CAC40: +1% et +4,4% en hebdo, le secteur auto met le turbo.
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" Le prochain objectif pourrait être la zone de résistance des 4.300 points, même si bon nombre de chartistes considèrent que le CAC est passé en 4 séances, et sans transition, d'un marché survendu à suracheté."
Où sont les indicateurs qui indiqueraient, en UT journalière, que le marché serait actuellement suracheté ?
Effectivement on peut avoir son opinion, mais là ça dérape un peu quand même.
Où sont les indicateurs qui indiqueraient, en UT journalière, que le marché serait actuellement suracheté ?
Effectivement on peut avoir son opinion, mais là ça dérape un peu quand même.
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Un marché suracheté à 4273 points c'est à mourir de rire. Je veux bien qu'il faille dire quelque chose mais enfin il vaut mieux se taire que dire n'importe quoi.
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(CercleFinance.com) - La Bourse de Paris a résolument pris la direction du 'Nord' à partir de 12H20, avec une progression de +60Pts en ligne droite en 30 minutes, au sein d'un canal ascendant parfaitement rectiligne et sans le moindre retracement (entre 4.228 et 4.288).
Cette hausse 'sortie de nulle part' n'est reliée à aucune 'actualité' mais elle véhicule cependant le sentiment d'une entame de semestre positive.
Soutenu par un Dow Jones qui tutoie désormais les 18.000 tandis que le 'S&P' refranchit les 2.100Pts, le CAC40 (+1,1% à 4.283) aligne une quatrième séance consécutive de hausse et valide une progression de 4,4% sur la semaine.
L'Euro-Stoxx50 grimpe de +0,85% et teste 2.882Pts, Milan reste à la traine (MIB-30 quasi inchangé) dans le sillage de banques italiennes sous pression.
'Les marchés commencent à s'apaiser et la volatilité se réduit', observaient ce matin les analystes de Barclays Bourse.
Le prochain objectif pourrait être la zone de résistance des 4.300 points, même si bon nombre de chartistes considèrent que le CAC est passé en 4 séances, et sans transition, d'un marché survendu à suracheté.
D'un point de vue statistique, le 1er juillet reste bel et bien la journée la plus fréquemment haussière de l'année, l'entame du second semestre se traduisant par un courant structurellement acheteur.
Du côté des indicateurs, les investisseurs viennent de découvrir sans déplaisir l'indice ISM manufacturier de juin qui progresse de près de +2Pts à 53,2.
ce bon chiffre est en partie compensé par le recul de -0,8% des dépenses de construction pour mai.
Le taux de chômage CVS de l'Eurozone s'est établi à 10,1% en mai, soit une baisse de 0,1 point en rythme séquentiel et, surtout, un taux à son plus bas niveau depuis juillet 2011.
Au Japon, la consommation a encore chuté de -1,1% en juin et l'inflation ressort négative de -0,4%. Enfin, le PMI manufacturier reste en territoire négatif (48,1 contre 47,8) pour le 4ème mois consécutif.
Sur le marché des changes, l'euro gagne environ 0,3% face au dollar à 1,1128, tandis que le baril de Brent s'effrite de 0,1% à 49,7 dollars.
Enfin, concernant les valeurs, Peugeot et Renault engrangent respectivement +7,6% et 5,5%, soit les 2 meilleures performances de l'indice phare (devant Michelin à +4% et Valeo à +4,5%), à la faveur de rachats à bon compte et de bons chiffres mensuels du marché de l'automobile en France.
Au sein du SBF-120, ce sont également 2 équipementiers auto qui dominent le classement avec Faurecia (+7,5%) et Plastic Omnium (+6,8%).
Le titre Edenred grimpe quant à lui de 3% et affiche un gain hebdomadaire de 14,5% à l'issue d'une semaine pourtant dominée par le choc qu'a suscité le Brexit, ce qui constitue une excellente performance.
Copyright © 2016 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Cette hausse 'sortie de nulle part' n'est reliée à aucune 'actualité' mais elle véhicule cependant le sentiment d'une entame de semestre positive.
Soutenu par un Dow Jones qui tutoie désormais les 18.000 tandis que le 'S&P' refranchit les 2.100Pts, le CAC40 (+1,1% à 4.283) aligne une quatrième séance consécutive de hausse et valide une progression de 4,4% sur la semaine.
L'Euro-Stoxx50 grimpe de +0,85% et teste 2.882Pts, Milan reste à la traine (MIB-30 quasi inchangé) dans le sillage de banques italiennes sous pression.
'Les marchés commencent à s'apaiser et la volatilité se réduit', observaient ce matin les analystes de Barclays Bourse.
Le prochain objectif pourrait être la zone de résistance des 4.300 points, même si bon nombre de chartistes considèrent que le CAC est passé en 4 séances, et sans transition, d'un marché survendu à suracheté.
D'un point de vue statistique, le 1er juillet reste bel et bien la journée la plus fréquemment haussière de l'année, l'entame du second semestre se traduisant par un courant structurellement acheteur.
Du côté des indicateurs, les investisseurs viennent de découvrir sans déplaisir l'indice ISM manufacturier de juin qui progresse de près de +2Pts à 53,2.
ce bon chiffre est en partie compensé par le recul de -0,8% des dépenses de construction pour mai.
Le taux de chômage CVS de l'Eurozone s'est établi à 10,1% en mai, soit une baisse de 0,1 point en rythme séquentiel et, surtout, un taux à son plus bas niveau depuis juillet 2011.
Au Japon, la consommation a encore chuté de -1,1% en juin et l'inflation ressort négative de -0,4%. Enfin, le PMI manufacturier reste en territoire négatif (48,1 contre 47,8) pour le 4ème mois consécutif.
Sur le marché des changes, l'euro gagne environ 0,3% face au dollar à 1,1128, tandis que le baril de Brent s'effrite de 0,1% à 49,7 dollars.
Enfin, concernant les valeurs, Peugeot et Renault engrangent respectivement +7,6% et 5,5%, soit les 2 meilleures performances de l'indice phare (devant Michelin à +4% et Valeo à +4,5%), à la faveur de rachats à bon compte et de bons chiffres mensuels du marché de l'automobile en France.
Au sein du SBF-120, ce sont également 2 équipementiers auto qui dominent le classement avec Faurecia (+7,5%) et Plastic Omnium (+6,8%).
Le titre Edenred grimpe quant à lui de 3% et affiche un gain hebdomadaire de 14,5% à l'issue d'une semaine pourtant dominée par le choc qu'a suscité le Brexit, ce qui constitue une excellente performance.
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