'économie mondiale pourrait bientôt "dérailler", a ajouté le FMI, en pointant le ralentissement chinois et la situation "périlleuse" de nombreux pays émergents.

Les marchés avaient rebondi mardi dans l'espoir de voir les autorités chinoises prendre des mesures de relance.

La croissance chinoise a bien ralenti l'an dernier à son plus bas niveau depuis 1990, à 6,9%, mais les investisseurs mondiaux avaient réagi positivement à ces données, soit parce que ce chiffre avait largement été anticipé, soit parce qu'il laisse attendre de nouvelles mesures de Pékin pour donner un coup de fouet à la deuxième économie mondiale.

Mais ce regain a fait long feu et les marchés ont été rattrapés par le recul persistant du pétrole.

Le baril de brut américain a plongé à un nouveau plus bas de 12 ans dans les échanges électroniques en Asie, en dessous du seuil des 28 dollars, plombé par l'Agence internationale de l'énergie (AIE). Celle-ci a prédit que le marché allait se noyer "dans un surplus d'offre", des craintes alimentées en particulier par le retour du pétrole iranien sur le marché.

"Le marché pétrolier est confronté à la perspective d'une troisième année consécutive où l'offre dépassera la demande de 1 mbj" (million de barils par jour), a expliqué l'AIE, évoquant "une tension énorme sur la capacité du système pétrolier à l'absorber efficacement".

Depuis mi-2014, les cours se sont effondrés de plus de 75%, sous l'effet de la surabondance de l'offre, d'une demande morose, du ralentissement de l'économie mondiale et du renforcement du dollar.

- Des milliards de dollars volatilisés -

A la mi-journée, la Bourse de Hong Kong perdait 3,8%, à son plus bas niveau depuis début 2012.

Tokyo reculait de plus de 3% avant de se reprendre. Sydney cédait 1,2% tandis que Shanghai faisait des va-et-vient entre territoires positif et négatif pour s'établir vers -1,4% aux alentours de midi.

Depuis le début de l'année, les places financières dégringolent et des milliards de dollars de valorisation sont partis en fumée.

"On va continuer d'assister à une guerre entre la nervosité des investisseurs et des indicateurs techniques qui montrent que la chute est allée trop loin", a commenté Chihiro Ohta, analyste chez SMBC Nikko Securities Inc. à Tokyo.

"Aux racines de la débâcle de ce début d'année, se situe le déséquilibre entre l'offre de pétrole et la demande, et tant que les prix ne se stabiliseront pas, les marchés boursiers seront à la peine."

Le FMI a réduit de 0,2 point sa prévision de croissance pour 2016 (3,4%) comme pour 2017 (3,6%) alors que les pays émergents sont guettés par le "ralentissement généralisé". L'essoufflement chinois fait en particulier chuter les cours de nombreuses matières premières et prive les pays qui les exportent de ressources cruciales.

Le renforcement du dollar, qui pénalise les cours du pétrole libellés en billets verts, n'améliore par la situation.

Sur les marchés des changes, les devises des émergents étaient en baisse. La roupie indonésienne perdait 0,4% face au dollar américain tandis que le ringgit malaisien cédait 0,3%.

Le dollar australien perdait 0,5%. Le dollar néo-zélandais cédait 0,5% alors que le taux d'inflation atteignait son niveau le plus bas depuis 16 ans.


Commentaire : les " saoud " cèderont-ils ?

JE NE LE CROIS PAS AU MOMENT MEME OU LES BANQUES US DISENT ET ECRIVENT QUE 25% DE LEURS CREANCES DOUTEUSES PROVIENNENT DU PETROLE DE SCHISTE !!!

Message complété le 20/01/2016 08:55:23 par son auteur.

Quelque part les saoud ont raison : ton ennemi, il ne faut pas lui laisser une seconde chance, il faut le carboniser pour éviter qu'il recommence.

Donc les saoud iront jusqu'au bout !

En tout cas, si on veut voir le cac à 3500 / 3000 points, il faut que les saoud tiennent !

  
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CRI74 CRI74
19/01/2016 10:39:57
0
Le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en février gagnait 25 cents à 30,64 dollars ce mardi 19/01, tandis que le Brent reprenait 39 cents à 29,13 dollars.
L'or noir avait plongé lundi à des niveaux qu'il n'avait plus atteint depuis 2003, après que les Etats-Unis et l'Union européenne eurent levé la plupart des sanctions internationales imposées à Téhéran dans le cadre d'un accord sur son programme nucléaire.
"Le retour progressif de l’Iran sur le marché mondial devrait rajouter environ 1 million de barils/jour", mais "cela ne suffira pas à déstabiliser un marché mondial de 95 millions de barils/jour", commente Daniel Gerino, président et directeur de la gestion de Carlton Sélection.
Il estime en effet que "l’Arabie Saoudite et ses 11 millions de barils/jour (sur les 32 millions de b/j de l’OPEP) ne peut pas continuer durablement à subir une chute des prix qui provoque des déficits budgétaires colossaux".
Pour M. Gerino, les prix du pétrole ont atteint leurs niveaux planchers. "Nous allons entrer dans une phase de baisse de la production qui va entraîner une remontée du prix du baril" et "ce rebond pourrait atteindre 20-25% au cours du premier semestre", prévoit-il. Le président et directeur de la gestion de Carlton Sélections estime ainsi que "le moment est particulièrement opportun pour revenir sur le secteur énergétique et les valeurs pétrolières".

Message complété le 19/01/2016 10:49:01 par son auteur.

On peut ajouter que l'Arabie subit déjà des pressions de ses pays alliés périphériques bien plus en difficultés , qu'elle n'a nullement intérêt à affaiblir au delà du raisonnable ; de plus , elle pourrait juger que la "guerre "pétrolière a provoqué assez de dégâts chez ses concurrents , que le maintien sur des niveaux inférieurs à 45/50$ ne leur permettra pas de remonter la pente .

  
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Dubaisan Dubaisan
19/01/2016 06:32:44
0
De toutes facons le petrole baissera au moins jusqu'a 20 USD le baril, comme annonce en 2015 par le ministre saoudien du Petrole et de s'y maintenir quelques temps..... Il est probable qu'a ce niveau le baril de petrole risquera deja de se transformer en baril de poudre sur une bonne partie de la planete. En tous cas en dessous de 20 Usd, il y aura interet a se planquer dans les abris....mais les cours alors remonteront tres vite....
  
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ettircs ettircs
19/01/2016 01:05:06
1
panurgisme tu as dit? ce week end il y en a eu un bon paquet sur un tout autre sujet, à savoir la neige au royaume des saoud!!!!!!
tout le monde a suivi l'info même certains grands journaux pour dire.. et il s'est avéré que c'était une blague, un vrai journaliste a regarder la meteo en arabie et a compris qu'avec des températures de 17 degrès bah sa neige pas --'.

tout le monde regarde la chine et l'inde pendant ce temps augmentent ses importations de matières première dont le pétrole, et a une croissance estimé a plus ou moins 7%
et tout les journalistes copies presque sans retouche (et même sans lire?) les articles des autres bref mieux regarder les rapports officieux et s'en faire une idée
  
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MITTE MITTE
18/01/2016 18:17:10
0
la chute du pétrole marquait le retour triomphal de l'OCCIDENT ?

Nous avons TOUT, et comme le chante " Michel " ... du blé dans les champs pendant mille ans "
  
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ljacobus ljacobus
18/01/2016 16:52:12
0
La Russie et le Venezuella "dégustent"....
  
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CRI74 CRI74
18/01/2016 16:10:43
0
La chute du cours de l'or noir devrait entraîner une nette baisse de la production des pays producteurs non membres de l'Opep.


Dans son dernier rapport mensuel, l'Organisation des pays exportateurs de pétrole estime que la production hors Opep devrait ainsi reculer de 660.000 barils par jour cette année, soit nettement plus que le repli de 270.000 bj estimé précédemment.
L'exploitation américaine devrait notamment baisser de 380.000 bj, selon l'Organisation. <p>"Après sept années consécutives de croissance phénoménale de l'offre hors OPEP, souvent supérieure à 2 millions de barils par jour, 2016 devrait être marqué par un recul de la production avec les premiers effets des fortes réductions de capex", souligne le cartel.

</p>
  
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ettircs ettircs
18/01/2016 11:51:20
1
si le petrole tombe a 5 dollar je vais direct racheté des terrains pétrolier pour pas chere, quitte a faire credit!!!!!!!!!!!!!!!
  
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jipes jipes
18/01/2016 11:30:11
0
Si l'on tombe à 5 US$ le baril, combien gagneront ceux qui se chargeront de l'extraction et de l'acheminement du pétrole ?
  
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CRI74 CRI74
18/01/2016 10:33:18
2
Quitte à balancer des inepties , autant dire que le pétrole gratuit est pour bientôt : la loi du marché s'il on vous écoute .
Les gens sensés corrigeront d'eux mêmes
  
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MITTE MITTE
18/01/2016 09:36:13
0
J'ai aussi entendu cette remarque. Mais la conclusion de " mon " gérant était l'inverse : la capacité mondiale de stockage de pétrole étant quasiment atteinte, il n' y a plus qu'une seule solution : le vendre.

On verra bien, mais l'Iran qui a vécu reclus pendant presque 40 ans, a les moyens de baisser drastiquement son prix, d'abord pour prendre des marchés et pour faire la nique aux " saoud " !
  
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MITTE MITTE
18/01/2016 09:23:30
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Peut-être, tout dépend de savoir si la " communauté internationale " qui en aura marre des attentats, " all around " de la planète aura décidé de tordre le cou à daech. L"arabie saoudite n'est pas au mieux de sa forme, elle ne va pas trop la ramener.

Et puis, aussi, et, qui sait, surtout, une " petite " avancée " sur le stockage de l'énergie électrique dans les batteries, qui donnerait une autonomie de 500, voire de 700 kilomètres aux voitures et là, c'est la ruée sur l'électrique et on tombera aux 5 $ le baril.

Si le réchauffement se poursuit ... on y va droit.

Un rêve ? Ce qui est certain, absolument certain, c'est que le temps joue CONTRE LE PETROLE !


  
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MITTE MITTE
18/01/2016 08:39:48
0
Les sanctions contre l'Iran font chuter les cours du pétrole

Par latribune.fr | 18/01/2016, 8:09 | 351 mots


Le baril de Brent a atteint un plus bas lundi. L'arrivée de l'Iran sur le marché de l'or noir fait craindre une surabondance de l'offre.

La levée des sanctions contre l'Iran est très attendue par de nombreuses entreprises, mais pour les producteurs d'or noir, elle représente une mauvaise nouvelle. Le baril de Brent est tombé brièvement a un nouveau plus bas lundi, passant sous les 28 dollars en Asie sur fond de craintes d'une surabondance de l'offre après la levée de la plupart des sanctions occidentales contre l'Iran.

Pour rappel, la fin de ces sanctions permet au pays de reprendre ses exportations de brut. Mais la perspective d'un retour de l'Iran sur un marché pétrolier déjà saturé par une abondance de l'offre contribue à plomber les cours. Le Brent, référence européenne du brut, pour livraison en mars a ainsi chuté lundi à 27,67 dollars avant de remonter au-dessus de 28 dollars. La dernière clôture du Brent sous les 28 dollars remonte à novembre 2003. Vers 01H45 GMT, le Brent se négociait dans les échanges électroniques en Asie 43 cents en dessous de son cours de clôture de vendredi, à 28,51 dollars. Le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en février cédait quant à lui 35 cents, à 29,07 dollars.
L'Iran va "vouloir proposer des offres attractives"

"L'Iran a d'importants stocks de pétrole en ce moment et est en position de vendre s'il le souhaite, ce qui augmentera nettement l'offre", explique à l'AFP par téléphone Ric Spooner, analyste chez CMC Markets à Sydney.

"La première priorité de l'Iran sera de retrouver sa clientèle et sa part de marché. Les Iraniens vont vouloir proposer des offres attractives pour leurs clients", précise-t-il.

Chute des Bourses des pays du Golfe

Par ailleurs, dimanche 17 janvier, les Bourses des monarchies pétrolières du Golfe ont fortement chuté avec l'annonce officielle de la levée des sanctions contre l'Iran. La Bourse saoudienne, la plus importante des pays arabes, a chuté de 6,5% après avoir ouvert à -5,5%.

L'indice Tadawul All-Shares a perdu plus de 300 points quelques minutes après l'ouverture du marché, sous la barre de 5.500 points, tous les secteurs passant au rouge. Les valeurs pétrochimiques ont dégringolé de 8% et les bancaires de 5,3%.

Commentaire : vers un monde nouveau, voire un nouveau monde ?

Et lorsque l'Irak et la Lybie seront redevenus en paix, ce sera quoi ? 5 $ le baril ?








  
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CRI74 CRI74
17/01/2016 20:22:24
0
Ce qui fait beaucoup d'inconnues pour décréter une baisse supplémentaire des prix actuellement tapis pour un surplus déjà largement anticipé , dixit les analystes
  
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CRI74 CRI74
17/01/2016 18:41:02
0
Le retour du pétrole iranien sur le marché mondial devrait en toute logique faire encore descendre les cours sous la barre des 30 dollars le baril lundi, mais la nouvelle a été tellement anticipée que la réaction pourrait être somme toute limitée, disent des intervenants du marché.

<p>La levée des sanctions contre l'Iran était attendue depuis longtemps et, pour moi, elle est intégrée dans les cours. Il y aura peut-être une petite réaction épidermique à l'ouverture du marché mais je doute qu'il y ait un effet plus durable", déclare Amrita Sen, du cabinet de conseil Energy Aspects.
Certains traders anticipent même un rebond, le marché "achetant le fait" après avoir vendu la nouvelle, surtout si les opérateurs baissiers décident de prendre leur profit. Les positions courtes de gros fonds ont plus que doublé sur les futures à New York avec 200.000 contrats depuis la mi-octobre, quand le baril de brut valait près de 50 dollars. On pourrait rebondir de deux, trois ou quatre dollars pour revenir vers les 35 dollars</p>
  
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CRI74 CRI74
17/01/2016 14:41:52
0
http://fr.sputniknews.com/economie/20151225/1020564102/faillites-usa-schiste-hydrocarbures.html
Pour les surenchères coupables sinon irresponsables concernant le prix du baril .
Retour sur terre , très bientôt !!!
  
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ettircs ettircs
17/01/2016 14:10:45
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yep, tout est possible, je penserais même au dela des 60 dollars mais sa ne tient qu'à moi (l'année dernière je pensais bien qu'en fin d'année on allez augmenter sa n'a pas été le cas)
on verra cette semaine, semble t-il la météo est de notre coté cette fois, retour du froid au US
  
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