France: l'économie renoue avec une légère croissance au troisième trim
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++..moi je note qu'avec une progression de 0.1% du PIB on a une chute record depuis 20 ans du chomage..++
Tu n’y connais rien et tu mélanges tout. Ce n’est pas la même page, et il n’y a pas de lien.
Tu calcules, tu calcules….les maths, c’est très mauvais pour la santé. Faudra réformer ça aussi dans les collèges : abandonner les maths pour mettre l’ « Histoire du Socialisme en France », et « La bonne façon de penser » à la place.
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Comme il n’y a pas beaucoup de positif dans le bilan 2012-2017, il faut bien braquer les projecteurs sur le moindre point positif, fût-il microscopique. Et au besoin, jouer de la baguette magique. Et bien évidemment, mettre une chape de plomb (avec le mouchoir par-dessus)sur le négatif.
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alors si les objectifs de croissance étaient atteints ... tous au boulot ?
ben quoi ? c'est ce qui ressort , non ??
quoi ? vous y croyez pas ? m'enfin !!!
tout va bien chez Madame la marquise !
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Alors ce PIB, c'est 0.1 ou 0.01 ?
Tu es pire que le gouvernement dans l'annonce des chiffres.
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Michel SAPIN en parfait laquais de madame la marquise de HOLLANDE nous sort des chiffres un peu surprenant comme le chômage il annonce une baisse en août sic et une forte progression du PIB de...0.01% sur le troisième trimestre sans préciser si ce chiffre est hors de l'inflation ou après.
Visiblement il ignore les statistiques du ministère du travail
CHOMAGE SEPT 2016 AOUT 2016 DEC 2015
CATEGORIE A 3490500 3556800 3590600
CATEGORIE B 738000 725500 712600
CATEGORIE C 1251200 1235900 1172500
SOUS TOTAL 5480200 5518200 5475200
AUTRE D E 758600 757600 699600
TOTAL 6238000 6275800 6175300
ACROISSEMENT DU NOMBTE DE SORTIES DES CIFFRES DU CHÖMAGE EN SEPTEMBRE 72300
CONCLUSION HAUSSE DU NOMBRE DE CHOMEURS OU ASSIMILES EN SEPTEMBRE 34500
Voilà pour les employeurs , les économistes français et étrangers de quoi inspirer la confiance dans le sérieux de nos dirigeants.
TOUT VA TRES BIEN MADAME LA MARQUISE , le dire en chanson c'est beaucoup mieux;
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chômage en baisse en août (sic) , un PIB en forte hausse de 0.1% ne précise pas si c'est avant ou après inflation le tout suivi de statistiques de chômage pour le moins discutables en septembre , il ne doit pas lire les statistiques du ministère du travail
CHOMAGE SEPTEMBTE 2016 AOUT 2016
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chômage en baisse en août (sic) , un PIB en forte hausse de 0.1% ne précise pas si c'est avant ou après inflation le tout suivi de statistiques de chômage pour le moins discutables en septembre , il ne doit pas lire les statistiques du ministère du travail
CHOMAGE SEPTEMBTE 2016 AOUT 2016
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Pas de rebond spectaculaire, mais un rebond tout de même: l'économie française est repartie de l'avant au troisième trimestre, notamment dans le secteur des services, sans toutefois atteindre un niveau suffisant pour espérer combler le trou d'air du printemps.
Selon une première estimation publiée vendredi par l'Institut national de statistiques et des études économiques (Insee), le produit intérieur brut (PIB) a progressé de 0,2% entre juillet et septembre.
Ce chiffre, conforme aux dernières prévisions, traduit une légère embellie après le repli inattendu de l'activité économique au deuxième trimestre (-0,1%), qui a douché les espoirs de franc redémarrage de l'activité né des bons résultats du début d'année (+0,7%).
Il reste néanmoins décevant au vu des attentes du gouvernement, qui espère cette année une croissance de 1,5%, résultat souvent présenté comme nécessaire pour faire reculer durablement le chômage.
Avec 0,2% de croissance au troisième trimestre, il sera "plus difficile d'atteindre" cet objectif, a d'ailleurs reconnu le ministre de l'Economie et des Finances Michel Sapin dans une déclaration transmise à l'AFP.
Selon le ministre, ce résultat ne remet toutefois pas en cause "la dynamique de reprise" et "ne change rien sur le front du chômage qui baisse nettement, comme sur le front du déficit qui recule et atteindra les objectifs fixés".
Le nombre de chômeurs inscrits à Pôle emploi a connu en août sa plus forte baisse mensuelle (-66.300) depuis 1996, année où les statistiques ont commencé à être collectées sous ce format, s'établissant en métropole à 3,49 millions de personnes.
- La consommation a stagné -
La reprise, au deuxième trimestre, avait été entravée par une série de facteurs exogènes, comme les intempéries ou le mouvement de grève contre la loi Travail, qui aurait coûté selon l'Insee 0,1 point de croissance à la France.
Au troisième trimestre, l'activité a retrouvé son cours normal: la production totale de biens et de services a ainsi augmenté de 0,4%, selon l'institut statistique.
L'accélération est particulièrement nette dans le secteur des services (+0,6% après 0%), de la construction (+1,0% après +0,4%) et du raffinage (+13,7% après -12,8%), affecté au deuxième trimestre par les manifestations contre la loi Travail.
La production s'est à l'inverse repliée pour les matériels de transport (−3,3% après +1,5%) et dans l'énergie (−2,7% après +0,7%), la production générale de biens s'étant pour sa part quasiment stabilisée (-0,1% après -0,7%).
Cette dynamique générale s'explique selon l'Insee par un rebond de l'investissement des ménages (+0,8% après +0,4%) et de meilleurs résultats au niveau des exportations, qui ont grimpé de 0,6%, après +0,2% lors du trimestre précédent.
L'activité a en revanche été pénalisée par un nouveau recul de l'investissement des entreprises (-0,3%, comme au printemps), tandis que la consommation des ménages - moteur traditionnel de la croissance française - a continué de stagner.
Le commerce extérieur, talon d'Achille de l'économie française, a pour sa part de nouveau pesé sur l'activité, en raison d'une forte hausse des importations (+2,2% après −1,7%).
L'institut statistique, qui prévoit une accélération de la croissance au dernier trimestre (+0,4%), a abaissé de 0,3 point début octobre sa prévision de croissance pour 2016, à 1,3% du PIB.
Outre l'Insee, plusieurs organisations internationales ont corrigé à la baisse ces derniers mois leurs hypothèses de croissance pour l'Hexagone, à l'image de l'OCDE (1,3%) ou bien du FMI (1,3%).
Si ce chiffre était confirmé, la France ferait à peine mieux cette année qu'en 2015 (1,2%). Elle ferait en outre moins bien que la moyenne de la zone euro (1,6%), pour la troisième année consécutive.
© 2016 AFP
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