CAC40: -120Pts en 24H, le pétrole contamine les bancaires.
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créances douteuses, voila un sujets interessant !!!
quel pays sont touchés ?
quels secteurs sont a risque ?
quels montants sont en jeu ?
mais bon.... moi je prefere penser a autre chose !!!
c'est bientôt l heure d'aller se coucher !!!
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bonsoir
connaissez vous le cours actuel de cette banque ? Vous le trouverez sur abc , le cours ne vaut plus rien c' est le première critère , le second je vous invite à ouvrir ce lien et écouter cette vidéo particulièrement le dernier passage relatif à cette banque italienne http://www.businessbourse.com/2016/02/02/les-quatre-bombes-qui-menacent-les-marches-financiers/
connaissez vous le cours actuel de cette banque ? Vous le trouverez sur abc , le cours ne vaut plus rien c' est le première critère , le second je vous invite à ouvrir ce lien et écouter cette vidéo particulièrement le dernier passage relatif à cette banque italienne http://www.businessbourse.com/2016/02/02/les-quatre-bombes-qui-menacent-les-marches-financiers/
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Bonjour tirelire
Ma rèsidence a son compte banquaire chez monte pashi
Avez vous les source sur la fallite svp ?
Ma rèsidence a son compte banquaire chez monte pashi
Avez vous les source sur la fallite svp ?
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The big short 2
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Mince alors le scribe aura mis toute la journée pour se rendre compte que le pétrole contamine les bancaires .
Seulement voilà , il y a bel et bien un problème bancaire celui des banques italiennes plus particulièrement de la 3 émé banque italienne ( la banque Monte Dei Paschi Di Siena ) qui est en faillite et dont l' état italien tente le sauvetage tout on n' en parle pas et tenez vous bien on ne parle pas non plus des créances douteuses que les banques italiennes ont entreposé dans leurs armoires, c' est une véritable bombe bancaire qui est sous nos pieds , pour cette raison vous voyez toutes les banques plongées y compris les banques américaines .
Conclusion : il y a bel et bien un problème bancaire mondial qui est une bombe à retardement
Seulement voilà , il y a bel et bien un problème bancaire celui des banques italiennes plus particulièrement de la 3 émé banque italienne ( la banque Monte Dei Paschi Di Siena ) qui est en faillite et dont l' état italien tente le sauvetage tout on n' en parle pas et tenez vous bien on ne parle pas non plus des créances douteuses que les banques italiennes ont entreposé dans leurs armoires, c' est une véritable bombe bancaire qui est sous nos pieds , pour cette raison vous voyez toutes les banques plongées y compris les banques américaines .
Conclusion : il y a bel et bien un problème bancaire mondial qui est une bombe à retardement
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(CercleFinance.com) - Le CAC40 réduit un peu ses pertes (de -3,2% vers -2,7% à 4.273Pts) mais accuse encore 120Pts de repli par rapport à la clôture de lundi, sans la moindre statistique économique pouvant expliquer le phénomène aujourd'hui.
L'Euro-Stoxx50 chute également de -2,7% (contre -3%) alors que Wall Street remonte de -1,7% vers -1,4% et le Nasdaq moins exposé sur le secteur énergie/produits de base résiste mieux à -1%.
Les indices US se montrent une nouvelles fois les plus résilients que leurs homologues européens.
Les actions US avaient avait remarquablement bien digéré les chiffres médiocres de la veille et la corrélation entre le pétrole et les indices boursiers semblait avoir été brisée (le baril perdait -5% tandis que le 'S&P' remontait symétriquement de -1% vers +0,1%).
Mais avec la rechute du 'WTI' sous les 30$ ce mardi, les marchés se reconnectent brutalement aux anticipations négatives que la rechute de -14% du baril (en 48H) fait renaitre.
Si le pétrole rechute aussi spectaculairement (-10% en quelques heures de cotations), c'est que les 'fondamentaux' doivent être mauvais quelque part (Brésil, Russie, Chine, etc.) et que la récession menace.
De fait, l'ISM (activité manufacturière) de New York en janvier chute de 62 vers 54,6... mais c'est une photographie très locale.
En Europe, l'Allemagne voit son taux de chômage chuter de 6,3 vers 6,2% (au plus bas depuis la réunification), le chômage recule égale de 0,1% en Europe à 10,4%.
Les compagnies pétrolières entrainent les indices par le fond, victimes de la double peine: effondrement du baril et dégradation de notation des groupes pétroliers européens par Standard & Poors qui ne pouvait choisir pire moment pour faire son annonce.
Il y a 1 mois, c'était Moody's qui avait annoncé envisager l'abaissement de la note de 120 entreprises mondiales du secteur pétrolier et gazier pénalisées par la chute des cours de l'énergie.
Total dévisse de -5%, Vallourec (dégradé de 2 crans à BB-) de -6,1%, Maurel et Prom de -6%... et à Londres, BP dégringole de -9,5% (après l'annonce de 6,5Mds$ de pertes).
Mais les pétrolières ne sont pas les seules perdantes puisque les bancaires sont également à la peine dans le sillage des comptes décevants d'UBS, nonobstant l'augmentation du dividende annoncé par le groupe helvète.
Les opérateurs redoutent également des pertes latentes sur les dettes 'high yield' émises par les producteurs de 'shale oïl'.
BNP Paribas, Société Générale et Natixis dévissent ainsi de respectivement 6, 6,6% et -7% (et perdent toutes entre -22 et -23% cette année).
Valeo recule pour sa part de 4% sur fond de dégradation de Morgan Stanley, passé de 'pondérer en ligne' à 'sous-pondérer' avec un objectif de cours ramené de 130 à 110 euros.
Enfin, Casino baisse de 4% environ alors qu'un autre gestionnaire d'actifs, Argonaut Capital, explique lui aussi, quelques semaines après Muddy Waters, 'shorter' l'action du distributeur.
Copyright © 2016 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
L'Euro-Stoxx50 chute également de -2,7% (contre -3%) alors que Wall Street remonte de -1,7% vers -1,4% et le Nasdaq moins exposé sur le secteur énergie/produits de base résiste mieux à -1%.
Les indices US se montrent une nouvelles fois les plus résilients que leurs homologues européens.
Les actions US avaient avait remarquablement bien digéré les chiffres médiocres de la veille et la corrélation entre le pétrole et les indices boursiers semblait avoir été brisée (le baril perdait -5% tandis que le 'S&P' remontait symétriquement de -1% vers +0,1%).
Mais avec la rechute du 'WTI' sous les 30$ ce mardi, les marchés se reconnectent brutalement aux anticipations négatives que la rechute de -14% du baril (en 48H) fait renaitre.
Si le pétrole rechute aussi spectaculairement (-10% en quelques heures de cotations), c'est que les 'fondamentaux' doivent être mauvais quelque part (Brésil, Russie, Chine, etc.) et que la récession menace.
De fait, l'ISM (activité manufacturière) de New York en janvier chute de 62 vers 54,6... mais c'est une photographie très locale.
En Europe, l'Allemagne voit son taux de chômage chuter de 6,3 vers 6,2% (au plus bas depuis la réunification), le chômage recule égale de 0,1% en Europe à 10,4%.
Les compagnies pétrolières entrainent les indices par le fond, victimes de la double peine: effondrement du baril et dégradation de notation des groupes pétroliers européens par Standard & Poors qui ne pouvait choisir pire moment pour faire son annonce.
Il y a 1 mois, c'était Moody's qui avait annoncé envisager l'abaissement de la note de 120 entreprises mondiales du secteur pétrolier et gazier pénalisées par la chute des cours de l'énergie.
Total dévisse de -5%, Vallourec (dégradé de 2 crans à BB-) de -6,1%, Maurel et Prom de -6%... et à Londres, BP dégringole de -9,5% (après l'annonce de 6,5Mds$ de pertes).
Mais les pétrolières ne sont pas les seules perdantes puisque les bancaires sont également à la peine dans le sillage des comptes décevants d'UBS, nonobstant l'augmentation du dividende annoncé par le groupe helvète.
Les opérateurs redoutent également des pertes latentes sur les dettes 'high yield' émises par les producteurs de 'shale oïl'.
BNP Paribas, Société Générale et Natixis dévissent ainsi de respectivement 6, 6,6% et -7% (et perdent toutes entre -22 et -23% cette année).
Valeo recule pour sa part de 4% sur fond de dégradation de Morgan Stanley, passé de 'pondérer en ligne' à 'sous-pondérer' avec un objectif de cours ramené de 130 à 110 euros.
Enfin, Casino baisse de 4% environ alors qu'un autre gestionnaire d'actifs, Argonaut Capital, explique lui aussi, quelques semaines après Muddy Waters, 'shorter' l'action du distributeur.
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